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Invité

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  • 2 semaines plus tard...
  • 2 semaines plus tard...

Footballeurs binationaux: le débat en Turquie

Depuis le débat provoqué par les révélations de Médiapart sur la Fédération française de football, la question des joueurs binationaux et du choix de leurs couleurs agite le sport français.

En Turquie aussi, le débat existe. Le site Football turc résume la question. Les Allemands d’origine turque, tels que Mesut Özil, la star du Real Madrid et de la National Mannschaft, commencent à choisir de jouer pour les couleurs l’Allemagne. Özil avait été sifflé par le public du match Allemagne-Turquie, en octobre: les spectateurs, en majorité des Turcs d’Allemagne, soutenaient la Turquie. Il avait été critiqué avant la dernière coupe du monde, par Hamit Altintop, joueur du Bayern Munich, né en Allemagne, mais qui joue pour la patrie de ses aïeux. C’est aussi le cas de Nuri Sahin, qui rejoindra Özil l’an prochain au Real.

Le jeune Ilkay Gündogan (Nuremberg), est à l’aube d’un choix crucial . L’Allemagne, son pays, celui qui l’a formé. Ou la Turquie, le pays de ses parents. Le choix du pays d’adoption est souvent perçu en Turquie comme une trahison.

Des joueurs d’origine turque évoluent dans les équipes nationales suisse, autrichienne et belge… L’attaquant du PSG, Mevlüt Erdinç, aurait pu choisir la France. Mais il joue pour la Turquie. Les recruteurs et les entraîneurs de l’équipe nationale scrutent les championnats européens et les communautés turques d’Europe pour y dénicher les jeunes talents prometteurs. Et profiter de la formation des clubs européens.

http://istanbul.blog.lemonde.fr/2011/05/14/footballeurs-binationaux-le-debat-en-turquie/

Modifié par Invité
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  • 2 semaines plus tard...

Le fair play Financier adopté par l'UEFA ... enfin ...

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Discrètement, presque trop, le football européen a sans doute entamé une révolution à la fin du mois de mai, lorsque lUEFA (Union européenne de football association) a adopté le principe du fair-play financier. Cheval de bataille de Michel Platini depuis son élection à la tête de linstance dirigeante du Vieux Continent, cette évolution économique a reçu laval de tous et entrera en vigueur progressivement pour faire potentiellement ses premières victimes en 2013-2014.

Laboutissement de tout une carrière ou presque pour Michel Platini. Pas celle de footballeur professionnel ou technicien évidemment, mais bien celle de haut dirigeant du ballon rond. Lorsquen 2007, le Français est élu pour la première fois à la tête de lUEFA, le principe du fair-play financier fait déjà partie de son programme, au même titre que la lutte contre la corruption, la réforme de larbitrage ou la priorité rendue aux sélections nationales. Et lorsquil obtient le droit, par le vote une nouvelle fois, de vivre un deuxième mandat en mars 2011, lancien international tricolore persiste et signe.

Et le 27 mai, "Platoche" a obtenu satisfaction lorsque le Comité exécutif de lUEFA a validé le principe du fair-play financier. "Nous avons travaillé sur le concept de fair-play financier en étroite coopération avec les clubs. Notre intention n'est pas de les pénaliser, mais de les protéger. Nous avons un accord avec les clubs. L'idée est que les clubs ne peuvent pas dépenser plus d'argent qu'ils ne peuvent en générer", a rapidement spécifié le successeur de Lennart Johansson dans un communiqué officiel. "Cet accord marque un nouveau départ pour les finances des clubs européens de football. Nous allons rétablir une stabilité et un bon-sens économiques dans le football. Je remercie toutes les parties prenantes qui ont apporté leur soutien à ce projet tout au long de son développement."

L'ECA est de la partie

Car si le projet a mis du temps à voir le jour, il a pourtant toujours été soutenu par les acteurs directement concernés, comme lECA (European clubs association) présidée par le patron du Bayern Munich, Karl-Heinz Rummenigge. "C'est une grande réussite. Au nom de l'Association européenne des club, je tiens à remercier l'UEFA et notamment Michel Platini pour cette initiative qui va, me semble-t-il, dans la bonne direction", a expliqué lAllemand. "Après seulement deux ans d'existence, l'Association européenne des clubs a réussi, aux côtés de l'UEFA, à adopter des mesures qui mèneront les clubs de football en Europe vers un système économique plus responsable et, à terme, plus durable. Au nom des clubs, en acceptant entièrement ce Règlement pour le fair-play financier, nous nous engageons à changer notre manière de fonctionner, ce qui représente un grand pas en avant."

