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mora

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  1. Pour compléter "Debout Toujours", plus que jamais d'actualité, je suggère que nous proposions au club des idées de devise complémentaire.

    Je me lance :

    "Pour vivre heureux, vivons cachés"

    "Laisse parler les gens"

    "La Coupe à la maison (et elle y restera)"

    A vos plumes !

    🥰

  2. Arrêtons l'hypocrisie, Les Violets nous y allons tous les jours : ergonomie correcte, des nouvelles régulières sur l'actualité du TFC.

    Perso : je ne lis pas les éditos, aucune plus-value et essaie de ne pas lire les commentaires car il y a de sacrés tarés qui y écrivent.

    Là, je suis vraiment emmerdé : je m'étais bouché le nez sur l'acharnement contre Sylla (d'ailleurs, vous n'avez pas d'info puante à sortir sur lui ?), mais là, c'est trop !

    Le côté, on tape sur un joueur musulman donc pour équilibrer, on tape sur un viking danois @Labinocle81 c'est de la merde.

    Ensuite, trop en même temps, on se croirait au SCO : vous avez des infos sur Comolli ou Montanier ? Ils font des parties fines ensemble ? Ont(ils prévu de faire de l'hôtel racheté une maison close pour les abonnements VIP ?

    Je suis dégoûté : on m'a volé la Coupe de France, notre Coupe de France. C'est DEGUEULASSE. @Labinocle81 : tu peux le dire à tes amis.

  3. Quelle honte Les Violets : je suis écœuré.

    Certains journalistes vont s'en régaler pour encore critiquer notre club, la Data, Comolli.

    Ba oui : la Data n'a pas montré les problèmes d'addiction de Nicolaisien...

    MERCI LES VIOLETS DE SALIR CES 3 BELLES ANNEES ET DE SALIR NOS JOUEURS.

    Vous avez quoi encore dans vos tiroirs puants ?

    Désolé mais réaction à chaud.

  4. Il y a 1 heure, Nens a dit :

    Tu as souvenir d’un seul joueur licencié par son club ? Moi non, même pour des choses encore plus graves que ça.

    D’ailleurs je ne suis même pas certain que ça soit une raison valable de rupture du contrat devant la loi.

    Oui, le prometteur milieu très débile qui s'était battu avec un membre du staff... il y a 4 ans je crois

    il y a une heure, Luca31_TLSE a dit :

    Dans un mois ou deux plus personne n'en parlera et il sera transféré...Le Pen sans programme et charisme à bien compris que le mieux pour elle est de rester silencieuse et d'attendre 2027  :ninja:

    Je me souviens encore de Benala qui a gâché la victoire en Coupe du Monde... Pour Le Pen, je suis d'accord !

    Alors Breaking News, Les Violets ont enlevé les articles sur Aboukhlal de l'affichage direct sur leur site :

    https://www.lesviolets.com/

    Que se passe-t-il encore ?

  5. Il y a 1 heure, Casimir a dit :

    Cela dit, chez lui les femmes ne parlent vraiment pas aux hommes comme ça :ninja: 

    D'un point de vue factuel, il a raison effectivement. Peut-être qu'il l'a dit fort à Mme Arribagé parce qu'il y avait du monde. Cela a certainement été mal interprété.

    Après cela, je trouve que sa volonté d'indiquer qu'il était inadapté à la lutte contre l'homophobie est plutôt cohérente. 💩

    il y a 32 minutes, 3noze3 a dit :

    Alors je comprends que "gravissime" puisse te paraître exagéré, pas de problème avec ça.

    C'est juste que pour moi "être en train de chercher une porte de sortie tout en préservant ses intérêts", c'est grave si le club est au courant.

    C'est grave tout simplement car ça voudrait dire que le club fait passer ses intérêts avant la lutte contre la mysoginie. Un peu comme Aboukhlal fait passer ses convictions avant la lutte contre l'homophobie quoi...

