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Presse 2022/2023


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Ils sont vraiment en boucle avec ça...

 

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Malgré la présence de l'AC Milan en C1, Toulouse prêt à s'adapter pour la Ligue Europa

Si Damien Comolli a réaffirmé mardi que Toulouse participera bien à la prochaine Ligue Europa, le président du vainqueur de la Coupe de France a aussi évoqué de possibles « modifications » à effectuer si nécessaire pour respecter le règlement de l'UEFA.

Le président toulousain Damien Comolli a plusieurs fois assuré que son club disputerait bien la prochaine édition de la Ligue Europa. (F. Porcu/L'Équipe)

 

Comme il en a pris l'habitude depuis le rachat du club par le fonds d'investissement américain RedBird Capital Partners, Damien Comolli est monté à la tribune, mardi. Le président du Toulouse FC a dressé un bilan de la saison tout juste terminée. Entre la victoire historique en Coupe de France et le maintien assuré en Ligue 1, sa « joie prend le dessus mais la frustration existe quand même » de ne pas avoir fini plus haut que la 13e place en Championnat, a d'abord confié le dirigeant.

 
 

L'impression d'avoir « surperformé par rapport (aux) moyens financiers » du club (40 millions d'euros de budget) crée une « ambivalence », vite évacuée par une autre problématique, celle de disputer la prochaine Ligue Europa, alors qu'une menace plane toujours au-dessus des Violets. Une menace fantôme, à écouter Comolli qui, à quatre reprises en réponse aux interrogations persistantes, a répété qu'il n'y avait « pas de sujet ».

La qualification de l'AC Milan en C1 complique les choses

L'article 5 du règlement de l'UEFA stipule pourtant qu'« aucun club participant à une compétition interclubs de l'UEFA ne peut directement ou indirectement être impliqué de quelque manière que ce soit dans la gestion, l'administration et/ou les activités sportives de tout autre club participant à une compétition interclubs de l'UEFA ». Or, c'est le cas de RedBird, également propriétaire majoritaire de l'AC Milan, qualifié pour la prochaine Ligue des champions.

Mais toujours pas de quoi susciter l'inquiétude à Toulouse, qui se retranche derrière sa licence UEFA, obtenue le 11 mai, même si cette condition n'est pas suffisante pour entériner la participation du club à la C3.

 
 

Le dossier du club toulousain sera étudié prochainement par la commission du contrôle financier des clubs, la seule juge en la matière au sein de l'instance européenne. D'ici là et tant qu'aucune décision ne sera prise, l'UEFA ne fera aucun commentaire. « On s'est employés à répondre aux questions de l'UEFA. Et s'il y en a d'autres, on y répondra à l'avenir, a prévenu Comolli, toujours aussi affirmatif, en se projetant vers le tirage au sort de la phase de groupes, le 1er septembre à Monaco. On a réglé le problème et on va participer à la Ligue Europa. C'est ce que j'ai dit le 29 avril (après la finale de la Coupe de France, remportée 5-1 face à Nantes), ça tient toujours. »

Le précédent Red Bull en 2017

Il lui faudra certainement effectuer quelques ajustements, comme Red Bull en 2017 avec les clubs de Salzbourg et Leipzig, pour se mettre en conformité avec le règlement. Jusque-là, « il n'y a pas eu de modification (dans l'organigramme), a assuré Comolli. Si on doit en faire, on les fera bien évidemment. » Un désengagement partiel de RedBird ou une vente ne semblent en tout cas pas envisagés pour le moment. « J'ai plutôt tendance à croire que ça passerait par des montages financiers avec l'idée que Toulouse garde la main sur la gestion sportive et économique », appuie Pierre Rondeau, professeur d'économie à la Sports Management School.

À moins que d'ici là, le président de l'UEFA Aleksander Ceferin finisse par infléchir sa position sur la multipropriété, comme il l'a laissé entendre encore en mars dernier. « Si l'UEFA tend à changer son approche, c'est parce qu'au-delà du cas de Toulouse et de l'AC Milan, les exemples de multipropriété de clubs se multiplient, constate Kévin Veyssiere, analyste en géopolitique du sport et fondateur du média FC Geopolitics. La seule règle de l'interdiction ne pourra être maintenue. »

 

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Il y a 2 heures, marco a dit :

Ils sont vraiment en boucle avec ça...

 

Surtout l'impression qu'ils ne nous veulent pas en coupe d Europe de peur qu'on fasse baisser les points UEFA. Ils préfèrent un club comme Monaco. Sauf que cette année notre loco PSG a fait flop et Monaco ben que dire devant Leverkusen.... Rien n'est garanti c'est le foot.

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  • 3 semaines plus tard...
  • 2 semaines plus tard...

