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Ligue 1 en général


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Il y a 2 heures, Alfcat a dit :

Non. Juste cette c.... insupportable des mouvements dits "Ultra", quelque soit le domaine.

Les jets de bouteilles ne venaient pas spécifiquement de la tribune des ultras. L’invasion oui. Pour autant, les ultras de Nice ne représentent pas tous les ultras. Des gens ont foutu la merde à Nice, ce sont eux qu’il faut cibler dans les critiques.

Par contre la Ligue a visiblement très bien su rendre les Ultras coupable de tous les maux du football. Elle ne s’est jamais attaqué à ce problème qui est pourtant central (on remarque que c’est une des choses dont les stars du football mondial se plaignent le plus une fois en France). Les fumigènes gênent les joueurs ? Rarement. Alors que de prendre une bouteille dans la gueule, ça oui visiblement ça les saoule. Mais comme d’hab, elle cherche à faire du politique plutôt qu’à créer un cadre sain pour son sport. Donc, aucune solution (a part confisquer le bouchon, pour quel résultat ?).

Rivère hier, c’est pas de masques, salutations et complaisance aberrante envers ses fidèles, culpabilisation des victimes. Mais comme il est dirigeant de club et qu’il a respecté la volonté de la ligue, que lui dira-t-on ?

Notons aussi que l’on attend toujours la réaction de l’UNFP.

Modifié par Vistule
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Un jour il faudra peut-être faire la différence entre le spectateur, le supporter, le supporter ultra, et ces demi neurones que l'on voit fleurir dans certains groupes ultra.

Ça a été suffisamment commenté pendant les confinements: pour certains, le monde des ultras , le foot, le stade, ce n'est plus une question de sport ou d'amour du maillot. C'est juste un exutoire où venir déverser le weekend tous ce qu'ils trimballent de souffrances, de névroses, de violence. Les types s'en branleraient presque du résultat, tant qu'ils peuvent beugler , insulter , se battre . Ces mecs là, c'est pas juste les plaies d'un stade, c'est plus généralement des gens à identifier et à soigner.

J'aime bien aller quand je peux en Taton avec les Indians, quand ça siffle, quand ça fait des doigts, quand ça chambre, je suis pas avec , mais ça fait partie du truc, en soi ça me dérange pas , chacun fait sa catharsis comme il le souhaite. Mais putain , quand t'en viens à viser un mec avec une bouteille pleine en espérant lui faire le plus mal possible , juste parce que tu veux lui faire payer son appartenance à l'équipe d'en face, là il n'y a plus d'excuses, d'effet de groupe, t'es juste un abruti dangereux. Et ces mecs là au sein même des ultras , tout le monde les connaît, faire le ménage, c'est loin d'être aussi compliqué que ce qui se dit....

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il y a 10 minutes, Asha31 a dit :

Un jour il faudra peut-être faire la différence entre le spectateur, le supporter, le supporter ultra, et ces demi neurones que l'on voit fleurir dans certains groupes ultra.

Ça a été suffisamment commenté pendant les confinements: pour certains, le monde des ultras , le foot, le stade, ce n'est plus une question de sport ou d'amour du maillot. C'est juste un exutoire où venir déverser le weekend tous ce qu'ils trimballent de souffrances, de névroses, de violence. Les types s'en branleraient presque du résultat, tant qu'ils peuvent beugler , insulter , se battre . Ces mecs là, c'est pas juste les plaies d'un stade, c'est plus généralement des gens à identifier et à soigner.

J'aime bien aller quand je peux en Taton avec les Indians, quand ça siffle, quand ça fait des doigts, quand ça chambre, je suis pas avec , mais ça fait partie du truc, en soi ça me dérange pas , chacun fait sa catharsis comme il le souhaite. Mais putain , quand t'en viens à viser un mec avec une bouteille pleine en espérant lui faire le plus mal possible , juste parce que tu veux lui faire payer son appartenance à l'équipe d'en face, là il n'y a plus d'excuses, d'effet de groupe, t'es juste un abruti dangereux. Et ces mecs là au sein même des ultras , tout le monde les connaît, faire le ménage, c'est loin d'être aussi compliqué que ce qui se dit....

Surtout que c'est du gaspillage, si elle est pleine :ninaj: 

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il y a 1 minute, arno31 a dit :

Putain les mecs n'ont d'autre à foutre que de faire une banderole un dimanche soir à minuit pour se foutre de la gueule d'un joueur sur un match qui ne les concernent même pas.  :doh:

Elle date pas d'hier cette banderole.

