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Presse 2019-20


Doberman

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Il y a 1 heure, Lopez a dit :

:lol2:

Ca devient comique toutes ces réclamations, c est la meilleure façon pour que tous les appareils saisis conforte la décision de la FFF

Après le Mans, c'est quand même les plus légitimes à faire des recours et à s'offusquer.  C'est beaucoup plus facile d'accepter ou d'imaginer pouvoir accepter la releguation dans notre situation que dans la leur. 

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Il y a 5 heures, moyo a dit :

 

Après le Mans, c'est quand même les plus légitimes à faire des recours et à s'offusquer.  C'est beaucoup plus facile d'accepter ou d'imaginer pouvoir accepter la releguation dans notre situation que dans la leur. 

Se faire avoir pour 4 buts d'écart moi ça m'aurait rendu malade. 

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Lequipe

Noël Le Graët sur l'annulation du passage à 22 clubs en L2 : « Une décision logique et nette »

Le président de la FFF se félicite du vote de son comité exécutif qui a annulé le passage à 22 clubs en Ligue 2. Lui ne s'est pas prononcé et a demandé un scrutin secret.

 
 
 

Il est reparti vers Guingamp avec le sentiment du devoir accompli. Noël Le Graët, le président de la FFF, se serait bien passé d'avoir à annuler la décision de l'assemblée générale de la Ligue du 20 mai de passer la saison prochaine à 22 clubs en L2. Mais il ne s'est pas dérobé. Ou plutôt son comité exécutif, qui a voté ce mercredi à une très large majorité (11 voix pour, 1 voix contre et 1 abstention de Nathalie Boy de la Tour, la présidente de la LFP) pour revenir sur le choix opéré par la Ligue il y a une semaine.

 

Car le patron du football français n'a surtout pas voulu en faire une affaire personnelle, restant en retrait, mercredi, afin de ne pas être taxé d'avoir influencé le scrutin. « Je suis intervenu plusieurs fois sur ce thème, donc j'ai préféré ne pas participer au vote, révèle-t-il. J'ai passé la parole à l'ensemble des membres du comex et ensuite le vote a été organisé, pour la première fois, de manière secrète. Il s'agit d'une décision très importante, je préférais que chacun puisse s'exprimer sans aucune gêne. Cela rend notre décision encore plus forte. Elle a pu s'opérer sans que l'on puisse dire que les votants n'ont pas pu vraiment faire ce qu'ils voulaient. »

« Cette décision aurait dû être prise la semaine dernière à la Ligue »

Noël Le Graët, président de la FFF

 
 
 

Sur le fond, le président de la FFF ne doute pas un instant d'avoir opté pour le bon choix. « C'est une décision logique et nette d'un comex uni et responsable. Elle aurait dû être prise la semaine dernière à la Ligue. On a appliqué le même système pour tous les clubs (professionnels et amateurs). On ne pourra pas nous accuser d'avoir fait du copinage avec tel ou tel. Pour 90 % des observateurs, ce que l'on a fait est cohérent. »

Il ne craint pas non plus les recours du Mans et d'Orléans, respectivement 19e et 20e au terme de la saison de L2, momentanément sauvés avec la décision de l'AG de la LFP, et qui descendent finalement en National : « Je suis très serein, on applique les règles qui sont les nôtres. On est justes dans nos décisions. Il y a déjà plusieurs dossiers qui sont passés au CNOSF (la première étape pour un recours) et qui nous sont favorables. Après, je n'ai jamais été contre le fait que les clubs défendent leurs intérêts. »

En attente des décisions de l'UEFA et du Premier ministre pour se projeter sur le mois d'août

Désormais, il souhaite se projeter sur la reprise et sortir de cette très longue séquence particulièrement négative pour le football français. « Il faudrait que les choses reprennent un cours normal le plus vite possible, souhaite-t-il, que l'on reparle du calendrier. On est soumis aux décisions du comité exécutif de l'UEFA concernant la Ligue des champions, pour les garçons et les filles. Il devait se réunir ce mercredi et a été reculé au 17 juin. On est un petit peu bloqués. Il faut aussi attendre ce que va dire le Premier ministre demain (jeudi). Si on peut avoir des matches au mois d'août, ce serait pas mal. On démarrerait par les Coupes, d'abord la Coupe de la Ligue (PSG-OL), car Lyon pourrait jouer en Ligue des champions, le 7 ou le 8 août, son match retour face à la Juventus (en huitièmes de finale, aller 1-0), même si ce n'est pas confirmé. Il vaut donc mieux que les Lyonnais jouent avant (la finale de la Coupe de France entre le PSG et Saint-Étienne se disputerait dans la foulée). Mais on va donc devoir attendre la mi-juin pour fixer nos dates du mois d'août. »

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il y a 21 minutes, Lopez a dit :

Lequipe

Noël Le Graët sur l'annulation du passage à 22 clubs en L2 : « Une décision logique et nette »

Le président de la FFF se félicite du vote de son comité exécutif qui a annulé le passage à 22 clubs en Ligue 2. Lui ne s'est pas prononcé et a demandé un scrutin secret.