Pour anticiper la longue série de news sur lesviolets, voici les citations de Comolli et Novell lors de la conférence de presse en direct par le journaliste de la Dépêche :

 

https://www.ladepeche.fr/2023/07/05/direct-tfc-mercato-ligue-europa-ambitions-suivez-en-live-la-conference-de-carles-martinez-novell-et-damien-comolli-11322029.php#xtor=[[ddm-ladepeche31]]

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Le 06/06/2023 à 15:36, Vistule a dit :

C'est un bouquin aussi à la base, pour ceux qui ne savent pas quoi acheter pour lire sur la plage
https://www.fayard.fr/documents-temoignages/adieu-ma-honte-9782213720739

J'espère qu'il sera traduit en néerlandais...:ph34r:

il y a 7 minutes, fifidu31170 a dit :

C'est beau.

Vu sur la page Twitter de Carles Martinez Novell. Faut-il y voir une tentative d'appropriation ? Le doute est permis...-_-

  • Bave 1
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  • 2 semaines plus tard...
Il y a 3 heures, Flolynyk a dit :

Toulouse Football Club, quand le fond de l’air violet était rouge
Le pimpant TFC, vainqueur de la Coupe de France cette année, a eu une autre vie. Dans les années 1960, son président, Jean-Baptiste Doumeng, communiste proche du Kremlin et redoutable homme d’affaires, a fait voyager le club à l’Est avant de le fusionner avec le Red Star, signant la mort du « Tef ».

DansDans les coupures de presse retraçant sa carrière, soigneusement rangées dans ses albums photo, les poteaux sont carrés et André Giuseppin, gardien de but surnommé « le fermier volant » par les journalistes de l’époque, joue sans gants.

Soixante ans plus tard, à l’évocation de cette époque de sa vie, l’octogénaire a les yeux qui brillent. Et il sort alors un CV long comme un quart de siècle de football français : l’équipe de France amateur, les JO de Rome en 1960, le service militaire au bataillon de Joinville… Mais aussi ses débuts en 1957 au Toulouse Football Club (TFC) où son père, métayer issu de l’immigration italienne, l’avait amené pour voir « s’ils voulaient bien prendre le gosse ». Puis à partir de 1962, son arrivée au Red Star, où il va devenir professionnel à 22 ans, son retour à Toulouse, puis la fin de carrière à Angoulême.

André a affronté le Reims de Roger Piantoni et Jean Vincent, croisé Robert Herbin ou Jean Djorkaeff. Et il a aussi été l’un des joueurs du « milliardaire rouge », surnom donné par la presse réactionnaire, en pleine guerre froide, à Jean-Baptiste Doumeng, ce communiste fidèle au Parti communiste de ses 16 ans jusqu’à sa mort, autodidacte mais redoutable homme d’affaires qui fit fortune dans l’agroalimentaire.

En 1961, alors maire de Noé, un village à 35 km au sud de Toulouse, il prend la direction du TFC. Le club a remporté sa première Coupe de France en 1957 et a fait partie des équipes françaises qui virent certains de leurs joueurs rejoindre « le 11 de l’indépendance » du FLN algérien en 1958 (en l’occurrence Saïd Brahimi et Abdelhamid Bouchouk). Mais quatre ans après ces glorieux faits d’armes sportifs et politiques, le « Tef » se traîne dans le ventre mou de la première division et son patron, Jean Puntis, est en difficulté financière.

En acquérant le club, Jean-Baptiste Doumeng vient en aide à un ami et réalise l’un de ces « coups » dont il est coutumier en affaires. Ce ne sera cependant pas le plus concluant. « Il a marché toute sa vie à l’instinct, mais sa reprise du club n’a pas été sa meilleure initiative », euphémise Jacques Agrain, 86 ans, ancien élu local communiste et proche de Jean-Baptiste Doumeng.

Coups de sang et excès en tous genres

Le personnage, né deux ans après la révolution russe au sein d’une famille paysanne pauvre dans un petit village proche de Toulouse, est réputé pour son intelligence vive et son sens des affaires. Occitan à la fois bourru et passionné, fidèle et opportuniste, communiste et marchand, paysan et chef d’entreprise, Doumeng est un ovni. Mais un homme incontournable pour tous les dirigeants français qui, entre les années 1950 et 1980, voudront discuter avec Moscou.

