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Lopez

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Messages posté(e)s par Lopez

  1. Il y a 2 heures, Asha31 a dit :

    Agréablement supris de l'interview dans la dêpèche de ce matin, je m'attendais a un torrent d'eau tiède, au final il dit quand même des choses.

    Et puis bon aprés Dupraz, ça fait bizarre de revoir des réponses claires sur la tactique, le jeu , les mise en places aux entraînements toussa ...:ninja:

    Ca fait un bien fou

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  2. à l’instant, Gollum a dit :

    Vu ce qu'il foire (encore), ça peut se comprendre...

    C est un peu normal c est un competiteur et il y met de l energie. C est une bonne mentalité mais il est peut etre trop dans l affect

  3. 20 minutes

    Yaya Sanogo

    Une étreinte pour son remplaçant, Andy Delort. Une autre pour son entraîneur, Michaël Debève. « Carbo » en début de deuxième mi-temps, l’attaquant toulousain Yaya Sanogo n’a passé que 52 minutes samedi soir sur la pelouse du Stadium contre Troyes (1-0). Assez toutefois pour provoquer l’expulsion du défenseur aubois Jimmy Giraudon dès la 3e minute, marquer l’unique but du match (11e) et se créer trois autres occasions (9e, 25e, 43e).

     

    « C’est mon anniversaire, avec ce but, c’est une double émotion », savoure l’immense avant-centre (1,91 m) à la voix chaude façon Barry White, qui a fêté ses 25 ans.

    « Yaya n’était pas en réussite depuis un moment mais c’est un grand joueur, souligne Debève. Il méritait de débuter. Derrière il y a Andy Delort et Ola Toivonen, le secteur offensif est vraiment fourni. Je suis content pour lui, il revient de loin. »

    « Il fait énormément d’efforts »

    Formé à Auxerre, le champion du monde des moins de 20 ans en 1993, au côté de Paul Pogba, Florian Thauvin et Alphonse Areola, s’est perdu ensuite dans les brouillards de Londres, plombé par d’innombrables blessures. Parti à Arsenal, successivement prêté à Crystal Palace, à l’Ajax Amsterdam puis à Charlton, l’ancienne promesse a disparu des radars avant de signer, libre, l’été dernier à Toulouse.

    Avec Dupraz, Sanogo a certes joué 13 matchs de Ligue 1, mais seulement trois comme titulaire. Avant ce samedi, ses deux seuls buts de la saison avaient été inscrits en Coupe de la Ligue. Et puis, Debève, le successeur du Savoyard, a choisi de l’aligner d’entrée, à la surprise générale, face à l’ESTAC au détriment de Delort, lors d’un match crucial pour le relégable. Il ne l’a pas regretté. « On le voit travailler au quotidien, il fait énormément d’efforts », souligne le technicien, conscient des galères traversées par l’ex-espoir cabossé.

    « Je n’ai pas joué pendant un an et quelque, je ne sais pas quel joueur est revenu et a tout de suite tout pété. Il m’a fallu six mois pour réadapter tout mon corps. Depuis le retour des vacances de Noël, je me sens de mieux en mieux. »

    L’ancien Gunner n’a pas été malheureux sur son but, en contrant un dégagement du défenseur troyen Gabriel pour concrétiser un centre de Corentin Jean. L’ailier droit toulousain a délivré un autre caviar à Sanogo, mais le gardien de l’ESTAC Erwin Zelazny s’est magnifiquement interposé (25e). « Yaya est vraiment un joueur talentueux, lance Jean. C’est un attaquant de surface intéressant pour un centreur comme moi. »

    Lors de ses premières apparitions, Sanogo avait laissé entrevoir par intermittence des qualités techniques évidentes, mais aussi des lacunes physiques tout aussi criantes, notamment dans ses accélérations. Aujourd’hui, même s’il est loin de pouvoir tenir 90 minutes, les progrès sont patents. Entre la méforme de Delort, auteur d’une entrée ratée contre Troyes, et la torpeur de Toivonen, resté sur le banc le joueur formé à Auxerre a une belle carte à jouer à la pointe du 4-3-3 de Debève.