 
 
 

Il est reparti vers Guingamp avec le sentiment du devoir accompli. Noël Le Graët, le président de la FFF, se serait bien passé d'avoir à annuler la décision de l'assemblée générale de la Ligue du 20 mai de passer la saison prochaine à 22 clubs en L2. Mais il ne s'est pas dérobé. Ou plutôt son comité exécutif, qui a voté ce mercredi à une très large majorité (11 voix pour, 1 voix contre et 1 abstention de Nathalie Boy de la Tour, la présidente de la LFP) pour revenir sur le choix opéré par la Ligue il y a une semaine.

 

Car le patron du football français n'a surtout pas voulu en faire une affaire personnelle, restant en retrait, mercredi, afin de ne pas être taxé d'avoir influencé le scrutin. « Je suis intervenu plusieurs fois sur ce thème, donc j'ai préféré ne pas participer au vote, révèle-t-il. J'ai passé la parole à l'ensemble des membres du comex et ensuite le vote a été organisé, pour la première fois, de manière secrète. Il s'agit d'une décision très importante, je préférais que chacun puisse s'exprimer sans aucune gêne. Cela rend notre décision encore plus forte. Elle a pu s'opérer sans que l'on puisse dire que les votants n'ont pas pu vraiment faire ce qu'ils voulaient. »

« Cette décision aurait dû être prise la semaine dernière à la Ligue »

Noël Le Graët, président de la FFF

 
 
 

Sur le fond, le président de la FFF ne doute pas un instant d'avoir opté pour le bon choix. « C'est une décision logique et nette d'un comex uni et responsable. Elle aurait dû être prise la semaine dernière à la Ligue. On a appliqué le même système pour tous les clubs (professionnels et amateurs). On ne pourra pas nous accuser d'avoir fait du copinage avec tel ou tel. Pour 90 % des observateurs, ce que l'on a fait est cohérent. »

Il ne craint pas non plus les recours du Mans et d'Orléans, respectivement 19e et 20e au terme de la saison de L2, momentanément sauvés avec la décision de l'AG de la LFP, et qui descendent finalement en National : « Je suis très serein, on applique les règles qui sont les nôtres. On est justes dans nos décisions. Il y a déjà plusieurs dossiers qui sont passés au CNOSF (la première étape pour un recours) et qui nous sont favorables. Après, je n'ai jamais été contre le fait que les clubs défendent leurs intérêts. »

En attente des décisions de l'UEFA et du Premier ministre pour se projeter sur le mois d'août

Désormais, il souhaite se projeter sur la reprise et sortir de cette très longue séquence particulièrement négative pour le football français. « Il faudrait que les choses reprennent un cours normal le plus vite possible, souhaite-t-il, que l'on reparle du calendrier. On est soumis aux décisions du comité exécutif de l'UEFA concernant la Ligue des champions, pour les garçons et les filles. Il devait se réunir ce mercredi et a été reculé au 17 juin. On est un petit peu bloqués. Il faut aussi attendre ce que va dire le Premier ministre demain (jeudi). Si on peut avoir des matches au mois d'août, ce serait pas mal. On démarrerait par les Coupes, d'abord la Coupe de la Ligue (PSG-OL), car Lyon pourrait jouer en Ligue des champions, le 7 ou le 8 août, son match retour face à la Juventus (en huitièmes de finale, aller 1-0), même si ce n'est pas confirmé. Il vaut donc mieux que les Lyonnais jouent avant (la finale de la Coupe de France entre le PSG et Saint-Étienne se disputerait dans la foulée). Mais on va donc devoir attendre la mi-juin pour fixer nos dates du mois d'août. »

Si guingamp avait été dans les deux derniers je suis persuadé qu'on aurais jouer à 22 clubs. 

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il y a 2 minutes, Casimir a dit :

Il a raison. 90% des observateurs pensent que leur décision est cohérente. Merdique mais cohérente. La même injustice pour tout le monde. C’est cohérent. 

Tu m'expliquera d’où sort les 90% si ce n'est de sa tête ou de son doigt mouillé ... Que la majorité s'y retrouve je suis d'accord, mais j'adore les mecs qui utilisent les chiffres qu'ils n'ont pas.

 

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il y a 1 minute, Labinocle81 a dit :

Tu m'expliquera d’où sort les 90% si ce n'est de sa tête ou de son doigt mouillé ... Que la majorité s'y retrouve je suis d'accord, mais j'adore les mecs qui utilisent les chiffres qu'ils n'ont pas.