     

    Encore une fois, je ne sais pas si c'est vrai, j'ai remis en question l'info de RMC dès le début. Ce que je dis ici c'est dans l'hypothèse d'une confirmation de cette info, auquel cas je serais très très très déçu d'apprendre que le club était au courant.

    Alors pardon mais quand je l'ai souligné à la page 348,  post n°2800, on m'a dit qu'il ne serait pas licencié pour atteinte à l'image du club mais transféré...

    Franchement, si tout cela est exact et qu'il n'est pas licencié, les médias vont s'acharner sur nous pendant de très longues années...

    Je vois même Le Pen exploiter le truc... Ah! ah!. Franchement, on a presque oublié ces 3 années extraordinaires...

  6. Bon, je viens de faire un petit tour des médias et même Causeur (le nouveau Minute si je puis dire - à ne pas confondre avec Closer hein) a fait un éditorial très modéré :

    "Le problème est que cette triste histoire n’a rien d’étonnant. En tant qu’influenceurs, les footballeurs sont particulièrement dans le viseur des islamistes et à Toulouse cette nébuleuse est très présente et très active." 🤩

    https://www.causeur.fr/affaire-zakaria-aboukhlal-scandale-au-sein-du-football-club-de-toulouse-260038

     

  7. il y a 5 minutes, Flolynyk a dit :

    Licenciement alors qu'il pourrait rapporter quelques millions, j'ai du mal à y croire :ninja: 

    Ce sera la ligne de crète à travailler par Comolli... Quelque soit l'issue, on se rappellera autant de cette affaire que de notre victoire en Coupe de France pendant quelques années...

  8. il y a 33 minutes, Asha31 a dit :

    Jean Michel premier degré :ninaj:

    Asha me fait penser à Usher plutôt : Usher Usher...

    Bon quand même ça sent la caméra cachée, vidéo gag, La Fesse... Quel cauchemar !

    ça sent le licenciement pour faute grave : atteinte à l'image de l'entreprise.

    Ceci étant dit c'est du gros lynchage assez facile car comme par hasard tout sort d'un coup.

    Cela me rappelle l'affaire Benala juste après la Coupe du Monde : tout le monde se rappellera que le 5ème but du Tef en Coupe de France avait été l'œuvre d'un affreux musulman terroriste, homophobe et myosine.

    Bravo ! alors là bravo !

     

    il y a 2 minutes, tad11 a dit :

    Alors que NGoumou, lui, parlait "français"

    C'était une joke... hein

  9. Il y a 2 heures, Violet82 a dit :

    Je ne suis pas sur que Zak boive de l alcool !! 

    C'est ce que j'ai pensé mais... j'ai des amis musulmans qui boivent de l'alcool et ne mangent pas de couscous (vous avez la ref ? je sors).

    Par contre, personne n'a relevé que cette citation d'Abukhlal est en français, or, il ne parle pas français ! C'est donc faux.

    Bon je sors vraiment...

  10. Sans polémique aucune, c'était un de mes chouchous, une des belles réussites du recrutement... Il en veut, ne compte pas son énergie sur le terrain, en plus d'être un excellent joueur, complet.

    Bien entendu, on ne peut pas adorer un joueur et se boucher le nez pour l'homme qui serait quand même secrètement homophobe (comme beaucoup d'autres ?), misogyne ?

    Rien n'est factuel... on ne connaît pas le contexte...

    J'espère un communiqué de sa part pour présenter ses excuses et on verra.

    Pour le moment, dégoûté.

    • Top ! 2
  11. il y a 19 minutes, Vistule a dit :

    Un article sur les 19 nationalités du tèf, mais leur player est de plus en plus compliqué à contourner. Y est notamment confirmé ce que certains présentaient par rapport à Birmancevic : son adaptation était difficile et l'arrivée d'Hamulic lui a fait du bien.

