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Toulousain31

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Tout ce qui a été posté par Toulousain31

  1. Sylla un déchet sur cette mi temps je préfère bafo concentré pour le coup
  2. Perso je signe pour le nul. Je nous vois pas gagner la bas vu les dernières prestations physiques de nos joueurs
  3. L'Équipe type Genreau remplace Brecht et ratao ala place d onaiwu. J'attends un grand match de Nathan quand meme
  4. Celui là? Toulouse Football Club, Toulouse, Haute-Garonne Publié le 17/04/2022 à 00:15 Encore plus près des étoiles... Après son cinquième succès d'affilée, ce samedi après-midi au Stadium, face au mal-classé Quevilly Rouen (2-0), les Violets touchent du doigt la L1. L'accession pourrait être officialisée mardi 19 avril à Montbéliard contre le FC Sochaux lors de la prochaine journée. Même Ratao qui n’est pas le dernier à ambiancer, aura pris le micro. Il est 16h57 exactement, hier après-midi, sur l’île du Ramier et sous le soleil qui s’est invité à la fête, et la traditionnelle communion d’après-match entre joueurs et supporters – devant le virage Brice-Taton – paraît encore plus forte que d’accoutumée. Comme un petit bout d’Histoire qui plane au-dessus du Stadium. La raison du… chœur ? En enregistrant sa 21e levée depuis l’ouverture du bal, Toulouse a gravi une marche de plus sur l’escalier à colimaçon [un parcours du combattant, quoi] devant le ramener en élite. Il a même fait un pas de géant : avec un matelas de 11 points d’avance sur le 3e, Auxerre (vainqueur 4-1 à Pau), alors qu’il en reste 15 en jeu, ça sent (très) bon la Ligue 1 pour les protégés de Montanier qui tracent inexorablement leur route. Sans se retourner, de surcroît. "Il n'y a plus qu'un orteil !" "Il nous manque juste le dernier des dix orteils à glisser dans l’ascenseur", image l’entraîneur des Violets. Lequel prend la précaution mathématique de circonstance : "Ce n’est pas fait." Vrai. En revanche, statistiquement ou historiquement, oui. Avec 72 points au compteur, l’affaire est entendue pour tout club de L2 : il monte en L1. "Logiquement, ajoute Anthony Rouault qui vient de s’égosiller en scandant "Toulousains, Toulousains". Tous les précédents le prouvent. Il n’y a donc pas de raison que ce ne soit pas le cas pour nous !" Las, eu égard au peuple violet, la normalité n’existe pas dans le monde du ballon rond, si capricieux souvent, irrationnel parfois. En résumé, il faudra attendre, au moins, une journée encore pour officialiser l’accession. Sans entrer dans des comptes d’apothicaires, si tout se "goupille" à la perfection dans trois jours à Sochaux, le Téfécé reléguerait le 3e à 14 unités – 12 seulement demeurant à capitaliser. CQFD : arithmétiquement, là, ce serait acté. Mais nous ne sommes pas encore sur la pelouse de Bonal où, justement, les Toulousains devront délivrer une tout autre copie que celle bafouillée hier pour s’imposer. "Les Sochaliens vont avoir le couteau entre les dents" prédit le capitaine Brecht Dejaegere. "Un gros match en perspective nous attend" abonde le technicien. Bref, cela s’annonce dur dans le Doubs ; et ce n’est pas que pour la rime. Plus tard en soirée, dans l’arène des Crocos nîmois, le FCSM a envoyé un signal : il s’est imposé 3-1. Pas donné à tout le monde. Au passage, le reste du Big Five non mentionné auparavant a gagné : le dauphin AC Ajaccio à Dijon (3-0), le quatrième Paris FC 1-0 chez le voisin Rodez. Vous avez dit money-time ? Dupé masterclass "On a montré une belle force de caractère, se défend Rouault. C’est important aussi de savoir remporter la mise quand tu n’es pas forcément bon." Manque de justesse technique, d’agressivité au pressing, de rapidité avec le ballon, de jeu vers l’avant… "Pas