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TFC 0 - FC Metz 0 / 13è journée de L1


Modérateur

Messages recommandés

Prolongation pour les messins et peut-être de la fatigue pour dimanche.

C'est sur que le dernier quart d'heure du match dimanche va être difficile pour les messins, je crois qu'on devrait en profiter surtout qu'on marque pas mal de buts vers la fin des matchs.

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Moi je pense que ca va etre un des matchs les plus dificiles de la saison parce que sa fait bientot 7 ans que je supporte le Tef , et je nous est toujours vu peiné contre ce genre d' équipe mal classé mais qui reste très acrocheuse ! :grin:

J' espère que les joueurs vont nous faire mentir ce week end et que le peu de monde qui sera la les poussera !

Par contre je suplie le tfc de nous retirer cette bandas c' est horible pour nos timpans :ninja::blush:

Un membre de ce forum peut nous sauvez , il se reconaitra :blush:

Bonne chance aux Violets :(

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Le match de Metz à Marseille montre qu'ils ont quand même du talent et la possibilité de marquer et de revenir au score à l'éxterieur. Le match dimanche ne vas pas être une balade ... :blush:

pour moi ce match montre surtout la faiblesse des marseillais pas vu une équipe de l'om aussi triste à domicile depuis longtemps :ninja: bon j'arrete le HS.

pour notre match à venir j'ai surtout peur que ce match regonfle les messins, et qu'ils appliquent le meme systéme de jeu (tous derriere bien en place) et c'est pas ce qui nous va le mieux :blush:

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pour moi ce match montre surtout la faiblesse des marseillais pas vu une équipe de l'om aussi triste à domicile depuis longtemps :ninja: bon j'arrete le HS.

pour notre match à venir j'ai surtout peur que ce match regonfle les messins, et qu'ils appliquent le meme systéme de jeu (tous derriere bien en place) et c'est pas ce qui nous va le mieux :blush:

Faut pas oublier que les messins ont quand même pris un coup de plus sur la calebasse hier soir, revenir à 2-2 et se faire éliminer aux pénos, ca doit faire bien mal :blush:

Si on est pas capable de battre une équipe aussi faible (je suis sur qu'elle jouerait aussi la descente en L2), c'est pas la peine de vouloir s'aligner contre Prague qui est d'un tout autre niveau.

Je sens que notre attaque va se réveiller :grin:

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Bah faut arrêter. On a compris qu'en L1, il n'y pas d'adversaire plus faible que soit. Aucun match ne s'avère être une ballade. Dimanche il y aura 11 bonhommes en face et comme d'hab c'est ceux qui auront le plus envie de remporter les 3 points qui les auront. Ça marche comme ça pour 19 équipes de L1 et ce sera comme ça dimanche. Ce n'est qu'après qu'intervient la qualité.

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Quand tu dis "ici", c'est où ? Sur le forum, explication d'un ou deux forumeurs lambda ?

Je le sais très bien que le 4-4-2 n'a pas marché lors du dernier match (contre Caen). Ceci étant dit je pense que la faute incombe plus aux attaquants et accessoirement aux milieux latéraux qu'à notre milieu défensif.

Le problème est tout autre désormais avec un match à domicile contre une équipe qui jusqu'à présent ne fournit que peu voire pas du tout de jeu. On a également le retour de PC qui défensivement est exemplaire par rapport à Batlles.

A t'entendre, fini le 4-4-2 avec les joueurs qu'on a ! Pourtant c'était ces mêmes joueurs qui étaient sur le terrain lors du match contre Lens qui fut l'un des plus bon match de cette saison.

Je pense sincèrement que le 4-4-2 peut marcher mais il faut des automatismes et quelle meilleure opportunité que ce match d'où ma reflexion. Je suis d'accord avec beaucoup de personnes de ce forum, le 4-5-1 reste le système de base de notre équipe pour cette saison. Toutefois, on remarque que ce système de jeu à ces limites notamment à domicile contre des équipes qui ne viennent pas faire le jeu et un petit peu de réussite et de chance (comme contre Saint-Etienne) puis s'en est fini de nous.

Ben en l'état actuel des choses, je confirme ce que j'ai dit.

et le fait que Baup soit revenu à son 4-5-1 à chaque fois après avoir tenté de jouer à 2 devant ne fait que conforter mon opinion.

