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Doberman

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Tout ce qui a été posté par Doberman

  1. Décès de Philippe Bruneau, le complice de Stéphane Collaro L'acteur Philippe Bruneau est décédé, ce lundi 26 mars, à l'âge de 73 ans. Au cinéma, les Français ont pu le retrouver principalement dans des comédies populaires comme vous n'aurez pas l'alsace et la Lorraine (1977), Le coup du parapluie (1980), Les babas cool (1981), Le mariage du siècle (1982), Un indien dans la ville (dont il a co-écrit le scénario en 1994) ou encore C'est pas ma faute ! (1999). Reste que Philippe Bruneau était principalement connu des téléspectateurs pour avoir été le complice de Stéphane Collaro dès le Collaro Show en 1978 sur Antenne 2. Puis dans Cocoricocoboy, il a jonglé avec tous les rôles dont celui du présentateur de la mémorable pastille « La vie des sectes ». Philippe Bruneau a suivi également Stéphane Collaro sur la Cinq avant de décrocher sur cette même chaîne le nouvel access prime time avec Léon Duras, chroniqueur mondain en avril 1991. Une série humoristique d'une dizaine de minutes dans laquelle il se mettait en scène en tant que journaliste people. Il y a, à nouveau, côtoyé, entre autres, Claire Nadeau, devenue sa femme.
  2. Ave Stadium, morituri te salutant
  3. Et pourtant je ne vois que lui pour suppléer notre pieuvre grippée et suspendue.
  4. URGENT BILLETTERIE Le TFC vous informe que pour la rencontre TFC- AUXERRE du dimanche 25 mars à 17h, les places en virage et quart de virage ont toutes vendues. Il reste des places en Honneur Sud, Honneur Nord et Balcon pour cette rencontre au sommet. Venez nombreux il reste quelques places. http://www.tfc.info/news/1143641/urgent-billetterie
  5. Aulas sait déjà qu'il peut oublier Abdennour
  6. Je le vois bien atterrir à Doncaster... Il y a plein d'anciens de L1 là bas : Chimbonda, Diatta, Ilunga, Beye, Plessis, Bagayoko, Bamogo, Diouf, Robert, Piquionne...
  7. Il a déjà un nom déposé par le JDD : The Spatial One. Mais personnellement, je le vois plus succéder à Guardiola....
  8. PATRON DU RAID, le contrôleur général Amaury de Hauteclocque a dirigé l’assaut de l’appartement dans lequel Mohamed Merah a voulu mourir en moudjahid. LE FIGARO. - Pouvez-vous nous raconter l’assaut de l’appartement où se terrait Mohamed Merah ? Amaury DE HAUTECLOCQUE . - À partir du moment où il a décidé de rompre le contact, mercredi à 22 h 45, on a compris que la phase de négociation n’avait été faite que pour qu’il se repose et se prépare à l’affrontement. Jusqu’à la dernière seconde avant le déclenchement de l’assaut, j’ai maintenu un négociateur juste derrière la porte pour lui offrir la possibilité de déposer les armes en lui parlant par hautparleur. Mais Merah nous a dit qu’il était un moudjahid et qu’il était entré en guerre avec la France depuis le 11 mars (quand le premier soldat a été exécuté à Toulouse, NDLR). Il a déclaré vouloir mourir les armes à la main, rejoindre « Allah et ses 72 vierges ». Jeudi à 10 h 30, mon plan d’assaut a été validé par les autorités et mis à exécution. Grâce à nos moyens techniques, j’ai de bonnes raisons de penser qu’il est dans la salle de bains, sans savoir s’il est vivant ou mort. À ce moment crucial, quel était le plan ? Investir l’appartement par les portes et les fenêtres avec des hommes en masque à gaz et équipés d’armes non létales, sécuriser les lieux, s’approcher de l’endroit où le forcené se trouve et le saturer de lacrymogène pour le faire sortir et l’appréhender. Nous mettons presque une heure pour progresser avec la plus extrême précaution dans l’appartement, sans aucune réaction de sa part. Embusqué, il nous attend. Au moment où l’on commence à percer le mur de la salle de bains pour envoyer le gaz lacrymogène, il commence nous à tirer à travers les parois au gros calibre. À feu nourri, quasiment la cadence d’une arme automatique. Je donne l’ordre à mes hommes de ne pas riposter. Les snipers envoient par les fenêtres deux grenades offensives pour le choquer. Il sort soudain de son réduit pour monter à l’assaut contre nous. Vous aviez déjà vu une scène de ce type ? Jamais. Je pensais qu’il serait terré dans un coin et qu’on allait pouvoir le chercher quand il serait à court de munition. Au contraire, il est sorti comme un diable de sa boîte. Lorsqu’il est arrivé à hauteur du balcon pour essayer de poursuivre et d’abattre des policiers postés en protection, il est neutralisé. L’autopsie a révélé 28 impacts, mais il portait un gilet pare-balles. Il est atteint d’une balle dans la tête. Du bord du balcon où je me trouvais pour diriger l’assaut, je le vois tomber quasiment à mes