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Presse 2019-20


Doberman

Messages recommandés

Article au vitriol de FF mais c'est exactement l'image que le club renvoie. Ca ronronne et tout le monde s'en fout. Révélateur : le solo de Cambouret lors de son intronisation comme coach principal. Seul devant les journalistes. Avez-vous déjà vu ça ailleurs? Moi, jamais.  

Sadran pantoufle et tout le club avec. C'est triste. 

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il y a 12 minutes, Doberman a dit :

Tu as juste à te rendre dans le topic concerné...

Abonné à FF, je me demande encore pourquoi? L'habitude peut-être!

J'attendais de recevoir la version papier.

Merci pour le conseil et ton boulot "de documentaliste du forum".

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Interview de JP Durand aussi tres interessante et plutot lucide, Fauré quant a lui torpille

il y a une heure, Gollum a dit :

Je ne suis quand même pas sûr que Marcico manager général résisterait au charme irrésistible de la Domino's pizza :ninaj:.

Les mauvaises langues disent qu avant d aller manger ses pizzas, il allait filer un "pet" à ses maitresses, elles doivent avoir un sacré coup dans l aile aujourd hui

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Il y a 3 heures, Casimir a dit :

Je vous invite à lire l’interview de Puel donnée à l’équipe. On y voit tout ce que le TFC ne fait pas. L’Asse a un projet, des ambitions. On n’est pas dans le même monde. 

L'entraîneur d'une équipe qui raconte que son club qui vient de l'embaucher a de l'ambition et un projet, on est dans un même et unique monde :ninja:

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La soirée de mercredi avait beau être placée sous le signe de la détente, Claude Puel (58 ans) n'allait tout de même pas se laisser battre pour autant. Invité à le défier sur le Pétanquodrome d'Andrézieux-Bouthéon (Loire), l'un des quatre cents partenaires de l'AS Saint-Étienne s'est d'entrée fait rappeler à l'ordre. « Il n'y a pas égalité mais 4-2 pour nous », l'a corrigé le nouvel entraîneur des Verts. Après s'être fait remettre dans la soirée la lampe de mineur, un titre honorifique décerné à tous les nouveaux arrivants au club, puis avoir dirigé une grosse séance d'entraînement le lendemain matin, Puel a longuement reçu à déjeuner L'Équipe dans un salon privé d'un restaurant de l'Étrat. Le plat principal a consisté à détailler le menu de son ambitieux projet pour assurer la pérennité des Verts.

«Quand on est né à Castres et qu'on a été élevé au football à Monaco, est-ce que Saint-Étienne ça vous parle ?

Mon rapport avec les Verts date de gamin. Mon père, talonneur, faisait du rugby. Comme il rentrait marqué, ma mère m'a dit : "Tu ne feras pas de rugby." J'ai alors suivi mon frère au football. Que j'ai commencé un peu tard, à 9 ans, et comme défenseur. Comme beaucoup de Français à l'époque, je suivais trois sports, à la radio, parfois la télévision : le rugby, à travers le CO (Castres Olympique), le Tour de France avec (Luis) Ocana, (Bernard) Thévenet, et le football, grâce aux exploits des Verts en Coupe d'Europe. L'AS Saint-Étienne était le premier club marquant.

Au point d'en être devenu l'entraîneur, le 4 octobre...

Ce qui est important, si je vais quelque part, c'est que le club possède un passé, une passion, des supporters... tout ce qui représente un grand club et signifie son potentiel.

Même si l'ASSE ne se trouve pas dimensionnée à la hauteur de vos précédents clubs en France ?

Si je suis carriériste, je ne viens pas, car il y a des choses à faire dont je ne vais pas pouvoir bénéficier à court terme pour "performer". Ce qu'on peut mettre en place et développer pour atteindre le très haut niveau, tout en obtenant des résultats, m'intéresse. Le challenge est là. J'ai connu ça, à Lille. Quand je suis arrivé (en juillet 2002), les gens pensaient que le LOSC allait continuer à jouer la Ligue des champions, alors qu'on avait le plus petit budget de Ligue 1. Il y a eu une incompréhension et on a joué le maintien les deux premières années. Mais on a mis une politique et un projet de jeu en place. Ma ligne de conduite a consisté à prendre des profils techniques à 100 000 € maximum. Et ces mêmes joueurs qui avaient joué le maintien ont disputé la C 1. Il faut calibrer le projet aux dimensions du club, s'y tenir, et préparer l'avenir.

Vous vous voulez plus que jamais bâtisseur ?

J'ai horreur de subir les choses. Je dois être l'acteur du devenir d'un club. D'en être l'initiateur. Sinon, ça ne va pas. Je suis libre dans ma tête. Jamais personne ne m'a mis de pression, ni imposé les choses. Les entraîneurs vont à l'essentiel : "performer" pendant la durée de leur contrat. Je ne suis pas comme ça. J'ai toujours voulu transmettre et laisser une trace aux clubs. Je me mets minable, dans des choix compliqués. C'est ça, le truc : on sort l'étendard et le petit va défier les gros. J'ai toujours trouvé cela plus noble. Cela demande beaucoup de boulot, d'exigence et de transversalité. Je me heurte à des gens en place. Mais non, personne n'a son pré carré. Car à un moment, cela a ses limites.

