Aller au contenu

Informations en direct


connemara

Messages recommandés

et ben moi j'aime bien tf1 et j'aime bien pernault <_< ....ca change au moins et puis faut dire que je connais quelqu'un qui travaille la bas aussi et dont les reportages passent souvent!...mais je lis les journaux tous les jours parceque ca fait pas tout!

Lien vers le commentaire
et ben moi j'aime bien tf1 et j'aime bien pernault  :P ....ca change au moins et puis faut dire que je connais quelqu'un qui travaille la bas aussi et dont les reportages passent souvent!...mais je lis les journaux tous les jours parceque ca fait pas tout!

<{POST_SNAPBACK}>

ca m'etonne meme pas <_<

et le soir tu kiffes devant le bigdil!

Tu attends impatiement le rideau et vis ma vie <_<:blush::blink:

Lien vers le commentaire

Un point général

Tsunamis en Asie: le bilan provisoire passe à près de 120.000 morts

DJAKARTA (AFP) - Les raz-de-marée en Asie du Sud et du Sud-Est ont fait près de 120.000 morts, selon un décompte établi jeudi à 13H00 GMT par l'AFP après l'annonce d'un nouveau bilan provisoire de 79.940 morts en Indonésie.

Au fil des heures, les découvertes macabres se succèdent alors que des régions entières restent inaccessibles aux secours et que selon l'Organisation mondiale de la Santé, la catastrophe a fait jusqu'à cinq millions de déplacés. Partout des corps qu'il faut ramasser, identifier, et enterrer.

C'est en Indonésie et au Sri Lanka (22.799 morts) que les vagues géantes provoquées par un séisme de magnitude 9 sur l'échelle ouverte de Richter survenu au large de l'Indonésie ont englouti le plus grand nombre de personnes, selon des bilans toujours provisoires. Dans le nord de Sumatra de nouvelles fortes secousses telluriques dans la nuit ont fait redouter aux survivants un autre tsunami.

En Papouasie occidentale, un séisme de faible magnitude (4,6 sur l'échelle de Richter) a aussi semé la panique jeudi principalement dans la grande ville de Jayapura, où aucun dégât n'a pourtant été signalé. Conséquence de cette activité sismique toujours intense, une alerte officelle au tsunami a même été lancée dans le sud de l'Inde jeudi matin, provoquant l'exode de milliers de personnes, notamment dans l'Etat du Tamil Nadu, où ont été recensées plus de la moitié des 10.850 victimes indiennes du raz de marée.

Jeudi, la presse indienne accusait la bureaucratie d'avoir mal géré dimanche les premières alertes au tsunami, perdant un temps précieux qui aurait permis de sauver des vies. L'Inde a perdu son point le plus au sud, Indira Point, avalé par la mer, et où seul reste désormais visible un phare planté au milieu des eaux.

Sur le plan humanitaire, les risques d'épidémies génèrent de très vives inquiétudes dans les zones les plus touchées en Indonésie, dans les archipels indiens de Nicobar et Andaman et au Sri Lanka. A Sumatra, des zones immenses restent hors d'atteinte pour les secouristes autrement que par la mer ou par air, et de nombreux rescapés souffrent de la faim et certains sont victimes de pillages. A Lhokseumawe, des malfaiteurs ont propagé de fausses alertes afin de pousser les survivants à fuir pour les voler. Un total de 419 militaires sont arrivés dans la ville martyre de Meulaboh, où les survivants affamés avaient commencé à fouiller la couche de boue en quête de noix de coco ou de riz. Les secouristes -notamment étrangers- continuaient jeudi à être confrontés à des difficultés extrêmes pour acheminer l'aide au nord de Sumatra. La pénurie d'essence paralysait les transports, notamment de vivres et de matériel médical. Un avion cargo australien a commencé à évacuer des survivants de Banda Aceh, la capitale de la province d'Aceh.