Car le principe du fair-play financier est limpide: empêcher les clubs de recruter à tours de bras malgré des dettes abyssales comme peuvent le faire actuellement les Manchester United ou FC Barcelone, finalistes de la dernière Ligue des champions malgré des dettes respectives évaluées respectivement à 900 et 442 millions deuros. Une situation économique impensable dans le monde de lentreprise, auquel le ballon rond souhaite appartenir mais sans se soustraire à toutes ses règles. Ce ne sera désormais plus le cas.

Et pour les mauvais élèves qui ne voudront pas ou ne sauront pas sadapter à ce nouveau mode de fonctionnement, un panel de sanctions est prévue pouvant aller du simple, mais déjà handicapant, embargo sur les transferts, à lexclusion pure et simple de toute participation à une compétition continentale.

Evidemment, pas question dappliquer du jour au lendemain ces sanctions sinon la Ligue des champions serait pour ainsi dire privée, en 2011-2012, de tous ses plus gros clients habituels, quils soient espagnols, anglais ou italiens. Même les clubs français sont concernés, tout au plus lOlympique Lyonnais cette saison, qui a conclu son dernier bilan financier avec une perte nette de 35 millions deuros.

La moitié des clubs européens déficitaires

Cest une mise en action progressive qui va voir le jour sur trois années, entre 2010 et 2012 inclus, à savoir sur les rapports financiers émis à la fin de lannée 2010 et étudiés par lUEFA en 2013-2014. Lors de la première période de surveillance, les clubs ne pourront pas dépasser les 45 millions deuros de dettes. Pour certaines équipes, le travail à accomplir pour atteindre ce seuil est déjà considérable car selon une enquête réalisée par linstance dirigeante européenne, la moitié des clubs du Vieux Continent sont déficitaires et un sur cinq est dans une situation financière préoccupante.

Comment feront alors les moins bien lotis pour rectifier le tir aussi vite ? Pour Didier Primault, interrogé par lagence Reuters, "avec lentrée en vigueur de cette initiative, il y aura une réduction de linflation sur le marché des transferts". Ce professeur au Centre du droit et de léconomie du sport (CDES) précise même: "On a pu le constater lors des dernières fenêtres de transferts. Le fair-play financier nest pas encore mis en place que les plus grands clubs ont déjà été plus ou moins calmes dans les dépenses pour acquérir des joueurs".

A linverse, Christophe Durand, professeur de management du sport à luniversité de Caen, ne croit pas à la révolution potentiellement provoquée par ces règlements estampillés Michel Platini. "Si un club exclu pose une réclamation en justice ordinaire, que peut-il se passer si on lui donne raison?", sinterroge-t-il. Le vide juridique semble exister de ce point de vue et lUEFA devra sans doute se pencher sur le sujet promptement, son président militant depuis longtemps pour que le football soit une exception culturelle au sein de lUnion européenne. Un moyen comme un autre déviter le désagrément prévu par Christophe Durand

Quoi quil en soit, et avant de pouvoir constater les premiers effets du si attendu fair-play financier, Michel Platini peut se targuer davoir remporté une belle bataille en ralliant, à lunanimité, le Comité exécutif de lUEFA à sa cause, le tout avec le soutien des plus puissants des clubs européens. A nen pas douter, ceux-ci doivent déjà avoir réfléchi à la manière dy trouver leur compte.

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Décidément, les équipes italiennes ne font rien comme tout le monde. Lhistoire de lEbolitana 1925 est démente.

Cette équipe de Serie D (5ème division) vient deffectuer une saison incroyable. Alors quelle venait dêtre promue, elle a mené la danse pendant toute lannée, terminant en tête de son championnat. Elle obtient ainsi, pour la première fois de son histoire, une promotion en Lega Pro 2 (quatrième division).

Pour remercier lentraîneur et les joueurs, le président a décidé de virer tout le monde. Entraîneur, directeur général et joueurs : personne ne sera reconduit lan prochain. Le club a communiqué cette ahurissante décision sur son site officiel, sans donner dexplications, bien entendu. « LEbolitana 1925 souhaite tourner la page, pour écrire un nouveau chapitre de son histoire. Un grand remerciement va au directeur Ciccarone, à lentraîneur Pensabene et à toute léquipe, pour nous avoir offert une saison riche en victoires. A ce remerciement sunit le souhait que tous puissent retrouver autant de satisfactions ailleurs. Dans quelques jours sera présentée la nouvelle structure sociétaire ainsi que le nouvel organigramme » peut-on y lire.