    Debève, son meilleur avocat

    « Il faut se souvenir que plus jeune, c’était le meilleur attaquant de sa promotion, rappelle le nouvel entraîneur du TFC. Quel attaquant français a joué à Arsenal ? A part Giroud et Lacazette, il n’y a que Yaya Sanogo. Seulement, son corps l’a lâché. »

    A 25 ans, il serait temps que cette grande carcasse laisse enfin son propriétaire tranquille quelques saisons d’affilée.

     

     

    Bon y a Henry qui y a joué aussi accessoirement...

  4. il y a 12 minutes, taz a dit :

    Milla n'avait pas du tout les mêmes caractéristiques physiques, ni le même jeu... 

    Ils sont incomparables.

    Je parle de sa facon degandée de jouer. En fin de carriere Milla avait un peu le jeu lent de Sanogo.

  5. il y a 39 minutes, Viola gladiators a dit :

    Titulaire indiscutable surtout dans la situation dans laquelle on est, quand je vois il est pas technique; on s'en fou c'est pas ce qu'on lui demande Deschamps ne l'était pas non plus, il y a des joueurs qui sont des cadres par leur grinta combativité, expérience et c'est ce qui donne un équilibre à l'équipe, jouer simple en 1ere intention proprement.

    Hier soir Cahu match énorme, chaque fois qu'il a joué ça été correct, on l'a sous exploité et on s'est plain de l’équipe qui manque d'expérience drôle de paradoxe, tout comme un sirieix qui la saison dernière je suis convaincu aurait pu faire une bonne 10 de matchs et nous faire gratter quelques petits points.

    +1 et il s est crée 2 occasions franches. Hier il m a seduit.

  6. Il y a 1 heure, Ekelund a dit :

    franchement j'espère me tromper mais je le vois pas marquer + de 2 ou 3 buts d'ici la fin de saison...

    S il marque 3 buts et que ca fait 3 points a chaque fois moi je prends. Ce gars avec ses gestes un peu degandés peut peser sur une defense et debloquer des situations et pour le moment on n a pas grand chose en magasin. Je le ressayerai bien contre Nice.

    Il me fait penser parfois à Roger Milla.

  7. Il y a 4 heures, Doberman a dit :

    Et il n'aurait pas été acheté par Monaco que Jardim ne voulait pas lâcher...

    Disons qu on voit bien le potentiel mais il n est pas decisif sur son poste. C est un bel arbre qui ne donne pas de fruit

  8. Il y a 2 heures, ZeStump a dit :

    Il a les diplômes au moins ? :ninja:

    Debève, il a plus le look du prof d'EPS en sport étude que de l'entraîneur d'une équipe de L1

    J avais Albert Cigagna comme prof d EPS quand il a ete champion de France avec le Stade -_-

     

  9. Il y a 5 heures, elkjaer a dit :

    «Pas prédestiné» on voit quand même toute la différence avec Casablanca qui disait que ça faisait une douzaine d'années qu'il se préparait pour ça. 

    Tout ce que j'espère c'est qu'il y a de la fausse modestie chez Debève et qu'il en à un peu sous le pied dans des relations avec les joueurs. Suffisamment pour les mettre dans les dispositions nécessaires pour battre Troyes en laissant un minimum de place au hasard. 

     

    Je me souviens de Casa disant, " si ca ne s était pas fait, je serais comme ca tout ma carriere sans probleme" et c était au lendemain de sa nomination -_-

     

  10. il y a 30 minutes, Doberman a dit :

    T'as vraiment du mal avec les avis différents du tien...

    Ce n'est qu'un ressenti pour a part, je sens qu'il est de plus en plus distant vis-à-vis de la mentalité qu'il règne dans l'environnement du foot et notamment, celle des joueurs.

    Rien à voir avec le fait de développer le côté financier qui est une obligation.

    Je fais la distinction entre le business et l'affect.

    Si un jour Sadran reprends une équipe de Rugby de niveau Fédérale 1 par exemple, on n'aura plus de doute... :rolleyes:

    Sa prise de distance avec la LFP montrerait aussi son desamour du milieu.