Selon un porte-parole de l'armée indonésienne, au moins 2.500 cadavres restaient disséminés jeudi en milieu de journée. "Les corps en putréfaction vont provoquer des maladies comme le choléra, la diarrhée ou la typhoïde si nous n'intervenons pas rapidement", a expliqué jeudi William Carré, de l'ONG française Pompiers sans frontières, qui prévoit d'installer un poste de traitement de l'eau dans une zone sinistrée. "Le fait que cela soit de l'eau saumâtre (qui a déferlé sur les terres) est un problème supplémentaire car bien sûr elle n'est pas consommable", a-t-il ajouté.

La phase d'urgence dans le nord de Sumatra durera un an tandis que la phase de reconstruction s'étalera de mi-2005 à la fin 2009, selon l'Etat indonésien. Au Sri Lanka, pays le plus touché après l'Indonésie, le bilan officiel s'élevait jeudi matin à 22.799 morts, 8.815 blessés mais toujours 4.059 disparus.

A Mitiyagoda, où un train entier a été broyé par la mer, quelque 200 sauveteurs militaires, seulement équipés de gants chirurgicaux et de masques, s'efforçaient toujours jeudi de désincarcérer des centaines de corps encore coincés dans l'amas de ferrailles. Seuls 200 passagers sont sortis vivants du train, qui transportait 1.500 passagers. Colombo a appelé jeudi la communauté internationale à lui fournir une aide financière. "Nous avons actuellement essentiellement besoin d'aide matérielle et financière, plus que de personnel étranger", a souligné le ministère des Affaires étrangères.

Un convoi de cinq camions du Programme alimentaire mondial (PAM) de l'ONU s'est rendu jeudi dans les régions du nord-est contrôlées par la rébellion tamoule, suivant un premier convoi parti dans la nuit. Le gouvernement avait demandé mercredi à la guérilla de se joindre à la coordination des opérations de secours. En Thaïlande, où le dernier bilan officiel s'établit à 1.975 morts et plus de 9.000 blessés, le Premier ministre Thaksin Shinawatra a laissé entendre jeudi que le nombre définitif de morts dans son pays pourrait approcher les 7.000, car, selon lui, 80% des 6.000 personnes disparues sont probablement mortes.

L'ampleur de la catastrophe a déclenché une mobilisation sans précédent dans le pays. De partout les volontaires ont afflué pour aider au ramassage des corps, la tâche devenant de plus en plus difficile avec la décomposition des centaines de cadavres, accélérée par la chaleur tropicale. "Nous devons y aller à mains nues, il n'y a pas assez de gants en caoutchouc pour tout le monde dans l'équipe", a expliqué l'un des volontaires à Khao Lak, localité balnéaire particulièrement sinistrée, au nord de l'île de Phuket

Les fondations caritatives sont aussi très impliquées dans l'identification des corps, qui sont rassemblés sur des sites précis, photographiés et sur lesquels sont prises les empreintes digitales, quand c'est encore possible. Dans un temple de la région, environ 600 dépouilles sont alignées par terre épaule contre épaule, sur neuf rangées. Les corps devaient être enterrés jeudi dans une fosse commune si personne ne les réclame.

Face à la catastrophe, les Nations unies comptent demander aux pays donateurs plus de 1,6 milliard de dollars, somme qui avait été réclamée pour la reconstruction de l'Irak après l'intervention militaire américaine. Le président américain George W. Bush a annoncé la création d'une coalition internationale de secours aux victimes des tsunamis, regroupant dans un premier temps les Etats-Unis, l'Inde, l'Australie et le Japon.