sorcier, synthétise Montanier, on a fait chou blanc dans tous les domaines. Quevilly a plus d’occasions franches et Maxime (Dupé) nous maintient à flot sur deux arrêts décisifs." Un par mi-temps, à chaque fois contre Sabaly : face-à-face (40), horizontale (48). "C’est surtout le discours du coach à la pause qui nous a reboostés" souligne le portier. "J’ai recadré, conclut Philippe Montanier. L’accouchement a été long ; mais la victoire est une référence au niveau comptable (72pts). Les joueurs font une belle saison, à eux de la rendre fantastique." Premier speed-dating mardi soir. Le descriptif des buts 75e : corner tiré de la gauche vers la droite par van den Boomen, au second poteau ; le ballon est remisé de la tête par Rasmus Nicolaisen. Rhys Healey n’a plus qu’à pousser au fond, toujours de la tête (1-0). 90+2 : sur un centre de Sylla, Yanis Begraoui, esseulé dans les 5m50, bute d’abord sur Nicolas Lemaître puis sert du gauche quasi sur la ligne de but Rafael Ratao qui, à la lutte avec Dekoke, convertit l’offrande de l’exter du droit (2-0). L'ouverture du score signée Rhys Healey à un quart d'heure de la fin. DDM - MICHEL VIALA
  5. REPORTAGE. TFC : "Vivez, aimez, riez !" On est parti sur les traces de Branco van den Boomen à Eindhoven Toulouse Football Club, Toulouse, Haute-Garonne Publié le 17/04/2022 à 20:00 Avant de triompher à Toulouse, Branco van den Boomen s’est battu avec son destin aux Pays-Bas.Pour tenter de le comprendre, La Dépêche du Midi s’est rendue dans sa ville natale, à Eindhoven. Famille, amis, anciens entraîneurs... Ils racontent l’itinéraire du nouveau roi du TFC. La passion, ça ne se négocie pas. Celle qui électrise Harry van den Boomen depuis toujours est rood-witten, rouge et blanche comme les couleurs du PSV. L’homme de 55 ans a donné rendez-vous au "Eetcafé de Verlenging", bar-restaurant lové dans les entrailles du Philips Stadion, le stade du club mythique d’Eindhoven, parce qu’il est ici chez lui. Entre deux tapes dans le dos du patron, il navigue parmi les vitrines qui ornent la salle, où dorment maillots, photos et paires de crampons, témoins de la gloire du PSV et de ses légendes. Son œil s’allume comme celui d’un gosse : ces objets, c’est aussi sa vie qu’ils racontent. Quelque part, ils lui appartiennent. C’est vrai pour tous les supporters, mais pour lui peut-être un peu plus. Formé au PSV, par Guus Hiddink notamment, joueur de l’équipe nationale hollandaise en U18, Harry van den Boomen est fauché avant 20 ans par une rupture des ligaments croisés et doit ranger au placard ses rêves et son maillot rayé. Accoudé à la rambarde de la petite terrasse qui surplombe la pelouse où Willy van der Kuijlen, Phillip Cocu, Ruud van Nistelrooy et Ronaldo ont jeté des éclairs d’éternité, il se demande : "qu’aurait été ma vie sans cette blessure ?" Harry van den Boomen, le père, fan du PSV Eindhoven devant l’éternel, passé par son centre de formation. DDM - Théo Faugère Aujourd’hui restent des souvenirs, immortalisés par des photos et articles de presse jaunis, comme ce tournoi à Croix où il termine meilleur buteur devant les attaquants du Real Madrid, de Milan, de Saint-Etienne. Il y a aussi, surtout, un héritage : "Ma blessure m’a empêché de réaliser mon rêve. Maintenant, je vois mon fils l’atteindre, et ça, c’est magnifique." À 26 ans et à 1 000 bornes d’Eindhoven, Branco van den Boomen vit la plus belle saison de sa carrière. Meilleur passeur de Ligue 2, élu deux fois d’affilée joueur du mois, en février et en mars, le milieu de terrain a trouvé une couronne au bout de l’exil et une justification à son destin. Alors qu’il attaque son club sandwich très hollandais – bacon, poulet, concombre, tomates, œuf – Harry van den Boomen rembobine : "Branco