Aller au contenu

Topic Cinéma


will_n°8

Messages recommandés

( will_n°8 Ecrit le mercredi 07 avril 2004 - 13:51)

Oui, c'est jean-Jacques Annaud. Un gage de qualité ! 

Quand à l'incruste, je suis plus réservé, ca m'emballe pas des masses 

Oui mais bon quand tu sais pas trop quoi faire, qu'il y a rien au ciné, c'est mieux que rien! :thumbup:

Lien vers le commentaire
Oui mais bon quand tu sais pas trop quoi faire, qu'il y a RIEN au ciné, c'est mieux que rien! :crylol:

Ah là là là....qu'est ce qu'il ne faut pas entendre.... :grin:

Allez voir ça plutôt que l'incruste...

18372244.jpg

Et ce n'est pas RIEN, c'est juste un petit chef d'oeuvre de plus de Miyazaki, après Laputa, Porco Rosso, Mononoké et Chihiro.

:thumbup:

Lien vers le commentaire
Ah là là là....qu'est ce qu'il ne faut pas entendre.... :grin:

Allez voir ça plutôt que l'incruste...

18372244.jpg

Et ce n'est pas RIEN, c'est juste un petit chef d'oeuvre de plus de Miyazaki, après Laputa, Porco Rosso, Mononoké et Chihiro.

:crylol:

Si tu veux un petit bijou d'animation, je te conseille le film Sud-Coréen "Wonderful Days". Une merveille graphique. :thumbup:

Lien vers le commentaire
Oui, c'est jean-Jacques Annaud. Un gage de qualité !  :confus:

Il était invité ce midi au journal de 13h de France Inter pour faire la promo de son film et pour expliquer les conditions de tournage. Très intéressant :diable: Je me souviens avoir vu l'ours quand j'étais tout petit :P C'était mon premier film au ciné (au Gaumont Wilson) de ma vie !!! :D

Je note...j'en parle de suite à mon âne  :D
Drayou elle le sait que tu parles d'elle comme ça !!?? :diable:
Lien vers le commentaire
Meuuuuuh nan Franfrou, comme tu le sais je n'ai pas de voiture et je voyage presque exclusivement sur mon âne. Je le preparais psychologiquement à nous rendre en Corée afin d'acheter le précieux anime là bas.  :confus:

Si tu veux t'éviter le voyage à dos de baudet, attends sa sortie ciné en avril. :D

Lien vers le commentaire

Il faut se plonger dedans...ils sont pas tous comme Chihiro qui est inspiré par des légendes et divinités japonaises (le personnage glouton avec le masque notamment) et c'est clair que ça peut par momoents paraitre davantage space...pour les Occidentaux.

Mais Lelenne, tu peux y aller, ils sont tous magnifiques, et incroyablement différents. Je mettrai les bandes annonces dans un autre topic, à l'occasion. :crylol:

Lien vers le commentaire
  • 2 semaines plus tard...

Bon, ça y est, je l'ai vu !

"2 frères", c'est très bien comme film.

Bon moment! C'est un peu cul-cul des fois, mais ça passe, et puis ça fait du bien un peu d'amour dans ce monde de brutes.

-le-conseil-du-critique-de-cinéma-professionnel : si vous détestez les tigres, passez votre chemin

-l'avertissement-du-critique-de-cinéma-professionnel : attention, c'est porno au début

Puis le lendemain, j'ai vu "Immortel"

Alors là c'est zarbi. Surtout au début. SF à New-York en l'an 2090 mais avec des dieux egyptiens, des humains et des extra-terrestres, et des requins-marteaux-mutants-parlants-et-qui-passent-dans-les-tuyaux-de-la-salle-de-bains. Mais quand on a capté l'histoire, ça se laisse regarder.

-l'avis-du-critique-de-cinéma-professionnel : Linda Hardy elle est super bonne !

Lien vers le commentaire

En parlant d'anim japonaise, quelqu'un a t'il vu le tombeau des lucioles???

