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Presse 2022/2023


Messages recommandés

il y a 58 minutes, Nico12 a dit :

Pas de replay on dirait.

Les journalistes étaient bien briefés, aucune question sur l'avenir des deux joueurs..

Oui j'ai aussi remarqué mais c'était quand même une bonne émission avec deux présentateurs qui avaient bien bossé les dossiers. Et j'ai trouvé la dernière partie sur la comm très intéressante et c'était sympa de voir que le responsable est un pur supporter du Téf.

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  • 2 semaines plus tard...
il y a 5 minutes, 2nyBFS a dit :

TFC : Maxime Dupé, le héros de l'Hérault, découvrez les notes des Toulousains après la victoire à Montpellier (2-1)

  • Maxime Dupé est sans conteste l'homme du match côté toulousain.

l'essentiel Les Violets, qui ont perdu très tôt leur capitaine Dejaegere, ont mis 25 minutes à entrer dans le match. Grâce à des buts de Dallinga et Chaïbi et un très grand Maxime Dupé, le TFC remporte une précieuse victoire sur la pelouse de Montpellier. Qui a brillé ? Qui a fauté ? La Dépêche du Midi sort le carnet de notes.

DUPE (8/10) - Quel match de patron ! Les Toulousains lui doivent en grande partie cette victoire tant il a multiplié les parades décisives. Sept arrêts pour écœurer Savanier et les autres offensifs du MHSC : des horizontales, des sauvetages réflexes et des parades dignes de Thierry Omeyer. Le héros de l'Hérault.  

DESLER (6) - Il a beaucoup combiné avec Onaiwu et ses frappes ont été dangereuses (38, 75). Plus entreprenant que face à Annecy, il a bien tenu son couloir droit.

ROUAULT (5,5) - Du bon et du moins bon pour le défenseur du Lot-et-Garonne qui a alterné entre interventions décisives dans les pieds de ses adversaires et quelques relances ratées qui aurait pu coûter cher.

NICOLAISEN (5,5) - Il s'est mis le feu tout seul en ratant une relance qui ne semblait pas présenter de difficultés. De bonnes interventions notamment face à Wahi (61) mais aussi des moments de flottement, comme son compère de la défense centrale.

KAMANZI (6) - Positionné dans le couloir gauche, il a mis 25 minutes à rentrer dans son match (comme la plupart de ses coéquipiers). Très disponible, il se fond parfaitement dans l'ADN de jeu des Violets. Une belle activité offensive et des interventions de classe dans sa surface.

VAN DEN BOOMEN (6,5) - Son ouverture pour Genreau sur l'action de l'ouverture du score est un de ces bijoux dont il a le secret. Sa frappe (27), la première du TFC, annonçait la révolte des Toulousains bousculés pendant un tiers du match. Il a ensuite pris le contrôle du milieu de terrain.

SIERRO (5,5) - C'était dur en début de rencontre pour le Suisse : des fautes et des ballons perdus. Il se reprend bien ensuite en sauvant les siens (20). Bien en jambe en deuxième période, on peut cependant lui reprocher de jouer trop souvent vers l'arrière.

GENREAU (6,5) - L'Australien fêtait sa première titularisation de la saison sur la pelouse de la Mosson. Et il s'est largement montré au niveau : de bons retours défensifs (34, 50) et de la présence devant. C'est lui qui fait la passe décisive pour Dallinga (31) et il s'est battu comme un diable pour offrir une autre balle de but au Hollandais... Sans succès. Remplacé par SPIERINGS (68) qui était sur le banc pour la première fois de la saison.

DEJAEGERE (NON NOTE) - KO dès la 5e minute après un choc frontal avec Sakho, le Belge a quitté ses partenaires en larmes, sur la civière direction l'hôpital. DALLINGA (6) l'a remplacé (8) et a ouvert le score pour le TFC au terme d'un magnifique mouvement collectif (31). Il aurait même pu aggraver la marque avec plus d'application (42,68). 

ONAIWU (6) - Il n'a pas été servi en position de frappe mais a beaucoup participé au jeu. Souvent trouvé en position de numéro 10, il offre deux très bons ballons à Desler (34) et Chaïbi (62). Remplacé par ABOUKHLAL (69) qui fait la différence sur le deuxième but du TFC.

