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yann09

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Luzenac est en tête de son groupe en CFA ! :ninja:

S'il maintient cette position à la fin de l'année, que peut-il espèrer ? Montée en National ?

C'est fou Luzenac pommé au milieu de la montagne 700 habitants en CFA

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L'argent de l'entreprise Talc de Luzenac.

Ouai mais c'est qu'une entreprise ca rapporte tant le TALC !?

Il ya d'autre ville qui sont bien plus fourni niveau entreprise style Portet s/g ...

Et ils habitent où Foix ? Toulouse !?

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Ouai mais c'est qu'une entreprise ca rapporte tant le TALC !?

Il ya d'autre ville qui sont bien plus fourni niveau entreprise style Portet s/g ...

Et ils habitent où Foix ? Toulouse !?

Je ne suis pas du tout spécialiste de ce club. Mais ce club est le club de l'usine. Aujourd'hui la société Talc de Luzenac semble appartenir la firme multinationale Rio Tinto qui est un leader dans le domaine minier. Nul doute que la société des Talcs de Luzenac reste le sponsor principal (et unique ?) du club.

Il me semble qu'ils ont toujours eu une politique de recrutement de bons joueurs régionaux, d'anciens stagiaires de grands club pro. Ça m'étonnerait que les joueurs soient employés de l'usine (il ne me semble pas que ce fut le cas de Cédric Fauré), à moins qu'ils ne soient à mi-temps dans les bureaux. Je ne suis même pas certain qu'ils aient l'obligation de résider sur place.

La question que je me pose concerne l'interet que la societé des Talcs de Luzenac puisse avoir a financer une équipe de CFA. Je ne vois pas ce que cela peut lui apporter sinon de rester fidèle à ce que fut le club à sa fondation en 1936, comme si la société voulait perpétuer une tradition, maintenir un pan de l'histoire locale. Si c'est le cas, je leur tire mon chapeau vu que peu de clubs liés à des usines ou un secteur d'activité ont réussi à traverser l'histoire. C'est surtout flagrant dans le rugby (Lavelanet, Graulhet, Mazamet pour le textile, Carmaux et la mine...)

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Je ne suis pas du tout spécialiste de ce club. Mais ce club est le club de l'usine. Aujourd'hui la société Talc de Luzenac semble appartenir la firme multinationale Rio Tinto qui est un leader dans le domaine minier. Nul doute que la société des Talcs de Luzenac reste le sponsor principal (et unique ?) du club.

Il me semble qu'ils ont toujours eu une politique de recrutement de bons joueurs régionaux, d'anciens stagiaires de grands club pro. Ça m'étonnerait que les joueurs soient employés de l'usine (il ne me semble pas que ce fut le cas de Cédric Fauré), à moins qu'ils ne soient à mi-temps dans les bureaux. Je ne suis même pas certain qu'ils aient l'obligation de résider sur place.

La question que je me pose concerne l'interet que la societé des Talcs de Luzenac puisse avoir a financer une équipe de CFA. Je ne vois pas ce que cela peut lui apporter sinon de rester fidèle à ce que fut le club à sa fondation en 1936, comme si la société voulait perpétuer une tradition, maintenir un pan de l'histoire locale. Si c'est le cas, je leur tire mon chapeau vu que peu de clubs liés à des usines ou un secteur d'activité ont réussi à traverser l'histoire. C'est surtout flagrant dans le rugby (Lavelanet, Graulhet, Mazamet pour le textile, Carmaux et la mine...)

Ca fait bien longtemps que le talc de Luzenac ne donne plus d'argent au club de foot!!!

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Budget de 450 000 dont 60% provient de la commune (qui a son argent grâce à la taxe professionnel de l'entreprise de TALC -_- ) et un peu du conseil régional

donc c'est bien la société des Talcs qui fait fonctionner le club, pour partie.

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CFA. Et si Luzenac montait en National?

S'il bat Pau, le leader, demain à domicile, le club ariégeois prendrait la tête du groupe C !

Une saison hors normes pour (de gauche à droite), Akaza, Karaboualy (de dos) et M'Bongo. Photo DDM, Michel VialaOn ne les arrête plus! Les Luzenaciens sont en train de créer une énorme surprise en CFA. Personne, pas même eux, ne s'attendait à les voir venir chatouiller les grosses cylindrées du groupe C. Samedi soir, chez lui, Moulins (alors leader) a craqué. Ballotté par une formation ariégeoise devenue en quelques mois l'épouvantail du championnat. Les chiffres sont là. Implacables. Troisièmes (avec un match en moins) à quatre points du leader, meilleure défense (la 3e de tout le CFA!), invaincus depuis le 6 septembre 2008 tous les clignotants sont au vert. Samedi soir, si les gars de la haute Ariège battent Pau sur leur stade fétiche de Paul-Fédou, ils s'installeraient virtuellement en tête du CFA. Pourtant, Christophe Pélissier, l'entraîneur de l'équipe depuis deux saisons, ne s'emballe pas. «Après le match de Pau, il restera treize matches à disputer. Et gagner à Balma sera sans doute plus dur que de le faire à Moulins. Et on ne sait pas comment on va réussir à gérer le calendrier avec les deux matches en retard qu'on aura à jouer un mercredi.» À Luzenac, on prend match après match. Même si l'ambition affleure les esprits. «Nous, on n'a peur de personne, poursuit Christophe Pélissier. Je crois qu'on peut être des prétendants très crédibles à la première place. On n'est pas là par hasard. Les autres équipes vont devoir être très fortes pour venir nous déloger.»

LE CUR ET LA RAISON

Et, inévitablement, la question de la montée en National se pose. «Moi je suis là pour gérer le terrain. Après, ce sera au club de prendre les décisions.» Au pied des Pyrénées, on avoue qu'on n'y a pas du tout pensé. Qu'aucune réunion n'est programmée. Mais, face à la qualité de l'équipe cette année, l'idée fait son chemin. «Le National? Non, il ne faut pas vraiment y croire. Comment voulez-vous aborder une telle compétition avec les moyens que nous avons.» Christian Loubet, maire de Luzenac et président de la communauté de communes des vallées d'Ax, est lucide. Luzenac est en effet le plus petit village de France (700 habitants) à avoir un club de ce niveau. Et le budget (environ 700000 ) est en grande partie alimenté par la commune qui reverse une partie de la taxe professionnelle payée par les Talcs de Luzenac. «L'aide de la commune est au plafond, poursuit Christian Loubet. C'est elle le principal sponsor et je ne peux pas délibérément l'engager. Pour jouer en National, il nous faudrait au moins 500000 supplémentaires.» En plus, avec l'éventuelle disparition de la TP, l'avenir reste incertain. «Si on en est là aujourd'hui, c'est qu'on a de très bons joueurs mais les très bons joueurs se payent.» Alors, impensable le National? «Si on trouve un sponsor miraculeux, on n'hésitera pas.» Un club départemental? L'éventualité a été refusée pour le CFA. Pour le National, elle reviendrait sans doute sur le tapis. Pour l'heure, Luzenac doit continuer à gagner des matches. Il sera alors temps de se creuser les méninges. «C'est vrai que s'ils terminaient premiers, j'aimerais ne pas décevoir les joueurs.» Luzenac balance entre le cur et la raison.

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