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  2. Rechutes, délais incompréhensibles : pourquoi le staff médical du PSG se retrouve sous pression Le PSG a changé de médecin à l'intersaison pour incompatibilité avec Luis Campos. Depuis, la gestion des blessés interpelle et a créé une certaine défiance vis-à-vis du nouveau docteur. Patrick Flamant (au milieu) est le médecin du PSG depuis l'été dernier. (F. Faugère/L'Équipe) Rechutes, délais incompréhensibles : pourquoi le staff médical du PSG se retrouve sous pression Le PSG a changé de médecin à l'intersaison pour incompatibilité avec Luis Campos. Depuis, la gestion des blessés interpelle et a créé une certaine défiance vis-à-vis du nouveau docteur. Pour son secteur médical, le Paris-Saint-Germain ne compte pas et peut dépenser plusieurs dizaines de millions d'euros. Comme cette saison, où il a pris possession de son nouveau centre d'entraînement ultramoderne à Poissy (Yvelines), le Campus PSG, doté d'un matériel dernier cri autant pour la préparation physique que le suivi des blessés. Le champion de France a aussi changé de médecin chef à l'intersaison. Christophe Baudot, en raison de profonds différends avec Luis Campos, le conseiller football, a décidé de quitter le club et a été remplacé par Patrick Flamant, qui était en poste au Toulouse FC. « Il fallait trouver un docteur Campos compatible », souffle-t-on au club. Flamant l'est : il a travaillé avec le Portugais à Monaco puis à Lille. Mais si cette nomination a pu régler certains problèmes diplomatiques, elle en a soulevé d'un autre ordre, plus handicapant pour l'effectif. Depuis le début de saison, la gestion des blessés et la temporalité de leur retour à l'entraînement intriguent, quand elles n'inquiètent pas. Des approximations ont créé des incompréhensions et perturbé le travail de l'équipe des kinés, pourtant renforcée à l'intersaison par les arrivées de Thierry Laurent, un ancien de Chelsea, et celle à mi-temps de Jean-Baptiste Duault, qui suivait personnellement auparavant Ousmane Dembélé. Les joueurs consultent à l'extérieur Plusieurs exemples viennent étayer ces difficultés. Le dernier en date est celui de Marquinhos, qui s'est blessé à un tendon d'Achille à Nantes (2-0) le 17 février. Son club avait dans un premier temps évoqué un problème à un mollet puis annoncé que le capitaine reprendrait l'entraînement trois jours avant le 8e de finale retour de Ligue des champions (2-1) face à la Real Sociedad, le 5 mars. Depuis, le Brésilien n'a toujours pas rejoué, et sa présence dimanche pour le Classique reste incertaine, même s'il a participé aux deux derniers entraînements (voir ci-contre). A-t-on mis la pression sur le staff médical pour que Marquinhos soit rétabli pour la C1 ? Cette hypothèse circule en interne. Skriniar et Marquinhos, trop justes pour le Classique ? Les Parisiens se sont entraînés jeudi matin toujours sans les internationaux, qui sont attendus ce vendredi, à deux jours du déplacement à Marseille. Comme la veille, Marco Asensio et Marquinhos ont participé à l'entraînement après être revenus de blessure. Le Brésilien, touché à un tendon d'Achille à Nantes (2-0) le 17 février, revient progressivement. Mais sa participation au Classique demeure incertaine, alors que des échéances décisives se profilent en fin de saison. Milan Skriniar, opéré début janvier d'une luxation des péroniers latéraux de la cheville gauche, est également sur la bonne voie et prend part aux séances collectives. Son retour à la compétition est proche, même si un principe de précaution prévaut pour le Slovaque. Si sa réhabilitation continue de bien évoluer, le capitaine de la Slovaquie (29 ans, 66 sélections) pourrait retrouver la compétition assez rapidement. Autre cas : début septembre, Marco Asensio a été victime d'un coup en sélection. Le PSG avait communiqué sur une période de soins de deux semaines, minimum. Le joueur a finalement fait son retour dans le groupe plus de deux mois après, lors de la réception de Monaco (5-2), le 24 novembre. Même problème de délai avec Warren Zaïre-Emery, à la suite de son entorse de la cheville contractée contre Gibraltar (14-0), en équipe de France, le 18 novembre. Cinq jours plus tard, la communication parisienne affirmait que son jeune milieu de terrain ne rejouerait pas en 2023. Pourtant, près de deux semaines plus tard, le 9 décembre, il disputait quelques minutes lors de la victoire face à Nantes (2-1), avant de participer intégralement au match de Ligue des champions, à Dortmund (1-1), où il a inscrit le but de la qualification pour les 8es de finale. Il a fallu l'intervention d'Hakim Chalabi, le directeur médical du club, pas présent au quotidien à Poissy, pour revoir le diagnostic et le délai de reprise de Zaïre-Emery. Le docteur Christophe Baudot (au centre) a quitté le club l'été dernier. (P. Lahalle/L'Équipe) C'est encore Chalabi qui est intervenu dans le cas de Presnel Kimpembe, quand ce dernier a dû être réopéré de son tendon d'Achille droit « pour une correction chirurgicale », selon le communiqué du PSG. Victime d'une rupture face à Marseille (3-0), le 26 février 2023, le champion du monde français pensait être en mesure de revenir à la