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Article La Dépêche


frédéric

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Les Bleus peut-être et pourquoi pas les Violets

La messe semble dite. Avec sept points d'avance sur Auxerre, neuf sur Monaco, et dix sur l'OM, Lyon semble lancé vers un quatrième titre d'affilée, rareté dans l'histoire du championnat de France (Marseille de 89 à 92 étant le dernier à l'avoir fait). Seul Lille, à trois points du leader, paraît logiquement en mesure de venir gêner la suprématie des « Gones ». Mais l'histoire a montré qu'une bonne situation à mi-parcours ne présageait en rien du classement final : la saison dernière, Lyon avait compté jusqu'à 10 points de retard sur Monaco à l'issue de la 20e journée, et avait finalement fondu sur le club du Rocher.

LE TFC POUR CONFIRMER

Mais la situation semble différente aujourd'hui. L'OL, leader depuis la 10e journée, dispose d'un effectif suffisamment étoffé et de qualité pour espérer maintenir ses poursuivants à distance respectable. Derrière, la meute devra sans doute se partager les miettes.

Le TFC, lui, est attendu au tournant. Son excitante 6e place (sa meilleure à mi-championnat depuis la saison 86-87 : 4e ; 3e à l'arrivée) lui promet une deuxième partie de championnat intéressante, loin des sombres luttes pour le maintien qui lui ont encombré l'esprit la saison dernière. Le savant dosage entre « anciens » et jeunes du cru donne enfin ses premiers résultats, encourageants, mais qui appellent confirmation pour 2005. La reprise aura valeur de test, le TFC affrontant les huit premiers (hormis Monaco) jusqu'à mi-mars. Le retour des blessés, Dalmat en tête, et une solidité défensive retrouvée, laissent augurer d'un Stadium aux affluences toujours aussi élevées (25 000 spectateurs de moyenne depuis le début de saison). Et pourquoi pas un bon parcours en coupe, que le TFC a souvent boudée ?

Et si rééditer la performance de l'an dernier en coupe d'Europe sera difficile, les clubs français auront à cur de se faire remarquer. Première étape, les 8es de finale les 22/23 février et 8/9 mars prochains (Werder Brême-Lyon et PSV Eindhoven-Monaco).

Enfin, l'Équipe de France aborde un moment décisif de son histoire, en jouant dans les prochains mois sa qualification à la coupe du monde 2006. Sa bonne conduite à l'extérieur, et sa série d'invincibilité sous Domenech (6 matchs - depuis France Grèce à l'Euro) sont plutôt encourageants. Reste à concrétiser.

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Arribagé : « Ce TFC repose sur de nouvelles valeurs »

Profitant du jour de repos accordé par le TFC, Dominique Arribagé est allé passer le réveillon de la Saint-Sylvestre à Font-Romeu, en compagnie de Christophe Revault, avec qui il est ami depuis leur passage commun à Rennes. Avant de prendre la route, il s'est confié sur son retour au TFC.

Sixième à la trêve, c'est plutôt une bonne surprise ?

Une énorme même ! Personne ne nous voyait si haut en début de saison. On a montré que l'on était costaud. Et malgré les blessures, ceux qui sont entrés dans l'équipe ont montré qu'ils avaient le niveau. Un gros travail a été fait au centre de formation. Nous formons un groupe très homogène.

Et vous avez été leader au soir de la 5è journée

Un supporter m'avait même offert le classement grande taille avec le TFC à la première ligne. Je l'ai encore chez moi.

Le TFC peut monter haut ?

Il faut rester humbles. Pour conserver cette place, il va déjà falloir fournir beaucoup d'efforts, et pour l'Europe, il faudrait progresser de deux places. On ne peut pas rivaliser avec les cinq ou six grosses cylindrées du championnat. Et tout va très vite, dans un sens comme dans l'autre. Si on démarre mal en janvier, on peut vite se retrouver dans le ventre mou.

Vous êtes revenu l'été dernier au TFC six ans après l'avoir quitté. Ce n'est plus du tout le même club

Les infrastructures surtout. On dispose d'un super centre d'entraînement. Et puis les hommes ne sont plus les même. Olivier Sadran et Erick Mombaerts ont aujourd'hui une politique et un discours communs. C'est indispensable que le président et l'entraîneur parlent d'une même voix. J'ai 13 années de professionnalisme derrière moi, j'ai connu beaucoup de présidents et d'entraîneurs Une ligne directrice est importante pour le club. Le TFC repose aujourd'hui sur d'autres valeurs.