CHAIBI (6,5) - On a longtemps cru qu'il ne serait jamais payé de ses efforts. Comme mercredi à Annecy, c'est lui qui marque le but de la délivrance (85). Pas toujours juste dans ses choix, il avait énormément tenté jusque-là (41, 77, 79) et a été remplacé par SUAZO (86).

Montpellier-TFC : trois points dans le panier pour Toulouse

  • Dallinga-Chaïbi, association de bienfaiteurs : un but chacun, une victoire au bout.

l'essentiel Bousculés et sauvés par leur gardien dans le premier quart d’heure, les Toulousains ont su piquer deux fois. Pour s’adjuger un derby agréable et alerte puis, en premier lieu, renouer avec le succès au terme de cette trentième joute de L1 disputée le dimanche de Pâques 9 avril 2023.

Les gants de sept lieues. Sept comme son nombre d’arrêts : de la main, du pied, encore du torse, à l’horizontale, en l’air… Hier après-midi, sur le pré vert de La Mosson, Maxime Dupé a sorti une masterclass à même d’écœurer les Montpelliérains. Le compte est bon et SuperMax qui fut magique a pris une grande place dans le but, sur sa ligne et, surtout, dans la victoire du Téfécé. La deuxième sur les… sept (décidément) dernières journées. La première depuis le succès en terre angevine en date du 12 mars. Soit quasiment un mois.

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Celle-ci fait du bien, reconnaîtra sans ambage l’entraîneur haut-garonnais ne tardant pas à saluer la performance de son numéro un. « Oui, se réjouit Philippe Montanier, Max a réussi un gros match. Mais l’autre goal aussi. C’est le signe que la rencontre a été ouverte. » Aux quatre vents, pourrait-on ajouter.

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Avec une entame étouffante de la part des locaux, on s’y attendait, et un premier face-à-face Wahi/Dupé tournant à l’avantage du TFC (12). Les acteurs n’avaient pas commencé le deuxième quart d’heure que le capitaine des Violets, lui, avait déjà quitté les lieux (commotion cérébrale).

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« Sa sortie nous a un peu perturbés, avoue le coach normand. On a eu du mal à retrouver nos esprits (sic). » Vingt minutes en somme. Le temps de développer une action d’école via le combo ouverture-centre-reprise. Et de refroidir les ardeurs héraultaises (0-1, 31e). « Il a également fallu que ce XI prenne ses repères. » Car Montanier a tenu parole. Le technicien avait annoncé des changements, nous avons été gâtés : pas moins de 7 – encore – joueurs alignés au coup d’envoi n’étaient pas titulaires jeudi en demie de Coupe à Annecy !

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Dupé, Rouault, Kamanzi, Sierro, Genreau, Chaïbi, Onaiwu. D’aucuns ont marqué des points. Les trois décrochés de haute lutte au terme d’une seconde période moins agitée pour Toulouse qui doublera assez logiquement la mise (0-2, 85e) par Chaïbi – quelle semaine !, « je lui ai demandé de la poursuivre » sourit l’entraîneur – , ne suffisent pas encore arithmétiquement pour assurer le maintien.

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« Gagner un derby en ayant fortement renouvelé l’équipe, et tout le monde veut participer et postuler pour la finale ; on va avoir une fin de saison excitante. »

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À commencer par la réception de Lyon, vendredi prochain 14 avril en prime time (21h) dans un Stadium qui devrait comme à son accoutumée se mettre au diapason, surtout pour le premier match à la maison des futurs finalistes depuis leur qualification. Et si le TFC accrochait une deuxième cylindrée à son tableau de chasse après Rennes mi-février (3-1, J23)… actant par là-même sa présence en élite la saison prochaine ?

Vice ou vécu ?