     

    Melting-pot dans la Ville rose
    HUGUES SIONIS
     
    Les Néerlandophones Thijs Dallinga (à g.), Branco van den Boomen (au centre) et Brecht Dejaegere. - Romain Perrocheau/ L’Équipe


    Le promu est le club de L1 qui possède le plus grand nombre de nationalités dans son effectif cette saison. Ce qui suppose une certaine organisation en termes de communication.

     

    Même si les départs hivernaux du Guinéen Issiaga Sylla (à Montpellier) et du Finlandais Naatan Skÿtta, prêté à Odense (D1 danoise), ont fait baisser les statistiques chères au président Damien Comolli, Toulouse reste de loin le club de Ligue 1 le plus international cette saison. Avec 19 nationalités issues des cinq continents dans l’effectif, le promu assume pleinement son recrutement, qui s’appuie sur la data.


    Mais ce large éventail de profils n’est pas sans répercussion. Il nécessite une organisation précise au quotidien pour que tout ce petit monde se comprenne bien. « Notre staff technique parle français, anglais et espagnol toute la journée. Le coach se traduit lui-même. Ça fait réviser », s’amuse Comolli, habitué à jongler avec les langues. C’est aussi le cas de l’entraîneur Philippe Montanier, qui a dirigé la Real Sociedad ou encore Nottingham Forest avant de se poser dans la Ville rose, et de son nouvel adjoint espagnol Carles Martinez Novell, également grand voyageur. Leurs expériences respectives participent à la réussite actuelle du Téfécé. Autant que la communication bien huilée mise en place autour des nouveaux joueurs venus de l’étranger.


    Leur intégration rapide est favorisée par deux salariés polyglottes exclusivement dédiés, le team manager Seji Rose et l’officière de liaison Léonie Caubet. Grâce à eux, le Néerlandais Saïd Hamulic, dernier arrivé au club, a par exemple vite trouvé un appartement en ville et déjà commencé à apprendre le français. « C’est obligatoire pour les recrues, confirme le capitaine Brecht Dejaegere, élément central de la cohésion du groupe par ses facilités linguistiques (anglais, espagnol, flamand et français) qui lui valent le surnom de “traducteur”. C’est une bonne chose, quand on joue dans un autre pays, d’avoir la volonté de s’adapter en parlant vite la langue. »


    La présence dans le vestiaire de plusieurs groupes de compatriotes ou de joueurs aux origines similaires contribue aussi à la bonne harmonie de l’équipe. Conscient de cette chance, l’entraîneur n’hésite pas à se reposer sur celles qu’il appelle affectueusement des « mafias ». La plus importante, « la hollandaise », compte cinq membres (Aboukhlal, Dallinga, Hamulic, Spierings et Van den Boomen), auxquels s’ajoutent le Belge Brech Dejaegere et le Franco-Australien Denis Genreau, marié à une Néerlandaise et qui comprend aussi le flamand. « C’est une vraie aide. Le coach nous donne des consignes et on en parle entre nous en match », confie Dejaegere, citant l’exemple du coup franc marqué par Branco van den Boomen face au PSG (1-2, le 4 février), après une rapide discussion avec son partenaire.


    Aboukhlal et Chaïbi complices en « franglais »


    Les cinq Scandinaves (Desler, Haug, Kamanzi, Nicolaisen et Zanden) et les deux Sud-Américains (Ratao et Suazo) se sont aussi naturellement rapprochés mais aucun circuit de communication n’est figé. Un peu isolé au départ dans cette galaxie cosmopolite, le Serbe Veljko Birmancevic a été heureux d’accueillir cet hiver Saïd Hamulic, Bosnien d’origine, et se montre plus ouvert depuis qu’il peut mieux s’exprimer.
    L’international marocain Zakaria Aboukhlal et Farès Chaïbi, déjà appelé avec les Espoirs algériens, ont aussi noué une belle complicité malgré la barrière de la langue. Le deuxième ne parlant pas arabe, c’est dans un mélange de « franglais » qu’ils échangent le plus souvent. « En Belgique, on dit “parler avec des cheveux”, c’est trop drôle », se marre leur capitaine.