Précurseur des coopératives agricoles, fondateur et PDG d’Interagra dès 1949, il sera jusqu’à sa mort en 1987 l’un des cadors internationaux de l’agroalimentaire. Un homme suffisamment influent pour se permettre, lors d’une réunion à Moscou au début des années 1970, d’interpeller le vice-ministre soviétique de l’agriculture qui se plaignait des défauts des systèmes de production et de distribution de son pays et de lui lancer : « Nom de Dieu ! Donnez-moi l’Ukraine et je vous règlerai ce bordel. »

Capable aussi de sauver Jacques Duclos d’une extinction de voix avant un meeting électoral en lui faisant ingurgiter un cocktail mélangeant gnôle, jaune d’œuf et miel. Ou encore de qualifier à la télévision la première ministre anglaise Margaret Thatcher de « mal baisée ». « Aujourd’hui, ça ne passe plus ce genre de choses, observe Émile Ochando, militant toulousain du PCF à l’époque. Mais sur le moment, on avait apprécié : elle faisait des misères aux travailleurs en Angleterre. »

Le passage de Jean-Baptiste Doumeng la tête du TFC sera une embardée de plus illustrant ses coups de sang et ses excès. « Il s’identifiait tellement à son équipe que les défaites déclenchaient en lui une spectaculaire allergie urticante. Son corps se recouvrait de plaques cloquées comme s’il s’était vautré nu dans un champs d’orties. Il fallait aussitôt le dévêtir au secret des vestiaires et le frictionner, feu sur feu, avec du vinaigre », écrit le journaliste de La Dépêche du Midi, René Mauriès, aujourd’hui décédé, dans une biographie hagiographique préfacée par Mikhaïl Gorbatchev*.

Gorbatchev, alors président de l’URSS, se rendra d’ailleurs à Noé en 1987, deux ans avant la chute du mur, pour assister à l’enterrement de Jean-Baptiste Doumeng. « Beaucoup de ministres, de gens importants venus de pays du Sud étaient là lors de ses obsèques », raconte Émile Ochando, qui en tant que permanent du PCF en Haute-Garonne s’était occupé de la cérémonie.

Le foot d’un côté, les affaires de l’autre, et parfois les deux

« Il a fait beaucoup d’affaires avec les pays du Sud, mais il n’était pas dans la spéculation, explique Ochando, il échangeait des marchandises et prenait des pourcentages. Et ça s’inscrivait dans un boulot militant : il a permis de briser l’embargo américain sur Cuba en achetant le sucre de canne à La Havane, qu’il a revendu aux Allemands qui, eux, l’ont revendu aux Américains ! » Et de conclure : « Nous, jeunes communistes, on l’appréciait. C’était un homme d’affaires mais c’était un vrai communiste, loyal au parti, respectueux des décisions du comité central du PCF. »

Émile Ochando n’a pas suivi la période où Doumeng a dirigé le TFC. « J’étais trop jeune. Mais je me souviens être allé voir un match au stadium entre le TFC et le Dynamo Moscou, avec Lev Yachine dans les buts. Si ce match avait pu avoir lieu c’est parce que Doumeng avait des liens avec Moscou… » De fait, le TFC n’a jamais autant fréquenté la Russie que durant cette période. Le 25 juin 1965, le journal Shot, « au service des clubs et du football », vendu en kiosque pour 0,45 franc, titre : « Toulouse finit sur un coup d’éclat sa campagne de… Russie. Spartak est battu 1-0 » Dans les colonnes, le journaliste raconte : « Tous se sont battus avec vaillance, entrevoyant l’extraordinaire performance. C’est de cela que le président Doumeng les remerciait au vestiaire. »

Cinquante-huit ans plus tard, le goal André Giuseppin tempère la chaleur du président : « Il était présent, y compris pour mettre une gueulante. » Lors de la saison 1966-67,  il touchait un « salaire fixe minimum mensuel » de 600 francs et une « prime saisonnière mensuelle » de 1 000 francs. Soit un peu plus de 200 euros actuel. Une autre époque. Mais « c’était un bon président, je n’ai rien à lui reprocher », concède l’ancien gardien de but. « Et il ne mélangeait pas les choses, ajoute-t-il. Il ne nous parlait pas de politique, c’était tranché : le football d’un côté, ses affaires commerciales de l’autre. »

Avec parfois un léger soupçon de porosité entre les deux. En 1966, engagé en Coupe européenne des villes de foires (ancêtre de la Ligue Europa), le TFC gagne 3-0 à la maison contre le Dynamo Pitesti, le club de l’armée roumaine de Ceauşescu. Au retour, alors que les Toulousains sont toujours qualifiés à la fin du temps réglementaire, l’arbitre laisse le match filer 8 minutes de plus, jusqu’à ce que le Dynamo Pitesti marque un cinquième but qui élimine le « Tef ». À la mi-temps, Doumeng s’est rendu dans le vestiaire de l’arbitre. « Il est revenu et nous a dit qu’on serait éliminé parce qu’ils avaient menacé l’arbitre... », témoigne André. Mais le doute est permis : cette défaite sur le fil n’était pas forcément mauvaise pour les affaires d’Interagra avec la Roumanie…

L’aventure mortifère de la fusion avec le Red Star

La saison 1966-67, à l’issue de laquelle circulera avec insistance la rumeur d’un Lev Yachine venant finir sa carrière sur les rives de la Garonne, sera la dernière du club tel qu’il était né trente ans auparavant. En avril, en froid avec les autorités municipales toulousaines qui refusent une subvention au club, Jean-Baptiste Doumeng se rapproche de Gilbert Zenatti, le président du Red Star de Saint-Ouen (Seine-Saint-Denis).