L'ambition du club n'était pas la même à l'époque ?

C'était difficile, car le club connaissait de gros soucis financiers. Sur mes six ans au club, on a été interdit de recrutement chaque année. C'est alors dur d'être véritablement ambitieux. On se contentait de faire du bricolage.

La présence du président Sadran a compté dans votre venue ; on dit que vous étiez à la même école ?

Au même collège et au même lycée, et au club de Colomiers. Mais on n'était pas dans la même classe car lui est plus âgé que moi. Mais on se connaissait. Et son discours a achevé de me convaincre. Son projet m'a emballé.

Vous avez cotôyé de nombreux entraîneurs. Lequel vous a le plus marqué ?

Paul Le Guen, même si je pouvais pas deviner la réussite qui allait être la sienne aujourd'hui, car c'était alors un jeune entraîneur qui débutait, et il n'avait pas le bagage qu'il a aujourd'hui. Et puis Roland Courbis également, à Toulouse ; il a une image qui ne laisse pas indifférent, une capacité à fédérer et de grosses connaissances tactiques, un peu à l'image de Erick Mombaerts.

Et comme joueur ?

Vaclav Nemecek, par son état d'esprit, son professionnalisme, son niveau de jeu aussi. Il aurait mérité une autre carrière. Petr Cech également à Rennes, aujourd'hui à Chelsea. Il est phénoménal pour son âge et possède une énorme marge de progression.

La suspension pour dopage reste un point noir dans votre carrière

Aujourd'hui, 8 ans après cette histoire, je ne comprends toujours pas. J'ai toujours été clean. Ce fut un moment difficile, mais qui fait partie des choses de la vie.

Le travail au TFC voux comble ?

Défensivement, c'est très pointu et super intéressant. Il y a vraiment une recherche tactique, dans tous les petit jeux que l'on peut faire à l'entraînement notamment. En insistant sur un secteur déficient ou en se préparant au jeu de l'adversaire. On essaie de maîtriser du mieux possible la situation, de tendre vers la perfection.

Et vous êtes un défenseur qui marque

Il faut trouver le bon équilibre entre le tireur et le joueur de tête. Je l'avais trouvé avec Dalmat en début de saison, également avec Laurent Batlles à Rennes. Le feeling est très important.

Le calendrier à venir est plutôt corsé.

On a affronté ces adversaires à l'aller, on a vu comment ils jouaient. Dans aucun match on ne s'est fait balader, à part peut-être à Sochaux. C'est un gage de solidité. Maintenant on va se déplacer chez eux, ça ne m'effraie pas.

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IL A DÛ ÉCOURTER LA SÉANCE D'ENTRAÎNEMENT DU TFC HIER MATIN.

Daniel Moreira touché à la cuisse

   

« Ce sont le médical et les sensations des joueurs qui vont décider », avait rappelé Erick Mombaerts à propos de tous les blessés de longue durée (Ocokoljic, Lièvre, Dalmat, Suarez, Eduardo), qui viennent de reprendre l'entraînement avec le groupe pro du TFC.

Mais hier matin, la séance s'est mal terminée pour Daniel Moreira, qui s'est blessé à la cuisse. « Il a ressenti une petite pointe sur une frappe un peu violente et, la fatigue aidant », explique le coach téféciste, qui attendra le résultat de l'échographie que le joueur doit passer aujourd'hui.

En tout état de cause, Moreira ne sera pas du déplacement de ce samedi à Geispolsheim, dans la banlieue de Strasbourg, où le TFC affronte l'AS Gambsheim (Honneur), en 32e de finale de la coupe de France, mais on peut craindre qu'il ne soit pas opérationnel non plus pour la venue de Strasbourg mercredi au Stadium, voire pour le déplacement à Paris samedi prochain.