Superbe, du grand nimporte quoi.

:bangin:

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Un nouveau scandale dans le sport africain fait son chemin. Après l'épisode de la Sud-Africaine Caster Semenya, c'est au tour de deux footballeuses membres de la sélection de Guinée Equatoriale, les soeurs Salimata et Bilguisa Simpore, d'être suspectées d'être des hommes, révèle Marca sur son site internet. Ces accusations sont venues de la capitaine du Ghana, Florence Okoe, après une défaite de sa sélection face à la Guinée, une défaite dans laquelle les deux soeurs ont joué un rôle important. «Après avoir eu des contacts physiques, on sait que ce sont des hommes», a affirmé Diana Ankomah, une joueuse ghanéenne. Les deux joueuses ont d'ores et déjà été écartées de leur sélection et ne devraient a priori pas pouvoir participer au Mondial féminin qui débute dimanche.
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  • 3 semaines plus tard...
Un jeune Alsacien de 32 ans, Thomas Fritz, serait "le nouveau propriétaire de la holding de contrôle du RC Strasbourg pour un euro symbolique", a affirmé mardi à lAFP le président sortant du RCS, Jafar Hilali. "Une ultime provocation", selon L'Alsace.

Strasbourg est en CFA

Nouveau rebondissement à Strasbourg. Le supporter Thomas Fritz, ingénieur en informatique, se retrouverait donc à la tête du club alsacien, dont la rétrogradation en CFA a été confirmée en appel vendredi par la Direction nationale de contrôle de gestion (DNCG). Strasbourg accuse un déficit de 4 millions deuros sur lexercice 2010-2011 comblé par labandon des comptes courants des actionnaires, et un passif de 20 millions d'euros. Lundi, Sébastien Graeff, porteur dun projet de reprise, avait jeté léponge, trois jours après lénoncé du verdict de la DNCG. "La décision de la DNCG a été intransigeante. (...) Nous avons fait beaucoup, cela naura malheureusement pas suffi", avait-il écrit dans un communiqué.

"Une ultime provocation"

Thomas Fritz se voudrait le porteur d'un projet sur le modèle espagnol des socios, avec une participation des supporters, et voudrait fédérer les candidats déclarés à la reprise ces dernières semaines. "Je souhaite mettre en place une structure coopérative dintérêt collectif avec un objectif non lucratif", a-t-il déclaré au quotidien Dernières Nouvelles dAlsace. La transaction entre MM. Hilali et Fritz serait assortie de deux bonus de 1,5 M EUR en cas de montée en L2 puis L1.

Dans un e-mail adressé à lAFP, Jafar Hilali -jeune financier établi à Londres se qualifiant lui-même de "Mozart de la finance"- affirme avoir négocié un bonus de 10 M EUR en cas de qualification en Ligue des champions et le double en cas de victoire dans la compétition européenne. Le directoire du RCS doit se réunir mercredi pour décider dun possible recours devant le CNOSF, à la suite de la décision de la DNCG. L'autre grand quotidien alsacien, L'Alsace, estimait pour sa part mardi que "le football professionnel strasbourgeois, vieux de 78 ans, est mort". Selon lui, ce dernier rebondissement, avec la vente du club pour un euro symbolique au supporter Thomas Fritz, "ressemble fort à une ultime provocation de l'impayable Jafar Hilali".

AFP

http://fr.sports.yahoo.com/12072011/70/strasbourg-vendu-1-euro-a-un-supporter.html

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  • 2 semaines plus tard...
Foot - ARG

River presque assuré de la montée !

Relégué en D2 argentine, River Plate est quasiment assuré de ne pas passer plus d'un an au purgatoire. En effet, la fédération argentine a voté lundi soir la restructuration des championnats professionnels et a décidé qu'un seul tournoi se disputerait désormais à partir d'août 2012. Ce championnat fédéral mettra aux prises 38 équipes de D1 et D2 réparties en deux zones, comme la NBA par exemple. Les cinq meilleurs de chaque région plus les neuf meilleurs suivants effectueront ensuite un tournoi à 19 pour le titre et les places qualificatives en Libertadores. Les 19 autres feront un championnat de maintien où les quatre derniers descendront. Cette saison, River devra donc terminer dans les 16 premiers de la D2 pour participer à ce prochain championnat de D1 qui va tout faire sauf faciliter la lecture du football en Argentine.

:wacko:

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