 

Septembre 2020

 

 

 

  • Crylol 1
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Il y a 8 heures, Asha31 a dit :

Un jour il faudra peut-être faire la différence entre le spectateur, le supporter, le supporter ultra, et ces demi neurones que l'on voit fleurir dans certains groupes ultra.

Ça a été suffisamment commenté pendant les confinements: pour certains, le monde des ultras , le foot, le stade, ce n'est plus une question de sport ou d'amour du maillot. C'est juste un exutoire où venir déverser le weekend tous ce qu'ils trimballent de souffrances, de névroses, de violence. Les types s'en branleraient presque du résultat, tant qu'ils peuvent beugler , insulter , se battre . Ces mecs là, c'est pas juste les plaies d'un stade, c'est plus généralement des gens à identifier et à soigner.

J'aime bien aller quand je peux en Taton avec les Indians, quand ça siffle, quand ça fait des doigts, quand ça chambre, je suis pas avec , mais ça fait partie du truc, en soi ça me dérange pas , chacun fait sa catharsis comme il le souhaite. Mais putain , quand t'en viens à viser un mec avec une bouteille pleine en espérant lui faire le plus mal possible , juste parce que tu veux lui faire payer son appartenance à l'équipe d'en face, là il n'y a plus d'excuses, d'effet de groupe, t'es juste un abruti dangereux. Et ces mecs là au sein même des ultras , tout le monde les connaît, faire le ménage, c'est loin d'être aussi compliqué que ce qui se dit....

+ 1000, tout est là 

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Le résumé de la soirée OM-Nice par l'Equipe pour ceux que ça intéresse :

Citation

Nice-OM, récit d'une soirée interminable

À la 75e minute, dimanche, le match entre Nice et l'OM a basculé dans l'irrationnel. Voici les principaux chapitres d'une rencontre qui ne s'est jamais vraiment terminée.

 

Une ambiance déjà tendue avant l'incident

L'atmosphère est souvent incandescente quand les deux clubs de la Méditerranée s'affrontent, et elle s'avère tendue, encore, dans la chaleur lourde de l'Allianz Riviera. La préfecture des Alpes-Maritimes a limité à 450 le nombre de supporters marseillais autorisés à faire le déplacement dimanche, tous venus dans des cars spécialement affrétés par l'OM, et ils sont installés dans le secteur visiteurs, en face du bouillant virage sud. L'ambiance monte très vite et les encouragements sont nourris dès l'échauffement de la part du public niçois, prompt aussi à siffler les joueurs adverses. L'électricité monte encore juste avant le coup d'envoi, et de nombreux projectiles tombent déjà dans la surface de Steve Mandanda quand il vient prendre sa place devant son but, au pied du virage sud.

Calmement, le capitaine marseillais les balance derrière la ligne, pendant que le capo niçois, au mégaphone juste au-dessus, est dans la provocation plus que dans la violence verbale. Le choc sent le soufre, et la première faute du soir, dès la 30e seconde, de Mario Lemina sur Pape Gueye, est applaudie par l'ensemble du stade. Dans ce contexte tendu, Alvaro Gonzalez en rajoute et, dans sa surface, il adresse quelques doigts d'honneur vers la foule après avoir repéré un supporter jouant avec un laser et le pointant sur plusieurs de ses coéquipiers.

Malgré le climat crispé, le match est agréable, rythmé, intéressant, mais les conditions de jeu n'invitent pas à la sérénité, puisque les projectiles atteignent régulièrement la surface de Mandanda. On joue seulement depuis dix-sept minutes quand, sur un corner niçois, le gardien marseillais manifeste à l'arbitre, M. Benoît Bastien, son exaspération en levant les bras, alors que des bouteilles tombent du virage, rapidement ramassées et écartées par Mattéo Guendouzi.

La scène se répète à chaque corner, comme à la 42e minute, quand Mandanda voit encore les bouteilles d'eau tomber et que Dante et Jean-Clair Todibo demandent aux supporters d'arrêter ces débordements. À ce moment du match, l'arbitre signale le problème et le speaker du stade lance un avertissement aux tribunes, demandant au public de ne rien jeter sur la pelouse et concluant : « Je compte sur vous ». Il n'est pas vraiment entendu, parce que les briquets, porte-clés et bouteilles continuent de perturber la rencontre, ensuite, alors que la frontière entre le public et le terrain semble assez poreuse, déjà, sur le but de Kasper Dolberg (49e) : le Danois est tout de suite enlacé par une quinzaine de supporters passés par-dessus les panneaux publicitaires sans aucune résistance.

