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  1. Lescure-d'Albigeois : Corentin Ramirez signe au TFC Élu meilleur joueur des deux stages auxquels il a participé, à Castelmaurou et à Saint-Jean-de-Luz chez Jean-Michel Larqué, le Lescurien Corentin Ramirez vient de signer un contrat aspirant de 3 ans au Toulouse Football Club. Corentin qui a fêté ses 12 ans en fin d’année dernière a débuté le football à Saliès, avant de rejoindre l’US.Albi 2 ans plus tard en catégorie U8. Entraîné en catégorie U-12 et U-13 par les frères Rey, il est agile et doué ballon au pied, et va très vite être repéré par le TFC, où il participe aux détections jeune joueur. Quelques semaines passent, et il va désormais jouer avec les violets, où il s’illustre notamment sur plusieurs tournois, par sa vision du jeu, et ses qualités de passeur mais également de buteur. D’autres clubs professionnels comme Bordeaux ou encore Montpellier frappent au portillon, mais le choix est fait ; ce sera Toulouse. L’engagement en faveur des violets s’est déroulé dans la maison familiale en présence de Julien Lacourt, le directeur du centre de formation du TFC, de Christophe Bastien le responsable du recrutement, de Romain Zandona l’observateur, et de Charles Rey son entraîneur. Désormais, Corentin qui va passer les tests pour intégrer le pôle espoir de Castelmaurou dès la rentrée de septembre 2024 tout en jouant avec le TFC, remercie ses parents pour le temps consacré à sa passion, son club de l’US.Albi, mais également son entraîneur pour sa bienveillance, ses précieux conseils et son accompagnement dans son parcours.
  2. TFC : le Téfécé nouveau est arrivé, la preuve par trois ! Victorieux à l’extérieur pour la troisième fois de la saison en Champagne, dimanche 5 février (3-2), les Violets, métamorphosés, entendent bien continuer sur leur lancée, le week-end prochain, face à Nantes (dimanche, 15 heures, au Stadium). En tout cas, leur entraîneur Carles Martinez Novell semble avoir trouvé les clés du succès. Radioscopie après la vingtième journée. MAWISSA, point de départ "Avec Christian en grande forme derrière, j’avais l’impression qu’on pouvait jouer plus vers l’avant." Telle fut la réponse du technicien, dans les entrailles d’Auguste-Delaune, lorsqu’on lui demanda pourquoi avoir opté pour une animation résolument offensive chez le 6e du championnat au coup d’envoi. Sans oublier de citer, naturellement, l’apport des deux renforts hivernaux Gboho et Babicka. En dehors des interventions défensives pleines d’à-propos du Pitchoun, Carles Martinez pense aussi sûrement aux sorties et remontées du champion d’Europe et de France U17. Qui cassent la première ligne adverse et permettent ainsi le surnombre. Nicolaisen le fait par la passe, son compère de la charnière par ses chevauchées tout en puissance. Même si, naturellement, ça ne gagne pas à tous les coups pour l’équipe. En tout cas, niveau mentalité, le changement était criant par rapport à la résignation de fin de match face à Lens une semaine auparavant. "Le discours du coach cette semaine, révèle Christian Mawissa, a été clair. Il nous a dit : ’’La première partie de la saison, on peut dire qu’on l’a ratée. La seconde qui démarre, à nous d’en faire autre chose. J’ai confiance en vous, je sais de quoi vous êtes capables.’’ Voilà, opine le jeune Ariégeois. On va prendre match après match afin d’être le meilleur possible." GBOHO, la touche en plus Prise de balle, conservation du ballon, jeu dans le petit-périmètre… Incontestablement, la première recrue du mercato, Yann Gboho, remplit une case technique qui était jusqu’alors vide. Ce fameux liant, indispensable au demeurant, entre milieu et attaque. D’ailleurs, il nous apparaît vraiment comme un 9 et demi. Un attaquant supplémentaire au trio de devant : le Tef puissance 4, quoi. BABICKA, l’appel du large "Shavy (Babicka) est dans un registre de répétition des efforts, et d’attaque des espaces dans le dos de la défense. Yann, lui, est une balance entre les deux. Ils courent beaucoup et amènent la verticalité qu’il nous manquait.» De la justesse dans les dernières transmissions et un esprit tueur, également. Le mot de la fin (faim ?) revient à Guillaume Restes, toujours touché par la baraka mais sous une nouvelle forme–pour une fois le gardien du TFC n’a pas été sauvé par un de ses montants mais par le tacle d’un coéquipier (Casseres, 90+9 !) : "Un tel match, en début de saison on l’aurait sûrement perdu… Ça montre qu’on a franchi un cap."
