Se séparer de Pascal Dupraz, c'est un peu comme divorcer d'avec une femme qu'on a aimée puis qu'on a fini par trouver moche et conne. 5 minutes avant on ne pouvait plus voir sa gueule en peinture et là, une fois devant le fait accompli, on se demande si, finalement, en faisant autrement les choses n'auraient pas pu s'arranger, si on n'aurait pas pu se donner une toute dernière chance. Alors bien sûr, elle racontera partout qu'on bandait mou et qu'on valait pas un clou au pieu mais on lui pardonnera et dans 20 ans, on l'acclamera pour les 100 ans en repensant avec émotion à cette nuit de mai 2016. Ou alors on lui jettera des avions en papier