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Toulousain31

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Tout ce qui a été posté par Toulousain31

  1. et première recrue bienvenue Zakaria
  2. INTERVIEW. Van den Boomen : "Avec le TFC ou un autre club, je suis ouvert à tous les défis" Football, Toulouse, Ligue 2, Toulouse Football Club Publié le 16/05/2022 à 17:30 Il a retardé ses vacances d’une journée pour qu’on lui remette en main propre le trophée UNFP du meilleur joueur de Ligue 2. Le Toulousain Branco van den Boomen a accepté de se confier avant de prendre le premier avion pour les Pays-Bas pour profiter de vacances bien méritées. Branco, vous êtes le meilleur joueur de la saison, qu’avez-vous ressenti au moment de récupérer votre trophée ? C’est fou, je suis vraiment heureux. C’est un sentiment incroyable qui m’a traversé, j’ai été élu meilleur joueur de la Ligue 2 en France. Pour moi c’est un championnat prestigieux et obtenir le titre de meilleur joueur c’est inimaginable. Je suis vraiment heureux pour moi mais aussi pour Toulouse et pour ma famille. C’est un très grand jour. Un trophée comme ça au terme d’une saison incroyable, vous pouvez partir en vacances l’esprit léger… Oui c’est incroyable. Partir en vacances avec ce titre en poche c’est génial et j’en suis assez fier. Vous aviez déclaré il y a quelques semaines que vous aviez l’habitude de jouer avec des joueurs comme Mbappe ou Messi sur Fifa. Ce soir (dimanche), vous étiez assis à quelques mètres d’eux et l’an prochain vous pourriez les affronter. Réalisez-vous le chemin que vous avez parcouru ? Oui c’est vrai, peut-être que je vais les affronter lors de la prochaine saison… Enfin Toulouse les affrontera et peut-être que moi aussi je jouerai contre ces grands joueurs. C’est une folie. Mais les Toulousains méritent de voir ces joueurs au Stadium et je suis vraiment heureux qu’on puisse le leur permettre. Avez-vous un ultime message à faire passer aux fans toulousains avant de partir en vacances ? Je les remercie encore une fois. Un grand merci à tous les Toulousains pour leur soutien et pour la confiance qu’ils m’ont accordé pour que je puisse jouer libéré. Ce trophée est aussi pour vous, je vous aime. "Le programme des vacances ? Je rentre en Hollande profiter de ma famille, puis nous sommes invités au mariage de Brecht (Dejaegere) ». À propos de l’année prochaine, le président Damien Comolli avait déclaré qu’il commencerait à discuter pour d’éventuelles prolongations de contrat à l’issue du dernier match. Ces discussions ont-elles commencé ? Non pas encore. Mais je pense que cela va commencer maintenant avec mon agent. En ce qui me concerne je veux profiter des vacances, prendre du repos et apprécier mon trophée avec ma famille et tout le monde. On verra ce qu’il se passera mais je suis vraiment heureux à Toulouse et ça ne changera pas. Découvrir la Ligue 1 avec Toulouse, c’est quelque chose qui vous plairait ? Oui bien sûr. C’est un gros défi. Je suis aussi ouvert à d’autres défis car vous le savez, dans le foot tout va très vite. Mais le challenge avec Toulouse est très excitant et j’ai très envie de savoir où on va se situer en Ligue 1. On s’est battu pour ça toute l’année donc continuer avec le TFC c’est un challenge qui me motive aussi. Si vous ne deviez en choisir qu’un, quel est votre moment préféré de la saison ? Je pense que c’est le match de la montée, face à Niort. À la fin de la rencontre j’ai ressenti les émotions les plus incroyables de ma carrière avec tout le monde qui descend sur le terrain. J’ai vraiment eu l’impression qu’on a offert quelque chose de grand à toute une ville, cela m’a rendu très fier. Le match de la montée était plus fort que le match du titre ? En fait, c’était différent. On sentait le titre venir, tout comme la promotion en Ligue 1 d’ailleurs, mais c’est difficile à expliquer. L’émotion était différente et pour moi, elle était plus forte lors du match de la montée. Quels sont vos projets pour les vacances ? Je vais rentrer en Hollande pour voir ma famille et passer des vacances avec ma femme et mon bébé. Puis après nous sommes invités au mariage de Brecht (Dejaegere) pendant trois jours, donc il n’y a que du positif qui arrive.