A l'exception d'Eduardo, à peine rentré du Brésil et qui s'est contenté d'un long footing hier, et d'Ocokoljic, qui n'en est qu'au cinquième mois post-opératoire de sa rupture des ligaments (si tout va bien, il sera disponible en février), tous les joueurs du TFC ont repris normalement, y compris Stéphane Dalmat dont la reéducation, en compagnie du Dr Bichon, a été exemplaire durant les fêtes. Hier matin, 22 joueurs de champ ont ainsi participé à l'entraînement général (plus les deux gardiens, Revault et Douchez), tandis qu'Ocokoljic et Benvegnu, le troisième gardien, travaillaient en compagnie de Richard Heubert, le préparateur physique, avant de se joindre à leurs coéquipiers sur certains exercices.

P. B.

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FOOTBALL. BÉTO MARCICO, LE JOUEUR CULTE DES ANNÉES «80», PARLE DE SA PASSION POUR TOULOUSE ET DE SES PROJETS AVEC BOCA JUNIOR.

«J'aurais aimé être le porte-drapeau du TFC»

   

Définitivement installé à Toulouse depuis un an, Béto a une vie tranquille entre son quartier du Grand Rond, où nous l'avons rencontré, et le centre-ville qu'il apprécie particulièrement.

Alors, vous vous lancez dans le recrutement international ?

Dans le placement international plutôt. Tu sais, quand en France ou en Espagne on forme deux attaquants de haut niveau, en Argentine on en forme dix ou vingt. Certains restent à Boca qui est l'un des dix meilleurs clubs au monde avec Milan, Barcelone... Mais pour les autres, j'ai proposé à Boca de monter un bureau international à Toulouse, puisque c'est là que je vis. Mon idée, c'est de placer les jeunes dans des clubs européens à 18-19 ans, le temps qu'ils s'aguerrissent. Si leur club veut les garder, il les paiera moins cher que s'ils étaient arrivés déjà connus. Et Boca aura le transfert. Là, je fais un test avec deux jeunes à l'Ajax.

Peut-on imaginer qu'un de vos jeunes soit placé au TFC ?

Là-bas, les joueurs veulent tous partir pour l'Europe. Peu importe quel club. Mais c'est plus facile pour eux en Italie ou en Espagne, pour une question de culture.

Pourquoi, vous avez eu du mal à vous acclimater lorsque vous êtes arrivé au Tef en 1985 ?

Ah moi non ! Alberto Tarantini m'a beaucoup aidé à l'époque. En six mois, je comprenais presque tout en français. Et puis j'adore cette ville, surtout le centre. Je m'y promène encore tous les jours.

Vous avez un autre coin préféré ?

Le bord du canal. Je cours 15 km tous les jours pour garder la forme. J'ai 44 ans quand même!

Vous pesez combien ?

90 kg pour 1 m 78.

Plus de pizza et de coca alors ?

Le coca non. J'ai arrêté parce que ça me faisait des calculs rénaux. A une époque, je buvais quand même jusqu'à 6 litres par jour. La pizza par contre...

Vous vous rappelez quand on vous appelait «le gros Béto» sur un terrain ?

Oui, ça me faisait rire. Parce que des fois c'était vrai quand même! Quand je mangeais huit pizzas ou plus dans la semaine, je le sentais.

Revenons au Tef. Vous avez suivi l'épopée des Pitchouns ?

Oui. Et je crois que l'arrivée de joueurs d'expérience a fait du bien à cette équipe. C'est comme nous, Pavon, Despeyroux et les autres ne seraient pas devenus ce qu'ils sont devenus sans Tarantini, Stopyra, Passi, ou moi. Moreira, Dalmat, c'est pareil ! Ce sont de très bons joueurs qui tirent les jeunes vers le haut. Avec cette équipe et les nouveaux dirigeants qui font un très bon travail, je crois que le TFC peut viser l'Europe.

Le travail que vous faites pour Boca Junior, vous n'auriez pas pu le faire pour le Tef ?

J'aurais aimé en tout cas être porte-drapeau ou ambassadeur du TFC, car j'adore ce club. Mais j'ai coupé les ponts avec les anciens dirigeants. Pour moi, c'est à cause d'eux que l'équipe est descendue en National ; ça m'a écuré. Les nouveaux dirigeants ne me connaissent pas trop. S'ils me demandaient de revenir, on pourrait toujours discuter. Mais je suis très pris par mon projet avec Boca.

Au fait, quel âge ont vos enfants aujourd'hui ?

