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Sebal

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Messages posté(e)s par Sebal

  1. Moi aussi à 10h  :blink:  les L à 8h  :o

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    Moi aussi 10h... :help:

    C'est moins pire que les 2nde qui rentrent le vendredi 2 ou les 1ere le lundi à 8h. :cry:

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    Ouais et les CIMP le 20 septembre :)

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    ToulouseFC : Moi c'est le 19 en CIMP. T'es en deuxieme année ?

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    Merde putain je suis complètement déboussolé par les vacances :shock:

    Je reprends aussi le 5 :grin:

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    moi la rentrée le 5 aussi vers 15h

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    Vous plaignez pas bande d'enfoirés moi c'est demain 8h45 :shock::grin:

  2. + 1  :P  avec la montée en puissance de certains, ces derniers jours !

    Les chubee, lucky, et autres (je vais pas les citer la liste est trop longue) n'ont qu'à bien se tenir !

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    Ca y est ça se met en action tout doucement :furious: Y en a déjà un qui réclame le départ de Revault :furious:

  3. je suis arbitre et en etant objectif bryan decolle quand meme les deux pied du sol en avant ses le rouge et je suis pa le seul le seul a le dire le site officielle le dit aussi http://www.tfc.info/delia-CMS/zoom_article...id-2053/l1.html

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    Mouais moi aussi je suis arbitre (enfin j'étais) et si tu regards bien les images, les pieds ne sont pas décollés du sol (Bergougnoux ne touche que le talon de Kalou) et le tacle n'est vraiment pas très dangereux :furious: Je pense que cette chèvre de Kalt s'est laissé impressionner par les pleureuses du PSG qui l'entouraient, parce que je pense qu'avant de donner un rouge, tu dois bien réfléchir à ce que tu fais (car en L1, un rouge et le match est quasiment plié) et tu dois regarder l'état du joueur blessé et qui en l'occurence n'avait strictement rien, puis ensuite prendre une décisoon, ce que Kalt n'a pas fait :P Je pense que si un parisien avait fait la même faute, il b'aurait écopé que d'un jaune (et encore...).

  4. Vous avez trois heures. Vous serez prevenus quand il ne restera plus qu'une heure. Quand le temps qui vous est imparti sera écoulé, il vous sera demandé de lacher vos stylos. Pensez bien à numéroter vos feuilles. Bon courage  <_<

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    Rôôôôôôôôô putain pas ça :doh::) Fini ces conneries maintenant :doh:

  5. De toute façon soyons objectif que Baldé revienne en France c'est bien mais pour être sous le feux des projecteurs en France faut aller à Lyon c'est la seule équipe qui soit capable de produire du jeu digne de ce nom depuis 10 ans c'est l'équipe la plus régulière.

    Mais bon mauvaise nouvelle www.lequipe.fr Baldé a décliné l'offre de l'OM

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    Pour l'intérêt de Bobo Baldé elle est pas si mauvaise que ça cette nouvelle <_<

  6. Je sais qu'il y a dans ce forum de nombreux brillants historiens  :ninja:

    Je commence par le brillant Président Félix Faure!

    Félix Faure (Paris, 30 janvier 1841 - Palais de l'Élysée, Paris, 16 février 1899) est un homme politique français, président de la République française (17 janvier 1895 - 16 février 1899) sous la Troisième République.

    Félix Faure, dont on a dit qu'il était plus célèbre par sa mort que par sa vie, mourut accidentellement au palais de l'Élysée le 16 février 1899. Ce décès brusque et mystérieux fit naître la rumeur selon laquelle il serait mort « dans les bras » d'une jeune femme. On raconte que le médecin qui arriva à son chevet demanda : « Le Président a-t-il toujours sa connaissance ? ». Un domestique lui répondit : « Non, on l'a fait sortir par derrière ».

    L'on apprit dix ans plus tard que la femme en question était une demi-mondaine, l'admirable Marguerite Steinheil qui fut surnommée la « Pompe Funèbre ». Clemenceau aurait dit de lui (mot rapporté sous diverses formes) : « Il voulait être César, hélas, il ne fut que Pompée », allusion au goût du président pour le faste dont les satiristes de l'époque avaient coutume de se moquer.

    Une vraie star!  :lol2:

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    Encore une star  :ninja:

    Paul Deschanel est un homme d'État français, né le 13 février 1855 à Schaerbeek (Bruxelles, Belgique), mort le 28 avril 1922 à Paris, dont la carrière culmina avec son mandat de président de la République française, du 18 février au 21 septembre 1920, sous la Troisième République.

    Il fut aussi homme de lettres et élu à l'Académie française le 18 mai 1899.