  3. Si on pouvait faire une Lens qui depuis 2 saisons jouent le haut du tableau avec un jeu super intéressant et des joueurs qui sont sélectionnés en EDF moi je signe de suite
  4. J ai oublié de faire les courses je vais mater leur forum pour assaisonner mon repas ce soir 😁
  5. Je m attendais a rien et je suis quand même déçu. Je sais qu'on est en semi vacances mais certains me font un peu peur pour la suite.
  6. A mon avis a part une offre de l Ajax ou de Feyenoord ça pourra se faire pour le garder. On lit entre les lignes et on s aperçoit que dans le monde du foot surpaye il cherche avant tout le challenge sportif et les trophées avant le salaire. Belle trouvaille et belle mentalité que ce recrutement que nous avons.
  7. Le Profil des joueurs recherchés est simple : des anciens internationaux chez les jeunes qui sont sous évalués dans leur championnat et avec une mentalité très bonne. Je pense que la recrue la plus chère ne dépassera pas les 5 millions. Après je pense que la plupart viendront des pays nordiques de l est et des régions flamandes
  8. Tout frais tout chaud le voilà INTERVIEW EXCLUSIVE. Damien Comolli : "Pour la Ligue 1, on est déjà prêts !" Le président du TFC livre ses ambitions à La Dépêche Football, Toulouse, Haute-Garonne Publié le 08/05/2022 à 22:36 , mis à jour à 22:52 Quarante-neuf minutes. C’est ce que nous a consacré, dimanche 8 mai avant la parade place du Capitole, l’homme fort des Violets. N’éludant aucun sujet. Entretien exclusif. Damien Comilli, ça y est enfin, si on ose dire : le TFC est sacré… Enfin est peut-être superflu, parce qu’on est titrés alors qu’il reste encore une journée. Mais oui, c’est magnifique. À entendre votre voix, vous avez bu davantage que pour la montée… Je ne sais pas pourquoi je me retrouve comme ça (rires). Je laisserai la place au doute… Plus sérieusement, être champion doit être encore plus fort,non ? Ce ne sont pas les mêmes émotions. Le jour de l’accession était déjà mémorable. Et, faites-nous confiance, on l’a fêtée ! D’ailleurs, cela s’est vu à Rodez (0-1)… La montée, d’abord c’était un sentiment du travail bien fait ;ensuite il y avait beaucoup de frustration qui, d’une certaine manière, se refermait par rapport à ce qu’il s’est passé l’année dernière. Mais la première chose qu’on a dite dans le vestiaire après le match de Niort (25/04), est : « On est là pour être champions. » On s’était promis entre nous depuis le premier jour de la saison qu’on serait champions. Qu’on voulait être champions. On a toujours gardé cet objectif en tête. Tenez, une anecdote… Oui… Le jour de la reprise, on fait toujours une réunion avec les joueurs. On avait fait une présentation et j’avais affiché un diaporama en ligne avec le trophée de champion. Il y était spécifié : "Voilà ce qu’on va aller chercher." Sans être arrogant du tout et en étant respectueux des 19 autres équipes de L2, à aucun moment on a parlé de deuxième place ;à aucun moment, on a parlé de finir dans les deux premiers. On a uniquement et toujours parlé d’être champions. Et d’aller récupérer ce trophée. Je peux vous dire que les joueurs, la photo du trophée, ils l’avaient en tête! Dès le mois de juin. C’était notre ambition. Et donc cela explique, qu’une fois l’accession acquise, nous n’avons pas dérogé:le lendemain de notre succès face à Quevilly Rouen (J33) où on atteint 72 points, on a convoqué une réunion avec tout le monde – joueurs et staff élargi. Dans le vestiaire, on a longuement discuté. En substance, on s’est dit : "OK, on sait qu’on y est ; maintenant, à nous de décrocher le titre." C’est pour cela que depuis samedi soir c’est plutôt une impression de plénitude qu’on n’avait pas le jour de la montée. J’exagère un peu, mais dans notre esprit il n’y avait que la moitié du chemin parcouru après Niort. On avait plusieurs messages dans les couloirs, qu’on change au cours de la saison. Au-dessus de la sortie vers le tunnel, il y avait une flèche indiquant la route vers la L1;cette semaine, elle avait été remplacée par "vers le titre". En résumé, oui, on