C'est donc ça qui vous a poussé à reprendre l'ASSE en cours de saison ?

Quand j'ai quitté Leicester (en février), dans ma tête, c'était pour repartir sur un projet à l'étranger. Je ciblais l'Angleterre ou l'Espagne. Ça a failli se faire en Espagne et j'ai refusé beaucoup de choses, en France et à l'étranger. Là, ça faisait des mois que j'étais tranquille, je m'étais ressourcé. J'étais prêt à accepter des projets comme celui de Saint-Étienne. Mais pas en juin.

Pourquoi ?

Parce que le club, l'équipe restaient sur une très bonne saison et, par rapport à ce que je ressentais de l'extérieur, les gens n'auraient pas été à l'écoute. Dans leur tête, après la quatrième place, il fallait terminer troisième. Je ne sentais pas la capacité de l'équipe à performer à ce point. Mon message n'aurait pas porté.

À votre arrivée, la situation était-elle à l'image du classement (20e de L 1), ou pire ?

Je m'étais fait une idée assez précise de ce qu'on pouvait améliorer. Il y a beaucoup de potentiel dans le club. Je ne parle pas simplement des joueurs, je pense aux gens qui y travaillent. Il y a beaucoup de personnes compétentes, vraiment de quoi avancer ensemble.

Comment vit-on le fait de succéder à un collègue (Ghislain Printant) en cours de saison ?

Comment on le vit... Il y a une certaine compréhension et solidarité entre entraîneurs. Si ce n'est pas moi qui viens, c'est un autre. Ça fait partie du métier. Par contre, j'essaie toujours de respecter les entraîneurs en place, ce qu'a été leur travail, parce que c'est un métier difficile, qu'on bosse tous et qu'on essaie d'apporter notre pierre à l'édifice.

Avez-vous eu des contacts concrets avec Monaco ?

Je n'ai pas envie de répondre. J'ai observé ça de loin. Monaco, ça a failli se faire deux fois dans le passé. Si, un jour, je peux boucler la boucle, pourquoi pas. Mais je ne suis pas en attente.

Venir avec Xavier Thuilot, c'était votre idée ?

Une idée partagée. Il y avait une volonté des deux présidents de faire venir un directeur général. Xavier se trouvait parmi la liste des prétendants. J'ai appuyé pour sa venue, car on avait déjà travaillé ensemble à Lille (de 2002 à 2009) et j'avais besoin de quelqu'un dans les rouages qui puisse initier et faire passer les messages, être réactif et ordonné. Tout est lié, la partie sportive comme administrative. Si on travaille bien tous ensemble, on aura plus de moyens.

En vous nommant tous deux au directoire, les avez-vous déjà ?

Avec Xavier, on peut initier des orientations. Mais si on demande des choses particulières ou financières, les présidents resteront, au final, les décisionnaires. Car ils demeurent les actionnaires du club. Il y a une volonté de se donner les moyens de faire quelque chose. D'adhérer à un projet. Après, les difficultés de parcours, la qualité de nos échanges, la solidité de tout l'attelage donneront de la viabilité, ou non, au projet.

Le modèle actuel, basé sur le recrutement de joueurs confirmés, a-t-il vécu ?

Il a été fait, adopté, et je n'ai rien à redire car il a permis de performer. Saint-Étienne a tenu son rang toutes ces dernières années. Terminer quatrième est un super résultat. Du travail a été bien fait, dans un court terme. Ce modèle est-il viable ? Je ne pense pas qu'il puisse pérenniser le club. Plutôt que d'acheter un joueur confirmé, j'aimerais qu'on le recrute pour le former et l'élever. Il est difficilement acceptable qu'on vende notre meilleur joueur, un jeune (1), pour renflouer les caisses. Quand on est obligés de vendre ses joyaux pour boucler le budget et, après, de faire du court terme pour combler les manques, on est dans la réaction.

Serez-vous dans l'action au mercato d'hiver ?

On ne pourra pas bouger, éventuellement réduire l'effectif, pour l'équilibrer. On a trente-deux joueurs, plus six prêtés. Par exemple, on a sept, huit excentrés pour deux places. Pour moi, c'est rédhibitoire. Car c'est difficile de travailler au quotidien. Or, j'ai besoin d'avoir une attention particulière sur les joueurs. Eux, ils ont besoin de jouer, d'être titillés.

 

Il ne viendra jamais chez et en plus on a aucun palmares ou presque...

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il y a 45 minutes, LutherBlissett a dit :

L'OM pour Rodez !!!!

Mais c'est complètement truqué leur machin !!!! En plus on capte pas twitter par chez nous !!!!

Qu'est-ce que c'est que ces magouilles encore ?!!!!

Rien de truqué... dans ma belle-famille d'Onet-le-Château, ils sont tous fans de l'OM...je n'ai jamais compris pourquoi, mais cet article confirme.

Et le pire c'est qu'ils se foutent de ma gueule parce que je suis fan du Tef...(sur ça, ils n'ont peut être pas torts)...avec leur sempiternel "Alors? Ils ont fait quoi Toulouse ce week-end? (petit rictus en prime).

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