est presque né avec un ballon dans les pieds. Dans son parc pour bébé, alors qu’il ne savait pas marcher, il se tenait aux rambardes et tirait dans un ballon de l’autre côté. Il faisait le tour en s’agrippant, tirait dans l’autre sens, et ainsi de suite pendant des heures. Au bout d’un moment, il tombait de fatigue, dormait un peu, et il remettait ça. Je ne l’ai jamais vu jouer aux voitures ou à quoi que ce soit d’autre." L’enfance à Veldhoven, ville de 45 000 âmes du Brabant-Septentrional, voisine d’Eindhoven et de Nuenen où vécut Van Gogh, ressemble à celle que vivent des milliers d’autres gamins partout en Europe. "Nous étions heureux, et les meilleurs amis", se souvient Vinnie van den Boomen, petit frère né deux ans après. Dans les rues de Veldhoven, voisine d’Eindhoven, où a grandi Branco van den Boomen, toujours un ballon dans les pieds. DDM - Théo Faugère Chez les frangins, le foot prend toute la place, ou presque. Le temps qu’il reste, quand les jambes sont trop fatiguées, ils le tuent sur la Playstation, à FIFA et GTA, ou serrés sur le canapé du salon lors des soirées Ligue des champions. Harry dit que son deuxième fils avait autant voire plus de talent que l’aîné. Ça le fait marrer : "Branco, depuis que j’ai deux ans, a toujours dit qu’il serait footballeur professionnel. Il n’avait que ça dans la tête." À 16 ans, il le répétera sous la forme d’une promesse adressée à son grand-père Frans Leemans lors de ses funérailles : "Je te le jure, je deviendrai un joueur pro." Le père concède : "Vinnie, peut-être qu’il n’avait pas le caractère de Branco. Il était attiré par d’autres choses, comme la musique." Celui qui partage désormais son temps entre le foot, qu’il pratique en amateur au RKVVO, le club de Veldhoven, la pop musique qu’il compose et son boulot de nuit en boulangerie, réfléchit un peu lorsqu’on lui demande à quel moment il a su que les choses devenaient sérieuses pour son frère. "Probablement lorsque l’Ajax est venu le chercher", finit-il par répondre. Nous sommes en 2011. Branco van den Boomen répète ses gammes depuis sept ans à Willem II, le club de Tilbourg, quand le téléphone de son père sonne. "C’était le manager de l’Ajax, Jan Olde Riekerink, qui me dit qu’il veut me parler de Branco. Je raccroche, trois fois de suite ! Je pensais que c’était une blague, et moi, je suis pour le PSV !" Le quatrième appel sera le bon. Au fond, Harry van den Boomen le sait : quand l’Ajax Amsterdam sonne à votre porte, vous n’avez pas d’autre choix que de l’ouvrir en grand. Branco prépare ses valises pour la capitale et le plus grand club du pays, où il fera ses débuts avec l’équipe réserve en 2013, après avoir raflé un titre de champion d’Europe des moins de 17 avec les Oranje. Mais il ne portera jamais le maillot de l’équipe première. "La marche était peut-être trop haute", analyse Robin Pronk dix ans plus tard. Coach des U17 de l’Ajax à l’époque, il est l’un des hommes derrière l’arrivée de Branco à Amsterdam : "Il avait déjà cette magnifique qualité de passe, de frappe, il était excellent sur coup franc. Mais je pense que certaines faiblesses défensives et sa vitesse l’ont empêché de franchir ce palier vers le très haut niveau." "Branco, à Eindhoven, tout le monde l’aime" Ce vendredi soir, le Jan Louwers Stadion, 4 600 places, n’a pas fait le plein. L’enjeu est pourtant de taille pour le FC Eindhoven, en bonne position pour décrocher son accession en Eredivisie à l’heure de recevoir Almere City. Mais au sud d’une ville où l’attention est vampirisée par le PSV, on s’est résignés à vivre à l’ombre d’un géant. Le club fondé en 1909, quatre ans avant que Philips ne crée le PSV pour ses ouvriers, a tout de même son histoire et ses légendes. Pascal Maas, 44 ans en bleu et blanc