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Occitanie


CrAzYOnK

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moi je suis habitant du comté tolosan, en haute garonne, midi-pyrénées, occitanie, france,monde et univers. Mon sang coule violet, je mange de l'ail violet, du basilic violet, je bois de la liqueur de violettes, je mange des betteraves rouges qui en fait sont violettes, des bonbons au cassis, de la confiture de mures j'achète des violettes, j'ai de l'eau de cologne de violettes, j'ai un max de violet dans mes fringues, j'ai deux tatouages violets(dont un avec la croix occitane), je suis né dans le béarn, j'ai grandi dans le comminges, et dans la vallée d'esténos, j'ai étudié en bigorre, j'ai fait le tour du monde, j'ai habité dans le vauréen, dans le pays albigeois, et maintenant dans le comté tolosan.

Finalement je me sens plus violet qu'autre chose, violet de l'Ouest, là où les dragons s'endorment en pensant que les martiens parlent occitan et chantent du nadau...

Sinon rien de grave je vais aller prendre mon cachet violet <_<

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  • 1 an plus tard...

Hartèra !, mouvement de la jeunesse dOccitanie, a effectué ce jeudi 19 octobre sa première action symbolique à luniversité de Pau.

La quinzaine de militants présents voulait attirer lattention sur la situation critique de lenseignement de loccitan, en particulier à la faculté de Pau où la licence doccitan vient dêtre supprimée dans lindifférence générale.

Derrière une banderole où lon pouvait lire « Voilà comment lEtat français nous met : tot nud e shens identitat », cest masqués de blanc pour symboliser le déni des institutions vis-à-vis de la langue occitane que les étudiants occitanistes ont distribué des tracts informatifs devant le restaurant universitaire.

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Hartèra ! nentend pas en rester là. Si la licence doccitan restera bel et bien condamnée par luniversité cette année, dautres actions suivront toujours dans le même but : dénoncer les méfaits dune politique uniformisatrice et méprisante que subissent les langues minoritaires en France, sensibiliser la population sur la notion didentité à lintérieur de lEtat français et obtenir de véritable avancées pour la présence de loccitan dans la vie publique et dans lenseignement.

Tract d'Hartèra !

L'université refuse la diversité

Il y a quelques années de cela, on commençait à penser que les langues de France, autres que le français, allaient recevoir une certaine reconnaissance et un soutien de l'Etat:

Des licences pour l'étude de ces langues sont ouvertes, ainsi que des CAPES.

Une Charte européenne des langues minoritaires et régionales est signée

La Délégation à la langue française change de nom et devient Délégation à la langue française et aux langues de France.

Grâce à tout cela, on pouvait considérer que la France n'allait plus nuire à ses langues historiques.

Cependant, on assiste depuis à une certaine contradiction de la part de l'Etat français :

La fameuse Charte n'est pas ratifiée, donc caduque.

Le nouvel article 2 de la Constitution française est rédigé :

« Article 2 : La langue de la République est le français.

L'emblème national est le drapeau tricolore, bleu, blanc, rouge... »

Il y a une remise en question constante de l'enseignement bilingue qui disparaît peu à peu comme option en collège et lycée.

L'Etat français, toujours dans ses contradictions, se bat pour donner une place de choix à la francophonie dans le monde (face à l'anglais surtout), et pour la reconnaissance des peuples minoritaires (musée du quai Branly..), mais n'a aucune considération pour les cultures et les langues présentes sur son sol, celles qui font toute sa richesse.

Au fil des années il y a un effondrement du nombre de postes aux CAPES des langues régionales. Pour ce qui est de l'occitan, on comptait 22 postes dans tout l'Etat français en 2001, aujourd'hui il n'y en a plus que 4 !

Cette année, cette répression s'applique à la filière d'occitan de Pau.

Suite à la mise en place des dernières réformes universitaires obligeant à un minimum de 10 inscriptions par filière, quelques étudiants ont dû renoncer à leurs choix d'études. En effet, en ce début d'année universitaire, la licence d'occitan a été supprimée à lUPPA par manque d'effectif, bien aidé par le discours dissuasif de ladministration. Des étudiants ont dû alors s'inscrire dans d'autres filières et abandonner leur désir d'étudier leur langue et leur culture.

La suppression de cette licence est une preuve supplémentaire que l'enseignement de l'occitan est aujourdhui en danger.

Tout cela nous montre bien qu'il n'y a ni reconnaissance, ni respect, ni la moindre volonté d'apporter un soutien à l'occitan, au basque, au breton, et à toutes ces autres langues.

