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Bernd

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en Espagne il a y 5 grandes sociétés de loteries nationales, l'équivalent de la FdJ n'existe pas en espagne donc tu peux pas comparer <_<

ben si justement le jour où ça sera le cas en France les poules auront des dents...

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ben si justement le jour où ça sera le cas en France les poules auront des dents...

Est ce que tu t'es déjà posé la question du pourquoi c'était comme ça ?

Et t'inquiète pas bientôt elle sera privatisée, il y aura droit à la concurrence et on pourra mettre 888.com sur nos maillots <_<

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  • 1 mois plus tard...
Ce qui est surprenant, c'est par exemple Sport24 qui laisse publier sur son site des pub, voire a un partenariat avec, Betclic...

C'est des jeux d'argent, tout pareil....

je crois que si sport24 est un site enregistré hors de la france, elle n'appartient pas aux lois francaises. Je suis pas sur mais ca expliquerai ... enfin bon en meme temps il y a plein de sites qui font de la pub avec des jeux de paris en ligne donc bon ...

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je crois que si sport24 est un site enregistré hors de la france, elle n'appartient pas aux lois francaises. Je suis pas sur mais ca expliquerai ... enfin bon en meme temps il y a plein de sites qui font de la pub avec des jeux de paris en ligne donc bon ...

Grosso-modo c'est faux (ça dépend de ce que tu entends par "appartient"), mais bon ce n'est pas le problème. Il n'y a tout simplement pas de raison valable qu'un état ait le monopole sur les jeux d'argent. La position de l'état français devient simplement de plus en plus intenable, et il finira bien par se plier aux injonctions de l'UE, comme les autres états.

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source : le Figaro.com du 25 juin 2007

La France est accusée de bloquer indûment l'accès de son marché.

CHARLIE McCREEVY poursuit sa croisade pour la libéralisation du jeu. Mercredi, le commissaire européen en charge du Marché intérieur adressera un « avis motivé » à la France, coupable de protéger indûment le monopole de La Française des jeux (FDJ) et du PMU sur les paris sportifs. Il s'agit de la deuxième étape avant une possible saisine de la Cour de justice du Luxembourg. La Suède et, pour la première fois, la Grèce seront également épinglées. L'Autriche, en revanche, qui a manifesté tout récemment des signes d'ouverture, sera épargnée.

Le conflit date de plus d'un an. Bruxelles reproche à la France d'abuser de principes généraux, comme la protection des mineurs, pour empêcher l'accès de son marché national à des prestataires étrangers de paris sportifs. Ces pratiques seraient d'autant plus contestables que le PMU et la FDJ s'efforcent de conquérir des parts de marché hors de l'Hexagone. Ainsi, le PMU vend ses courses hippiques en Belgique par l'intermédiaire du courtier britannique Ladbroke.

Charte du « jeu responsable »

McCreevy craint que ces manoeuvres « discriminatoires » et « disproportionnées » n'aient pour seul objectif de protéger le monopole du PMU et de la FDJ contre les assauts de concurrents, comme la société maltaise Unibet, récemment écartée du sponsoring du Tour de France. « Le système français se caractérise par la prohibition et le monopole absolu », renchérit Sigrid Ligné, secrétaire général d'EGBA, le lobby européen des bookmakers. L'État français, qui perçoit notamment près d'un milliard d'euros sur les recettes du PMU, en profite largement.

De son côté, la France s'efforce de convaincre les autorités communautaires du bien fondé de ses mesures de restriction. La FDJ vient d'interdire le jeu aux mineurs et, pour prévenir les phénomènes d'addiction, a promu une charte du « jeu responsable » limitant à 500 euros par semaine l'alimentation par les joueurs de leurs comptes sur Internet. A contrario, les dirigeants de la FDJ expliquent que l'ouverture débridée à la concurrence conduit à une manipulation des paris sportifs, en particulier à un trucage des matchs de football. Le PMU, lui, rappelle que l'intégralité de son résultat net (653 millions d'euros) est reversée au développement de la filière hippique, une contrainte dont pourraient facilement s'exonérer les concurrents étrangers. Dans un arrêt récent, la Cour européenne de justice semble d'ailleurs donner raison à la France, en reconnaissant les mérites d'une politique d'« expansion contrôlée et cohérente » des jeux.

Ces évolutions ont porté leurs fruits auprès de la commission. Ainsi, McCreevy affirme renoncer à un objectif de « reconnaissance mutuelle » qui, concrètement, permettrait à n'importe quel bookmaker agréé de pénétrer sans réserves sur le marché français. Une ultime concession qui n'empêchera pas le train procédural de poursuivre sa route.

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je crois que si sport24 est un site enregistré hors de la france, elle n'appartient pas aux lois francaises. Je suis pas sur mais ca expliquerai ... enfin bon en meme temps il y a plein de sites qui font de la pub avec des jeux de paris en ligne donc bon ...

Non, non, Sport24 appartient au Figaro !

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