    Dans ce melting-pot, les Français ne sont pas en reste. À l’image des jeunes Kévin Keben et Christian Mawissa, qui n’hésitent pas à demander conseil aux nombreux anglophones pour certains mots, ou d’Anthony Rouault qui prend des cours d’anglais, les joueurs – formés au club pour la plupart – ont compris les efforts à effectuer pour fluidifier la communication, même si celle-ci l’est déjà, selon Comolli. Ce qui n’empêche pas « une petite jalousie » ressentie à l’égard des étrangers, d’après un proche de joueur francophone. Rien d’handicapant au vu des bons résultats. Montanier préfère d’ailleurs souligner la « très bonne ambiance », assurant qu’aujourd’hui, «le foot est international ».
     
    Mikkel Desler (à gauche) et Rasmus Nicolaisen (à droite), ici à la poursuite d’Adrien Thomasson, sont les deux Danois du Téfécé. - Alexandre Dimou/FEP/Icon Sport
     
    Le Serbe Veljko Birmancevic, ici face au Monégasque Caio Henrique, était un peu isolé avant l’arrivée du Bosnien d’origine Saïd Hamulic. - Nicolas Luttiau/ L’Équipe

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    Les Néerlandophones Thijs Dallinga (à g.), Branco van den Boomen (au centre) et Brecht Dejaegere. (R. Perrocheau/L'Équipe)

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    Toulouse

    issu du journal

    Comment Toulouse gère la barrière de la langue dans son vestiaire polyglotte

    Toulouse est le club de Ligue 1 qui possède le plus grand nombre de nationalités dans son effectif cette saison. Ce qui suppose une certaine organisation en termes de communication.

    Hugues Sionismis à jour le 19 février 2023 à 00h05

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    Même si les départs hivernaux du Guinéen Issiaga Sylla (à Montpellier) et du Finlandais Naatan Skÿtta, prêté à Odense (D1 danoise), ont fait baisser les statistiques chères au président Damien Comolli, Toulouse reste de loin le club de Ligue 1 le plus international cette saison. Avec 19 nationalités issues des cinq continents dans l'effectif, le promu assume pleinement son recrutement, qui s'appuie sur la data. Mais ce large éventail de profils n'est pas sans répercussion. Il nécessite une organisation précise au quotidien pour que tout ce petit monde se comprenne bien.

    « Notre staff technique parle français, anglais et espagnol toute la journée. Le coach se traduit lui-même. Ça fait réviser », s'amuse Comolli, habitué à jongler avec les langues. C'est aussi le cas de l'entraîneur Philippe Montanier, qui a dirigé la Real Sociedad ou encore Nottingham Forest avant de se poser dans la Ville rose, et de son nouvel adjoint espagnol Carles Martinez Novell, également grand voyageur. Leurs expériences respectives participent à la réussite actuelle du Téfécé. Autant que la communication bien huilée mise en place autour des nouveaux joueurs venus de l'étranger.

    Leur intégration rapide est favorisée par deux salariés polyglottes exclusivement dédiés, le team manager Seji Rose et l'officière de liaison Léonie Caubet. Grâce à eux, le Néerlandais Saïd Hamulic, dernier arrivé au club, a par exemple vite trouvé un appartement en ville et déjà commencé à apprendre le français. « C'est obligatoire pour les recrues, confirme le capitaine Brecht Dejaegere, élément central de la cohésion du groupe par ses facilités linguistiques (anglais, espagnol, flamand et français) qui lui valent le surnom de "traducteur". C'est une bonne chose, quand on joue dans un autre pays, d'avoir la volonté de s'adapter en parlant vite la langue. »

    Mikkel Desler (à gauche) et Rasmus Nicolaisen (à droite), ici à la poursuite d'Adrien Thomasson, sont les deux Danois du Téfécé. (Alexandre Dimou/FEP/Icon sport)