avait pratiquement endoctriné les joueurs depuis le premier jour de la préparation C’est aussi votre premier titre en tant que dirigeant ! Oui. Mais recruteur à Arsenal, j’ai eu la chance de participer à 3 sacres en Premier League, 4 victoires en Cup ; j’ai aussi gagné 2 autres coupes avec Tottenham et Liverpool. Par contre, cela faisait dix ans que je n’avais rien remporté. C’est long… Un titre, notre titre, est toujours magnifique. Vous répétez à l’envi que vous n’éprouvez du plaisir que dans le beau jeu. Vous avez été servi cette année ! Ce que je dis exactement, c’est que je déteste beaucoup plus la défaite que ce que j’aime la victoire. Après, je suis en extase totale lorsqu’on joue bien. Clairement. En revanche, quand vous gagnez une compétition long terme, comme un championnat, vous avez les pieds qui ne touchent plus terre pendant quelques jours. Bon, on redescend vite… Ce sentiment de choses maîtrisées, que ce que l’on avait prévu se déroule comme on l’avait prévu, ça donne un pied terrible ! À quel moment avez-vous su que cela tournerait dans le bon sens ? On est très rationnel dans tout ce que l’on fait. Nos responsables stratégie (Selinay Gürgenç) et data (Julien Demeaux) qui sont deux des cerveaux derrière notre réussite, ont défini dix critères de performance pendant l’été dernier. Qui nous ont fait dire qu’avec notre modèle statistique si on restait dans les deux premiers dans ces dix segments, on monterait. Et on y a été dès la deuxième-troisième journée dans neuf des dix critères. Il y en a un seul dans lequel on était 18es, à la trêve. On a présenté cela à Philippe (Montanier) ;il a déclaré que ce n’était pas acceptable. On a tout fait pour s’améliorer et, la semaine dernière, on était remontés à la 8e place. Mais c’était aussi le facteur de performance le moins important… N’empêche : on a fait de ce modèle notre boussole ; elle nous a accompagnés dans les bons comme "mauvais" moments. Toujours d’après notre modèle, on savait également que notre adversaire numéro un serait Ajaccio. Quel(s) sont le ou les matchs-clés de la saison selon vous ? Pour moi, le gros tournant est notre victoire à Nîmes juste avant la trêve (2-1). Je m’en souviens très bien : c’était le 21 décembre. On restait sur 2 succès en 9 journées, il fallait absolument prendre les trois points ce jour-là. Le deuxième marqueur, c’est le déplacement à Auxerre (19/03). On allait savoir : si on gagne, on monte. On l’a fait, et en plus avec la manière (2-1). Puis, dans la foulée, le sommet face au Paris FC. À guichets fermés. Qui a plus été prépondérant dans l’atmosphère et l’environnement du club, à l’intérieur de notre communauté. Et qui aura déclenché, pour nos supporters, tout ce qui va suivre pendant la fin de saison:cette ferveur incroyable. Vous avez déjà abordé la saison prochaine avec RedBird ? Depuis mars 2021. On avait créé un groupe de réflexion. Dans le plus grand secret, à l’époque ; je voulais que les autres composantes du club se concentrent-elles à la montée. Notre dicton, c’est : "On peut perdre, mais on ne peut pas ne pas être préparés." Nous, on doit toujours être à 100% de ce que l’on fait. On peut toujours tomber contre meilleurs que nous, mais il nous est interdit d’être moins préparés que les autres. On travaille donc dessus depuis très longtemps ; et on était prêts dès la saison dernière si on nous avait gentiment accordé la montée… On est prêts. Après, est-ce que cela suffira, je n’en sais rien. On va y aller avec beaucoup d’humilité. En respectant notre processus, notre manière de travailler. On se projette depuis longtemps. J’aime dire qu’on est en mission depuis qu’on est arrivés – pour ramener le club où il mérite d’être, la ville où elle mérite d’être dans l’échiquier du football européen, c’est-à-dire le Big Five. Je lisais il y a peu une étude qui chiffrait le nombre de fois qu’on touche son téléphone par jour à 300. Franchement, nous, on doit parler de la montée 300 fois par jour… C’est toute la journée, toute la nuit. Vos travaux de l’an dernier sont-ils