  3. TFC : "Avec le cœur" s'exclame Christian Mawissa qui revient sur la victoire à Reims et son premier but en Ligue 1 Heu-reux : grand sourire et instant fraîcheur avec Christian Mawissa du haut de ses 18 ans. Dimanche, pour le compte de la vingtième journée de championnat, le central téféciste aura été impressionnant en défense, et déterminant en attaque puisque c’est lui qui ouvre le score de la tête sur corner (0-1, 11e). Tac au tac. On imagine qu’ils sont bienvenus, ces trois points, non ? Oui. Ça fait un bien fou de retrouver la victoire. Racontez-nous cette première mi-temps où le TFC, finalement, marque sur pratiquement toutes ses occasions… Franchement, on a l’habitude d’être devant au tableau d’affichage [avant cette 20e joute, Toulouse est l’équipe de L1 qui a lâché le plus de points – 15 – après avoir mené au score]. On s’est dit qu’il fallait rester calmes, concentrés. Pour ne pas concéder de but avant la pause. Quelle efficacité, en tout cas ! On a joué avec le cœur. On voulait vraiment l’emporter, chacun a donné tout ce qu’il a pu. À commencer par vous, buteur précoce (0-1, 11e). Dieu, merci ! Je ne m’y attendais pas spécialement. Cela fait quatre ans que je cherchais à marquer – que ce soit en U19 ou en réserve… Il faut que ce soit en L1 ! C’est un cadeau du ciel – il se marre ; je tourne la tête, je vois la balle devant moi, j’ai juste à la pousser au fond. "Mission accomplie" En seconde période, l’équipe a été bousculée en entame et dans le money-time. Une explication ? Reims est revenu des vestiaires avec beaucoup d’engagement et d’ambition. Je pense qu’ils ont pris l’ascendant au niveau intensité. On n’a pas cédé, on était hyper-motivés. C’est mission accomplie, quoi. Vous avez eu peur à 3-2 ; pire à la dernière seconde avec ce ballon sauvé sur la ligne par Casseres ? Je ne vais pas vous mentir ; on a eu chaud, très chaud. Ça se termine bien, positivons ! C’était en Ligue 1 votre troisième titularisation consécutive en charnière. Les places vont être chères… (rires) Comme je le dis toujours, je ne vis pas dans le futur. Je fais au jour et le jour. Je profite. Je prends tout ce qu’on m’offre.
  4. C'est même une évidence. Ça sert à rien d'échafauder des scénarii à ce moment de la saison. C'est assez dit et redit sur ce forum