    La présence dans le vestiaire de plusieurs groupes de compatriotes ou de joueurs aux origines similaires contribue aussi à la bonne harmonie de l'équipe. Conscient de cette chance, l'entraîneur n'hésite pas à se reposer sur celles qu'il appelle affectueusement des « mafias ». La plus importante, « la hollandaise », compte cinq membres (Aboukhlal, Dallinga, Hamulic, Spierings et Van den Boomen), auxquels s'ajoutent le Belge Dejaegere et le Franco-Australien Denis Genreau, marié à une Néerlandaise et qui comprend aussi le flamand. « C'est une vraie aide. Le coach nous donne des consignes et on en parle entre nous en match », explique Dejaegere, citant l'exemple du coup franc marqué par Branco van den Boomen face au PSG (1-2, le 4 février), après une rapide discussion avec son partenaire.

    Aboukhlal et Chaïbi complices en « franglais »

    Les cinq Scandinaves (Desler, Haug, Kamanzi, Nicolaisen et Zanden) et les deux Sud-Américains (Ratao et Suazo) se sont aussi naturellement rapprochés mais aucun circuit de communication n'est figé. Un peu isolé au départ dans cette galaxie cosmopolite, le Serbe Veljko Birmancevic a été heureux d'accueillir Hamulic, Bosnien d'origine, et se montre plus ouvert depuis cet hiver qu'il peut mieux s'exprimer.

    Le Serbe Veljko Birmancevic, ici face au Monégasque Caio Henrique, était un peu isolé avant l'arrivée du Bosnien d'origine Saïd Hamulic. (N. Luttiau/L'Équipe)

    L'international marocain Zakaria Aboukhlal et Farès Chaïbi, déjà appelé avec les Espoirs algériens, ont aussi noué une belle complicité malgré la barrière de la langue. Le deuxième ne parlant pas arabe, c'est dans un mélange de « franglais » qu'ils échangent le plus souvent. « En Belgique, on dit "parler avec des cheveux", c'est trop drôle », se marre leur capitaine.

    Dans ce melting-pot, les Français ne sont pas en reste. À l'image des jeunes Kévin Keben et Christian Mawissa, qui n'hésitent pas à demander conseil aux nombreux anglophones pour certains mots, ou d'Anthony Rouault qui prend des cours d'anglais, les joueurs formés au club pour la plupart ont compris les efforts à effectuer pour fluidifier la communication, même si celle-ci l'est déjà, selon Comolli. Ce qui n'empêche pas « une petite jalousie » ressentie à l'égard des étrangers, d'après un proche de joueur francophone. Rien d'handicapant au vu des bons résultats. Montanier préfère d'ailleurs souligner la « très bonne ambiance », assurant qu'aujourd'hui, « le foot est international ».

    lire aussiToute l'actualité du Téfécé

    Un air de Babel

    Les 19 nationalités sportives représentées cette saison à Toulouse.

    France (5) : F. Chaïbi (*), M. Dupé (g.), T. Himeur (g.) (*), G. Restes (g.), A. Rouault
    Pays-Bas (3) : T. Dallinga, S. Spierings, B. Van den Boomen
    Danemark (2) : M.Desler, R. Nicolaisen Norvège (2) : K. Haug (g.), W. Kamanzi
    Angleterre (1) : R. Healey
    Australie (1) : D. Genreau (*)
    Belgique (1) : B. Dejaegere
    Bosnie (1) : S. Hamulic (*)
    Brésil (1) : R. Ratao
    Cameroun (1) : K. Keben
    Cap-Vert (1) : L. Costa (*)
    Chili (1) : G. Suazo
    Grèce (1) : T. Tsingaras
    Japon (1) : A. Onaiwu
    Mali (1) : M. Diarra (*)
    Maroc (1) : Z. Aboukhlal (*)
    Serbie (1) : V. Birmancevic
    Suède (1) : O. Zanden
    Suisse (1) : V. Sierro