Ca c'est le chef d'oeuvre en puissance, magnifique, emmouvant, toute les qualité d'une excellente histoire, bref pour ceux qui l'ont pas vu, un conseil courer chez votre loueur de dvd car malgrés qu'il doit de 92 je crois vous en reviendre pas :diable:

Lien vers le commentaire

tt a fait d'ac avec toi mat31, le tombeau des lucioles c'est un vrai chef d'oeuvre!!!en fait, je fais du japonais depuis 5ans mais je suis pas super fan des films japonais, par contre, j'adore les dessins animés et notamment celui la!!! moi aussi, je le conseille a tt le monde....... :diable:

Lien vers le commentaire
  • 1 mois plus tard...

J'ai été voir van helsing lundi dernier, je l'ai trouvé vraiment pas mal du tout, je le conseille ....

Et hier soir, je me suis fais les 2 kill bill (j'avais deja vu le 1 en decembre mais ça fais plaisir de le revoir !!!), pour ceux qui aiment tarantino; c'est a voir, c'est vraiment un autre cinéma, deja culte pour moi !

Modifié par agent-smith
Lien vers le commentaire

D'ailleur les critique ne s'y trompe pas:

Kill Bill : volume 2

Film américain (2003). Action, Karaté. Durée : 2h 15mn. Interdit aux moins de 12 ans

Date de sortie : 17 Mai 2004

Avec Uma Thurman, David Carradine, Michael Madsen, Daryl Hannah, Gordon Liu Plus...

Réalisé par Quentin Tarantino

Presse

L'avis de la presse--------------------------------------------------------------------------------

Zurban - Véronique Le Bris

Cette suite manie avec un talent inégalé les références au western spaghetti, aux arts martiaux chinois et les explications psychologiques. Le tout dégage une forte émotion. On en rêvait. Quentin l'a fait, il signe ici l'un, sinon le meilleur, de ses films.

Télérama - François Gorin

Les ellipses, les incises, les parenthèses reposent (...) sur un mécanisme d'horlogerie impeccable. C'est précis, minutieux, millimétré. Tarantino est bien l'héritier des Billy Wilder et Joseph L. Mankiewicz.

L'Ecran Fantastique - Paul Fries

Au finish, un Tarantino de grand cru -l'un des moments de cinéma pulp les plus délirants et enthousiasmants que l'on ait jamais vu sur grand écran!

Figaroscope - Emmanuèle Frois

Kill Bill volume II est tout à la fois une grande et tragique histoire d'amour avec, en toile de fond, un hommage aux arts martiaux chinois, aux westerns spaghetti, aux films noirs des années 40 et un clin d'oeil aux films d'horreur. Tarantinesque à mort !

Les Inrockuptibles - Serge Kaganski

(...)Tarantino manie moins le sabre et un peu plus les dialogues, tout aussi tranchants, pour dénouer le roman familial. (...) C'est ça Kill Bill : (...) une belle tranche de gâteau, comme disait Hitchcock, avec des colorants et des conservateurs, mais aussi la totale, glace, coulis et chantilly par-dessus, et dedans plein de morceaux qu'on aime et qu'on reconnait. (...) Allez-y, gavez-vous.

Le Figaro - La rédaction

Une grande et tragique histoire d'amour avec, en toile de fond, un hommage aux arts martiaux, au western spaghetti et aux films noirs des années 40. Brillantissime.

Première - Nicolas Schaller

Une oeuvre aussi majestueuse que personnelle (...) Kill Bill apparaît comme l'autobiographie fantasmée d'un romantique monomaniaque. Tarantino ne peut désormais plus fuir sa vraie nature (et sa raison de vivre) : celle de Superman des cinéastes.

Studio - Patrick Fabre

Tarantino nous assène le "coup de grâce" (comme il est dit deux fois dans ce second volet), en jouant merveilleusement sur l'émotion. Après le sang, les larmes. Qui l'eût cru? Encore une fois, Tarantino nous a eus. En beauté. Et déjà on compte les jours qui nous séparent de son prochain film.

Chronic'art - Vincent Malausa

Kill Bill (vol 2) n'est en rien le film d'une soumission à la toute-puissance du passé. En son arène immobile et silencieuse -gymnase et jardin multicolore dans le premier, living-home ou désert mythique ici-, plutôt la confirmation en forme de chef-d'oeuvre apaisé d'une redéfinition totale de l'espace du cinéma de genre moderne.