Pablo a 20 ans. Il est en fac de droit à Toulouse. Et Lucas a 16 ans. Il est au centre de formation d'Auch avec Pascal Despeyroux.

Il veut jouer à quel poste ?

Attaquant de soutien.

Comme son papa !

(Fièrement). En Argentine, on dit nueve y medio, 9 et demi.

Propos recueillis par Béatrice Dillie

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Article paru le 06/01/2005

ET ENCORE...

TFC: Adebayor approché, Moreira blessé

On le sait le TFC aimerait dégoter un attaquant lors du Mercato sans en faire une obsession pour autant. Dans cette optique le club toulousain suit quelques pistes, notamment celle qui mène au Monégasque Emmanuel Adebayor (20 ans, 1m90-75kg). Mais le Togolais reste sous contrat avec le club de la Principauté (trois ans) et celui-ci n'a actuellement nullement l'intention de le céder dans la mesure où il a besoin de tous ses hommes pour mener de front championnat et Ligue des Champions. L'affaire est donc loin d'être conclue, même sur un prêt, d'autant que club anglais d'Everton est aussi sur les rangs.

A noter encore que l'attaquant téféciste Daniel Moreira souffre d'une lésion musculaire nécessitant un arrêt de 7 à 10 jours. Il ne sera donc pas du déplacement en Alsace samedi (Coupe de France), ni probablement du match face à Strasbourg mercredi au Stadium.

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A noter encore que l'attaquant téféciste Daniel Moreira souffre d'une lésion musculaire nécessitant un arrêt de 7 à 10 jours. Il ne sera donc pas du déplacement en Alsace samedi (Coupe de France), ni probablement du match face à Strasbourg mercredi au Stadium.

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TFC. SEPT JEUNES QUI SIGNENT OU PROLONGENT, UNE LOGE-RESTAURANT, UN BÂTIMENT POUR LES ENTREPRISES DANS UN STADIUM REBAPTISÉ. ÇA VA BOUGER EN 2005.

Olivier Sadran : le temps des ambitions

Alors que le premier match officiel du TFC de l'année 2005 aura pour cadre les environs de Strasbourg, demain, pour les 32e de finale de la coupe de France, nous avons fait le point avec son président, Olivier Sadran.

Votre 6e place actuelle en L1 a-t-elle changé votre philosophie ?

Absolument pas. Notre but reste de pérenniser le club en L1, ce qui n'a pas été fait depuis très longtemps. J'estime que ce n'est qu'après une dizaine de saisons dans l'élite que le club y sera bien ancré. Et nous maintenons les mêmes principes, nés lors de nos années de galère : état d'esprit remarquable, loué par les joueurs qui viennent de l'extérieur, volonté de travail, respect d'autrui et harmonie de fonctionnement.

Que s'est-il passé durant les fêtes de fin d'année ?

Nous avons fait signer nos jeunes, en nous avons convaincu nos un peu moins jeunes ! Psaume, Congré et Akpa-Akpro ont signé un premier contrat pro, Taider, Aubey, Emana et Dao ont prolongé le leur. Il était très important que nous parvenions à cet accord avec nos joueurs, car nous pourrons ainsi conserver notre style de jeu, basé sur la vitesse et le collectif. Tous vont améliorer le travail de l'équipe et perpétuer l'état d'esprit du club. Ce n'est que le cas échéant que l'on se renforcera, à la seule condition d'avoir et de faire de la vraie qualité. Car il ne faut pas toujours aller chercher ailleurs ce que l'on a déjà.

Où en sont les projets d'aménagement du Stadium ?

Une très belle loge VIP-restaurant, unique en France, ouvrira dès mercredi contre Strasbourg. Les loges actuelles vont être refaites afin de favoriser les relations RP pour les entreprises de taille importante.

Et nous allons, moyennant 5 M , construire un bâtiment, en tribune Sud, qui sera prêt dès le mois d'août prochain. Ce lieu d'échanges et d'affaires pour les grosses PME de la région comprendra notamment une salle pour les séminaires. En 2004, nous avons organisé 80 journées séminaire au Stadium. En 2005, nous venons de signer avec un tour-operator pour 170 journées J'ajoute que tous ces revenus créent également de l'emploi et de la notoriété pour le club.

