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Sirieix, taillé dans l'AJA


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FOOTBALL/L1. DIMANCHE, IL VA SE RETROUVER FACE À L'AJ AUXERRE, SON ANCIEN CLUB, CELUI OÙ IL EST ENTRÉ À L'ÂGE DE 14 ANS.

Sirieix, taillé dans l'AJA

Forcément, ce TFC-Auxerre ne le laisse pas indifférent. Et quand bien même François «Pantxi» Sirieix aurait voulu éluder le sujet, impossible pour lui d'y échapper, la venue d'Auxerre, dimanche au Stadium, plaçant le milieu du TFC sous les feux de l'actualité. «Oui, c'est un match particulier pour moi. Mais bon, je ne me prend pas la tête avec ça», admet Sirieix, pur produit de l'AJA, un club qu'il a intégré dès l'âge de 14 ans et où il a passé neuf saisons avant de rejoindre le TFC en juin dernier. De ses années auxerroises, «Pantxi» garde de bons souvenirs: «C'est là-bas que je me suis épanoui, que je suis passé du statut d'adolescent à celui d'adulte. Et puis je m'y suis fait des amis comme Mathis, Vandenbossche, Vignaud et bien d'autres. Lionel Mathis, c'est d'ailleurs quelqu'un avec qui je suis resté très proche. Depuis deux ans, je pars en vacances avec lui.» L'été dernier, Sirieix a donc choisi de tourner la page auxerroise. «J'avais envie de changer d'air», avoue-t-il avant de préciser: «Je suis d'autant plus heureux que je me retrouve dans un club qui marche bien, qui donne une bonne image, produit du jeu. C'est un club sain, ce que je recherchais avant tout.» Il a découvert également au TFC une autre méthode de fonctionnement: «Ici, tout le monde travaille ensemble, le staff, les dirigeants, les joueurs.

A Auxerre, c'est différent. Guy Roux dirige tout, s'occupe de tout, décide de tout. Personne n'a droit à la parole. A force, ça devient pesant.» L'actualité veut qu'il se replonge le temps d'un match dans son passé: «Mais comptez sur moi pour faire abstraction de tout une fois le coup d'envoi donné.» Et si le TFC reste sur quatre défaites face à Auxerre, il entend bien avec ses coéquipiers mettre fin à cette série: «Notre équipe a mûri, ça se voit dans le jeu. On ne prend qu'un point sur neuf lors des trois derniers matches, ce qui n'est pas cher payé», conclut Sirieix. Et si Auxerre payait (enfin) la note?

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FOOTBALL/L1. DIMANCHE, IL VA SE RETROUVER FACE À L'AJ AUXERRE, SON ANCIEN CLUB, CELUI OÙ IL EST ENTRÉ À L'ÂGE DE 14 ANS. 

Sirieix, taillé dans l'AJA

   

Forcément, ce TFC-Auxerre ne le laisse pas indifférent. Et quand bien même François «Pantxi» Sirieix aurait voulu éluder le sujet, impossible pour lui d'y échapper, la venue d'Auxerre, dimanche au Stadium, plaçant le milieu du TFC sous les feux de l'actualité. «Oui, c'est un match particulier pour moi. Mais bon, je ne me prend pas la tête avec ça», admet Sirieix, pur produit de l'AJA, un club qu'il a intégré dès l'âge de 14 ans et où il a passé neuf saisons avant de rejoindre le TFC en juin dernier. De ses années auxerroises, «Pantxi» garde de bons souvenirs: «C'est là-bas que je me suis épanoui, que je suis passé du statut d'adolescent à celui d'adulte. Et puis je m'y suis fait des amis comme Mathis, Vandenbossche, Vignaud et bien d'autres. Lionel Mathis, c'est d'ailleurs quelqu'un avec qui je suis resté très proche. Depuis deux ans, je pars en vacances avec lui.» L'été dernier, Sirieix a donc choisi de tourner la page auxerroise. «J'avais envie de changer d'air», avoue-t-il avant de préciser: «Je suis d'autant plus heureux que je me retrouve dans un club qui marche bien, qui donne une bonne image, produit du jeu. C'est un club sain, ce que je recherchais avant tout.» Il a découvert également au TFC une autre méthode de fonctionnement: «Ici, tout le monde travaille ensemble, le staff, les dirigeants, les joueurs.

A Auxerre, c'est différent. Guy Roux dirige tout, s'occupe de tout, décide de tout. Personne n'a droit à la parole. A force, ça devient pesant.» L'actualité veut qu'il se replonge le temps d'un match dans son passé: «Mais comptez sur moi pour faire abstraction de tout une fois le coup d'envoi donné.» Et si le TFC reste sur quatre défaites face à Auxerre, il entend bien avec ses coéquipiers mettre fin à cette série: «Notre équipe a mûri, ça se voit dans le jeu. On ne prend qu'un point sur neuf lors des trois derniers matches, ce qui n'est pas cher payé», conclut Sirieix. Et si Auxerre payait (enfin) la note?

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C Clair avec Sirieix on sent la marque AJ Auxerre, avec ce marquage et ce pressing omniprésent. Mais on sent aussi que Sirieix, un peu comme Taider, a peur de prendre le jeu à son compte, et de faire des appels de balle.

ça va venir

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