  5. Tu peux jouer à droite, être un spécialiste du poste, et être gaucher. Et inversement.
  6. Toulouse. National 2 : le TFC renversant puis renversé ! La réserve toulousaine s'incline face à Toulon Malgré l'ouverture du score de Wasbauer en début de rencontre, les Toulousains se sont écroulés en seconde, et notamment dans le dernier quart d'heure de jeu (2-2). Ils ne méritaient pas ça, non, vraiment pas, les jeunes protégés de Jean-Christophe Debu, hier, en toute fin d’après-midi. Eux qui ont bien cru mettre fin à la remarquable série en cours des Varois. En effet, leur entame a été si vigoureuse que Yoan Cardinale a été pour ainsi dire propulsé au fond de ses propres filets lorsque Nicolas Wasbauer a catapulté d’un formidable coup de tête le corner ajusté au premier poteau de Zuliani : 1-0 ! L’ancien portier de Nice n’était pas au bout de ses peines, qui fut appelé à quitter prématurément ses partenaires quelques minutes après avoir été télescopé par Warren Ngako. Le fautif méritait-il l’exclusion sine die de l’aire de jeu ? Toujours est-il que l’arbitre abonda dans ce sens. Malgré cela, la lanterne rouge n’était pas près de s’éteindre à en juger par les éclats dans son jeu. Avec Yannick Agora pour échouer de peu sur une contre-attaque menée à vive allure sur le flanc gauche. Par exemple… Cinq minutes fatales Hélas, la deuxième mi-temps jouée sous la pression constante d’un hôte il est vrai plus expérimenté, supériorité numérique ou pas, allait être longue, très longue. Un nouveau fait de jeu ne contribuera pas peu à l’inversion de tendance, Traoré étant jugé coupable d’une intervention illicite aux dépens de Keba Sylla, maillon fort du coaching à l’actif de Teddy Bertin : 1-1. La délivrance, tardive au demeurant, viendra, elle, du pied gauche de Bertrand Fourrier, auteur d’un missile tout bonnement imparable : 2-1. Le TFC a bien failli égaliser, il l’aurait même mérité, de l’avis unanime, mais il était dit que ce Toulon-là parviendrait, tant bien que mal, à préserver son mince avantage. Toulouse B 1 – Toulon 2 MT : 1-0 ; arbitre : Valentin Cardon assisté de MM. Cavaillès et Tourèche. Pour le TFC : Wasbauer (8) Pour Toulon : Diallo (s.p, 76), Fourrier (81). Toulouse FC : Lacombe – Agora, Bakhouche, Wasbauer, Zodehougan ; Pujos, Ngako, Ntamack (Perez, 82) ; Traoré (cap) (Beliandjou, 82), Kamaté (Kébé, 73), Zuliani. Avertissements : Wasbauer (61), Zuliani (65), Jean-Christophe Debu (banc de touche, 71) ; expulsion : Ngako (33). Toulon : Cardinale (Ternynck, 36) ; Dilemfu, Moulet (cap), Diallo, Moutault ; Romdhani, Fourrier, Khadraoui (Gomis, 73), Diallo (Allione, 73), Gomès, El Mokkedem (Sylla, 65). Avertissements : Gomès Vicinius (21), El Brazi (banc de touche, 27).
  7. TFC : mais pourquoi personne ne parle de maintien ? À quatorze journées de la fin du championnat, le TFC flirte encore avec la zone rouge. Si personne au club ne parle de maintien, c’est bien la réalité et l’objectif que doit viser le club ce dimanche en se déplaçant à Reims. Alors que quelques sifflets sont descendus des travées du Stadium, abandonnées par certains spectateurs avant même la fin du match perdu face à Lens, dimanche dernier (2-0), le TFC arrive à Reims, 6e, en ayant bien entamé la jauge de patience de ses supporters. À quatorze journées de la fin d’un championnat où les Violets n’ont gratté que trois victoires, mais déjà subi huit défaites, le constat semble sans appel : Toulouse joue le maintien. Mais si vous ne savez pas dire ce mot en espagnol et en anglais, ce n’est pas Carles Martinez – qui ne s’exprime pas encore publiquement en français –, qui va vous l’apprendre. Parce qu’au TFC, le mot « maintien » est un épouvantail ; personne ne le prononce. L’entraîneur catalan explique que « l’objectif est de gagner des matchs, de lutter pour arriver le plus haut possible » et assure qu’il faut prendre « les rencontres les unes après les autres. » « Je sais que c’est une réponse ennuyeuse, mais c’est la meilleure chose à faire pour nous » concède Rasmus Nicolaisen. « On ne parle pas de