Navillus

https://africafoot.com/shavy-babicka-seduit-par-une-belle-offre-de-letoile-rouge-de-belgrade/

Azizi va signer son premier contrat pro à la Juve...

Galtier ou pas Galtier, tout le staff risque de sauter avec un nouveau président qui voudra placer ses hommes.

https://theorg.com/org/toulouse-football-club/org-chart/benjamin-amirault

Pas ça Damien, pas aujourd'hui, pas après tout ce que tu as fait !

https://m.tuttojuve.com/editoriale/tj-nuovi-abiti-per-la-signora-le-ultime-su-conte-massara-e-giuntoli-734899 MASSARA OU COMOLLI ? - Un autre jeu est en train de se jouer et il concerne l'organigramme des Bianconeri. L'hypothèse d'une figure qui pourrait renforcer le cadre managérial est de plus en plus concrète et le nom qui, ces dernières semaines, prend de plus en plus d'importance est celui de Frédéric Massara. L'ancien directeur sportif de Rennes pourrait amener avec lui Michele Fratini, célèbre scout qui a déjà été approché par la Juventus l'année dernière. Le profil de Damien Comolli, actuel président de Toulouse et passé par les fonctions d'entraîneur et de directeur général, est également très apprécié et pourrait, comme le dit radiomercato, jouer un rôle de premier plan en tant que futur directeur général. Les discussions sont toujours en cours, mais avant le 3/6 nous ne saurons rien d'officiel. Et Cristiano Giuntoli ? L'actuel directeur général du football planifie lui-même les mouvements sur le marché et, bien qu'il soit surveillé avec tout son personnel pour la fin de la saison, il ne semble pas - à moins d'un revirement retentissant à expliquer - devoir quitter la Dame. Il y a quelques jours, Maurizio Scanavino, Chief Executive Official, a confirmé à Sport Mediaset : "L'équipe au complet est déjà très forte et compétitive, pour l'avenir nous partirons de ce bloc qui est aussi très jeune et sur lequel nous ferons des insertions ciblées. Cristiano y travaille et nous planifions l'avenir ensemble. Avec Giuntoli ? Absolument.

Il ne veut peut-être tout simplement pas revenir à Toulouse.

J'ai trouvé ça. https://girondins4ever.com/breves/20250401/547633-mehdi-harfi-deja-partant-du-tfc/ Ça vaut ce que ça vaut...

???

https://x.com/LeMechenoua/status/1925858479937384798?t=cHiKNuHLA44MJryfS_jjZg&s=19

Un bon profil, oui comme l'étaient Gelabert, Schmidt voire Zacj. Le niveau ça reste autre chose...

Trop chers.

Le papier est paru dans The Athletic et deepL pour là traduction.