 

Il n'en sait rien. C'est un âne. Mais sa phrase ne veut rien dire. Tu peux trouver ça cohérent mais stupide. 

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il y a 11 minutes, Labinocle81 a dit :

Tu m'expliquera d’où sort les 90% si ce n'est de sa tête ou de son doigt mouillé ... Que la majorité s'y retrouve je suis d'accord, mais j'adore les mecs qui utilisent les chiffres qu'ils n'ont pas.

 

Ben ils étaient 10 a voter et seul la presidente de la ligue s est abstenue :ninja:

 

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il y a 1 minute, Labinocle81 a dit :

Il parle des observateurs ... pas des votants

Les observateurs qui votaient, je pense que l article a ete tronqué, sala*ds de journalistes pro Lyonnais :ninja:

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Citation

 

Si tout se déroule selon le scénario écrit, Toulouse deviendra cet été le quatrième club professionnel français à battre pavillon américain en 2020-2021. Voguant dans le sillage de Marseille, Bordeaux et Le Havre (L2). Spécialisé dans ces opérations d’achat et vente, l’avocat Didier Poulmaire décrypte – pour La Dépêche – le processus.

Jeudi 21 mai 2020. Cette date est déjà entrée dans l’histoire du Toulouse Football-Club, même si le tir au but n’est pas encore marqué… Entendre : sur de (très) bons rails, la vente du club de la Ville rose au fonds d’investissement américain RedBird Capital Partners n’est pas actée officiellement – les deux parties étant en négociations exclusives jusqu’à mi-juillet, au plus tard.

 

C’est donc le jour de l’Ascension qu’a choisi le président téféciste Olivier Sadran pour descendre de son piédestal (cession de 85% de ses parts). Pas quitter le navire Téfécé, dont il souhaite rester actionnaire minoritaire. Nuance d’importance pour l’homme d’affaires aux manettes de son bébé sauvé des eaux en 2001 et promis à la descente en Ligue 2 à l’arrêt de la compétition début mars en raison du Covid-19 (nonobstant une dernière requête jeudi prochain). Un virage que les supporters toulousains attendent maintenant de prendre.

 

Tenants et aboutissants avec l’avocat fiduciaire au Barreau de Paris, Didier Poulmaire, connu pour avoir favorisé l’arrivée de McCourt à l’OM en 2016 et, récemment, coordonné le changement de propriétaire – fin de l’ère Boudjellal – au RC Toulon. Instructif.

1/ Qui se cache derrière le RCP ?

L’Oiseau rouge, littéralement, va-t-il réussir son atterrissage dans la capitale de l’aéronautique ? C’est ce qu’espère le peuple violet, sevré de bonnes ondes depuis une demi-douzaine d’années et une honorable 9e place de L1 au printemps 2014. D’après nos recherches, la société étasunienne fondée en… 2014 par Gerry Cardinale, dit s’inscrire à long terme dans les projets où elle investit : fournir des capitaux pour mettre en œuvre et développer, telle est son ADN transposée dans le domaine du sport. Avec une expérience de vingt ans au travers de quasiment toutes les disciplines US. Auxquelles il conviendra bientôt d’ajouter le (vrai) football…

2/ Où en est, concrétement, la vente ?

Révélées jeudi dernier, les négociations exclusives ont comme date-butoir le 17 juillet. Pour le commun des mortels, le délai peut paraître conséquent, mais pas du tout. "Il y a plusieurs étapes bien définies, explique Didier Poulmaire. La première est la signature de la lettre d’intention qui en fait interdit au vendeur de discuter avec d’autres potentiels candidats. Cela permet aussi, et surtout, à l’acheteur de diligenter un certain nombre d’audits financiers, juridiques, comptables ou encore fiscals." Bref, celui-ci a accès à toutes les données du club. "Ensuite, poursuit l’avocat, un des enjeux forts est la rédaction du contrat de cession de la SASP qui englobe par essence l’association-support de l’entité professionnelle. Et ça prend un certain temps, oui…" La troisième marche vers la finalisation, si on peut dire, concerne les salariés en place et leurs légitimes interrogations quant à leur devenir posées par les représentants du personnel. "On devrait arriver dans cette phase", ponctue l’homme de loi.

3/ Sadran conserve-t-il un droit de regard ?