Encore plus remuant après l'ouverture du score, le virage sud continue de lancer toutes sortes d'objets vers la pelouse, Konrad de la Fuente reçoit une bouteille dans les pieds en jouant un ballon vers le poteau de corner (59e) où, trois minutes plus tard, Dimitri Payet est visé lui aussi. Le Réunionnais, déjà, se baisse pour ramasser et renvoyer les projectiles et Justin Kluivert, à côté de lui, fait signe aux supporters de se calmer. Un nouveau corner pour l'OM, à la 65e, est obtenu de l'autre côté, à la droite de l'attaque, tiré par Cengiz Ünder : deux stadiers protègent le joueur, dont l'un esquive une bouteille pour ne pas la prendre dans le visage. À ce moment-là, l'arbitre aurait déjà matière à interrompre le match pour faire retomber une tension devenue malsaine. Mais il choisit de laisser la rencontre se poursuivre. Et les Marseillais obtiennent encore un corner, côté gauche cette fois, donc frappé par Payet.

Joueurs, membres des staffs, stadiers, supporters : de nombreux participants à la rixe

Après 74 minutes et sept secondes de jeu, Dimitri Payet se relève après avoir reçu une bouteille d'eau dans le haut du dos et il l'expédie dans la tribune sud. Il en jette une seconde dans la foule, qui réplique par différents types de projectiles. Alors que Dante se rapproche du public pour le calmer, Guendouzi et Alvaro font de même pour l'invectiver. Puis un ultra niçois, habillé de noir, essaye de mettre un coup de pied à Payet, il est repoussé par Todibo, Gerson, Boubacar Kamara et un officiel niçois. Pendant une dizaine de secondes de répit, les stadiers, aidés des joueurs niçois, pensent reprendre le dessus, les supporters restent derrière une bannière publicitaire, au bas de la tribune, seuls quatre d'entre eux sont sur la pelouse, mais pas dans l'aire de jeu, et ils semblent plutôt sur le recul.

Le préparateur physique de l'OM, Pablo Fernandez, arrive en trottinant et couche un des fans azuréens avec un coup de poing. Personnage caractériel, Fernandez avait failli se battre au printemps avec plusieurs joueurs de l'effectif olympien de la saison dernière, dont Valère Germain. En privé, il a expliqué son comportement à Nice par un drame personnel. Après ce K.-O., Fernandez s'éloigne, et plusieurs joueurs niçois veulent le rattraper, Gouiri, un bref instant, puis Todibo, plus véhément, qui va se heurter à Gerson, placé devant le préparateur physique.

Pendant cette vive altercation entre joueurs, le chaos se déchaîne, une soixantaine d'ultras de la tribune sud entrent sur la pelouse, s'agglutinant principalement dans la surface de Walter Benitez, formant une vague qui va bousculer Alvaro, revenu au contact malgré les efforts de Dante pour le calmer, et Luan Peres, protégé par des stadiers. Mandanda essaie de calmer des joueurs et supporters niçois. Puis la vague reflue aussi vite, l'envahissement du terrain a duré une quarantaine de secondes.

Sur cette séquence, les seuls coups échangés semblent l'avoir été entre membres du staff et joueurs des deux clubs. Alvaro et Todibo restent remontés comme des coucous. Après avoir déjà dégagé un ballon dans la tribune sud, un peu plus tôt, le premier file vers la tribune présidentielle, des supporters niçois lui balancent des bouteilles de coca, il en reprend une de volée, il refait des doigts d'honneur. Christophe Galtier tente de l'adoucir.

Todibo, lui, veut toujours en découdre avec Fernandez. Il se rapproche de Jorge Sampaoli, qui a plutôt été en deuxième ligne lors de l'envahissement du terrain, des tensions éclatent brièvement. Puis M. Bastien demande aux acteurs de rentrer dans leurs vestiaires, ce qui va prendre un temps fou, plus de trois minutes. Quelques supporters reviennent brièvement, on reconnaît même des ados du Challenge Orange (à la pause) qui gambadent sur la pelouse et sèment des stadiers. Le long de la ligne de touche, de nouvelles empoignades entre membres des staffs, de la sécurité, et joueurs. Sampaoli est fou de rage, son adjoint Jacques Abardonado et le team manager Rani Berbachi doivent le ceinturer pour lui faire quitter la pelouse, que Dolberg a fui depuis longtemps. Sur cet épisode, la direction niçoise accuse Gallé Baldé, frère de l'ex-pro Dianbobo et chargé de protéger le groupe pro olympien, d'avoir tapé Justin Kluivert.