C’est un autre match, une histoire différente, un film dont le scénario ne se déroule jamais comme prévu. Et où les perdants sont parfois chafouins. Hier, le coach pailladin Michel Der Zakarian, qu’on aime assez au demeurant, a affirmé que « Toulouse triche pas mal ». Avant d’ajouter : « Toulouse nous a aussi gênés avec son harcèlement collectif et, résultat, nous a punis. » On préfère, Michel…

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Le descriptif des buts

31e : décrochage dans le rond central de Chaïbi qui glisse à van den Boomen ; la plaque tournante du Téfécé ouvre judicieusement aile gauche pour Denis Genreau qui a plongé. Offrande en une touche du milieu australien au point de penalty pour Thijs Dallinga qui, en première intention et aussi du gauche, trouve le petit-filet décroisé (0-1).
85e : mauvaise relance de Mavididi, van den Boomen lance Aboukhlal qui, en appui sur Pedro Mendes, contourne Sacko puis frappe croisé – Benjamin Lecomte repousse dans les pieds de Farès Chaïbi qui pousse au fond (0-2).
88e : monté aux avant-postes, Jullien glisse à Elye Wahi ; le ballon prolongé de la pointe par Rouault, parvient à l’attaquant du MHSC qui trompe Maxime Dupé d’un tir dévié par van den Boomen (1-2).

 

La feuille de match MHSC-TFC.
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  • 2 semaines plus tard...
Il y a 2 heures, Viz a dit :

La coupe est chez un chasseur bordelais, j'en suis certain après avoir lu cet article😵💫 raison de notre traversé du désert. Faut faire une croisade et ramener la coupe a la maison. Ça empêche pas de faire une croisade a paris et de ramener une 2eme coupe a la maison aussi.

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Nantes-Toulouse, des ultras qui ne se supportent pas

En plus de trente ans, l'antagonisme entre les groupes ultras nantais et toulousains les plus radicaux, dont les clubs se croiseront samedi en finale de la Coupe de France, s'est durci au fil d'événements dramatiques.

 
Les supporters de Toulouse, avant la réception de Nantes en match aller de barrage d'accession à la L1, le 27 mai 2021. (T. Breton/Panoramic)
 
Les supporters de Toulouse, avant la réception de Nantes en match aller de barrage d'accession à la L1, le 27 mai 2021. (T. Breton/Panoramic)
Simon Bollemis à jour le 26 avril 2023 à 23h19
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Les plus fins observateurs scruteront les tribunes du Stade de France, sur les coups de 21 heures, samedi, quand Nantes et Toulouse ouvriront la finale de la Coupe de France. L'affiche n'a rien à voir avec un PSG-OM ou des derbys comme Lille-Lens et Lyon-ASSE. Mais elle oppose deux camps qui ont développé une certaine hostilité.

 
 

Le premier épisode notoire de cette inimitié remonte au printemps 1991. En amont d'un déplacement à Saint-Étienne, le car transportant une cinquantaine de supporters toulousains s'embrase, à cause d'un fumigène allumé à l'intérieur. Vingt-trois passagers sont blessés et l'un d'eux succombera à ses brûlures, douze jours plus tard. Il s'appelait Denis Deltreil et avait 20 ans. C'est alors que, à contre-courant de la vague de solidarité nationale, et au moment où Toulouse et Bordeaux - rival historique de Nantes - font bon ménage, une partie des fans des Canaris tourne en dérision l'hommage, sur la base de chants détournés et de coupures de fanzine « pas très bien senties », selon un bon connaisseur du milieu nantais. D'après lui, « il n'y avait pas forcément d'antécédents, mais on était dans la culture trash ».

À l'époque, les mouvements ultras et hooligans sont en plein essor en France. Ni les Indians Tolosa (1993) ni la Brigade Loire (1999), les principaux groupes ultras de chaque côté, n'existent, mais les affrontements n'ont pas attendu. « Cela coïncide avec une période où chacun se cherchait un peu des adversaires », note le sociologue Nicolas Hourcade, spécialiste du supportérisme.

Des provocations nantaises après la mort de Brice Taton

La provocation accentue un antagonisme naissant, bien qu'il n'y ait jamais eu de rivalité sportive ou géographique. Cette animosité reprend de l'ampleur au milieu des années 2000, une fois le « Téf » réinstallé dans l'élite. En février 2006, avant un match entre les deux clubs, des coups de barres de fer s'échangent à proximité du Stadium. Puis la tension monte en flèche après la mort du supporter toulousain Brice Taton, 28 ans et sauvagement agressé à Belgrade en septembre 2009, en marge d'un match du TFC en Ligue Europa contre le Partizan.