compétition en fin d'année dernière. Finalement, en raison de douleurs persistantes, il a dû repasser sur le billard. « Le staff l'a fait reprendre trop fort », regrette un proche du joueur. « C'est une blessure longue à soigner, il faut laisser du temps pour bien cicatriser et surtout ne pas précipiter la reprise », confie un médecin du sport. Le club se défend en citant le site Transfermarkt Dans le cas de Kimpembe, toutes les précautions ont-elles été prises lors de son programme de réhabilitation ? Le cas Nuno Mendes ressemble d'ailleurs à celui du Français. Victime d'une blessure sérieuse à la cuisse droite en avril 2023 à Lorient, le Portugais avait évité l'opération dans un premier temps. Mais il s'est de nouveau blessé lors de l'intersaison en travaillant, là encore, trop fort avec un préparateur physique du Sporting Portugal, son ex-club, qui lui avait été recommandé. Sa blessure n'évoluant pas favorablement après cette rechute, il a été opéré en Finlande, fin septembre, et n'a retrouvé la compétition que face à Rennes (1-1), le 25 février, soit près de dix mois après le diagnostic initial. Près de dix mois après sa blessure à la cuisse droite, le Parisien Nuno Mendes (en bleu, ici au duel avec Ludovic Blas) a fait son retour sur les terrains face à Rennes (1-1), le 25 février. (P. Lahalle/L'Équipe) Dernier blessé en date, Bradley Barcola, victime d'une lésion à une cuisse en équipe de France Espoirs la semaine passée. Quelle durée d'indisponibilité le staff médical du PSG va-t-il donner ? « Le docteur Flamant est un bon mec mais il est perdu, raconte un familier du PSG. Il n'a jamais exercé dans un club où il y a une telle pression, de tels enjeux. Et encore, Neymar et Messi sont partis. » Ces errements, en plus d'avoir créé des difficultés en interne au sein du staff médical, ont pour conséquence que les joueurs parisiens n'hésitent pas à consulter à l'extérieur, notamment des médecins ou des kinés, pour prendre un avis supplémentaire sur certaines pathologies. Si cette pratique n'est pas totalement nouvelle, elle s'est accentuée depuis le début de saison. Face à ce constat, que va décider la direction du club pour la saison prochaine ? Le docteur Flamant résisterait-il en cas de départ de Luis Campos ? Aujourd'hui, la question se pose. Sollicité, le PSG nous a fait savoir qu'il était l'un des clubs européens ayant eu le moins de blessés à déplorer cette saison selon le site Transfermarkt.
  3. https://www.lequipe.fr/Football/Article/Rechutes-delais-incomprehensibles-pourquoi-le-staff-medical-du-psg-se-retrouve-sous-pression/1457418 Quelqu'un a l'article sur notre ancien doc s'il vous plaît ?
  4. Hier
  5. Une tour d'Ivoire, un chétage, 6 enfants, un cachalot... Mon cher Luther, pour être appréciée il faut que l'histoire soit crédible !
  6. Très bonne idée ce topic ! Comme ça s'il se passe quelque chose, je saurais !
  7. Je sais pas si vous avez vu, mais quand on tape Crampagna sur Google, ce topic arrive en tête des résultats.
  8. Le non rachat n'est pas sur le point de ne pas être officialisé.
  9. Personne ne le voit parce qu'ils savent pas mettre des images sur le forum surtout.
  10. Y'a quand même un taux de suicide plus élevé que la moyenne, mais comme ils s'enterrent vivants, on en entend pas parler et personne ne le voit.
  11. Plus dans la forme que sur le fond....petite citation pour te détendre après ce cours magistral de géographie 😉 'On peut toucher le fond sans pour autant être dépressif' 'Rocco Siffredi' Faut bien créer la surprise à Clermont
  12. Babicka et Dallinga dans le but, c'est très exagéré
  13. Le non rachat est-il officiel dans les heures qui arrivent ?
  14. Une carte de France avec Strasbourg à gauche et Brest à droite. Quand je vous dis que c'est vraiment débile ces compos à l'envers.
  15. Si je dis pas de betises, Chevalier était titulaire avec les Espoirs contre la Cote d'Ivoire. Ou alors le fait que ca soit un match amical les regles sur l'age sont libres ? En effet c'est ca : Thierry Henry (France U23) : "Il y aura compétition entre Lucas Chevalier (LOSC) et Guillaume Restes" | Le petit Lillois
  16. Excellent ! (Perso j'aurai quoté le message de Dide31) Et alors depuis le tel n'y pensez même pas 👀
  17. Il n'a pas perdu son statut : les règles au niveau de l'âge ne sont pas les mêmes en Espoir que pour les JO. Espoir c'est 21 ans max et les JO c'est 23. C'est pour ça que Chevalier est titulaire en vue des JO dans l'équipe de France U23.
  18. C’est normal il fallait lire « peu pertinente ». Il faudrait que l’AI arrive à mixer l’image du vieux sage chinois avec celle du vieux à qui on ferme la porte au nez
  19. Ta compo a y regarder de plus près, c'est une carte de France Pele mele : J'espere que Lille sortira de beaux arrets, il doit etre revachard apres l'interview de Chevalier et la perte de son statut en EDF espoir. Quand à Strasbourg, esperons qu'il retrouvera enfin son vrai niveau, perso je verrai plus Orleans à sa place pour ce match capital quitte à titulariser Le Havre dans l'axe (celui entre parentheses). Pour finir, le retour de Brest devrait nous faire du bien sur le coté droit.
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