Charlie Cresswell : "J'avais peur, mais c'est génial" Beren Cross, May 19, 2025 Assis dans une chambre d'hôtel à Toulouse en juillet dernier, Charlie Cresswell avait du mal à se faire à l'idée. Le jeune homme, alors âgé de 21 ans, était avec son père et son agent, Richard, en train de rassembler les pièces du puzzle pour donner une nouvelle orientation à sa carrière. Avant de prendre la décision finale de quitter Leeds United pour rejoindre le club du sud-ouest de la France, Cresswell admet qu'il avait peur. Le football anglais était tout ce qu'il avait connu. Il était dans sa zone de confort - le club de son enfance, sa langue maternelle, après une enfance passée à regarder son père jouer en Angleterre - mais voilà qu'il en sortait. Cresswell senior a joué professionnellement pour huit clubs en près de 20 ans, et le plus éloigné de Leeds était Leicester City, à 82 miles de distance. Un transfert à l'étranger était donc un terrain inconnu pour tous les deux. "Je ne peux pas mentir", confie Cresswell à The Athletic. "J'ai vraiment eu peur. En arrivant ici, je me disais 'Whoa, ça va être fou'. Au début, je me souviens que j'étais assis dans une chambre d'hôtel avec mon père et que je me disais : "C'est fou de déménager en France". Je n'avais jamais pensé que cela arriverait, je pensais que je resterais en Angleterre pour toujours. "Le football peut vous emmener n'importe où et n'importe comment. Il faut s'y faire rapidement et aller de l'avant. Une fois que j'ai pris la décision de venir ici, toute la peur et la nervosité se sont envolées et je suis devenu enthousiaste". Cresswell s'est rendu dans une ville plus célèbre pour son équipe de rugby six fois championne d'Europe et ses saucisses que pour son club de football. Le défenseur central s'apprêtait à rejoindre la Ligue 1, l'un des cinq plus grands championnats européens, après n'avoir joué que 137 minutes en cinq matches la saison dernière en Championship, le deuxième échelon du football anglais. Cresswell a participé à 31 des 34 matches de Toulouse en première division française (18 équipes) et a joué plus de minutes toutes compétitions confondues (2 878) que n'importe lequel de ses coéquipiers. Il a débuté tous les matches de championnat à partir du 20 octobre, sauf deux (manqués pour cause de suspension), alors que sa nouvelle équipe terminait à la 10e place. Seuls trois joueurs de la division ont fait mieux que ses 191 dégagements, et seul le gigantesque attaquant de Brest Ludovic Ajorque (197 cm) a remporté plus de duels aériens que Cresswell (98). "Tout s'est bien passé", déclare Cresswell. "Je suis content de la façon dont ça s'est passé. Je m'en remets à moi-même. Je savais de quoi j'étais capable, il s'agissait juste de le faire. Je pense que j'ai fait du bon travail cette année. Je ne sais pas si j'ai fait quelque chose de magnifique. J'ai juste l'impression d'avoir été assez solide. Le manager a été très bon avec moi. C'est un très bon entraîneur et une personne très compétente. Il a été très bon pour moi. Le manager en question est Carles Martinez Novell, un Espagnol de 41 ans qui a été nommé entraîneur de Toulouse à l'été 2023. Il s'agit de son poste le plus en vue à ce jour, mais les quatre années qu'il a passées à entraîner le centre de formation du FC Barcelone à partir de 2015 sautent aux yeux lorsqu'on examine son parcours professionnel. "Il m'a ouvert les yeux sur une autre façon de jouer au football", a déclaré Cresswell. "Il m'a énormément aidé dans les détails. "Dans chaque petite chose que je fais sur le terrain, dans les positions où je dois me trouver, dans les différents aspects de mon jeu, c'est lui qui m'a aidé. C'est génial pour moi de venir et d'apprendre. Il y a encore beaucoup de progrès à faire". Martinez Novell n'est que l'une des personnes à l'origine de l'un des transferts les plus inattendus d'Elland Road l'été dernier. Après une saison difficile en marge de Daniel Farke, Cresswell était largement pressenti pour partir à la fin de la saison, mais la Ligue 1 et Toulouse n'auraient figuré sur la carte de bingo de personne. Le président Damien Comolli, ancien d'Arsenal, de Tottenham Hotspur et de Liverpool, et le directeur du recrutement Viktor Bezhani, ancien recruteur de Brentford, Watford