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  1. Foot - L1 - TFC - Carrasso : «Un mois charnière» Après dix jours passés en Bleu, Cédric Carrasso s'apprête à vivre une fin de saison passionnante avec le TFC. «Elle ne le sera que si on arrive à passer correctement le mois d'avril», nuance le numéro trois dans la hiérarchie des gardiens de l'équipe de France. Toujours en lice en Coupe de France où une demi-finale l'attend contre Guigamp, le TFC est également à la lutte pour le titre, à seulement quatre points de l'Olympique Lyonnais. L'ancien Marseillais ne se dit «pas surpris». Il vante les qualités d'un groupe «jeune et mature», avant d'adresser quelques pensées au Rennais Jimmy Briand, gravement blessé dans un contact avec lui lors du rassemblement à Clairefontaine. «C'est une histoire qui m'a réveillé plus d'une nuit». Entretien. «Cédric Carrasso, Toulouse ne compte que quatre points de retard sur Lyon à neuf journées de la fin. Vous prenez-vous à rêver ? Non, pas à rêver. On attend d'abord de voir ce qui va se passer en avril. C'est un mois charnière qui va conditionner notre fin de Championnat. Pour beaucoup, le calendrier qui arrive nous est plutôt favorable, mais je ne suis pas d'accord avec ce terme. On va jouer contre des mal classés qui luttent pour leur survie. Ça ne sera pas évident. Il va falloir confirmer. Depuis le début de la saison, personne à Toulouse n'a jamais annoncé un objectif clair et défini. Ça sera comme ça jusqu'au bout ? A chacun son truc. Nous, on n'a jamais aimé trop se projeter. On prend match par match, tout en ayant conscience qu'on peut vivre une fin de saison extraordinaire. Ce qui est important d'ici là, c'est de ne pas commettre les mêmes erreurs qu'on a pu commettre par le passé. Quand je dis ça, je parle des points perdus en route comme à Monaco (2-3), par exemple. Si on veut jouer quelque chose jusqu'au bout, il faudra en lâcher un minimum. Si en début de saison, on vous avait dit que Toulouse disputerait une demi-finale de Coupe de France contre Guingamp et serait toujours à la lutte pour le titre au mois d'avril, auriez-vous rigolé ? Déjà, quand on voit les commentaires qui nous accompagnaient en début de saison, ça nous fait rire. Personne ne nous attendait là, mais si on y est, c'est qu'on ne l'a pas volé. En tout cas, nous, on savait qu'on en était capable. A l'intersaison, le groupe était jeune et en totale reconstruction. On s'attendait à des débuts difficiles, mais on savait que derrière, une fois qu'on serait lancé, on trouverait cette régularité. C'est elle qui fait qu'aujourd'hui, on est toujours dans le coup. A un moment donné, il faut arrêter d'être surpris. Le seul mot d'ordre, c'est de continuer ainsi, de garder le même état d'esprit. «UN GROUPE JEUNE ET MATURE À LA FOIS» Les débuts ont effectivement été difficiles avec une large défaite contre Lyon (0-3) lors de la 1re journée... Oui, mais c'est une claque qui nous a fait du bien. On sortait d'une bonne préparation où on avait livré des matches amicaux solides. Avec cette correction, on s'est rendu compte qu'on n'était peut-être pas si prêt que ça mentalement. Ça nous a servi pour la suite. C'est ce que je trouve extraordinaire avec ce groupe. Il est toujours à l'écoute de l'entraîneur, de ce qui se passe. Tous les jours, on se régale à travailler ensemble. Quoi qu'il arrive, on restera à notre image, on ne changera pas. On sent beaucoup de sérénité et de maturité. Pourtant, vous disiez précédemment que ce groupe était «jeune». N'est-ce pas un peu paradoxal ? C'est ça qui est bizarre, mais en même temps, ça s'explique. A Toulouse, chaque joueur a connu sa propre histoire. L'an dernier, les jeunes ont vu ce que c'était de galérer. Ceux qui sont arrivés cette saison ont également connu des difficultés dans leur club et ils sont revanchards. Tout ça est régulé avec brio par le staff. Toulouse, c'est avant tout un état d'esprit. On a également un style de jeu. On sait comment être bon. Comme face à Bordeaux (3-0) et Paris (4-1), par exemple... Gagner de cette manière, ça prouve qu'on a du potentiel, mais on n'a pas non plus le temps de s'asseoir et de savourer. On doit tout de suite se replonger dans