Moi je dis (si on ne m'éfface pas mon message Mr Z... du TFC qui lit les message et comme ca ne plait pas de dire ce qu'on pense des joueurs du TFC QUAND ILS SONT MAUVAIS. Car si certains ne le savent pas tous les messages ne sont pas diffusés

I want to believe :ninja:

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Ils ont beaucoup de blessés, leur match de l'Om les aura fatigué mais ils ont gagné en confiance, leur gardien a fait un bon match.

On devrait l'emporter, il faudra faire le jeu et comme d'habitude dans ce genre de match il convient de marquer vite si on ne veut pas se compliquer la tache.

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Une défaite aux tirs aux buts, après un match très éprouvant mentalement, était le mieux qui puisse nous arriver.

Pas sur... revenir deux fois au score au Vélodrome et faire 2-2 (hormis les pénalties) c'est presque une victoire pour un mal classé en mal de confiance. C'est peut être la seule chose a peu près plausible qu'ont dit les commentateurs du matchs.

Entre Balbir qui gueule comme un veau pour trois fois rien et l'autre de l'athlétisme.... Canal + doit se frotter les mains avec une telle concurrence. :blush:

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Comme la plupart des supp' messins, j'aimerais bien que Metz joue avec deux attaquants... comme ça déja ça ferait du spectacle, et puis on pourrait les taper plus facilement :blush:

Si ils jouent ubber defensif comme à marseille, je sens le match chiant et le vieux 0-0 ou le 0-1 volé en fin de match.

Un 4-4-2 des deux cotés siouplait ! :blush:

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Articles Républicain Lorrain

http://www.republicain-lorrain.fr/article_...s=4729f9b1a581c

Même pas mal !

Le scénario de son élimination à Marseille étire les malheurs du FC Metz jusqu'aux frontières de la cruauté. Là-dessus, resurgit le championnat, et Toulouse.

Si, actuellement cabossé et malmené comme jamais, le FC Metz atteint le printemps et finit par changer le cours de son destin, alors l'avenir lui appartiendra : inférieur et accablé sur le front de la Ligue 1, cruelle victime du sort et de la longueur en huitième de finale de la Coupe de la Ligue, il aurait toutes les raisons de baisser les bras. Il ne semble pourtant pas s'être résigné à cette extrémité, avant de s'en partir visiter Toulouse, dimanche. Dans quel état d'esprit, dans quel état de forme ? Eléments de réponse, a priori...

1. LA TETE. Francis De Taddeo, qui a retrouvé ses joueurs hier après-midi après les avoir quittés tard dans la nuit au retour de Marseille, se veut formel : « Ils sont remontés, ils ont la haine, ils ne pensent qu'à une chose, gagner à Toulouse. » L'entraîneur messin assure donc que l'élimination de son équipe aux tirs au but mardi à Marseille après être revenue deux fois au score ne laissera pas de traces néfastes, preuve à l'appui : « Les joueurs refusent d'entendre dire qu'ils ont fait un bon match à Marseille. » Un bon match, c'est un match qui se gagne. Il y a donc défaite et défaite : les discours officiels continuent à accréditer la thèse d'un revers injuste, le 6 octobre, face à Strasbourg, quand l'élimination d'avant-hier à Marseille est objectivement plus imméritée, concédée par une équipe affaiblie face à de prétendus cracks. Passons : puisqu'il faut se servir de ses fatalités avec intelligence (Gandhi), les Messins vont donc puiser de nouvelles forces mentales dans leurs derniers déboires en date. Une source inépuisable.

2. LES JAMBES. Entre un derby palpeur d'énergie par définition face à Nancy, un match de Coupe de la Ligue à rallonge (cent vingt minutes plus supplément) à Marseille et un déplacement à Toulouse dimanche, les organismes messins n'auront guère connu de repos, en huit jours. « Nos craintes sont avant tout d'ordre physique », confirme Francis De Taddeo, qui parle de « matches à forte intensité dans lesquels beaucoup ont laissé des plumes ». Problème : l'infirmerie ne désemplit pas, seul Daniel Gygax en sortira pour rallier les troupes à Toulouse, et les possibilités de changement sont peu nombreuses au sein d'un effectif particulièrement jeune. « Il y a quelques solutions », assure l'entraîneur messin. Monsieur Bricolage, pour les intimes.

S. V.

Paru le : 01-11-2007

http://www.republicain-lorrain.fr/article_...s=4729f9b1a581c

Marichez : « Le travail finit toujours par être récompensé »

Héros malheureux, mardi soir, à Marseille, Christophe Marichez refuse de céder au découragement. « Se lamenter, ce serait la pire des choses », estime le capitaine et gardien de but du FC Metz.