et Leicester City, s'intéressaient pourtant à Cresswell. Alors que son temps de jeu était limité avec Leeds, les 30 apparitions du jeune joueur en prêt à Millwall (Championship) en 2022-23 ont attiré leur attention. "Toulouse est un club axé sur les données et mes données étaient bonnes dans leurs tableaux", explique Cresswell. "Ils ont tenté leur chance et m'ont observé pendant un certain temps. J'ai parlé à Damien et à Viktor, à qui je dois beaucoup. Il a été très bon avec moi au début. Il sait comment sont les Anglais, et il m'a vraiment aidé à franchir le pas". Hormis cette saison avec les Londoniens de Millwall, Cresswell n'avait connu que Leeds, où il avait rejoint le centre de formation en 2013. Quitter ses proches est une chose, mais traverser la Manche en est une autre. Les amis et la famille n'ont pas eu besoin d'être convaincus pour venir visiter l'une des régions les plus charmantes du monde. Hannah, sa petite amie, a également déménagé avec Cresswell, ce qui a facilité la transition vers une nouvelle vie pour tous les deux. "Cela n'a pas été facile", explique M. Cresswell. "C'est la première fois que nous nous déplaçons à l'étranger, ce qui a été un défi. Je sais qu'il n'y a pas beaucoup de joueurs anglais qui ont tendance à aller en dehors de l'Angleterre, donc c'était un défi au début, mais une fois que je me suis installé, j'ai réalisé que c'était en fait une bonne chose. Ma petite amie a été géniale toute l'année, elle m'a soutenu tout au long de l'aventure. "Nous sommes une famille très unie, donc ils m'ont beaucoup soutenu depuis le début, dans les hauts comme dans les bas. J'ai reçu des visites toute l'année. Il y a eu beaucoup de monde. J'ai eu beaucoup d'amis (qui sont venus) - parfois, j'ai eu l'impression que c'était un peu plus qu'un hôtel. Je n'en changerais pour rien au monde". Si vous êtes en ville, vous pouvez apercevoir Cresswell dans des restaurants tels que La Compagnie Française, Alba et Gaia. Hannah et lui se sont lancés dans la vie de la ville. Et surtout, où en est son français ? "Je peux commander (de la nourriture), je peux faire des choses simples", dit-il. "J'ai eu mes leçons. Je continue à les suivre. C'est une langue difficile, mais j'essaie. Je voulais me jeter à corps perdu dedans. Je voulais m'y plonger à fond, car si vous arrivez à l'étranger, hors de votre zone de confort, et que vous ne donnez pas tout ce que vous avez, cela ne se passera pas comme vous le souhaitez. "Nous avons quelques endroits locaux que nous aimons. Nous entrons et les gens connaissent nos commandes (rires). Nous avons essayé d'être aventureux, de parcourir la ville et de trouver de nouveaux endroits. Les cafés, les restaurants, la nourriture, les gens sont tous géniaux. Je n'aurais pas pu rêver d'une meilleure année. Je suis extrêmement reconnaissant. Cresswell reste un fan de Leeds et a pris beaucoup de plaisir à voir son ancienne équipe remporter le titre de champion cette saison. Son frère Alfie, 17 ans, a également été élu meilleur joueur de la saison chez les moins de 21 ans. Le club est intimement lié à sa famille, c'est donc un déchirement pour Cresswell de partir, mais il savait qu'il devait partir après avoir eu si peu de temps de jeu au cours de la première saison de Farke. "Bien sûr, il y aura des frustrations", dit-il. "Je suis là depuis l'âge de 11 ans. Je voulais vivre ce rêve. Je voulais jouer pour Leeds. Je voulais faire partie de cette aventure, mais ce sont des choses qui arrivent dans le football. On n'obtient pas toujours ce que l'on veut et le chemin est censé prendre une autre direction, mais tout s'est bien passé. Je ne pourrais pas être plus heureux. Après avoir été négligé pendant une grande partie de la saison dernière par Farke, Cresswell est-il allé à Toulouse, où il est sous contrat jusqu'en 2028, pour prouver aux gens qu'ils avaient tort ? "Non, je n'aurais pas dit que c'était pour prouver aux gens qu'ils avaient tort", a-t-il répondu. "J'aurais dit de me prouver que j'avais raison. Je sais que j'ai cette capacité, mais j'avais besoin de le prouver. Je mourais d'envie d'avoir cette chance de prouver que je pouvais jouer. Le fait que Toulouse m'ait donné cette chance me rendra éternellement reconnaissant".

Ça, c'est fait !