le prochain match. Le plus important, c'est d'être capable de reproduire ce type de prestation. «JIMMY, ÇA M'A RÉVEILLÉ PLUS D'UNE NUIT» Avec André-Pierre Gignac, vous revenez de dix jours de rassemblement avec l'équipe de France. Cela peut-il rejaillir sur la dynamique du TFC ? Moi je pense que oui. L'équipe de France, c'est dynamisant pour ceux qui y sont et pour ceux qui n'y sont pas. S'il y a des internationaux A, Espoirs et étrangers à Toulouse, ça prouve qu'on est observé. Tout le monde se dit que ce sera peut-être lui la prochaine fois. D'ailleurs, quand je suis parti avec «Dédé», tout le monde était vraiment content pour nous. André-Pierre Gignac a crevé l'écran contre la Lituanie. Oui, mais ce qu'on a vu au Stade de France, c'est lui. Il a été naturel. Il a fait beaucoup d'efforts, il s'est montré très présent devant le but. Moi, ça ne m'a pas étonné. Et vous, ce poste de troisième gardien, comment le vivez-vous ? Très bien. Je suis dans un groupe qui prépare une Coupe du monde. Que tu sois 1er, 2e ou 3e gardien, c'est la même chose pour tout le monde. En tout cas, moi, je le vois comme ça. Je me prépare toujours comme si j'allais jouer. Quand tu as les vingt-trois meilleurs joueurs français rassemblés autour de toi, de toute façon, tu n'as pas le choix. Chaque entraînement est comme un match... J'ai vraiment passé dix jours où je me suis régalé. Et puis, quand Steve (Mandanda) est performant comme ça a été le cas, on le prend aussi pour nous. Un mot sur Jimmy Briand qui s'est malencontreusement blessé sur un contact avec vous. Oui, ça m'a beaucoup affecté. Je l'ai encore eu tout à l'heure au téléphone. Je l'appelle régulièrement pour savoir comment il va. Honnêtement, c'est une histoire qui m'a réveillé plus d'une nuit à Clairefontaine. Blesser un copain, c'est vraiment difficile, surtout quand c'est aussi grave. Je le sais car je suis aussi passé par là... Quand tu te blesses et que tu entames ta rééducation, tu traverses quelques moments de doute. Je veux être là pour l'aider. Je regrette ce qui s'est passé, mais ce qui est fait est fait. C'est ce qu'il m'a fait comprendre. Moi, je ne serai soulagé que lorsque je l'aurai vu avec le sourire, sur un terrain de L1 en train de marquer des buts...»
  2. D'après RMC c'est la même équipe qu'a l'aller. Seul Alou Diarra remplace Toulalan suspendu.
  3. En gros si on joue l'uefa et que l'esprit actuel du groupe perdure il reste. Voilà mon point de vue.
  4. C'est quand même une très bonne nouvelle. Puis je fais confiance au staff des bleus pour ne prendre aucun risque.
  5. Bein c'est clair, c'est une défaite voilà, c'est pas la fin du monde. Ceux qui angoissent me font bien rire. Je les comprend un peu car par le passé le tèf nous en a fait des belles mais cette saison je suis confiant. On va arriver à se sortir les doigts pour aller chercher l'Europe. Avec peut être un bonus en Coupe de France (rien que d'aller au SDF pour le tèf ça me ferait trop tripler).
  6. site officiel : Encore un cousin
  7. je crois qu'il a envie d'aller jouer à l'étranger pour découvrir autre chose mais il va revenir à la raison et à mon avis soit : - il reste au tèf - il va à bordeaux
  8. un lien (qui marche) pour voir le match ?
  9. Moi je regrouperait les groupes de supp dans deux endroits différents dans un seul et même virage.
  10. Je le vois bien aller à Bordeaux aussi.
  11. Cet arbitrage moderne fait trop plaisir. Renouvelez-moi cet arbitres dépassés qui tuent notre championnat !
  12. bid

    Étienne Didot

    Les croisés ne sont pas touchés, ça doit être le ligament interne ou externe.
  13. bid

    Étienne Didot

    Ce qui est encourageant c'est qu'a chaque fois qu'il était absent, on a fait des bonnes perf ...
  14. et un treizième but du droit pour dédé
  15. http://www.toulouse.fm/actualite-sports-to...t_international
  16. Je ne suis pas mécontent de son départ (facile de dire ça maintenant), je trouve que sans lui et Mansaré on a un jeu beaucoup plus posé et serein.
  17. Sa décontraction m'a bien rassurée (ainsi que les autres joueurs je pense) lors la séance des péno (Ebondo était le premier à tirer).
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