    (*) Les joueurs qui possèdent une double-nationalité.

    publié le 19 février 2023 à 00h05mis à jour le 19 février 2023 à 00h05

    Toulouse (FRA)

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    Buteo55 pas besoin d'être de la même nationalité pour bien jouer au football. Le TFC a un groupe solidaire, avec des joueurs combatifs qui s'éclatent sur le terrain. Depuis 2 saisons, aller au Stadium, est redevenu un vrai plaisir, entre le jeu pratiqué ( + victoires, buts..) et l'ambiance en tribunes, alors que les joueurs soient hollandais ou brésiliens, peu importe, ils se battent pour le même maillot.

     

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    Approché cet hiver par Aston Villa, Mattéo Guendouzi pourrait représenter une plus-value conséquente cet été pour l'OM. (F. Faugère/L'Équipe)
    Approché cet hiver par Aston Villa, Mattéo Guendouzi pourrait représenter une plus-value conséquente cet été pour l'OM. (F. Faugère/L'Équipe)
    Foot L1, OM
    issu du journal
    Mattéo Guendouzi, plus si essentiel à l'OM
    Homme de base de Jorge Sampaoli, l'international français Mattéo Guendouzi se fait une place au forceps dans la formation d'Igor Tudor, avant un probable départ sous d'autres cieux cet été.
    Mathieu Grégoire (avec Ba. C. et V. G.), envoyé spécial permanent à Marseille
    mis à jour le 19 février 2023 à 00h15
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    Il ne doute pas. Depuis son arrivée à l'été 2021, Mattéo Guendouzi (23 ans) la joue souvent plus marseillais que les Marseillais. Hâbleur, bravache, excessif, il démontre surtout une qualité locale, en balayant les obstacles devant lui comme un simple jeu de quilles. Dans le vestiaire olympien, cette force de persuasion couplée à une grande bouche peut amuser ou agacer, mais personne ne sous-estimera une obstination en fer forgé.

    Habitué à scruter les rivaux d'Arsenal pendant ses nombreuses saisons en Premier League avec Manchester United, Eric Bailly a d'abord assisté à son éclosion tonitruante au sein des Gunners d'Unai Emery. Avant de retrouver le bonhomme à la crinière bouclée dans les couloirs de la Commanderie. « Côté personnalité, il n'a pas changé, il est toujours fou, dans le bon sens, dit le défenseur central ivoirien, dans un sourire. C'est un très bon joueur, je suis content de ce qu'il fait, on le voit dans ses performances, il est appelé en équipe de France, ce qui est tout sauf facile. Je le félicite. Il a beaucoup progressé, il est mature, il se donne à fond, quel que soit le poste où il doit jouer. Il se rend toujours disponible. »

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    L'OM ou l'art de la rotation en défense
    Disponible, Guendouzi doit l'être sous Igor Tudor, il n'a pas d'autre choix. Au coeur de son système en 3-4-2-1, le technicien croate a installé le duo Rongier-Veretout, dont il aime la sérénité dans l'entrejeu. L'ex-Lorientais, à ce poste de relayeur, est plutôt synonyme de déséquilibre et de panache pour Tudor. Ce n'est pas un défaut pour l'ancien de la Juventus. Mais ses schémas respirent déjà la prise de risques, alors il y ajoute Guendouzi avec parcimonie, quand il faut faire souffler un de ses deux métronomes. Homme de base de Jorge Sampaoli la saison dernière, l'international français (7 sélections) a dû se réinventer dans la formation de Tudor. Il évolue le plus souvent dans la ligne de deux derrière l'attaquant.

    Moins décisif que l'an dernier
    Il est parfois une variable d'ajustement, pouvant sortir à la pause (contre Monaco et Clermont ces dernières semaines). Il arrive surtout à profiter des rendements décevants de certains (Gerson, Payet), des recompositions tactiques (Ünder baladé entre ce poste et celui de piston droit) ou des états de forme disparates pour être la seconde option la plus stable.