 
 

Là encore, le noyau dur du virage Est toulousain considère que ses homologues nantais n'ont pas honoré ce nouveau deuil. Ils l'avaient notamment fait savoir en avril 2019, quelques mois après la disparition d'Emiliano Sala. « Chez nous, on respecte les morts. RIP Emiliano », affichaient deux banderoles dans le kop occitan, qui a repris du poids ces derniers temps. La hache de guerre n'est toujours pas enterrée. Fin août 2022, lors de Nantes-Toulouse (3-1), un tag avait été découvert dans les toilettes du parcage visiteurs de La Beaujoire. « Attention Brice », était-il écrit, avec le dessin d'un homme tombant des escaliers, en référence à la chute fatale de Taton.

Un hommage à Brice Taton avait été rendu dans le virage du Stadium qui porte son nom, lors de la saison 2021-2022. (N. Luttiau/L'Équipe)
 
Un hommage à Brice Taton avait été rendu dans le virage du Stadium qui porte son nom, lors de la saison 2021-2022. (N. Luttiau/L'Équipe)

Ce jour-là, dans le parcage, un supporter toulousain tenait à bout de bras un drapeau siglé « Vous êtes des putains Nantes » (l'original étant « On est Nantes putain »). « Je ne dis pas qu'on est les gentils et eux les méchants, parce qu'on a aussi des défauts, mais c'est une question de valeurs, lâche une source proche des Indians Tolosa. Le nombre de fois où on les a vus simuler la mort de Brice Taton dans les tribunes et chanter sur lui, laisser des messages sur nos téléphones... »

« Cette finale, c'est plutôt un Toulouse-Paris-Nantes »

Nicolas Hourcade, sociologue spécialiste du supportérisme

 
 
 

Les frictions sont surtout circonscrites aux franges les plus radicales. « 99 % des gens s'en foutent de Toulouse », sourit un fidèle de La Beaujoire, où Bordeaux, Saint-Étienne et Rennes demeurent les plus grands adversaires. En 2017, afin de justifier un arrêté, la préfecture de Haute-Garonne pointait pourtant « une forte animosité entre les ultras nantais et leurs homologues ultras toulousains ». Mais le schéma est un peu plus complexe qu'une simple opposition Indians-BL (*), même si elle est la plus visible aujourd'hui.

(*) Sollicitée, la Brigade Loire n'a pas souhaité nous répondre.

Dans les années 1990, il s'agissait avant tout de duels entre hooligans, davantage présents au stade. Les groupements nantais (Urban Service, Yellow Power) ont disparu depuis, mais à Toulouse, la CamSide Tolosa entretient la rivalité. Ses capacités de mobilisation et de nuisance sont redoutées. D'autant qu'elle est réputée pour être restée très proche des hooligans de Boulogne (du nom de l'un des virages du Parc des Princes), officiellement dissous mais toujours actifs. Certains craignent une action collective dans la journée de samedi.

« Cette finale, c'est plutôt un Toulouse-Paris-Nantes, en fait », souffle Nicolas Hourcade. Il y a dix jours, déjà, lors du déplacement de Nantes à Auxerre en L1 (1-2), une bagarre avait éclaté entre des membres de la Brigade Loire et des indépendants parisiens de Karsud, une filiale d'Auteuil. Preuve que l'ennemi n'est pas toujours là où on l'attend.

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Il y a 2 heures, flo31200 a dit :

A cause d’avoir 2 clubs pour le même propriétaire ?

Je reposte ça ici :

https://www.jurisportiva.fr/articles/la-reglementation-uefa-sur-la-multipropriete-des-clubs-de-football/

Y'a toujours moyen de trouver une solution (les 2clubs du groupe Red Bull en coupes d'Europe).

Et vu les rachats en cours de gros clubs comme Manchester U. par des propriétaire de club qui participent déjà à des compétitions européennes régulièrement, on aura certainement des assouplissements prévus par l’UEFA en la matière.

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Que de coupures de presses, d'articles, d'interviews de nos joueurs et coach sur tous les médias... J'en rate pas une j'y crame un temps fou mais impossible de rater quoi que ce soit aha. Vivement que la finale soit passée, on va pouvoir retomber un peu dans l'anonymat :grin:

  • Bave 1
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