Les Etats-Unis ont déjà annoncé 35 millions de dollars d'aide, le Canada 32 millions et le Japon 30 millions de dollars. Londres a débloqué 21,3 millions d'euros, l'Allemagne a promis 20 millions d'euros, et la France a annoncé 22 millions d'euros. L'Arabie Saoudite et le Qatar ont annoncé chacun l'octroi d'une aide de 10 millions de dollars. En Australie, les organisations humanitaires ont enregistré une générosité sans précédent de la part de la population. De l'équipe nationale de cricket aux enfants des écoles, les dons se sont multipliés approchant jeudi les 25 millions de dollars australiens (19,25 millions USD). Non loin de l'aide débloquée par le gouvernement, à 27 millions de USD.

Loin des régions dévastées, de nombreux pays occidentaux ont continué de rapatrier des milliers de leurs ressortissants qui étaient en vacances sur les plages de l'océan Indien, en particulier en Thaïlande où les autorités ont confirmé jeudi la mort de 350 touristes étrangers. Au total, quelque 7.000 étrangers sont portés disparus ou n'ont pas donné de nouvelles.

Les pays nordiques et l'Allemagne pourraient enregistrer les plus fortes pertes. En Suède, les autorités sont sans nouvelles de quelque 1.500 personnes. La Norvège, qui a officiellement recensé 20 morts, recherche toujours 700 à 800 ressortissants. Le chancelier allemand Gerhard Schroeder a confirmé la mort de 26 touristes allemands tandis qu'un millier d'autres sont portés disparus. Dans les autres pays occidentaux, plusieurs pays comme la Grande-Bretagne (27 morts), la France (21 morts), l'Autriche (20), l'Italie (14), les Etats-Unis (14), demeuraient sans nouvelles de dizaines ou de centaines de personnes.

<_<

Lien vers le commentaire
ca m'etonne meme pas  <_<

et le soir tu kiffes devant le bigdil!

Tu attends impatiement le rideau et vis ma vie <_<  :blush:  :blink:

<{POST_SNAPBACK}>

t'as tout compris...sauf que pour le bigdil j'ai passé l'age....et toi tu kiffes devant quoi le soir?ta main droite? :P

Lien vers le commentaire

Et parce que la vie continue quand même malgré tout, le bistrot est toujours à l'écoute des infos du monde......

Mes cheveux poussent de manière merveilleuse", affirme Berlusconi

ROME (AFP) - Le chef du gouvernement italien Silvio Berlusconi a affirmé jeudi que ses "cheveux poussaient de manière merveilleuse", en allusion aux transplants capillaires qui lui ont été greffés l'été dernier.

Interrogé par une journaliste au cours de la conférence de fin d'année sur ses disparitions "mystérieuses" au cours desquelles il faisait des liftings, des transplantations de cheveux ou des régimes drastiques, M. Berlusconi a répondu: "mes cheveux poussent de manière merveilleuse".

"Qui peut se le permettre, avec les progrès de la chirurgie et de la science, doit effectuer ce genre d'intervention", a ajouté M. Berlusconi, évoquant ses obligations de "représentation internationale du pays".

"C'est aussi une question de jeunesse intérieure, moi je me sens comme si j'avais 40 ou 42 ans", a déclaré le chef du gouvernement, âgé de 68 ans.

"Je cours d'ailleurs les 100 mètres dans un temps excellent", a-t-il ajouté, sans préciser ce temps.

La repousse des cheveux sur le crâne de M. Berlusconi est parfaitement visible au fil des semaines.

Je transfère dans le Topic des trucs dont on se branle ?

<_<

Lien vers le commentaire

30 décembre 2004

18:35 Les chiffres toujours plus noirs en Asie

par Chris Brummitt

BANDA ACEH, Indonésie (AP) - Le bilan toujours provisoire du séisme et des raz-de-marée de dimanche en Asie du Sud et du Sud-Est approchait jeudi les 120.000 morts, plus des milliers de personnes disparues, avec la découverte de près de 28.000 cadavres supplémentaires en Indonésie. Trois à cinq millions de vies dépendent de l'aide humanitaire, selon l'Organisation mondiale de la santé (OMS).

