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Article La Dépêche

frédéric

Par frédéric
dans Espace supporters

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ma2t

ma2t

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Moi aussi je trouve que changer le nom du Stadium, ce serait un drame dans le microcosme toulousain ! :wacko:

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tout ca pour gagner de l'argent ca me rappele un topic celui-la qui a était posté ya quand meme 1 an mais je retiens juste les dernières ligne après sur le plan sportif il c'était un peu trompé a mon gout mais ca arrive a tout le monde :)

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ma2t

ma2t

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je vois pas en quoi c'est traumatisant de changer le nom :wacko:

<{POST_SNAPBACK}>

pour moi c'est un peu quand il change la couleur du maillot ca me fait chier un peu comme perdre ses repères

Mais bon c'est bien quand meme si il ya de l'argent a la clée

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dennis

dennis

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imaginez vous le NICOPATCH Stadium  :D

<{POST_SNAPBACK}>

la oui, c'est traumatisant :)

sinon, meme si je trouve ça grave et triste, ça ne me gène pas plus que ça si le nom devient sony stadium par exemple, du moment que ça reste le stadium !

maintenant, le tampax stadium ou mc donald stadium(voire quick !) :wacko:

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trodlabal

trodlabal

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Et pourquoi pas le "Alet stadium" ?  :)

Article dans la dépêche

Bon d'accord... je cherche encore le rapport avec les nouvelles technologies (l'eau minérale, c'est quand même pas le dernier cri...), et encore plus avec les jeunes (qui, on le sait bien, ne boivent souvent pas que l'eau...).  :)

<{POST_SNAPBACK}>

Honnetement du moment que ça peut rapporter de la thune au club, m'en fout du moment que le mot Stadium reste présent.

De tte façon c'est un truc que pour les chaine de télévision et autres médias, nous on continuera à l'appeler le Stadium.

Je me vois mal l'appeller le "JUSTIN BRIDOU STADIUM" :)

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TFC67

TFC67

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Article paru le 14/01/2005

FOOTBALL. IL GAGNE UN MATCH OÙ L'ENGAGEMENT A SOUVENT TUTOYÉ LES LIMITES DU RAISONNABLE.

Le TFC ne craint pas les bras de fer

Partie de manivelles ? N'exagérons pas, non plus. Mais Toulousains et Strasbourgeois se sont copieusement expliqué mercredi soir et ce sont les Alsaciens qui ont fait les frais de l'opération, trop généreux avant le repos et ils l'ont payé, trop nerveux après et ils l'ont également payé.

Toulouse s'en sort bien, très bien même, et Lucien Aubey ne veut y voir que « l'addition du travail entrepris depuis la saison dernière. Ce genre de match, il y a un an, on le perdait. Là, on l'a gagné. Et, quand on ouvre le score, cela devient difficile de nous en mettre un »

Depuis le 30 octobre dernier et leur dernière défaite à Sochaux, seuls Metz, Rennes et Istres ont réussi à forcer le verrou des Téfécistes : dans un championnat qui défend à tire-larigot, bien plus catenaccio qu'en Italie, le Tef s'amuse comme un petit fou, et il ne concède donc que trois buts en neuf-cent-trente minutes.

« C'était un bras de fer et Strasbourg l'a perdu. Ils ont joué très haut, ils ont pris des risques, mais ils ont payé cette énergie farouche. A jouer comme ça, en zone rouge tant dans l'agressivité que dans l'engagement, ils sont allés au-delà de ce qu'ils peuvent faire ». Erick Mombaerts est particulièrement heureux que sa formation ait évité un aussi beau piège, devant une équipe obligée pour s'en sortir de jouer tout à fond. « C'est quand même normal que les équipes nous posent de tels problèmes, nous sommes encore jeunes, mais c'est aussi la preuve que nous leur faisons peur. Après, et ce n'est pas la première fois que je le dis, la qualité vient de la variété dans notre jeu Nous savons utiliser la profondeur, la largeur, les couloirs, nous varions nos coups et quand il faut répondre à un pressing, nous avons beaucoup d'engagement » Pas facile, en effet, de marcher sur les pieds des Toulousains. Mais on le savait.

P. B.

Le PSG, adversaire du TFC demain a été condamné hier à jouer un match à huis-clos, suite aux incidents PSG-Metz.

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Benjamin Psaume : ainsi soit-il

Il ne manque vraiment pas de culot. Et de talent. « Je voulais vraiment le mettre. Depuis quatre ans, à chaque fois que je joue au moment de mon anniversaire, je marque. D'habitude, je suis motivé, mais là, encore plus »

Benjamin Psaume s'est offert un beau cadeau pour ses 20 ans, mercredi soir. Son deuxième but en deux matches, les deux derniers de la Ligue 1. Première à Caen juste avant Noël, histoire de savourer quelques bulles pendant les fêtes. Deuxième mercredi soir, série en cours, champagne à venir.

« Quand j'ai vu que je n'étais pas hors-jeu sur la passe d'Achille Emana, je suis allé face au gardien, je ne me suis pas posé de questions, j'ai cherché le côté opposé, j'ai frappé fort », et voilà le travail.