Nous devons empêcher que l'Etat s'entête à vouloir maintenir une France indivisible et uniformisée. C'est une question de diversité culturelle et mieux, de dignité humaine : faire disparaître la langue et la culture de l'autre c'est s'appauvrir soi-même.

Jusqu'à quand allons-nous laisser l'Etat français détruire ce qui forme notre propre identité ?

Mobilisons-nous pour le respect à la diversité culturelle !

Pour le retour de la licence doccitan à Pau et pour une véritable politique

ambitieuse pour les langues minoritaires à luniversité !

hartera@hotmail.fr Hartèra ! lo Movement de la Joenessa d'Occitània

Le forum : http://hartera.free.fr/forum/index.php

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  • 2 semaines plus tard...
  • 2 mois plus tard...

Nouveau site : www.hartera.org

Presentation d'hartera selon leur forum :

" Hartèra ! Ques aquo ?

Hartèra ! ques presenta com lo movement de la joenessa revolucionària dOccitània, non pas sonque un movement de joenessa per amor de latge deus sons militants mes tanben per amor que sen vòu préner taus problemas especifics de la joenessa dens la societat capitalista. (lo navèth contracte CPE, lo chaumar, las refòrmas liberaus de lensenhament..)

Hartèra ! se présente comme le mouvement de la jeunesse révolutionnaire dOccitanie, un mouvement dejeunesse non seulement à cause de lâge de ses militants, mais aussi parce quil entend sattaquer aux problèmes spécifiques de la jeunesse dans la société capitaliste.(nouveau contrat première embauche (CPE) qui accentue la précarité, chômage, réformes libérales de lenseignement..)

*

Perqué revolucionaris ?

Que vivem dens lo sistèma capitalista quei de hèit injust. Lo son prètzhèit quei que lo qui aja lo mèi dargent e quis detien donc los mejans de produccion qua mei de drets que non pas lo qui na pas arren e quis deu véner la fòrça de tribalh. En mei, aqueste sistèma despleitacion deus òmis e de la natura ne pòt pas estar vitau suu long tèrmi, per amor quei basat sus un usatge unic de las ressorças, shens chepic de las consequiéncias.

Aqueste sistèma inic non pòt pas estar reformat o esmandat. Nexisteish pas de capitalisme de cara umana. Quei per aquo que siam revolucionaris.

Nous vivons dans le système capitaliste,injuste à la base. Il part du principe que celui qui a plus dargent et qui possède donc les moyens de production a plus de droits que celui qui nen a pas et qui doit vendre sa force de travail. De plus, lexploitation des humains et de la nature quil opère nest pas viable à long terme, car basé sur un usage unique des ressources, sans soucis des conséquences. Ce système inique ne peut être réformé ou amendé : il ny a pas de capitalisme à visage humain. Cest pour cela que nous sommes révolutionnaires.

*

Perqué occitanistas ?

Loccitan quei ua lenga enqüèra viteca. 3 milions de locutors, quei ua de las lengas minorisadas la mei parlada. Mes los occitans que demoran mespresats per la politica dimperialisme culturau de lestat françès. Lenga qualificada de « patois », arrefus de tota presénci dens la vida publica, que patim shens cès ni pausa atacas tà har morir la lenga e la cultura nostas. Que las volem contunhar de har víver per amor que son la riquessa nosta. Quarrefusam luniformizacion culturau quins vòu har consomadors deus bons. Que lutam entà la lenga nosta, entà contunhar de víver com ac volem. Que demandam lo dret a la dignitat, lo dret a la diferéncia. Quarrefusam tanben lidea dua cultura unica e impausada.

Hartèra ! ques vòu obert a tots e totas los joens que viven en Occitània. Que rejetam tot chovinisme que voleré har de loccitan ua cultura embarada sus èra medisha e etnocentrista. Quassolidam haut e clar la nosta solidaritat dab tots los pòbles en luta.

Entà contactàns, discutir, bever un còp o juntàns...

Loccitan est une langue encore bien vivante. Avec 3 millions de locuteurs, cest une des langues minorisées la plus parlée. Mais les occitanophones restent méprisés par la politique dimpérialisme culturel de lEtat français. Langue qualifiée de « patois », refus de toute présence dans la vie publique, nous subissons sans cesse des attaques visant à faire mourir notre langue et notre culture. Nous voulons continuer à les faire vivre, car elles sont une richesse commune. Nous refusons luniformisation culturelle qui tend à faire de nous de bons consommateurs : nous luttons pour notre langue, pour continuer de vivre comme nous le souhaitons. Nous réclamons le droit à la dignité, le droit à la différence, et refusons lidée dune culture unique et imposée.