Fatigué, le capitaine ? « Un peu, mais les autres joueurs le sont sûrement plus que moi. » Moins que ses matelots, donc. Match d'époque pour l'indigence de son spectacle entre très mal classés du championnat de France, match épique pour la façon dont une équipe messine a priori très inférieure à son adversaire a jusqu'au bout contesté le triomphe de la raison, l'OM - Metz de mardi en huitième de finale de la Coupe de la Ligue laisse encore un pêle-mêle de sentiments à Christophe Marichez, moins de vingt-quatre heures après les faits. « J'ai aimé ce match », affirme le gardien de but du FC Metz. Marichez a moins aimé ce verdict, pour lequel il plaide coupable. Avant toute considération collective, que ressent un gardien qui a tout fait pour emmener son équipe aux tirs au but mais ayant finalement échoué ? « Beaucoup de frustration. J'aurais aimé aller au bout, offrir la qualification à tous ceux qui, comme moi, venaient de fournir les efforts. Seulement, je n'ai pas réussi à stopper ce tir au but marseillais qui aurait permis à Sébastien Bassong de réussir le sien. C'est ce que je lui ai dit, lorsque je suis allé le relever : je suis aussi responsable que toi... »

Mais les cinq tirs au but marseillais ont été particulièrement bien tirés... « Peut-être. Mais le match parfait aurait constitué à en arrêter un quand même. Il me reste donc un sentiment d'inachevé. Je suis un compétiteur. Mandanda aussi doit se sentir frustré de ne pas avoir été décisif : lui non plus n'en a pas arrêté un seul, puisque Sébastien a tiré à côté. Ce que je retiens, au final, c'est que je n'ai pas su être décisif. »

Sauf pendant les 90 premières minutes... Avez-vous le sentiment d'avoir livré votre meilleur match depuis le début de la saison ? « Oui. Déjà, je n'avais encore jamais été autant sollicité et les choses se sont tout de suite bien passées. Jusqu'ici, je n'avais pas réussi à faire basculer un match en notre faveur. C'est la première fois que je jouais au Vélodrome : même si le stade n'était pas plein, c'est un contexte propre à vous galvaniser, surtout quand tout le monde vous donne perdant... »

Entre l'accumulation de blessures qui vous affaiblissent et cette élimination à la loterie des tirs au but, il semble difficile de se défaire de l'impression que tout se ligue contre vous. Ressentez-vous de l'injustice ? « Non. Un certains nombre d'éléments sont contre nous, mais la réussite se provoque et, visiblement, nous la provoquons mal. Se lamenter, ce serait la pire des choses. » Comment ne pas céder à l'abattement ? « C'est une question d'attitude. A Marseille, j'ai par exemple rassemblé mes coéquipiers, à 1-0, puis à 2-1, pour leur dire que nous pouvions revenir. Nous avions déjà procédé ainsi à Caen. Comme par hasard, cela ne s'est pas fait à Nice, et nous avons perdu. Voilà, c'est ça : nous devons croire en ce que nous faisons. Je suis de ceux qui pensent que le travail finit toujours pas être récompensé. Et je le dis par expérience. »

Vous n'avez pas l'impression de jouer le maintien en Ligue 1 avec une équipe plus faible que celle qui a obtenu la montée, la saison dernière ? « Affirmer cela, c'est faire injure à ceux qui jouent actuellement. Or, ce ne sont pas des seconds couteaux, comme ils viennent de le prouver à Marseille. Sur le papier, c'est sûr, nous paraissons moins forts : mardi, l'OM alignait neuf internationaux, dont trois sur le banc. Notre challenge s'annonce ardu. Il n'a rien d'impossible. »

Que faire pour atteindre la trêve en préservant vos chances de maintien ? « Gagner au moins trois matches. Disons qu'il nous faut onze points, donc trois victoires et deux nuls, en sept matches. Nous sommes capables d'aller gagner à Toulouse dimanche et d'enchaîner par une victoire contre Lens. Ce ne sont pas des paroles en l'air. Depuis notre victoire à Caen (1-2, le 22 septembre), il y a une réelle amélioration dans le jeu. Nous allons la traduire par des résultats. »

Sylvain VILLAUME.

Paru le : 01-11-2007

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