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    Si Amine Harit, en première partie de saison, ou Ruslan Malinovski, depuis son arrivée en janvier, épousent parfaitement la philosophie Tudor, Guendouzi arrive à la comprendre suffisamment pour faire sa place. « Il n'est plus celui que tu mettais d'office dans le onze, comme sous Sampaoli, explique un cadre du club. Mais dans ce raisonnement à la Tudor, qui va monter à "quatorze titulaires", il est un joueur important. » Haut sur le terrain, Guendouzi a moins marqué ou délivré de passes décisives en L1 que l'an passé, à ce stade de l'exercice. « Les dernières saisons, j'avais très peu de statistiques, c'est mon année la plus aboutie à ce niveau », confiait-il au printemps 2022 à propos de la cuvée Sampaoli.

    5
    Auteur d'un but et de 5 passes décisives cette saison en L1, Mattéo Guendouzi comptait 3 réalisations et 6 offrandes en Championnat à l'entame de la 24e journée l'an dernier.
    Il s'épanouit autrement, en attendant un éventuel passage de flambeau à Azzedine Ounahi, au style différent. « Azzedine est dans le dynamisme, la verticalité, le dribble et les transitions, là où Matteo, un travailleur, apporte par son volume de courses et sa rudesse physique », explique-t-on au club. Le départ de Guendouzi est clairement programmé cet été. En janvier, Aston Villa a approché le joueur, avec un contrat mirifique et plusieurs appels d'Emery, qui voulait retrouver son ancien protégé. Le clan Guendouzi a écouté, fait part de cet intérêt à Pablo Longoria, avant de refermer la porte. Les Villans n'ont ainsi formulé aucune offre officielle à l'OM.

    Pour les différentes parties, Guendouzi a tout pour être l'un des grands transferts marseillais du prochain mercato. Jeune, international, avec un salaire encore trop conséquent, une capacité d'adaptation prononcée et un profil rare. À quel prix ? Cet hiver, la direction soufflait en voyant la somme de 30 millions d'euros dans les journaux, sous-entendant que sa valeur marchande pouvait être bien plus élevée encore. En ces temps de débrouille et d'inflation, les couteaux suisses sont devenus un luxe.

     
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    Approché cet hiver par Aston Villa, Mattéo Guendouzi pourrait représenter une plus-value conséquente cet été pour l'OM. (F. Faugère/L'Équipe)
     
    Approché cet hiver par Aston Villa, Mattéo Guendouzi pourrait représenter une plus-value conséquente cet été pour l'OM. (F. Faugère/L'Équipe)
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    Mattéo Guendouzi, plus si essentiel à l'OM

    Homme de base de Jorge Sampaoli, l'international français Mattéo Guendouzi se fait une place au forceps dans la formation d'Igor Tudor, avant un probable départ sous d'autres cieux cet été.

    Mathieu Grégoire (avec Ba. C. et V. G.), envoyé spécial permanent à Marseillemis à jour le 19 février 2023 à 00h15
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    Il ne doute pas. Depuis son arrivée à l'été 2021, Mattéo Guendouzi (23 ans) la joue souvent plus marseillais que les Marseillais. Hâbleur, bravache, excessif, il démontre surtout une qualité locale, en balayant les obstacles devant lui comme un simple jeu de quilles. Dans le vestiaire olympien, cette force de persuasion couplée à une grande bouche peut amuser ou agacer, mais personne ne sous-estimera une obstination en fer forgé.

