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marco

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Tout ce qui a été posté par marco

  1. Ca fait plaisir son but...il le mérite avec tout ce taf... Son But
  2. Bein c'est que la deuxième fois pour moi...donc j'apprècie sans en abuser...
  3. En effet... Moi aussi, cêpes et tout le toutim... Ah ça c'est sur...
  4. Tu ta gates dis-moi ce soir... De même au tarot ce soir....
  5. La simulation d'Henry "sur" Puyol est Enorme sans déc..
  6. Coco à l'air de s'éclater à son festival, on est pas prêt de le revoir je pense... Faut arrêter la cocaine Bruce...
  7. Article : [imghttp://eur.i1.yimg.com/eur.yimg.com/i/fr/sp/logo5.jpg]TOULOUSE / LUCIEN AUBEY : « Je suis un chanceux du football » Le défenseur Lucien Aubey aurait sa place dans les histoires extraordinaires dun jeune de banlieue du chanteur Disiz la Peste. Sorti des cités de Mantes-la-Jolie, il fait les beaux jours du Téfécé. Lucien Aubey, pouvez-vous nous résumer votre parcours... Je suis de Mantes-la-Jolie. A 13 ans, je pars au sport étude du Paris FC. Au bout dun an, je pars à Cannes. Là-bas, je reste une année. Javais signé un contrat Espoir mais par chance, il y a eu une erreur de secrétariat. Il y avait une date butoir pour signer le contrat Aspirant ou Espoir : la lettre recommandée devait être envoyée avant le 31 mars. Moi, je ne lai envoyée quaprès. Ce qui fait que finalement, jai pu partir dans un autre club français. Jai eu cette chance car je suis parti à Toulouse sous les ordres de Michel Troin qui était à Cannes avec moi. Cest mon père spirituel. En arrivant à Cannes, votre vie a dû changer ? Cest un changement total. Vous sortez du ghetto pour arriver dans le beau, le chic, le tape à lil. Cest un gros changement. Surtout à 14-15 ans où vous êtes surtout habitué à jouer dans votre quartier avec vos potes. Mais à 13 ans, je voulais vraiment devenir footballeur professionnel. Jai quitté mes potes et mon milieu familial. A Paris, pour jouer au Paris FC, je me levais à lâge de 13 ans à six heures du matin pour prendre le train et je rentrais à 21h00 car après lécole, jenchaînais sur lentraînement. Je savais ce que je voulais. Cannes vous a finalement réussi à acquérir une certaine maturité A Cannes, ça ma permis de passer au-dessus car cela a été un vrai apprentissage, sur le terrain comme en dehors. Jai vu là-bas des personnes qui étaient des nouveaux Zidane ou des nouveaux Vieira. Ils avaient le talent pour réussir mais quand vous voyez ces personnes se griller pour les boites de nuit et les femmes, vous vous dites : « ah non, je ne veux pas finir comme ça. » Quand vous voyez ça, vous faites tout pour ne pas suivre ce chemin. Jai eu la chance de ne rester quun an car Cannes, cest vraiment dur. A Cannes, il y a le Festival, la tentation. Cest vraiment la période où jai le plus appris. « Toulouse, je ne connaissais pas » Linfluence du formateur cannois Michel Troin a été déterminante dans votre carrière A Cannes, jétais moins de 15 et Michel Troin était le coach des moins de 17. Il ma vite surclassé pour mentraîner avec les moins de 17. Il ma beaucoup parlé, ma couvé. Quand Cannes est descendu en National, javais presque signé un avenant avec Monaco mais Michel Troin mappelle. Jétais en vacances aux Etats-Unis. Il me dit : « Lucien, je vais à Toulouse, ça na rien à voir avec Monaco mais moi, je te propose de venir visiter avec tes parents les installations. » Je suis venu visiter. Il ma dit : « Tu vas à Monaco, il y a Christanval. Moi, je te promets quà Toulouse, tu es pro à 18 ans. » Et vous voilà débarqué à Toulouse. Que connaissiez-vous de cette ville et de ce club ? Toulouse, je ne connaissais pas. Jai rigolé au début. Je ne connaissais quun nom : le père Giresse ! A Paris, vous connaissez Cannes, Marseille, Monaco, le PSG Mais Toulouse, vous ne calculez même pas. Mais je me suis dit « pourquoi pas ». Mon père ma dit : « Il ne faut jamais dire non, visitons et on verra. » Finalement, à 17 ans, jétais en National Vous vous êtes imposé en pro au Téfécé et vous êtes resté cette saison à Toulouse alors quon vous disait sur le départ Ça a été un peu dur au début de saison de rester. Javais vraiment émis le souhait de partir. Mais il faut que toutes les conditions soient réunies pour partir. Il faut que Toulouse ait ce quil veut Ça a été dur mais avec lenchaînement des bons résultats depuis le début de saison, ça a tout facilité. « Le mot dordre du coach, cest le jeu » Le bon début de saison vous a-t-il fait oublier ce départ manqué ? Jai tourné la page. Je suis quelquun dhonnête aussi : si un club te veut vraiment, il paie. Donc à un moment, je navais pas fait tout ce quil fallait pour partir. Ce nétait pas mon moment. Je me suis remis au travail et maintenant, je prends du plaisir. Car le coach, son mot dordre cest le jeu. Le coach a trouvé une équipe qui jouait avec le frein à main. Son but, cest de nous lenlever. A Saint-Etienne, il avait redonné confiance à certains. Lan passé, tout le monde sennuyait à Toulouse à nous voir jouer. Aujourdhui, même nous nous prenons plus de plaisir. Mais on a aussi eu des recrues qui nous apportent beaucoup comme Elmander et Fabinho. A titre individuel, vous semblez passer un palier. Elie Baup y est certainement aussi pour quelque chose ? Le coach Baup me connaît depuis un certain temps. Jai beaucoup parlé avec lui en début de saison et il ma convaincu de rester. Il ma dit où je devais progresser et me fait travailler là-dessus : lanticipation. Il ma dit une phrase : « En L1, un joueur est professionnel parce quil est fort. Pour un défenseur, quand tu es pro, tu sais défendre et tacler. Mais la différence entre les grands défenseurs et les défenseurs normaux, cest lanticipation. » Il faut savoir avant où va arriver le ballon. Cest comme les gardiens. Vous avez également la chance dapprendre votre métier de défenseur central aux côtés de Dominique Arribagé. Ça facilite la vie non ? Je suis un grand chanceux : je suis passé par Prunier, Lièvre et Arribagé. Jai eu affaire à des gars expérimentés, trois personnalités différentes. Prunier, cest le forcené. Stéphane Lièvre, cest la très bonne relance, la réflexion. Et « Domi » allie les deux. Cest un très bon apprentissage pour moi. Je suis un chanceux du football.
  8. marco

    Topic séries

    C'est que tu m'as l'air sérieux en plus..
  9. marco

    Topic séries

    Me suis mis à regarder les experts, j'adore....
  10. Son but, un but de rapace....
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