En corbeille, des scènes tout aussi lunaires. Sous les yeux de José Cobos, ex-joueur niçois, le président Jean-Pierre Rivère s'écharpe avec Pablo Longoria et Jacques Cardoze, le directeur de la communication de l'OM, l'Espagnol aurait manqué de respect à sa femme. Le président marseillais réfute cette version. Du côté du parcage visiteurs, une partie des supporters de l'OM a couru de tous les côtés pendant les scènes sur le terrain. Mais elle a été contenue par les forces de l'ordre, qui ont utilisé des gaz lacrymogènes, et les stadiers.

Le préfet pour une reprise, la volte-face de l'arbitre

Pendant que les joueurs rentrent au vestiaire, Rivère file déjà vers le bas du virage sud pour échanger avec les supporters et tenter d'apaiser le climat. Tout le monde est retourné à sa place en tribune, il n'y a plus d'intrus sur la pelouse. Puis le président niçois revient rapidement vers le couloir des vestiaires, où résonnent encore les éclats de voix de Jorge Sampaoli, qui ne décolère pas. « Vous êtes fous, vous êtes fous ! », crie l'entraîneur marseillais en direction du corps arbitral, pendant que Galtier, silencieux, observe la scène avec un regard dépité. L'arbitre convoque les deux capitaines, les deux entraîneurs, les présidents, le délégué de la LFP, et la réunion dure un peu, le temps que chacun expose sa position. Elle est très claire : Nice veut finir le match, alors qu'il reste un quart d'heure à jouer, plus le temps additionnel ; l'OM ne veut pas revenir sur le terrain. Et l'arbitre ? « L'arbitre m'a dit en face qu'il voulait arrêter définitivement le match, et il l'a noté sur le rapport », raconte Longoria.

Selon des sources à la Ligue, M. Bastien, décideur final, indique effectivement qu'il ne souhaite pas que le match se poursuive parce que, s'il reprend, il y aurait un problème d'équité sportive : il aurait été obligé de sanctionner Dimitri Payet et Alvaro Gonzalez pour leur attitude juste avant les débordements et donc, très probablement, de les expulser. Pourquoi décide-t-il d'une reprise de la rencontre, alors ? Parce qu'il suit la volonté du préfet, Bernard Gonzalez, favorable à une reprise pour des questions de sécurité et d'ordre public : il juge risqué d'évacuer les 32 000 personnes présentes, alors que l'excitation est à son comble, et il le fait clairement savoir, par téléphone. M. Bastien note donc dans son rapport qu'il a souscrit à la recommandation du préfet, en précisant qu'elle est soutenue par la commission des compétitions de la LFP. Du côté de la Ligue, on colle en effet à la position de la préfecture, en précisant que c'est bien à l'État de retrouver les fauteurs de troubles.

Cinquante-cinq minutes après l'interruption du match, Rivère retourne au pied du virage sud et intime aux supporters de bien se tenir : « Je leur ai dit qu'il était hors de question qu'il y ait le moindre événement pendant les quinze minutes qu'il reste, explique-t-il. Les recommandations que l'on a eues, c'était : "reprenez le match, c'est beaucoup moins dangereux que de l'arrêter". C'est pour ça que j'ai dit à mon confrère marseillais (Longoria) : "Écoutons les spécialistes, reprenons et on verra ce qui se passera". » Sauf que, à ce moment-là, les Marseillais ne sont plus du tout dans cet état d'esprit : ils ne remettront plus les pieds sur la pelouse, laissant les joueurs niçois et les arbitres acter la fin de la rencontre dans un simulacre de coup d'envoi à onze contre zéro.