Cet Auscitain de naissance a joué son premier match à Clermont, en coupe de la Ligue, et il a enchaîné sur la dernière demi-heure à Rennes. C'était il y a deux mois, à peine, et nul ne connaissait son nom, sauf les habitués du CFA où il forme (ait) un tandem spectaculaire et biblique avec Pentecôte.

« Il a tiré dans tous les sens », apprécie Erick Mombaerts, qui souligne également la belle entente entre Emana (deux passes mercredi soir) et le petit attaquant râblé. « C'est un élément à prendre en considération », apprécie un entraîneur privé de Moreira et Dalmat, tandis que Suarez et Eduardo, blessés avant les fêtes, manquent encore de rythme. Mais la classe biberon déboule et elle ne se pose aucune question.

P. B.

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  • 4 semaines plus tard...
frédéric

frédéric

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Sans Arribagé, avec les Espoirs

Victime d'un choc à l'entraînement de mercredi matin, Dominique Arribagé manquera le 16e de finale de coupe de France, dimanche (18 h 15) au Stadium, contre l'Olympique Lyonnais. Après des examens satisfaisants, qui n'ont « pas révélé de gros dégâts » selon le Dr Bichon, le solide défenseur du TFC est aux soins. Son indisponibilité n'est pas connue car il s'agit d'une petite entorse du genou, dont nul ne peut deviner l'évolution.

Hormis Arribagé, Eduardo est un autre absent probable, puisque le Brésilien se plaint toujours de sa cheville. Et comme Psaume vient de se faire arracher quatre dents de sagesse, ce qui l'a quelque peu « déformé » au niveau du visage, on croise les doigts du côté du Stadium afin de ne pas amoindrir le registre offensif.

Heureusement, Moreira ne se ressent plus du coup sur le tibia donné par Essien samedi soir à Gerland, Emana a eu droit hier aux soins et à un décrassage après avoir disputé l'intégralité de Cameroun-Sénégal mercredi à Créteil, cependant que les trois internationaux espoirs du TFC ont été « rapatriés » dès mardi soir de La Roche-sur-Yon (où ils ont concédé le nul face à la Suède en amical) par l'avion du président Sadran. Taider a joué 55 minutes, Ebondo 45 et Aubey 15 seulement, des temps de jeu qui permettent à ces jeunes de répondre présent dimanche au Stadium. Où 17 000 places ont déjà trouvé preneur (moins de 12 ans à 5 ) !

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neo1x

neo1x

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FOOTBALL. LE TFC ENTEND SE SERVIR DE SES DEUX DÉFAITES CONTRE LES CHAMPIONS DE FRANCE.

E. Mombaerts : « Merci Lyon »

Quelquefois, il faut savoir tendre l'autre joue Et sortir la tête haute. Le TFC n'a jamais prétendu être plus fort que Lyon, il a simplement et crânement joué sa chance dimanche au Stadium, dans un match couperet. C'était ce que lui avait demandé son entraîneur, Erick Mombaerts, convaincu hier matin, au terme du décrassage, que le double échec téféciste contre le triple (et bientôt quadruple) champion de France sera plus que profitable à son groupe.

« Ces deux défaites nous ont beaucoup aidés, j'en suis certain. Les joueurs, avec lesquels j'ai beaucoup discuté ces dernières heures, ont pris conscience de ce qu'il faut faire pour être performant : beaucoup d'efforts pour le collectif, à l'image des démarquages incessants de Wiltord, Nilmar, Malouda ou Frau dimanche, de leurs touches, etc. Merci, oui, merci à Lyon de nous avoir fait toucher du doigt tout ça. De nous avoir fait comprendre que si l'on veut établir un rapport de forces avec eux, il faut faire beaucoup plus d'efforts qu'eux, des efforts gratuits, incessants, dans le jeu en mouvement, la défense, etc. La volonté collective des Lyonnais a choqué mes joueurs, en ce sens qu'ils ont vu les stars de l'équipe lyonnaise se déplacer pour les autres. C'est cette impression qui ressort de ces deux matches, la gratuité des efforts, la volonté des Lyonnais de jouer pour les autres et la justesse de ces efforts. La justesse, c'est-à-dire le talent ».

L'entraîneur toulousain a donc fixé d'autres objectifs à sa formation, dont le calendrier se résume à treize matches (alléchants) de championnat d'ici la fin mai. « Nous avons fait un bon match contre Lyon. Nous avons mis du cur, fait des efforts, nous avons eu cette volonté collective et cela nous a permis de nous rapprocher, un peu, de leur collectif. C'était un vrai bras de fer. Mais j'attends de mon équipe qu'elle continue dans cette direction, qu'elle ne régresse surtout pas : si c'était le cas, nous nous retrouverions à cent mille lieues de notre envie de progresser. Il y a au TFC beaucoup de jeunes joueurs, toute la défense, les trois quarts des milieux, et ces jeunes doivent être ambitieux : ils doivent s'inspirer de ce qui se fait de mieux en France, j'entends le mieux collectif dans la recherche de l'efficacité. On ne pourra hisser notre niveau de jeu qu'à travers ce collectif poussé au maximum ». Dès samedi, les Toulousains devront refaire leurs gammes face aux Girondins. Un derby. Un pari ?

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