     
     

    Habitué à scruter les rivaux d'Arsenal pendant ses nombreuses saisons en Premier League avec Manchester United, Eric Bailly a d'abord assisté à son éclosion tonitruante au sein des Gunners d'Unai Emery. Avant de retrouver le bonhomme à la crinière bouclée dans les couloirs de la Commanderie. « Côté personnalité, il n'a pas changé, il est toujours fou, dans le bon sens, dit le défenseur central ivoirien, dans un sourire. C'est un très bon joueur, je suis content de ce qu'il fait, on le voit dans ses performances, il est appelé en équipe de France, ce qui est tout sauf facile. Je le félicite. Il a beaucoup progressé, il est mature, il se donne à fond, quel que soit le poste où il doit jouer. Il se rend toujours disponible. »

    Disponible, Guendouzi doit l'être sous Igor Tudor, il n'a pas d'autre choix. Au coeur de son système en 3-4-2-1, le technicien croate a installé le duo Rongier-Veretout, dont il aime la sérénité dans l'entrejeu. L'ex-Lorientais, à ce poste de relayeur, est plutôt synonyme de déséquilibre et de panache pour Tudor. Ce n'est pas un défaut pour l'ancien de la Juventus. Mais ses schémas respirent déjà la prise de risques, alors il y ajoute Guendouzi avec parcimonie, quand il faut faire souffler un de ses deux métronomes. Homme de base de Jorge Sampaoli la saison dernière, l'international français (7 sélections) a dû se réinventer dans la formation de Tudor. Il évolue le plus souvent dans la ligne de deux derrière l'attaquant.

    Moins décisif que l'an dernier

    Il est parfois une variable d'ajustement, pouvant sortir à la pause (contre Monaco et Clermont ces dernières semaines). Il arrive surtout à profiter des rendements décevants de certains (Gerson, Payet), des recompositions tactiques (Ünder baladé entre ce poste et celui de piston droit) ou des états de forme disparates pour être la seconde option la plus stable.

     
     

    Si Amine Harit, en première partie de saison, ou Ruslan Malinovski, depuis son arrivée en janvier, épousent parfaitement la philosophie Tudor, Guendouzi arrive à la comprendre suffisamment pour faire sa place. « Il n'est plus celui que tu mettais d'office dans le onze, comme sous Sampaoli, explique un cadre du club. Mais dans ce raisonnement à la Tudor, qui va monter à "quatorze titulaires", il est un joueur important. » Haut sur le terrain, Guendouzi a moins marqué ou délivré de passes décisives en L1 que l'an passé, à ce stade de l'exercice. « Les dernières saisons, j'avais très peu de statistiques, c'est mon année la plus aboutie à ce niveau », confiait-il au printemps 2022 à propos de la cuvée Sampaoli.

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    Auteur d'un but et de 5 passes décisives cette saison en L1, Mattéo Guendouzi comptait 3 réalisations et 6 offrandes en Championnat à l'entame de la 24e journée l'an dernier.

    Il s'épanouit autrement, en attendant un éventuel passage de flambeau à Azzedine Ounahi, au style différent. « Azzedine est dans le dynamisme, la verticalité, le dribble et les transitions, là où Matteo, un travailleur, apporte par son volume de courses et sa rudesse physique », explique-t-on au club. Le départ de Guendouzi est clairement programmé cet été. En janvier, Aston Villa a approché le joueur, avec un contrat mirifique et plusieurs appels d'Emery, qui voulait retrouver son ancien protégé. Le clan Guendouzi a écouté, fait part de cet intérêt à Pablo Longoria, avant de refermer la porte. Les Villans n'ont ainsi formulé aucune offre officielle à l'OM.

    Pour les différentes parties, Guendouzi a tout pour être l'un des grands transferts marseillais du prochain mercato. Jeune, international, avec un salaire encore trop conséquent, une capacité d'adaptation prononcée et un profil rare. À quel prix ? Cet hiver, la direction soufflait en voyant la somme de 30 millions d'euros dans les journaux, sous-entendant que sa valeur marchande pouvait être bien plus élevée encore. En ces temps de débrouille et d'inflation, les couteaux suisses sont devenus un luxe.

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