Les multiples secousses telluriques ressenties depuis dimanche entretiennent l'angoisse. L'observatoire de Hong Kong a ainsi enregistré une réplique de 5,7 degrés en mer, au nord-ouest de l'île indonésienne de Sumatra, après des tremblements dans la nuit dans l'archipel indien d'Andaman et Nicobar. Le géologue Jason Ali de l'Université de Hong Kong soulignait néanmoins qu'un séisme de 5,7 degrés serait un millier de fois moins puissant que celui de magnitude 9 de dimanche, à l'origine d'une vague fonçant à 800km/h dans l'océan

Indien, et aurait probablement «un impact négligeable».

Rien à voir donc avec les raz-de-marée du week-end, dont les 12 pays touchés, jusqu'en Afrique de l'Est, continuent d'évaluer les conséquences. Il faudrait 40 millions de dollars (29 millions d'euros) pour fournir eau potable, abri, sanitaires et soins médicaux aux trois à cinq millions de personnes devenues incapables d'assurer leur survie, selon l'OMS.Et encore ne connaît-on pas l'étendue exacte du désastre humain.

Environ 60% de Banda Aceh, à la pointe nord, sont détruits, selon le fonds de l'ONU pour l'enfance, l'UNICEF, et 185 kilomètres de la côte nord-ouest, semée de villages, sont inondés. Des corps gonflés en décomposition jonchent les rues sous la chaleur tropicale, dans une odeur pestilentielle. «Tout s'est écroulé ici. Même le gouvernement s'est écroulé. Les hôpitaux, les services médicaux sont débordés», constate le chirurgien général des armées, le général Achmad Hiayat. L'aide non distribuée s'accumule dans un aéroport régional.

© AP - The Associated Press. Tous droits réservés.

Lien vers le commentaire

Séisme en Asie: les animaux ont-ils un sixième sens? COLOMBO/PARIS (AP)

- Les animaux ont-ils senti la catastrophe arriver dimanche en Asie? C'est l'hypothèse avancée par le responsable d'un parc naturel du Sri Lanka, surpris de voir très peu de cadavres d'animaux tués par le séisme et les raz-de-marée, qui ont tué plus de 120.000 personnes dans la région.

»Je trouve des corps humains mais je n'ai pas encore vu un animal mort», a expliqué Gehan de Silva Wijeyeratne, dont la société Jetwing Eco Holidays dirige un hôtel dans le Parc national de Yala, la plus grande réserve sauvage du pays.

Les immenses vagues ont submergé dimanche le parc naturel mais les animaux n'ont apparemment pas été affectés et pourraient avoir trouvé refuge sur des hauteurs, estime M. Wijeyeratne. «Peut-être avons-nous raison, les animaux sont dotés d'un sixième sens», a-t-il déclaré. Ce parc naturel abrite 200 éléphants, des léopards, des sangliers et d'autres animaux rares.

Pour Pascal Picq, maître de conférences au Collège de France au laboratoire de Paléoanthropologie et Préhistoire, «les témoignages» recueillis dans la région laissent entendre que les animaux auraient senti arriver la catastrophe naturelle.

»Tout le monde fait état d'un grand silence avant la déferlante», a rappelé jeudi Pascal Picq sur Europe-1. «Il est tout à fait possible que cette onde de choc, cette grande vague» aient été »ressenties» par «les animaux terrestres» en raison «des vibrations qu'ils ressentent mieux que nous».

»Les oiseaux doivent ressentir ces différences de pression d'air», a ajouté le paléonthropologue. Les hommes ont «une réalité biologique» avec une perception «des ondes sonores, un spectre visuel, on l'utilise de moins en moins mais les animaux en ont d'autres».