Hartèra ! se veut ouvert à tous les jeunes vivant en Occitanie. Nous rejetons tout chauvinisme qui voudrait faire de loccitan une culture refermée sur elle-même et ethnocentriste. Nous affirmons haut et fort notre solidarité avec tous les peuples en lutte"

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  • 1 an plus tard...

18 juin] 18 h 58. Les sénateurs refusent lintégration des langues régionales dans la Constitution et désavouent le Gouvernement

Madame Borvo Cohen-Seat, Présidente du Groupe Communiste Républicain et Citoyen, sénatrice de Paris, ainsi que Mesdames, Assassi, et Mathon-Poinat, membres du même groupe et respectivement sénatrices de la Sainte-Saint-Denis et de la Loire, proposent de supprimer larticle faisant référence aux langues régionales.

"Les auteurs de cet amendement estiment important de préserver les langues régionales dans un contexte mondial où la diversité culturelle est mise à mal.

Ils notent cependant que, dune part, la législation de notre pays assure déjà une prise en compte importante du fait linguistique régional et que cette législation peut et doit être améliorée et, dautre part, que le nécessaire soutien aux langues régionales na pas sa place dans larticle premier de la Constitution qui expose une certaine idée de lunité de la République."

Même demande de la part de M. Gouteyron, sénateur de la Haute-Loire, et de Mme Bernadette Dupont, sénatrice des Yvelines, membres du groupe UMP : "Larticle 1er A, ajouté par lAssemblée nationale, tend à compléter larticle premier de la Constitution pour préciser que « les langues régionales appartiennent » au « patrimoine » de la France.

Dune part, cette disposition ne doit pas avoir sa place à larticle 1er, lequel définit la République à travers ce qui nous rassemble au‑delà de tout particularisme. Ces derniers sont par ailleurs protégés par ce même article 1er qui énonce que « la République assure légalité devant la loi de tous les citoyens sans distinction dorigine ». De plus, introduire la reconnaissance du particularisme linguistique ouvre la voie à la reconnaissance future dautres particularismes, comme les spécificités culturelles, philosophiques, artistiques, etc.

Dautre part, cet amendement ouvre la voie à une remise en cause des principes définis par le Conseil constitutionnel dans sa décision du 15 juin 1999 relative à la Charte européenne des langues régionales. Dans cette décision, le Conseil constitutionnel a clairement rappelé que la mise en uvre dune partie de la Charte remettrait en cause trois principes constitutionnels fondamentaux qui font partie intégrale de la République française : légalité des citoyens devant la loi, lindivisibilité de la République et lunicité du Peuple français.

Enfin, évoquer les langues régionales (article 1er) avant même le Français (article 2) nest pas anodin mais apparaît comme une dévalorisation de la langue de la République, le Français ."

MM. Detraigne, Deneux, Merceron, Biwer et Fauchon, respectivement, sénateurs de la Marne, de la Somme, de la Vendée, de la Meuse et du Loir-et-Cher, et Mme Morin-Desailly, sénatrice dela Seine-Maritime, appartenant tous au groupe Union centriste (UDF) demandent également la suppression de larticle sur les langues régionales.

"Cet amendement supprime larticle 1er A inséré par les députés qui reconnaît que les langues régionales appartiennent au patrimoine de la République. Or le patrimoine ne se limite pas aux langues régionales.

Par ailleurs, la Constitution doit rester une loi fondamentale. Cest pourquoi, il est inquiétant que son contenu sencombre de dispositions - certes importantes - mais qui nont rien à faire dans une Constitution censée régir le fonctionnement de nos institutions.

Par ailleurs, avec une telle inscription ny a t-il pas un risque quun jour certains sy réfèrent pour demander lapprentissage obligatoire des langues régionales à lécole, ou pour imposer le double affichage français/langues régionales sur les panneaux indicateurs et dans divers documents publics"

Vous en pensez quoi?

Photo de la depeche de y a quelques jours:

http://img294.imageshack.us/img294/6092/sany0033zn3.jpg

http://img166.imageshack.us/img166/5777/sany0036jg0.jpg

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18 juin] 18 h 58. Les sénateurs refusent lintégration des langues régionales dans la Constitution et désavouent le Gouvernement

Madame Borvo Cohen-Seat, Présidente du Groupe Communiste Républicain et Citoyen, sénatrice de Paris, ainsi que Mesdames, Assassi, et Mathon-Poinat, membres du même groupe et respectivement sénatrices de la Sainte-Saint-Denis et de la Loire, proposent de supprimer larticle faisant référence aux langues régionales.