relégation ou autre. » La chance d’une Ligue 1 très faible Cette semaine, le statisticien Cédric Granel relevait sur son compte X (ex-Twitter) « TFC Database » que le club haut-garonnais comptait, pour la sixième fois de son histoire, seulement 17 points ou moins après 19 journées. Et dans trois des cinq cas précédents (1994, 1999 et 2020), il avait été relégué à la fin. Si parmi ces cinq saisons, une seule se jouait à 18 clubs (1998-1999) et que la dernière en date avait été arrêtée prématurément en raison du Covid, la statistique est suffisamment alarmante. Aujourd’hui, les Toulousains peuvent tout de même se rassurer en se constatant la faiblesse générale du championnat. C’est d’ailleurs ce qu’a mis en avant Carles Martinez avant de partir à Reims : « Entre le dernier et le douzième, c’est pareil. C’est certain, ils font les mêmes conférences de presse qu’ici, il manque le même nombre de points qu’ici. C’est une compétition entre toutes ces équipes. Ça ne nous plaît pas de lutter pour ces places, mais il y a beaucoup de clubs qui sont dans notre situation. Il faut que chacun se le mette en tête. » Avec seulement six points d’écart entre le douzième, Montpellier, et le dernier, Lorient, tout le monde peut effectivement prendre une grosse accélération en gagnant seulement un match. Encore faut-il le faire. « Du positif à l’entraînement » Les Toulousains affirment qu’ils sont de plus en plus proches de le faire. Et si Carles Martinez entend « que les gens soient mécontents » d’entendre ce discours sans le voir suivi d’effet, il persiste. « Déjà la semaine dernière, et cette semaine encore plus, j’ai vu énormément de positif à l’entraînement. » Il a vu aussi un groupe complet ou presque, où les recrues Gboho et Babicka sont désormais intégrées. Ce qui pourrait changer la donne. L'entraîneur catalan a d'ailleurs déjà fait un choix fort dans le groupe convoqué pour le match à Reims. Mais il ne reste plus beaucoup de temps pour se tromper ou pour apprendre.
  8. ANALYSE. Ligue 1 : champagne pour le TFC à Reims ! Auteurs d’une première période quasi parfaite, puisqu’ils menaient 3-0, les Violets se sont fait peur ensuite mais ont su conserver le bénéfice sur la pelouse rémoise en ce dimanche 4 février (3-2). Déclic à l'occasion de cette vingtième journée ? "Ma-wis-sa, il a tiré, il a marqué ; Ba-bic-ka, il a tiré, il a marqué ; Dal-lin-ga, il a tiré, il a marqué…" Des vestiaires attenants à la salle de presse, les chansons de joie en l’honneur des trois buteurs toulousains font trembler les parois. Il est 17h10, dimanche après-midi, et le TFC vient de signer sa quatrième victoire de la saison, la troisième à l’extérieur et aussi la deuxième d’affilée loin du Stadium. Surtout, les protégés de Carles Martinez Novell prennent une grande respiration, toisant ce matin la zone rouge de 4 points au lieu d’une seule unité à l’aune du week-end. Un tel gain méritait bien d’être fêté en musique. Tout comme à grand renfort d’accolades : au dernier coup de sifflet qui n’en finissait pas d’arriver (5min "minimum" de temps additionnel annoncé, plus de 8 minutes disputées à l’arrivée), le coach catalan arpenta toute la moitié de terrain des siens pour féliciter ses joueurs un par un. "Nous avions vraiment besoin de l’emporter. Or ce n’est jamais aisé de gagner ici. Et ils l’ont fait." Eux, mais lui aussi. En prenant ses responsabilités par des choix forts (Cissoko disponible pas convoqué, Spierings sur le banc), plus rationnels peut-être également (Babicka aligné à son poste de prédilection), offensifs enfin (les deux recrues hivernales d’entrée, plus Schmidt et Sierro dans un 4-2-3-1 certes pas novateur cependant avec de la gueule – comme on dit – sur le papier). "Avec Mawissa en grande forme derrière, s’avancera Martinez, j’avais l’impression qu’on pouvait jouer plus vers l’avant." La meilleure défense… vous connaissez l’adage. Cet autre, autant : l’audace paye toujours. Tranchants dans leurs interventions défensives, saignants et entreprenants devant alors qu’au milieu Sierro écopait tel un pompier de Paris ou Marseille et Schmidt orientait façon Pirlo. Résultat des courses et des comptes : le 3-0 aux citrons pour un Téfécé affamé n’était pas volé. Aidé de surcroît et dans l’ordre par la réussite de Mawissa ["Ce but, mon premier en pro, c’est un cadeau du ciel ; je tourne la tête, je vois la balle devant moi, j’ai juste à la pousser au fond"]. La classe sans forfanterie de Babicka ["J’ai essayé, ça a marché !"]