Il lui propose une fusion des deux clubs. La perspective d’union paraît hasardeuse entre ces deux équipes séparées par 690 km et mal en point au plan sportif : le TFC a sauvé de justesse sa place en 1re division, tandis que le Red Star s’apprête à descendre en D2. Mais le maire communiste de Saint-Ouen, Fernand Lefort, est un proche de Doumeng. Le mariage a lieu et donne naissance au Red Star FC qui reste en D1 et entraîne la disparition du TFC.

Comme les autres joueurs de l’effectif toulousain, André Giuseppin se voit proposer de rejoindre Saint-Ouen pour y poursuivre sa carrière. « Il nous a dit de monter à Paris, se souvient-il. Ceux qui ne voulaient pas devaient se chercher un autre club. » Racheté deux ans plus tôt par le TFC au… Red Star où il a joué trois saisons, André ne veut pas repartir en région parisienne et file à Angoulême.

Durant son passage à la tête du TFC, Jean-Baptiste Doumeng est devenu un homme qui compte dans le football français. Suffisamment pour imposer en 1967 son ami Just Fontaine (décédé le 28 février dernier à Toulouse, à l’âge de 89 ans) à la tête de la sélection française. Entraîneur tout juste diplômé, « Justo » y fera un passage éclair et très peu concluant : un trimestre, deux matches amicaux, deux défaites et au revoir.

Trois ans plus tard, l’ancien grand buteur de l’équipe de France rejoindra le staff de l’US Toulouse, nouveau club qui finira par reprendre le nom de « TFC » à partir de 1979. De son côté, Jean-Baptiste Doumeng achèvera son aventure à la tête du Red Star, en duo avec Gilbert Zenatti, au terme de la saison 1972-73 où le club redescendra en D2. Telle sera l’issue peu glorieuse du parcours chaotique du « milliardaire rouge » dans le monde du football.

« Il a mené tout ça à sa manière, observe Jacques Aigrain, son vieux camarade. Ce n’était pas un homme dont on pouvait contester les décisions et cela lui a réussi dans tout un tas de domaines. Mais pas dans le football. » Lui préfère se souvenir du reste : « Doumeng était généreux, il a donné des coups de main, versé des salaires militants à des gens autour de lui qui n’étaient pas forcément dans les affaires. Ce n’était pas la courroie de transmission entre Moscou et le Colonel Fabien que certains ont décrit. Mais il a beaucoup laissé parler pour que se construise sa légende. En réalité, c’était surtout un séducteur… »

Trente-six ans après sa mort, le charme opère encore. Dans son salon, à force de fouiller dans ses souvenirs, André Giuseppin finit par trouver matière à critiquer quand même un peu ce président qui ne lui avait pas reversé ses 10 % réglementaires de l’époque lors de son transfert entre le Red Star et le TFC en 1965. À cette évocation, André fait la moue. Mais sa femme, Jacqueline, le rappelle à l’ordre : « Oui mais quand même, grâce à lui, tu as été faire deux fois les tournées en Russie. »

Portrait bien flatteur d'un dictateur dans l'âme qui s'était gavé de fric en obtenant de juteuses commissions et un quasi monopole sur les échanges agro-alimentaires avec l URSS en finançant le PCF en même pas catimini. 

Quant au Tef, il n'en avait rien à secouer sinon juste enrager quand ça ne lui rapportait pas le prestige qu'il en attendait.

Même Louis Nicollin m'était plus sympathique dans ce style de bonhomme. 

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Après quatre premiers matches de préparation sans succès, - un nul face au FC Andorre (D2 ESP, 0-0), et trois revers contre Montpellier (1-3), les Allemands du Werder Brême (2-5), et les Anglais de Norwich (D2, 0-2) - le TFC de l'Espagnol Carles Martinez Novell, ancien adjoint de Philippe Montanier auquel il a succédé au poste d'entraîneur numéro 1 a, enfin, remporté son premier match, ce samedi midi, au stade Maurice-Trélut de Tarbes, face à Osasuna (2-1).

 

Plus de virgules s'il vous plaît! On a un concurrent pour le trophée Desprez à l'Equipe...

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