"Les auteurs de cet amendement estiment important de préserver les langues régionales dans un contexte mondial où la diversité culturelle est mise à mal.

Ils notent cependant que, dune part, la législation de notre pays assure déjà une prise en compte importante du fait linguistique régional et que cette législation peut et doit être améliorée et, dautre part, que le nécessaire soutien aux langues régionales na pas sa place dans larticle premier de la Constitution qui expose une certaine idée de lunité de la République."

Même demande de la part de M. Gouteyron, sénateur de la Haute-Loire, et de Mme Bernadette Dupont, sénatrice des Yvelines, membres du groupe UMP : "Larticle 1er A, ajouté par lAssemblée nationale, tend à compléter larticle premier de la Constitution pour préciser que « les langues régionales appartiennent » au « patrimoine » de la France.

Dune part, cette disposition ne doit pas avoir sa place à larticle 1er, lequel définit la République à travers ce qui nous rassemble au‑delà de tout particularisme. Ces derniers sont par ailleurs protégés par ce même article 1er qui énonce que « la République assure légalité devant la loi de tous les citoyens sans distinction dorigine ». De plus, introduire la reconnaissance du particularisme linguistique ouvre la voie à la reconnaissance future dautres particularismes, comme les spécificités culturelles, philosophiques, artistiques, etc.

Dautre part, cet amendement ouvre la voie à une remise en cause des principes définis par le Conseil constitutionnel dans sa décision du 15 juin 1999 relative à la Charte européenne des langues régionales. Dans cette décision, le Conseil constitutionnel a clairement rappelé que la mise en uvre dune partie de la Charte remettrait en cause trois principes constitutionnels fondamentaux qui font partie intégrale de la République française : légalité des citoyens devant la loi, lindivisibilité de la République et lunicité du Peuple français.

Enfin, évoquer les langues régionales (article 1er) avant même le Français (article 2) nest pas anodin mais apparaît comme une dévalorisation de la langue de la République, le Français ."

MM. Detraigne, Deneux, Merceron, Biwer et Fauchon, respectivement, sénateurs de la Marne, de la Somme, de la Vendée, de la Meuse et du Loir-et-Cher, et Mme Morin-Desailly, sénatrice dela Seine-Maritime, appartenant tous au groupe Union centriste (UDF) demandent également la suppression de larticle sur les langues régionales.

"Cet amendement supprime larticle 1er A inséré par les députés qui reconnaît que les langues régionales appartiennent au patrimoine de la République. Or le patrimoine ne se limite pas aux langues régionales.

Par ailleurs, la Constitution doit rester une loi fondamentale. Cest pourquoi, il est inquiétant que son contenu sencombre de dispositions - certes importantes - mais qui nont rien à faire dans une Constitution censée régir le fonctionnement de nos institutions.

Par ailleurs, avec une telle inscription ny a t-il pas un risque quun jour certains sy réfèrent pour demander lapprentissage obligatoire des langues régionales à lécole, ou pour imposer le double affichage français/langues régionales sur les panneaux indicateurs et dans divers documents publics"

Vous en pensez quoi?

Photo de la depeche de y a quelques jours:

http://img294.imageshack.us/img294/6092/sany0033zn3.jpg

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rien, on n'est pas des hippies idéalistes :blink:

:thumb:

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En même temps quand on observe les réactions de base du "français moyen" à ce sujet, il n' y a malheureusement pas de quoi s' étonner. Et le pire c' est qu ' à Toulouse je trouve qu ' on en trouve à la pelle également :thumb: .

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Mille excuses d'être un "français moyen", mais j'estime que l'apprentissage des langues régionales n'a rien à faire dans le service public, dans les "écoles de la République". Si la demande est telle que ce que vous semblez supposer, alors le libéralisme étant ce qu'il est, vous n'aurez aucune difficulté à trouver des cours privés.

Je considère que ça ne serait rien de plus qu'un gaspillage des deniers publics dans la mesure où des cours tels que (imaginons) "savoir-vivre" ou "insitutions de la République" font défaut et me paraissent largement plus importants.

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Mille excuses d'être un "français moyen", mais j'estime que l'apprentissage des langues régionales n'a rien à faire dans le service public, dans les "écoles de la République". Si la demande est telle que ce que vous semblez supposer, alors le libéralisme étant ce qu'il est, vous n'aurez aucune difficulté à trouver des cours privés.