. Les décisions arbitrales justes : oui, il y avait bien penalty sur Dönnum (merci le VAR). Alors, cette première mi-temps clinique fut-elle la plus aboutie de la saison ? Toujours délicat de juger et jauger à chaud. "Je ne sais pas si c’est la meilleure, répond Carles Martinez, mais il s’agit de la plus efficace offensivement avec 3 buts inscrits (une première en 45min sous Novell) et défensivement avec l’énergie déployée." Avant une deuxième à proscrire pour les cardiaques : "C’est le foot, sourit l’entraîneur. Leur premier but, très rapide, change la dynamique ; leur second, tandis qu’il reste assez de temps, galvanise leur public. Bon, nous sommes quand même parvenus à casser un peu le rythme…" Ça aussi, c’est nouveau. Le vécu européen qui parle ? Et deux autres hommes du match qui marquent de leur empreinte les interminables arrêts de jeu – on y revient. Restes par deux claquettes salvatrices, Casseres sur la ligne de but par un tacle qui vaut la gagne. "Cristian a enfilé mes gants" conclura le premier au sujet du second. Le descriptif des buts 11e : corner côté droit tiré par Suazo ; Sierro est au duel aérien avec le gardien Yehvann Diouf. Le Suisse gêne le dernier rempart champenois sans le toucher : le goal dégage trop mollement du gant droit et, à l’affût, Christian Mawissa marque de la tête sous la barre (0-1). 31e : sur une ouverture de Dönnum, un contrôle de poitrine de Dallinga puis un renvoi de De Smet, Shavy Babicka récupère à l’entrée de la surface et enroule du gauche pour trou-ver le soupirail opposé (0-2). 45+2 : flanc droit, Dallinga sert de l’exter Dönnum accroché au mollet gauche par Agbadou. Penalty après VAR. Thijs Dallinga convertit, du droit, au sol, croisé malgré Diouf (0-3). 49e : Teddy Teuma longe la ligne des 16m50 avant de brosser du gauche (1-3). 90+1 : sur une énième poussée, Réda Khadra pivote sur Suazo et centre pour Sergio Akieme qui tacle du gauche (2-3).
  9. FrenchTuch est à Sierro ce que Chubee est à Donnum.
  10. Moi je le comprends comme le fait de se séparer d'éléments inutiles en fin de saison.
  11. Ah merde Merci, je vais peut-être revoir mon analyse
  12. Moi, depuis notre remontada Dupraz, je me garde de ce genre d'analyse à 17 matchs de la fin...
  13. Non évidemment, on en a déjà vu d'autres sortir en boite les dernières saisons, mais ça gagnait et ça assurait sur le terrain. Lui il a encore du boulot...
  14. Il sera en boite plus tôt ce soir…
  15. Attractif parce que, je pense, plus de moyens…
  16. Et pourtant t’es encore là. C’est encore plus sidérant.
  17. D’accord avec toi. Je trouve que ce qu’on a fait cet hiver est cohérent dans les deux sens, départs et arrivées. Certes, oui un mec supplémentaire aurait peut-être été utile, mais Genreau va bientôt revenir. De surcroît nous n’avons plus que le championnat à jouer, donc calendrier allégé.
  18. Cette volonté de toujours vouloir trouver un responsable… C’est drôle…
  19. Et donc normal de préférer jouer le titre et la LDC que le maintien en L1...
  20. Et il aurait raison. Toulouse aujourd'hui n'est pas au niveau de clubs comme Bodo ou le Sparta, avec des résultats réguliers, l'Europe fréquemment et une certaine identité de jeu. Des clubs qui perdent des joueurs et maintiennent un certain standing. Faut pas se voir plus beau qu'on est actuellement.
  21. Il n'y a pas de regret à avoir, un mercato reste un mercato, on ne sait jamais pourquoi un joueur va quelque part et pas chez nous. Surtout que, bien souvent, il s'agit de rumeur de contacts et on ne sait jamais où est la vérité.
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