pieds, l’arme encore à la main et que l’on écarte. Près de 300 coups de feu ont été échangés, cela a été intense pendant cinq minutes. Un véritable corps à corps. Que répondez-vous à ceux qui vous reprochent d’avoir attendu trente deux heures avant d’intervenir ? Que j’aurais pu attendre encore des heures et des jours s’il le fallait pour prendre Merah vivant. Mais il a choisi son destin. Il nous a dit très clairement : « je vous attends ». Il a voulu nous affronter sur son terrain et avait préparé son appartement en mettant des meubles, des canapés, des matelas devant l’ensemble des portes et fenêtres. Il avait transformé son logement en zone de combat. Il espérait l’affrontement et s’est même déclaré honoré de se mesurer au Raid… Pourquoi mobiliser soixante policiers d’élite pour le capturer ? Quand il s’agit de préserver la vie de mes hommes, je mets le paquet. J’ai des moyens, il n’y a aucune raison que je ne les utilise pas. Outre les policiers à l’assaut et en protection, il y avait des techniciens, des maîtres chiens en réserve, quatre snipers qui sécurisent ou encore des spécialistes du dépiégeage. Rien n’a été laissé au hasard. Lors du premier assaut, pourquoi ne pas avoir ouvert la porte à l’explosif ? Cela n’aurait rien changé car Merah a ouvert d’emblée le feu à travers sa porte. On intervenait au plus creux de la nuit, à 3 h 30 à dessein parce que c’est l’heure où l’on dort le plus profondément. Mais, à notre surprise, il ne dormait pas, comme souvent, et veillait devant sa porte, le Colt 45 à la main. À chaque fois qu’il entendait la porte de son immeuble s’ouvrir, il était aux aguets pour savoir ce qui se passait. On a riposté, mais juste le temps de se mettre à l’abri. Ma mission aurait été de l’abattre, je mitraillais l’appartement avec les calibres de notre arsenal et l’affaire était réglée en trois minutes. Mais, je le répète, nous voulions le prendre en vie. Et pourquoi ne pas avoir tenté d’envoyer des gaz à ce moment-là ? On avait fait exploser les fenêtres pour éclairer l’intérieur de l’appartement et voir ce qu’il s’y passait. Avec toutes les voies d’aération qu’il y avait, les gaz auraient été extrêmement inefficaces. Et aussi gênant pour lui que pour nous. Quatre policiers ont été blessés, dont l’un à deux reprises. Un lourd tribut… C’est à l’honneur du service. On est allé jusqu’à risquer notre vie pour essayer de prendre Merah vivant. Nous sommes allés jusqu’au bout de notre mission, à savoir réaliser ce qu’a priori personne d’autre ne pourrait faire. Mais quand on se retrouve face à un individu endoctriné et décidé à nous affronter, pour qui c’est un bonheur de mourir, il n’y avait plus d’autres solutions au final. Si l’assaut était à refaire, est-ce que vous changeriez quelque chose ? Non, je le referais de la même manière. Avec toutes les difficultés qui étaient les nôtres, l’exiguïté des lieux et la détermination, le plan retenu était le meilleur. Quoi qu’en pensent les donneurs de leçons, on a tout essayé. Allez-vous tirer des enseignements de cette singulière opération ? Pour l’instant, nous sommes dans le soulagement et le soutien à nos blessés. Je ne sais pas si cette affaire sera un cas d’école. Mais si l’on enlève l’aspect religieux, le radicalisme et la détermination absolue de l’individu, nous retombons un peu dans un schéma identifié depuis longtemps par la police et que nous appelons le « suicide by cop ». Il met en scène quelqu’un qui veut mourir, mais qui n’a pas le courage de le faire lui-même.
  9. Non, ils en sont à 7 + 10 journées de championnat + les 1/4 de LdC + finale coupe de la ligue : 7 + 10 + 2 +1 = 20... j'ai bon
  10. Lens est descendu, Monaco aussi, et ben cette année ça sera Marseille après une série incroyable de 20 défaites consécutives...
  11. Je parie que le 17 rue du sergent Vigné va devenir un lieu de visite et de pèlerinage...
  12. Zéro en entrée et Zéro en sortie...
  13. Les explications du RAID : http://www.marianne2.fr/blogsecretdefense/Toulouse-les-explications-du-RAID_a553.html
  14. Il faudrait créer le pays des cons quelque part où il y a de la place et y envoyer ceux qui correspondent à certains critères...
  15. Dubitatif
  16. Qu'est-ce qu'il est naze ce Le Lay...
  17. C'est là où je ne comprends pas.... ils ont tiré 300 balles d'armes non létales...
  18. C'EST UN SCANDALE QUE DES PERSONNES AIENT CHERCHÉ A L'EXCUSER !
  19. Ça a marché... puisqu'il est mort....
  20. Pourtant, ils l'ont étalé...
  21. JE DIS CA, JE DIS RIEN !
  22. C'EST HONTEUX QUE CERTAINS LUI TROUVENT DES CIRCONSTANCES ATTÉNUANTES OU DES EXCUSES BIDONS. C'EST MISÉRABLE !
  23. René la taupe était la solution !
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