en tant que joueur puis entraîneur, en est assurément une, du haut de ses 88 buts. "Et en tant que milieu de terrain !" se marre-t-il. On dirait que ce grand gaillard noueux a toujours été là. Il l’était lorsque Branco van den Bommen a signé, en 2014, après son échec à l’Ajax. "Je n’ai jamais senti qu’il était déçu", rejoue-t-il. « Branco n’est pas quelqu’un qui regarde en arrière. Il se dit, ‘‘qu’est-ce que je peux faire aujourd’hui ?’’" Ce qu’il a fait en 2014-2015, c’est participer à l’une des meilleures saisons du FC Eindhoven, qui échoue aux portes de la montée, deuxième avec 80 points derrière un ahurissant NEC Nimègue et ses 101 points. Pascal Maas, légende du FC Eindhoven dans les tribunes du Jan Louwers Stadion, l'antre de "l'autre" club de la ville où il a entraîné Branco. DDM - Théo Faugère Trop fort pour l’Eerste Divisie, van den Boomen ira quand même découvrir la première division hollandaise, à Heerenveen, où il débarque en 2015 pour remplacer Marten de Roon, parti à l’Atalanta Bergame. Mais deux ans et 31 matchs plus tard, il reviendra encore, attiré comme un aimant par sa ville natale, après un nouvel échec et une nouvelle "marche peut-être un peu haute" selon Pascal Maas. C’est lors de sa deuxième période à Eindhoven, entre 2017 et 2019, que van den Boomen deviendra "le Branco que vous voyez aujourd’hui à Toulouse. On ne peut le comparer à aucun autre joueur que l’on a eu ici", admire son ancien entraîneur. "Quand il est revenu, il a ajouté les buts et la gestion du tempo à sa palette. C’était devenu un excellent joueur, notre maître à jouer. Il avait des statistiques, et il était surtout resté un très bon être humain. C’est quelqu’un avec qui j’ai énormément apprécié travailler, jamais en colère, toujours enthousiaste, avec cette envie de gagner, même à l’entraînement. C’est un mec normal. Branco, à Eindhoven, tout le monde l’aime. Ça a matché entre lui et le club. Il se sentait bien ici, il était dans une zone de confort, mais prêt à exploser." C’est ce qu’il fera, loin d’Eindhoven, mais avec les yeux de sa ville braqués sur lui. Amour, IPTV et semi-conducteurs 15 heures. Dans le salon de la petite maison en briques sombres typique de Veldhoven, les premières bouteilles de Bavaria s’ouvrent. Aux murs, un maillot violet floqué du numéro 8, encadré aux côtés d’autres photos de Branco et d’autocollants des Indians Tolosa, ramenés par Harry van den Boomen de son déplacement en parcage avec les ultras toulousains, cette saison à Valenciennes. Ce samedi, le TFC est à Guingamp, et comme lors de chaque match, la télé est branchée sur l’IPTV dans ce qu’il appelle "sa cave d’hommes." Maurice, Syef, Michel et Bart sont là. Les amitiés remontent à loin. Elles se sont pour la plupart liées à l’usine d’ASML, géant de l’industrie de semi-conducteurs qui emploie près de 30 000 personnes, indépendante de Philips depuis 1988. À Veldhoven, où est situé son siège social, elle fait partie de la vie et conditionne les solidarités. "Que je parle à Comolli, à un joueur, à un paysan, à un ultra, c’est la même chose pour moi", répète Harry van den Boomen, dont un autre de ses cadres permet d’apprécier la philosophie : "Live, Love, Laugh" (Vivez, Aimez, Riez) peut-on lire. "J’aime la vie, elle est trop courte pour ne pas faire ce que tu veux. Et ce n’est pas important de tomber, il faut se relever. C’est ce que j’ai voulu apprendre à Branco." Harry van den Boomen, au centre, et ses amis, collègues de l’usine ASML pour la plupart, ne manquent pas un match de Branco avec le TFC. Dans le salon de la maison familiale de Veldhoven, le violet a remplacé le rouge et blanc du PSV, qui habillait Branco petit. DDM - Théo Faugère À la télé, le fils prodige distribue deux nouvelles passes décisives