  11. Sur 20 minutes, je ne sais pas si ca deja ete posté :

    Debève est entré dans la carrière à Abbeville, sa ville natale, de 2004 à 2008 en CFA2.Il est revenu ensuite à Toulouse pour prendre en charge l’équipe réserve, toujours en CFA2, et le centre de formation, avant de devenir en mars 2015 le numéro 2 de Dominique Arribagé, puis celui de Dupraz. « C’est une très belle personne, franche et honnête, et un très bon coach, assure le défenseur Thibault Peyre (25 ans), formé de 2010 à 2013 à Toulouse et aujourd’hui à l’Union Saint-Gilloise (L2 belge). J’ai beaucoup appris avec lui pendant trois ans. Après bien sûr, la formation et l’équipe première, c’est très différent. »

    Honnêteté et générosité, ces mots reviennent aussi du côté de Lens, où Debève a été quasiment statufié de son vivant après l’inoubliable but de la victoire à Wembley face à Arsenal en Ligue des champions, un soir de novembre 1998. « Ce n’est pas seulement pour ce but qu’il a laissé une superbe image ici, assure son ancien président Gervais Martel, qui lui a envoyé un SMS de félicitations, lundi. C’était un travailleur de l’ombre, un récupérateur qui faisait briller toute l’équipe. Il a toujours été d’une honnêteté hors pair, il n’a jamais triché mais il a aussi des capacités d’entraîneur, car il sent bien le foot. »

     

    Daniel Leclercq occupait le banc des Sang et Or, champions de France 1998. Et les propos du « Druide » rejoignent ceux de Martel.

    « C’était un joueur atypique, comme on n’en voit presque plus, un dévoreur d’espaces. Il était tellement généreux que je le vois également comme cela en tant qu’entraîneur. Je l’ai suivi dans son parcours, notamment lors de matchs où il était responsable (par intérim) comme à Marseille (1-1, le 6 mars 2016) ou à Saint-Etienne (2-0, le 14 janvier dernier). J’ai trouvé un garçon vraiment épanoui. Il a pris de la bouteille, comme Eric Sikora (entraîneur de Lens) et c’est peut-être la porte ouverte à une belle carrière. »

    Au milieu de ces éloges, plusieurs jeunes joueurs du centre de formation toulousain, sous couvert d’anonymat, pointent son déficit de résultats avec la réserve, et un certain favoritisme dans ses choix. Mais la critique la plus récurrente porte sur son manque de charisme, surtout lorsqu’il s’agit de passer après le très médiatique Pascal Dupraz.

    Un argument balayé par Thibault Peyre : « Il sait se faire respecter, assure l’ancien Pitchoun, passé ensuite par Lille et Mouscron. C’est un caractère fort, qui accorde beaucoup de place à la discipline. Au centre, c’était très, très dur. On ne pouvait pas faire les coupes de cheveux que l’on voulait. Quand on sortait en ville aussi, il fallait avoir un bon comportement, pour que l’image du TFC soit respectée. »

     

    Et au niveau du jeu au fait, quels sont ces principes ? « A mon époque, la réserve devait appliquer la tactique adoptée par Alain Casanova avec l’équipe une, en 3-5-2 ou en 4-1-4-1, rappelle Peyre. Comme tous les coachs, il cherche à ne pas prendre de but, mais il aime que son équipe joue au ballon, avec un jeu porté vers l’avant. »

    Gervais Martel : « "Mika" a l’étoffe »

    Il est plus facile de « mater » des stagiaires pros que des joueurs de 25 ou 30 ans passés par des clubs plus prestigieux que le TFC. Il est surtout compliqué de redresser un club qui flirte avec la relégation pour la troisième fois lors des quatre dernières saisons, et d’apporter un nouveau souffle lorsque l’on a fait partie de ces galères, même dans l’ombre de l’entraîneur principal. « "Mika" a l’étoffe, veut pourtant croire Gervais Martel. Je lui souhaite de s’en sortir. »

     

  12. Il y a 2 heures, Doberman a dit :

    Je pense qu'il est de plus en plus dégoûté de la mentalité qui règne dans le foot.

    Lui ce qu'il aime, ce sont les ambiances de vestiaires, les petits voyages, les aventures telles qu'il les a connu en 2003 avec l'aventure des pitchouns.

     

    Les ambiances L2 quoi :ninja:

     

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