toujours d’actualité ? Nous n’avions pas évoqué le mercato, parce que j’imagine que vous pensez à ça. Au contraire, c’était tourné sur notre stratégie : comment optimiser l’utilisation de la masse salariale, comment optimiser l’utilisation de notre budget en transferts ; que font les équipes qui montent et qui se maintiennent, combien de buts elles marquent, combien de buts elles concèdent, quel est l’âge moyen de l’entraîneur et quelle est sa nationalité. Etc. On a réactualisé à n+1 mais les grands principes tiennent, évidemment. Quel budget en élite ? Comme d’habitude, je ne vous répondrai pas (sourire). Autrement formulé : quel est votre business plan ? C’est assez simple concernant un club de foot : on a des revenus TV, des revenus sponsoring, ticketing, merchandising et commerciaux. Et de l’autre côté, vous avez les sorties d’argent. L’on sait ainsi combien va rentrer en ressources;d’où ce que l’on peut dépenser. Depuis deux ans, vos renforts ont toujours été décisifs… Oui, même si le recrutement ça se juge sur deux ou trois ans, pas sur une saison. Et je suis persuadé aussi qu’on va avoir de bonnes surprises sur les années qui arrivent. Votre méthode basée sur la data a fait ses preuves en Ligue 2 mais il y a aussi un gap à franchir pour la Ligue1… La meilleure équipe actuelle avec le Real c’est Liverpool et Liverpool construit son équipe de la même façon que nous. Les statistiques et la data prennent toutes les décisions à Liverpool. Le modèle marche, on a montré qu’il a marché en Ligue 2. Donc évidemment que ça va marcher en Ligue 1 ! L’entraîneur Philippe Montanier, qui a encore un an de contrat, va-t-il être prolongé ? On en est très contents mais on n’a pas parlé de ce sujet. Cela fait plusieurs mois que nous travaillons sur la saison prochaine, donc dans notre esprit il est évident qu’il allait continuer…On bosse sur le programme de préparation qu’il m’a donné il y a deux mois ! En revanche, on n’a pas voulu l’embêter sur le recrutement car on voulait qu’il se concentre sur le titre. On a commencé à lui montrer quelques joueurs et quelques profils. Après, cela s’arrête là. Compte tenu de l’attachement que vous portez à vos joueurs, si certains venaient à quitter le club cet été, on imagine que ce sera difficile à vivre humainement parlant… C’est vrai parce que cette année a vraiment une saveur particulière… (il réfléchit) Vous avez sûrement raison et cela marche dans les deux sens car je pense que ceux qui vont partir ne le feront pas de gaîté de cœur. Je m’aperçois, depuis des années, qu’il y a beaucoup de joueurs avec lesquels cela s’est mal passé au moment de leur départ et avec qui je suis très proche aujourd’hui. C’est allé loin dans les insultes, les menaces envers moi et quand on se voit maintenant on s’embrasse. La leçon que je tire de tout ça c’est que football is business (le foot c’est de l’argent, NDLR). À un moment on peut rentrer en conflit mais ça n’efface pas les rapports humains que vous avez. Sur cette fin de saison, ce qui m’a marqué c’est qu’Amine (Adli) est venu voir un match et est descendu dans le vestiaire. Manu (Koné) m’a écrit le matin de la rencontre face à Niort pour venir au Stadium et il est aussi descendu au coup de sifflet final. J’ai reçu des messages d’Amian, de Gabrielsen, de Moreira, de Dewaest, de Sanogo ; Janis (Antiste) est venu et nous a laissé un maillot… Cela marque, cela veut dire que leur passage au TFC les a marqués dans le bon sens et qu’ils sont heureux pour le club. Même si on est en conflit à un moment, cela crée des liens qui restent. La saison prochaine, en L1, quelle sera votre ambition ? Nous visons un maintien le plus haut possible. Lors du rachat, RedBird avait souhaité qu’à l’avenir le TFC se situe dans le top 6, top 8 de la Ligue 1; est-ce toujours la volonté ? Bien sûr. Je n’avais pas dit que c’était dès la première année mais à moyen terme, c’est-à-dire d’ici 2-3 ans, un top 6, top 8. Mais on est aussi conscient, du fait qu’il y aura 4 descentes, que des clubs toucheront 33M€ alors que nous toucherons 16,5M€ de droits TV. Donc on sait que ce sera très-très difficile. Néanmoins, je répète : nos aspirations sont exactement les mêmes que ce que nous avions annoncé à notre arrivée. Il y a eu deux matchs à guichets fermés cette saison, l’an prochain vous essaierez d’en faire encore plus ? Écoutez, nous avons déjà vendu toutes les loges. Nous sommes à pleine capacité de nos hospitalités. Le mot qui résume tout ça c’est fierté. Fier de ce qu’on a fait, fier de notre communauté, de nos supporters… Je ne crois pas avoir entendu une insulte qui a fusé envers un arbitre ou un adversaire venue du virage Brice-Taton pendant toute la saison. Pour moi c’est ça supporter. C’est encourager son équipe sans insulter les autres. Le comportement de nos supporters a été légendaire cette année. Ce qu’ils ont fait depuis deux ans, car il ne faut pas oublier les arrivées de bus de l’année dernière, c’est légendaire. Les animations, le tifo avant le match de samedi c’était fantastique. Quand on enchaîne un "guichets fermés", puis un match à 24 000 spectateurs un lundi soir puis un autre "guichets fermés"… Si on m’avait dit ça au début de saison, j’aurai eu du mal à y croire. On avait budgétisé qu’un seul match à guichets fermés donc cela va au-delà de nos espérances. Ce qui est sûr c’est qu’on va continuer à dialoguer avec nos supporters pour garder un stade populaire. On sait qu’on a conquis de nouveaux supporters. Il y a maintenant un public très féminin, très jeune… Il y a beaucoup de nouveaux supporters du Tef et c’est fantastique pour l’avenir. Il y avait une immense file d’attente pour entrer dans la boutique les jours de match… C’est aussi une satisfaction ? Sachez que lors du match face à Nîmes, nous avons réalisé le double du chiffre d’affaires réalisé lors du match face au Paris FC qui était déjà le triple du meilleur chiffre d’affaires de la saison. Quand Olivier (Jaubert, le directeur général) m’a donné les chiffres, je lui ai demandé s’il avait bu plus que moi (rires). Je n’y croyais pas mais c’est génial. On a la possibilité d’ouvrir une autre boutique de l’autre côté du Stadium en plus, c’est top. Et vous parliez des spectateurs et d’émotion mais il y a une personne que je n’ai pas remerciée, c’est Olivier Sadran. Il était là hier, et je lui ai dit merci car il nous a fait confiance. Il nous a confié un club qui lui est extrêmement cher. Il est venu avec femme et enfant pour voir la montée et j’ai trouvé ça très fort. Nous avons eu tous les deux les larmes aux yeux. Merci à lui. Le président Damien Comolli tout sourire dans un des canapés typés TéFéCé, au premier étage du Stadium. DDM - MICHEL VIALA
  9. Je ne trouve nulle part la retransmission du match de samedi. Bein diffuse Ajaccio et Auxerre l'équipe que le Multiplex vous savez pourquoi ?
  10. Mon regret : a laisser filer ce match autant mettre l'équipe"B" histoire de voir comment ils se débrouillent. J'aurais bien aimé donner un match plein a des Costa sanna skytta Peterson Flemming. Au moins ça récompense le groupe entier. Mais bon montanier a décidé de mettre l'équipe type qui a tant donne toute la saison ils ont la tête ailleurs
  11. Bon sans partir dans la parano disons que Zidane le Zinedine pourra revoir son club de coeur l année prochaine en ligue 2 😉. La ville où sa femme a une villa 😁
  12. Rien que la dernière action montre qu on s en tapait du match 🤣
  13. Ce match est un match amical ou un décrassage grandeur nature. Le résultat importe peu.
  14. On dirait que les joueurs surtout quelque soit le score s'en foute du match et veulent fêter le titre contre Nîmes en fait. Enfin certains
  15. Le 24 de rodez qui simule la chute et prend la balle de la main au calme arbitre siffle faute mais quel dégoût ce genre de match arbitre comme ca
  16. Ado vraiment ça a le niveau ligue 1? Toutes ces offrandes il fait que regarder le ballon
  17. Pas fichu de gagner ou de faire nul contre un top 5 du championnat et la ils veulent faire le match de leur vie quel club vraiment !
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