sur la pelouse du Roudourou et porte le TFC encore un peu plus près de la Ligue 1. Guingamp a un genou à terre, les "on est les champions" fusent dans le salon et les cinq amis préparent déjà leur prochain voyage à Toulouse, demandant à ce qu’on leur traduise le chant des supporters "qui ne saute pas n’est pas toulousain." Puis les discussions reviennent à l’ordinaire. Au PSV Eindhoven. "C’est sûr qu’on aurait aimé voir Branco y jouer" souffle Maurice. L’histoire s’est jouée à peu. "Le PSV voulait récupérer Branco quand il avait 8 ans, mais souhaitait le laisser encore une saison au RKVVO. À l’époque, les gars de Willem II ont été malins : ils faisaient descendre des joueurs de l’équipe 1 pour s’entraîner avec les jeunes, et quand Branco a vu ça, il avait des étoiles dans les yeux. Il me disait : ‘‘Papa je ne veux pas attendre.’’" Harry van den Boomen se tourne alors vers la légende du PSV, Willy van der Kuijlen. "Il m’a dit : ‘‘Harry, ce n’est pas grave si le gosse veut aller à Willem, laisse le faire.’’" 18 ans plus tard, après quelques détours et faux départs, Branco van den Boomen n’a toujours pas porté le maillot rood-witten mais est enfin prophète, même loin de son pays. Adulé à Toulouse, "il n’a jamais été aussi fort" selon son frère Vinnie. "C’est aussi parce qu’il est en confiance. Il a une stabilité, sa copine, sa famille. Il ne se focalise plus uniquement sur le foot, et ça lui permet d’être plus serein, plus mature." Père d’une petite fille depuis l’année dernière, c’est désormais à lui de transmettre l’héritage. Assurément rouge et blanc, forcément un peu violet. Branco van den Boomen, tout à droite, son petit frère Vinnie au centre. H. VDB DDM et H.VDB.
  6. TFC : les scénarios pour monter, mardi, à Sochaux Toulouse Football Club, Toulouse, Haute-Garonne Publié le 18/04/2022 à 08:30 En déplacement en Franche-Comté, demain, Toulouse pourrait sous conditions officialiser son accession en L1. Tout ne dépend pas que des Toulousains, qui doivent d’abord s’imposer à Bonal. Mais si Auxerre et Paris ne gagnent pas, ce mardi 19 avril sera jackpot ! Un billard à trois bandes. Depuis samedi soir et la clôture de la précédente joute, les choses se sont – un peu – éclaircies sur les cimes du championnat. Avec un matelas de 11 points d’avance sur le 3e, l’AJ Auxerre, et de 12 sur le 4e, le Paris FC, le Toulouse Football-Club fonce toujours à tombeau ouvert sur l’autoroute de la Ligue 1. Tandis qu’il n’y a plus que 5 matchs à disputer. Autrement chiffré : 15 unités à glaner. Mathématiquement, justement, la donne ne s’avère pas compliquée : si demain mardi les Violets accroissent leur différentiel au maximum (c’est-à-dire via 3 points) sur le troisième [rappelons que les deux premiers sont promus directement], ils seront assurés de finir dans ce fameux Top 2. Soit de retrouver l’élite du PAF, Paysage footballistique français. Pourquoi ? Parce qu’alors avec 14 longueurs "de marge" par rapport au barragiste (3e), sachant qu’il ne restera que 12 points en jeu à l’issue de cette 34e rencontre de championnat, l’affaire serait dans le sac. CQFD. À défaut, il faudra patienter six jours supplémentaires et la réception de Niort au Stadium (lundi 25 avril, 20h45). "Composter le billet à la maison serait sympa, sourit Philippe Montanier, mais cela ne nous dérangerait pas non plus de le faire plus tôt. Sur la pelouse doubienne par exemple, quand bien même il faut également compter avec les résultats des autres." L’entraîneur du Téfécé résume parfaitement la situation. Victoire du TFC Vaincre donc pour les Garonnais, certes ; or, corollaire, concomitamment que ni l’AJA et ni le PFC ne l’emportent car, dans cette hypothèse-ci, l’on reviendrait au matelas de 11 unités. Bref, l’accession – fixée