Le Monde - Florence Colombani

Sans suspense, sans étude de caractère, avec cet argument si mince, que reste-t-il ? Le meilleur, c'est-à-dire un jeu délectable, complice, entre le cinéaste et le spectateur.

Fluctuat.net - Agathe Moroval

Par rapport au Vol. 1, le Vol. 2 est donc plus bavard et moins musclé (les duels remplacent les grands massacres), plus long, plus narratif et moins novateur. Mais on retrouve avec délectation une marque de fabrique : cette b.o. hallucinante (chapeau à RZA), et ce sens de l'humour qui traverse toutes les séquences.

Ciné Obs - Olivier Bonnard

Les personnages titubent légérement sous le poids de l'armure mythologique que le cinéaste leur fait endosser, mais il s'en faut de peu que celui-ci nous livre le chef d'oeuvre qu'il entendait réaliser.

Aden - La rédaction

(...) Quand le premier volume jouait de la vitesse et de la fulgurance, le second mise sur l'attente, l'étirement et la tension qui grimpe dans un suspense plus silencieux. (...)Tarantino joue sur l'attente, l'observation, l'apprentissage. Qui, à chaque fois, dévoile la vraie nature des héros : avidité, orgueil, jalousie...

M. Cinéma - Hugo de Saint Phalle

Quentin Tarantino frappe encore un grand coup, aussi puissant et précis qu'une bonne raclée de la Mariée. Le cinéaste cinéphile en a gardé sous la pédale et boucle le tout de façon magistrale. Moins survolté que le premier opus, KILL BILL VOLUME 2 reste tout aussi culotté et réussi.

Ciné Live - Marc Toullec

Le changement dans la continuité, soit une suite à la fois portée sur le vague à l'âme de ses protagonistes et les courbettes cinéphiliques. Les tueurs ont désormais du coeur chez Tarantino.

Le Figaro - Dominique Borde

(...) on s'attend à retrouver la fulgurance et le déchaînement esthétique et on a droit à un récit fragmenté entrecoupé de trois séquences brèves et violentes (...) Alors déçu ? Un peu. On se console du bavardage et de la (relative) passivité du volume 2 en repensant au volume 1 que rien ne vous empêche de revoir avant ou après.

Le Point - François-Guillaume Lorrain

Après un KB1 mutique, Tarantino renoue donc avec ses parties de ping-pong verbal. Mais c'est un ping-pong décomposé, joué au ralenti, où le cinéaste pose au maître zen qui contrôle sa violence pour mieux nous donner sa leçon (de cinéma). Pédanterie ? Sans nul doute. Mais Tarantino est assez malin et cinéphile pour pratiquer tous azimuts la parodie et s'assurer ainsi la connivence admirative du spectateur

Cahiers du cinéma - Antoine Thirion

Si la découpe du film ne trahit pas tout à fait les intentions de Tarantino, elle permet de vendre sans vergogne le film deux fois. Est-ce grave? Oui car le film tend à disposer côte à côte, comme célibataires, ses épaisseurs. Pareille opération réduit le film au commerce clos des références, et Tarantino à la petite logique du genre. (...) Mieux on parvient à regarder le volume 2 en ayant le 1 en mémoire, mieux il apparaît combien Tarantino excelle à ce que le cinéma lui offre de plus pauvre: l'art patient de dialogues où l'attention s'éparpille et les centres se dipersent.

Moi c'est sur je veux voir la fin :grin::kiss:

Lien vers le commentaire

Join the conversation

You can post now and register later. If you have an account, sign in now to post with your account.

Invité
Répondre à ce sujet…

×   Collé en tant que texte enrichi.   Coller en tant que texte brut à la place

  Seulement 75 émoticônes maximum sont autorisées.

×   Votre lien a été automatiquement intégré.   Afficher plutôt comme un lien

×   Votre contenu précédent a été rétabli.   Vider l’éditeur

×   Vous ne pouvez pas directement coller des images. Envoyez-les depuis votre ordinateur ou insérez-les depuis une URL.

×
×
  • Créer...

Information importante

Nous avons placé des cookies sur votre appareil pour aider à améliorer ce site. Vous pouvez choisir d’ajuster vos paramètres de cookie, sinon nous supposerons que vous êtes d’accord pour continuer.