Je considère que ça ne serait rien de plus qu'un gaspillage des deniers publics dans la mesure où des cours tels que (imaginons) "savoir-vivre" ou "insitutions de la République" font défaut et me paraissent largement plus importants.

:thumb:

ok vaut mieux apprendre que l'anglais, bouffer mac do, ecouter tokyo hotel, regarder tout les films anglo-saxon aux scenari pour spectateurs décrébrés.....a bas la diversité....

quand je disais que le régionalisme me laissait indifférent, c'est plutôt son coté chauvinisme chiant, sinon vive la culture! vive la différence! a bas la société de consommation tournée uniquement vers les profits financiers!!

L'école de la république doit apprendre la diversité, où du moins donner le gout de découvrir l'autre.

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:thumb:

ok vaut mieux apprendre que l'anglais, bouffer mac do, ecouter tokyo hotel, regarder tout les films anglo-saxon aux scenari pour spectateurs décrébrés.....a bas la diversité....

quand je disais que le régionalisme me laissait indifférent, c'est plutôt son coté chauvinisme chiant, sinon vive la culture! vive la différence! a bas la société de consommation tournée uniquement vers les profits financiers!!

L'école de la république doit apprendre la diversité, où du moins donner le gout de découvrir l'autre.

C'est fou ça, on peut pas être contre l'apprentissage des langues régionales à l'école au même titre que les autres matières sans être un jeune con qui dit Amen à toute les égéries du capitalisme... J'ai stigmatisé personne, moi.

Mais pensez vous vraiment que vous soyez le seul enseignement " potentiellement secondaire" qui frappe à la porte du système éducatif? Si on accepte que l'apprentissage de l'occitan soit obligatoire, on ne peut plus rejeter par exemple l'apprentissage de catéchismes... Chose qui a déjà pu être faite et qui, du reste, m'a proprement scandalisée.

Au même titre que l'école ne fait pas de distinction entre les religions, elle doit pas non plus en faire entre les langues. D'ailleurs, un de ses intérêts initiaux fut précisément d'apprendre aux gosses une langue unifiée, le français.

D'ailleurs, je sais pas pourquoi tu me parles de l'"anglais" de suite... Je t'ai donné des exemples d'autres cours qui me paraissaient prioritaires, j'y ai pas mis l'anglais, et je dirais même que l'anglais passe derrière un renforcement des cours de français... Point sur lequel les profs de ce forum ne seraient pas contre, j'en suis convaincu.

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C'est fou ça, on peut pas être contre l'apprentissage des langues régionales à l'école au même titre que les autres matières sans être un jeune con qui dit Amen à toute les égéries du capitalisme... J'ai stigmatisé personne, moi.

Mais pensez vous vraiment que vous soyez le seul enseignement " potentiellement secondaire" qui frappe à la porte du système éducatif? Si on accepte que l'apprentissage de l'occitan soit obligatoire, on ne peut plus rejeter par exemple l'apprentissage de catéchismes... Chose qui a déjà pu être faite et qui, du reste, m'a proprement scandalisée.

Au même titre que l'école ne fait pas de distinction entre les religions, elle doit pas non plus en faire entre les langues. D'ailleurs, un de ses intérêts initiaux fut précisément d'apprendre aux gosses une langue unifiée, le français.

D'ailleurs, je sais pas pourquoi tu me parles de l'"anglais" de suite... Je t'ai donné des exemples d'autres cours qui me paraissaient prioritaires, j'y ai pas mis l'anglais, et je dirais même que l'anglais passe derrière un renforcement des cours de français... Point sur lequel les profs de ce forum ne seraient pas contre, j'en suis convaincu.

Tout à fait. Le militantisme occitaniste est un communautarisme comme un autre. Il ouvre la porte aux autres communautarismes. Paradoxalement, je lui trouve une teinte girondine, sinon atlantiste. Les Montagnards sont là !

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Ca a pas besoin d'être obligatoire mais on devrait avoir la possibilité de l'apprendre dans chaque collège et lycée. Or, c'est loin d'être le cas. Les enfants (ou plutôt leurs parents dans un souci de continuité de cette belle langue) pourraient décider ou non de l'apprendre. Les langues comme l'anglais, l'allemand ou l'espagnol sont plus importantes dans le sens où elles sont parlées dans de nombreux pays et il est important de pouvoir s'exprimer correctement dans une de ses langues. Mais, pour autant j'aurais bien aimé pouvoir apprendre l'occitan au collège (même si ça m'aurait fait des heures en plus à l'époque, je ne l'aurais pas regretté aujourd'hui).

Donc obligatoire non mais disponible dans chaque établissement oui!

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