De plus, «nous autres les hommes, nous ne sommes plus du tout sensibles à ces petits événements de la nature», a ajouté le scientifique. «On perd ce genre de choses, on n'est plus du tout attentif par nos modes de vie actuels». AP

ljg/div/JmC

Lien vers le commentaire

31 décembre 2004

11:20 Indonésie: la guerre continue à Aceh malgré l'urgence humanitaire

JAKARTA - L'armée indonésienne a admis continuer ses raids contre les rebelles séparatistes de la province d'Aceh dévastée par des raz-de-marée, en dépit de l'urgence humanitaire. Un demi-million de sinistrés ont besoin d'assistance rapide.

«Nous continuons à lancer des opérations visant le Mouvement Aceh Libre (GAM, séparatiste) et notre vigilance reste forte», a déclaré le lieutenant-colonel Nachrowi, du service de l'information de l'état-major. Les rebelles du GAM luttent depuis 1976 pour l'indépendance de cette province du nord de l'île de Sumatra, riche en hydrocarbures. Ce conflit a fait plus de 12 000 morts en 28 ans.

«Le principe est que toutes nos forces à Aceh continuent à assurer leurs opérations de sécurisation. Mais elles consacrent une part importante de leur temps à l'effort humanitaire», a ajouté l'officier. Selon un porte-parole de l'armée, Ahmad Yani Basuki, «il y a même des informations selon lesquelles le GAM profite de la situation».

L'armée a lancé en mai 2003 une vaste opération pour écraser le GAM, après l'échec d'une trêve. Plus de 2300 rebelles ont été tués depuis lors. Des

associations de défense de droits de l'Homme affirment que de très nombreux civils sont tués aussi.

Le chef de l'état-major de l'armée indonésienne avait pourtant appelé lundi à une trêve armée avec les rebelles d'Aceh afin de privilégier les opérations de secours. Le GAM avait répliqué mardi en dénonçant un non-respect par l'armée du cessez-le-feu décrété et la lenteur des secours aux populations sinistrées.

Le président indonésien Susilo Bambang Yudhoyono a de son côté demandé jeudi aux membres du GAM de déposer les armes et de se consacrer à la reconstruction, sans toutefois évoquer de suspension des opérations militaires.

Lien vers le commentaire

13:24 Raz-de-marée en Asie: le PAM réclame des hélicoptères

GENÈVE - Le Programme alimentaire mondial (PAM) a demandé à la communauté internationale de fournir d'urgence des hélicoptères et des avions cargo pour aider les victimes du raz-de-marée en Asie. Il renforce progressivement son dispositif.

«Nous avons un besoin vital d'avions et d'hélicoptères, en raison de l'étendue géographique de la catastrophe et du terrain très difficile», a affirmé le directeur général du PAM, James Morris, cité dans un communiqué. Le raz-de-marée en Asie du sud est «peut-être la pire catastrophe naturelle de l'histoire», a déclaré le responsable du PAM.

Le PAM renforce progressivement son dispositif: il espère pouvoir aider dès le 6 janvier 750 000 personnes au Sri Lanka avec suffisamment de nourriture pour deux semaines. Il a commencé également à envoyer de l'aide en Indonésie.

«Les répercussions de cette tragédie sont si sérieuses que les populations touchées devront recevoir une aide internationale massive pour plusieurs mois», a souligné M. Morris.

Lien vers le commentaire

Join the conversation

You can post now and register later. If you have an account, sign in now to post with your account.

Invité
Répondre à ce sujet…

×   Collé en tant que texte enrichi.   Coller en tant que texte brut à la place

  Seulement 75 émoticônes maximum sont autorisées.

×   Votre lien a été automatiquement intégré.   Afficher plutôt comme un lien

×   Votre contenu précédent a été rétabli.   Vider l’éditeur

×   Vous ne pouvez pas directement coller des images. Envoyez-les depuis votre ordinateur ou insérez-les depuis une URL.

×
×
  • Créer...

Information importante

Nous avons placé des cookies sur votre appareil pour aider à améliorer ce site. Vous pouvez choisir d’ajuster vos paramètres de cookie, sinon nous supposerons que vous êtes d’accord pour continuer.