Des joueurs au président, la délégation marseillaise contre un retour sur le terrain

À leur retour dans le couloir des vestiaires, juste après la rixe, les joueurs marseillais sont dans un état de nerfs évident. Très remonté, Alvaro hurle en espagnol et dénonce : « Eso no puede pasar ! » (« Cela ne peut pas arriver »). Furieux lui aussi, Jacques Abardonado s'en prend à l'arbitre, alors que Guendouzi s'énerve : « On n'a jamais vu ça ! » À côté de lui, Luan Peres passe devant l'arbitre puis devant le délégué et tente de leur montrer les marques rouges sur son cou. « On avait l'impression qu'il s'était battu avec un lion, c'était impressionnant », raconte un membre de la délégation olympienne.

Dès les premiers instants, les Marseillais ne sont plus dans l'idée de reprendre le match, Guendouzi a la lèvre et le cou rougis, lui aussi, et Payet porte la marque de la bouteille qu'il a reçue dans le haut du dos, sous un tatouage dédié à sa femme Ludivine. Calme dans la tempête, Mandanda, le capitaine, ne veut pas retourner sur le terrain et le fait vite savoir dans son vestiaire. Son président est sur la même longueur d'onde : « On ne se sentait pas en sécurité donc il n'y a pas eu de débat entre nous, témoigne Pablo Longoria. J'ai vu des matches de football dans le monde entier, et je n'avais jamais vu ça. Ce n'est pas normal que, quand tu tires un corner, tu prennes vingt bouteilles d'eau. Notre sécurité n'était pas assurée. Si on avait égalisé, comment serait-on sortis du stade ? »

Pendant que Sampaoli peine à se calmer, Longoria indique clairement la position de son club, alors que le match est interrompu depuis une vingtaine de minutes : « On ne joue pas ». Des membres du staff de l'OM viennent récupérer les affaires restées sur le banc de touche, les joueurs filent sous la douche puis montent dans le car. Avant de partir, Mandanda répond au média du club : « Les supporters qui rentrent sur la pelouse, c'est inadmissible, dit-il. On s'est retrouvés en danger. On ne peut pas retourner sur le terrain parce qu'on ne se sent pas du tout en sécurité. »

 

La décision de reprendre le match est tombée, mais les Marseillais ne la suivront pas. « Ce n'est pas une question de gagner ou de perdre, c'est une question morale, estime Longoria. Nous ne pouvons pas accepter certaines choses. En Coupe d'Europe, si des événements pareils se produisent dans un stade, le club est suspendu pour plusieurs saisons. Ce match aurait dû être arrêté parce que ce qui s'est passé est inacceptable et si nous reprenons, nous créons un précédent pour le foot français. »

 

La partie sur la décision de l'arbitre de ne pas reprendre et la pression de la préfecture et de la Ligue est hallucinante...

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A mon sens, il est normal que le match n'ait pas repris. La préfecture craignait des débordements si ce n'était pas la cas, ce ne fut pas la cas, preuve que l'arrêt était une bonne décision

Il sera aussi normal que tout ou partie du stade soit suspendu pour un petit moment

Il sera aussi normal que certains joueurs soient sanctionnés. Alvaro, Payet notamment pour les jets vers les supporters. Ainsi que l'encadrant marseillais qui met le coup de poing, lui il n'a plus jamais rien a faire sur un terrain

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Citation

 

En corbeille, des scènes tout aussi lunaires. Sous les yeux de José Cobos, ex-joueur niçois, le président Jean-Pierre Rivère s'écharpe avec Pablo Longoria et Jacques Cardoze, le directeur de la communication de l'OM, l'Espagnol aurait manqué de respect à sa femme.


 

:lol2:

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il y a 27 minutes, NicoPaviot a dit :

Euh, le match à repris, c'est l'OM qui a pas repris.

Donc au final le match n’a pas vraiment repris et il n’y a pas eu d’incidents. Cela donne probablement tort aux services de la préfecture, même si l’on peut penser que près d’une heure après l’arrêt du match les esprits ont eu le temps de se calmer. 

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il y a 2 minutes, ClarkGaybeul a dit :

Donc au final le match n’a pas vraiment repris et il n’y a pas eu d’incidents. Cela donne probablement tort aux services de la préfecture, même si l’on peut penser que près d’une heure après l’arrêt du match les esprits ont eu le temps de se calmer. 

Disons que la tournure de la phrase est bizarre... "il est normal que le match n'ait pas repris". Ca n'a rien de "normal" vu que c'est l'OM qui a forcé la main. Ca donne l'impression que c'était le choix retenu alors que pas du tout.

Après oui, je suis d'accord avec le reste.

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