Car votre objectif reste

d'améliorer les recettes

Oui, tout à fait. Pour pérenniser, pour conserver nos bons jeunes, il faut améliorer les recettes. Mais les droits TV ne peuvent tout résoudre. L'image de marque compte beaucoup, et nous copions les clubs anglais ou italiens qui ont ajouté la qualité du réceptif et du spectacle. Notre objectif, c'est de remplir le Stadium tant en nombre qu'en chiffre d'affaires, et d'arriver le plus vite possible à 30-35 M annuels.

Comment comptez-vous le remplir?

Nous venons d'investir 150 000 dans un nouveau système de billetterie, « Issibil », qui suit la loi de l'offre et de la demande. Exemple : Strasbourg, mercredi, c'est le premier jour des soldes. Et nous « soldons » à -30 %. Marseille, à la fin du mois, c'est plus cher mais c'est réservé pendant la première semaine de vente aux possesseurs d'un billet du match contre Nantes. A terme, ces opérations ne se font pas au détriment de nos abonnés, car les « gros matches » sont vendus nettement plus cher que les opérations comme TFC-Istres à 5 .

Existe-t-il d'autres « aménagements » du Stadium ?

Oui, un plan de circulation va être mis en place dès cet été, qui permettra d'aller et venir en cinq minutes au Stadium ! Nous allons doter tous les sièges de coques, afin d'en améliorer le confort, développer les opérations d'animation du parvis. Nous sommes en négociations pour donner le nom d'une grande marque commerciale dédiée à la haute technologie et proche des jeunes au Stadium, comme il existe déjà l'ArenA à Amsterdam (NDLR : et le Reebok Stadium à Bolton ou le Chips Walker Stadium à Leicester).

Ce sont beaucoup de changements en peu de temps

Mais le football a changé ! Il y a aujourd'hui incompréhension entre ce qu'est devenu le football et les supporters de toujours, même si ce n'est pas le cas à Toulouse. Tout ceci m'interpelle. Je comprends les supporters car le football, c'est de l'émotion, des larmes ou de la joie, du bonheur pour tout le monde dans le stade. Mais ce n'est pas tout sauf le fric ! Le football, c'est la première entreprise de spectacle en France, avec des clubs qui sont des PME : rien qu'au TFC et ses filiales, il y a 155 fiches de paie. Pour garder tout ça, pour faire venir des joueurs, il faut de l'argent. Donc des recettes. Et comme nos subventions de fonctionnement n'ont pas augmenté depuis le National, il nous faut notre autonomie économique.

Un mot sur les droits TV ?

Pour vous dire que TFC TV sera bientôt sur le câble, avec une dimension différente de ce qu'elle est aujourd'hui, un peu comme OM TV. Car nous sommes propriétaires des droits de différé, dès minuit le soir même du match

Recueilli par Patrick Boudreault

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oh non pas TFC TV sur le cable... :D

maintenant va falloir payer pour l'avoir.  :wacko:

j'espère que ça restera quand même sur le net !

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Si, je trouve ça bien : comme ça, les toulousains exilés n'ayant pas un abonnement ADSL, voire pas internet du tout, pourront regarder TFC TV.

Exemple : les exilés à Nice... :)

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Nous sommes en négociations pour donner le nom d'une grande marque commerciale dédiée à la haute technologie et proche des jeunes au Stadium, comme il existe déjà l'ArenA à Amsterdam (NDLR : et le Reebok Stadium à Bolton ou le Chips Walker Stadium à Leicester).

Ouh la, quelle révolution....Le stadium s'appellera plus le stadium si j'ai bien compris !

Ça va faire grincer des dents ça :wacko:

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Nous sommes en négociations pour donner le nom d'une grande marque commerciale dédiée à la haute technologie et proche des jeunes au Stadium, comme il existe déjà l'ArenA à Amsterdam (NDLR : et le Reebok Stadium à Bolton ou le Chips Walker Stadium à Leicester).

Pour vous dire que TFC TV sera bientôt sur le câble, avec une dimension différente de ce qu'elle est aujourd'hui, un peu comme OM TV. Car nous sommes propriétaires des droits de différé, dès minuit le soir même du match

Recueilli par Patrick Boudreault

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:wacko: changer le nom du stadium

domage la :D

A TFC TV ca ca tue :)

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