    Paul Deschanel est resté dans l'Histoire pour les troubles mentaux, peut-être consécutifs à une grande fatigue émotionnelle, qui le frappèrent durant son mandat.

    La chute hors du train

    Au cours d'un voyage en train à destination de Montbrison, le 19 mai 1920 vers 23 h 15, s'étant penché par la fenêtre de son compartiment alors qu'il éprouvait une sensation d'étouffement, Paul Deschanel chuta accidentellement hors du wagon. Heureusement, le convoi circulait à ce moment-là à relativement faible allure (50 km/h) dans une zone de travaux à Mignerette (dans le Loiret, à une douzaine de kilomètres au nord-ouest de Montargis).

    Tout ensanglanté - en dépit du caractère bénin de ses blessures -, relativement hébété et vêtu de son seul pyjama, Paul Deschanel ne tarda pas à rencontrer André Radeau, ouvrier cheminot qui surveillait la zone de travaux, et auquel il se présenta comme étant le président de la République. L'image des hommes publics étant à l'époque encore peu diffusée dans la population, le cheminot se montra sceptique pensant à première vue avoir affaire à un ivrogne mais le conduisit néanmoins jusqu'à une maison de garde-barrière toute proche, où le blessé fut soigné et mis au lit par ses sauveteurs. Le garde-barrière, Gustave Dariot, impressionné par la dignité du blessé et la cohérence de ses explications, partit pendant ce temps prévenir la gendarmerie de Corbeilles.

    La lenteur des communications entre les divers échelons fit que, malgré les faibles distances, le sous-préfet de Montargis, M. Lesueur, ne fut prévenu par télégramme que vers 5 heures du matin. L'incident commença à avoir un retentissement certain lorsque l'on s'aperçut, avant l'arrivée du train en gare de Roanne, vers 7 heures du matin, que le président de la République avait disparu du convoi. La suite présidentielle qui attendait sur le quai de la gare et qui était menée par Théodore Steeg (1868-1950), alors ministre de l'Intérieur, ne resta pas longtemps sans nouvelles. Il lui fut rapidement transmis le contenu d'une dépêche envoyée par la gare de Montargis à celle de Saint-Germain-des-Fossés (Allier) qui expliquait succinctement le déroulement des événements survenus dans la nuit.

    L'incident donna évidemment lieu dans la presse de l'époque à de nombreuses caricatures, souvent cruelles, et inspira la verve des chansonniers. Tout le monde ne s'est toutefois pas laissé aller à broder de manière démesurée voire mensongère sur un incident certes curieux (et qui a frappé les esprits en raison de la notoriété de sa victime). Un « riverain » des lieux de l'accident a ainsi obtenu, plusieurs décennies plus tard, que soit apposée une stèle commémorative très sobre de l'incident, sans aucun élément de caricature, à proximité du passage à niveau et de l'ancienne maison de garde-barrière où avait été conduit Paul Deschanel après sa chute.

    Autre incident

    Le 10 septembre 1920, il descend à l'aube se promener dans le parc de l'Élysée, à demi-vêtu, discute quelques instants avec un jardinier puis entre jusqu'à mi-corps dans un bassin. Ramené dans ses appartements, il semble n'avoir conscience de rien.

    :ninja:

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    Edme Patrice Maurice, comte de Mac-Mahon, plus couramment appelé Patrice de Mac-Mahon, duc de Magenta, prince de Solférino, né le 13 juillet 1808 à Sully (Saône-et-Loire), mort le 8 octobre 1893 au château de la Forêt, à Montcresson (Loiret), était maréchal de France et fut président de la République française du 24 mai 1873 au 30 janvier 1879.

    Mac-Mahon est resté célèbre pour un certain nombre de déclarations, probablement pas toutes authentiques :

    Lors de la guerre de Crimée qui opposait la France et l'Angleterre à la Russie, Mac Mahon prit la position de Malakoff. A un émissaire anglais qui lui conseillait de quitter la place, qu'il jugeait intenable, Mac Mahon a répondu, inventant la formule : "J'y suis, j'y reste"

    En voyant des inondations qui frappèrent la ville de Toulouse en 1875 : « Que d'eau ! Que d'eau ! »

    En passant des troupes en revue, après avoir été averti que l'un des soldats était d'origine africaine : « Ah c'est vous le nègre ? Très bien, continuez ! »

    « La fièvre typhoïde est une maladie terrible. Ou on en meurt, ou on en reste idiot. Et je sais de quoi je parle, je l'ai eue. »

    :lolol:

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    Eh bé on était bien dirigé avec ça tiens :shock::ninja:

    Remarque quand on voit l'énergumène qu'on a comme président aujourd'hui... :wacko::ninja:

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