à demain – se résume à une équation à trois où le FC Sochaux-Montbéliard, qui ne l’oublions pas peut très bien encore accrocher le troisième rang en fin d’exercice, n’est pas invité puisqu’il y a confrontation directe avec le Tef ! Ça pourrait se tramer demain, oui ; la montée n’est pas gagnée pour autant, non. La prestation mi-figue mi-raisin d’avant-hier sonne par ailleurs comme un avertissement. "Je ne dirais pas qu’on s’est vus trop beaux, juge le gardien Maxime Dupé, notre groupe n’est pas suffisant. Maintenant, peut-être a-t-on été trop sûrs de nous…" "La peur de monter ? Je ne sais pas, s’interroge Philippe Montanier. Après, à force d’entendre tout le monde dire que “Ça y est, on est en L1”, une sorte de petit relâchement même inconscient peut exister. Si on a fait la fête dans le vestiaire eu égard à la barre des 72 atteinte… ah oui, ponctue le coach, on a carburé au jus de pomme !" Nul du TFC Dans ce cas-là, l’écart maxi entre le leader et le 3e serait de 12 points. Et la remontée de n’être qu’officieuse, en dépit d’un goal-average grandiloquent du club de la Ville rose sur ses deux concurrents directs ajaïste et francilien (48 vs 18 et 16)… Défaite du TFC Au mieux, les Violets afficheraient toujours leurs 11 longueurs de sécurité ; au pire, 8 sur l’équipe de Furlan (succès des Bourguignons dans le derby face à Dijon) et 9 sur la formation de Laurey (si cette dernière battait à Charléty Caen). Sinon... Partie remise. Au cas où les planètes ne s’aligneraient pas comme escompté dans le Doubs et aussi à L’Abbé-Deschamps et au stade Charléty (même postulat de 11pts d’écart), la libération devrait prendre date avec TFC-Niort dans une semaine pile-poil. Un succès toulousain conserverait à coup sûr cette avance cependant que seules 9 unités demeureraient à engranger Capitaine Dejaegere et Ado Onaiwu lancés à grandes enjambées vers la Ligue 1
  7. On a déjà un avantage par rapport au calendrier. Tout le monde va jouer mardi mais nous on rejouera le lundi quand les autres vont jouer le vendredi. A part Auxerre le samedi je trouve qu'en terme de récupération avoir 3 jours supplémentaires ce n'est pas très équitable mais tant mieux pour nous.
  8. Bon nos amis ruthenois merci pour les travaux 😁 on pourra pas compter sur eux contre Paris on dirait. Sochaux qui perd a Nîmes pour l'instant. Affaires à suivre...
  9. On vient de prendre le record de buts en ligue 2. On peut prendre le record de passes décisives le record de différences de but +50 on est a +48 Le record de victoire et de points c'est mort pas assez de matchs pour le réaliser
  10. Le président des Indians qui dégage le micro de Bein pour chanter en disant on s en bas les couilles hhh le malaise de Bein qui met le résumé d'Auxerre pendant la communion avec les supporters
  11. Et ben c'est bien paye par rapport au match. On retiendra le score mais le contenu on peut oublier. Aller prochain match Sochaux on maintient l'avance
  12. Putain le nombre de fois que le jeu est haché pour des petits contacts a la con on peut pas imprimer un ryhtme
  13. Ado j'en ai marre vraiment une simple remise il l a met trop forte c'est pas un match pour lui
  14. Vu le match je me contenterais d'un 1-0 mais c'est moche on a aucune animation offensive. L' Impression qu'on a les jambes lourdes on fait pas de différence
  15. N'goumou prend des soufflantes de montanier. Pas normal que ce soit rhys qui doit presser le gardien
  16. Ça joue en trottinant chez nous je vois pas les mecs se dépouiller a part rhys, Nathan et ado ne sont pas bons
  17. On se fait vraiment chier on met pas de vitesse dans nos échanges on doit monter d'un cran notre niveau sinon on va s'endormir comme a l'aller
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