Jusqu’à preuve du contraire, pendant toute la durée des opérations, le patron de Newrest reste maître à bord. "Il peut et doit s’assurer de la capacité réelle de l’acquéreur à mener la gestion du Téfécé sur plusieurs années, insiste celui qui a permis à Marseille de passer sous la bannière étoilée. Assurément, un club n’est pas une PME comme une autre, c’est un lieu de rencontres, de mixité sociale forte, une vitrine de la ville ; donc les vendeurs ont une responsabilité citoyenne quelque part. Ils doivent absolument demander de vraies garanties et, là, la France est très en retard par rapport à la méthode anglosaxonne. Parce que ce qui est un peu trompeur, c’est que les sommes que ces groupes gèrent ne leur appartiennent pas. Ils s’en occupent pour le compte de tiers, les fameux fonds de pension américains. C’est un artifice. Leurs revenus sont les commissions qu’ils prennent au passage."

4/ Quel sera le juste prix ?

Difficile de se prononcer. "Déjà, note Me Poulmaire, il faut bien distinguer deux valeurs : celle intrinsèque, prenant en considération la marque TFC entre autres, et celle du marché se basant sur les transactions récentes, déconnectée de l’expertise comptable. C’est cette dernière qui prime. En clair, la valeur estimée d’un club répond à la loi de l’offre et de la demande. Or, à ma connais-sance, ce sont les investisseurs qui ont démarché le Toulouse FC et pas le Toulouse FC qui a opté pour une véritable recherche structurée qui plus est à l’international. Ça compte aussi." Dernièrement, dans nos colonnes, l’économiste du sport Pierre Rondeau avançait ainsi un montant des actifs de 58M€ mais une cession comprise entre 25 et 30M. "Lorsqu’on se rappelle que les Girondins ont été rachetés 100M (Bordeaux avait valorisé les contrats de ses joueurs au maximum), on pourrait trouver ce chiffre pour le TFC incroyablement bas. Mais le club toulousain reste pour l’heure en Ligue 2 ; si jamais son recours auprès du Conseil d’état aboutissait (le 4 juin), le montant serait très certainement revu à la hausse." Entrent également en jeu ce qu’on appelle les compléments de prix, qui correspondent en substance à des paiements différés répondant à des clauses : remontée en élite dès la première année, revente d’un joueur à telle hauteur… Ainsi que les garanties de passif qui sont les dettes antérieures à l’achat mais pouvant survenir après-coup et que l’ancien actionnaire s’engage à régler.

5/ Redbird fait-il une affaire ?

"Absolument, répond sans ambages l’avocat parisien. Ma phrase va sembler décalée à l’heure actuelle, mais le TFC est une pépite ! Il figure parmi un nombre très limité de clubs assis sur des villes bassins de population et viviers économiques. Toulouse, quatrième métropole de France, est un énorme gisement de business ; c’est ce que voient les Américains : aéroport, zone Airbus, proximité de l’Espagne… Pour les fonds d’investissement, une niche pareille est de l’or en barre. La vision de l’autre côté de l’Atlantique considérera toujours le potentiel à décliner."

6/ Quelles ambitions sportives ?

Beaucoup d’analystes estiment à juste raison qu’un groupe étasunien demeure engagé tant que les bénéfices sont de 15% a minima. Cependant, une plus-value passe obligatoirement par des… résultats. Et des résultats entraînent une… plus-value. CQFD. "Toulouse, je le disais, c’est du pain béni ; les Américains ont les bons leviers pour rentabiliser un filon, ils savent parfaitement manœuvrer. C’est le système de franchise en vigueur aux USA. Sport-entertainment et business, tout va de concert. Résultat : au même titre que Paris, Lyon, Marseille, Bordeaux… Toulouse est un ’’numerus clausus’’ ; le TFC appartient à un cercle fermé susceptible, à terme, de jouer le Top 5 ou même une coupe d’Europe."

 

 

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il y a une heure, marco a dit :

6/ Quelles ambitions sportives ?

Beaucoup d’analystes estiment à juste raison qu’un groupe étasunien demeure engagé tant que les bénéfices sont de 15% a minima. Cependant, une plus-value passe obligatoirement par des… résultats. Et des résultats entraînent une… plus-value. CQFD. "Toulouse, je le disais, c’est du pain béni ; les Américains ont les bons leviers pour rentabiliser un filon, ils savent parfaitement manœuvrer. C’est le système de franchise en vigueur aux USA. Sport-entertainment et business, tout va de concert. Résultat : au même titre que Paris, Lyon, Marseille, Bordeaux… Toulouse est un ’’numerus clausus’’ ; le TFC appartient à un cercle fermé susceptible, à terme, de jouer le Top 5 ou même une coupe d’Europe."

 

c'est quoi?

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Citation

Si tout se déroule selon le scénario écrit, Toulouse deviendra cet été le quatrième club professionnel français à battre pavillon américain en 2020-2021. Voguant dans le sillage de Marseille, Bordeaux et Le Havre (L2). Spécialisé dans ces opérations d’achat et vente, l’avocat Didier Poulmaire décrypte – pour La Dépêche – le processus.

 

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