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Revue de presse 2016/2017


Doberman

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Il y a 17 heures, swedishwasher a dit :

Les journaleux ressortent cette rumeur à chaque mercato juste parce que Dupraz l'a eu à Evian, et qu'il n'arrive jamais à être titulaire indiscutable ailleurs. Ils nous ont fait le même coup avec N'Sikulu et je ne sais plus qui... Mais je suis sur que Dupraz n'en a rien à foutre.

+1 et y en a toujours qui tomberont dans le panneau. Sont forts ces journaleux.

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il y a 9 minutes, Tortelini a dit :

http://www.lesviolets.com/actu/mercato-le-tfc-n-a-pas-appele-berigaud,38722.html , j'ai envie de dire c'est pas trop grave :ninja: Pas vraiment fan ( si ce n'est pour étoffer l'effectif, et encore...)

 

Quelle surprise.... Et il y en a toujours pour s'affoler à la moindre communication des agents... 

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il y a 13 minutes, SpeedyTFC a dit :

Je suis sur que si la banque avait été Parisienne , il n'y aurait eu aucune sanction !!!

C'est ça la France !! Empêchez par tous les moyens les petites entreprises de progresser puis leur piquer leurs idées qqs années plus tard ! Vous verrez les grosses banques feront comme Morning ds qqs années, 5 à 10 ans !

Utiliser les dépôts comme caution, que la banque soit parisienne ou haut-garonnaise ça ne peut pas passer :rolleyes:

Le problème c'est plutôt au niveau de l'actionnaire principal qui a été sollicité pour apporter les fonds évitant cette situation et qui semble-t-il a fait le mort jusqu'à ce que le Président se sente obligé de violer la réglementation pour que Mastercard accepte d'éditer les cartes bancaires de ses clients.

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il y a 11 minutes, 2nyBFS a dit :

Je n'ai pas de compte DDM, quelqu'un peut-il copier l'article s'il vous plaît ?

"C’est un véritable coup de tonnerre dans le monde de la fintech, ces start-up de la finance qui viennent concurrencer les banques. Morning (ex-Payname), la néobanque toulousaine, vient de se faire sanctionner par l’autorité de régulation bancaire, l’ACRP. Depuis début décembre, toutes ses activités sont suspendues.

Un coup dur alors que la jeune entreprise aux 48 salariés connaît un développement fulgurant, notamment depuis son installation dans un campus flambant neuf de 600m2 à Saint-Elix le Château, à 50km au sud-ouest de Toulouse.
Pour le gendarme bancaire, Morning est coupable d’avoir « prélevé une somme de 500 000 euros sur le compte de cantonnement en septembre 2016 pour la verser sur un compte à terme nanti au profit d’un organisme tiers dans la perspective du lancement envisagé d’une nouvelle activité ». En plus clair, la start-up a prélevé 500 000 € sur le compte où doit être stocké le montant des dépôts de ses clients, pour s’en servir comme caution auprès de Mastercard pour l’édition de ses premières cartes bancaires.
Bras de fer en coulisses
Dans sa volonté de « disrupter » (révolutionner) le marché bancaire, l’enthousiaste fondateur de Morning, Eric Charpentier, a été rattrapé par la réglementation d’un secteur très normé.
En coulisse, c’est un bras de fer qui se joue entre Eric Charpentier et son actionnaire principal, la Maif, qui possède 38 % du capital. Celui-ci regrette une position frileuse de la Maif, lui reprochant de ne pas « jouer son rôle d’actionnaire majoritaire » (lire l’interview ci-dessous), et préférant pousser Morning dans les bras d’un acteur en place du secteur bancaire. Une hérésie pour Eric Charpentier, qui reviendrait à signer l’arrêt de mort de l’esprit innovant de Morning.
Quoi qu’il en soit, la société joue ces jours-ci sa survie, en tout cas sous sa forme actuelle. Une situation qui surprend le serial-entrepreneur Denys Chalumeau (fondateur de seloger.com et promovacances.com), investisseur et actionnaire de la première heure dans Payname, avant même le changement de nom. « Le désengagement de La Maif, alors que la fusée décolle, est une vraie surprise, je ne me l’explique que par des problèmes politiques internes. En tant qu’actionnaire, je trouve qu’on ne peut pas flinguer une entreprise comme ça. Mais j’imagine qu’il y a perte de confiance réciproque. »
Même son de cloche du côté de Stéphanie Savel, PDG de Wiseed, plateforme de financement participatif toulousaine, dont les utilisateurs sont entrés au capital de Morning en 2014 pour 500 000 €. « Il y a un bras de fer engagé entre les deux parties qui me semblent contre-productif. Je m’attendais à cette décision de l’ACPR, même si j’espérais que la Maif se positionne plus rapidement sur le sujet. » En juillet dernier, une nouvelle levée de fonds de plusieurs millions avait été envisagée via Wiseed. « On aurait pu mobiliser nos investisseurs, mais aujourd’hui la confiance est perdue » regrette Stéphanie Savel.
Des échanges confidentiels
Ce midi, le directeur général adjoint de la Maif, Nicolas Siegler, faisait état « d’échanges confidentiels en cours. A ce stade, nous ne souhaitons pas nous exprimer afin de ne pas compromettre ces échanges ».
Des échanges qui impliquent visiblement la Région. Sa présidente Carole Delga confirmant à La Dépêche qu’elle venait d’obtenir l’accord de la Maif pour une réunion à trois avec Morning, ce que l’assureur refusait jusqu’à présent. « C’est un premier déblocage, on se positionne comme médiateur, pour trouver une issue transitoire, et bâtir un nouveau pool d’actionnaires. » Le conseil régional compte bien soutenir Morning jusqu’au bout : « La Région se portera comme caution morale et de sérieux auprès de Maif ». Pour les 48 salariés et 75 000 utilisateurs de Morning, il y a urgence."

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il y a 22 minutes, 2nyBFS a dit :

Je n'ai pas de compte DDM, quelqu'un peut-il copier l'article s'il vous plaît ?

 Il suffit de faire un copier-coller de l'adresse de l'article dans google actualités et cliquer sur le lien. Mais en général les articles sont décevants.

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