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RobespierreDorsini

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Tout ce qui a été posté par RobespierreDorsini

  1. Exactement tout ce que l'on pouvait reprocher à Rouault sur sa deuxième partie de saison l'an passé, alors qu'il allait fêter ses 22 ans. Mais c'était de la faute à Nicolaisen si je me rappelle bien de tes posts.
  2. L'OL traque le groupuscule fasciste de la Mezza Hugo Guillemet Les images ont fait le tour des réseaux sociaux en même temps que les photos de Fabio Grosso ensanglanté, dimanche dernier. Après plusieurs recoupages, on y voit en tout six supporters du parcage lyonnais commettre des actes racistes : deux font des saluts nazis, tandis que quatre autres lancent des cris de singe, imitations à l'appui. L'OL, qui avait déposé plainte contre X dès le lendemain, essaye depuis six jours d'identifier les coupables afin de les dénoncer aux autorités, mais se heurte à des problèmes. Les vidéos amateurs disponibles sont trop floues, surtout pour reconnaître des visages capuchés, tandis que le club n'a toujours pas reçu les bandes de vidéosurveillance réclamées à l'OM le soir même, et le lendemain par mail. Tombe de Benito Mussolini et « Totenkopf » Mais certains supporters présents dans le parcage sont actuellement en train d'aider le club, de manière anonyme, et beaucoup d'indices convergent vers la Mezza Lyon. Ce groupuscule ouvertement fasciste de hooligans lyonnais, actif depuis 2006, regroupe quelques dizaines d'individus. Il n'a pas d'existence juridique et ce n'est pas une association, ce qui rend ses membres assez insaisissables. Sur quelques rares publications, notamment sur Facebook, on les voit poser devant la tombe de Benito Mussolini. Ils ont aussi adopté le « Totenkopf » (une tête de mort, symbole de la 3e division SS) comme un de leurs emblèmes. « Dans le parcage, on sait qui est là, mais sur les vidéos, on ne sait pas qui est qui. Le gars qui tient l'étendard, je connais son visage, mais pas son identité » Xavier Pierrot, directeur général adjoint de l'OL « Ces individus sont indépendants et inscrits au programme sympathisants, pour lequel il faut donner sa carte d'identité, mais ce n'est pas écrit sur leur front qu'ils sont de la Mezza, souffle Xavier Pierrot, directeur général adjoint de l'OL. Dans le parcage, on sait qui est là, mais sur les vidéos, on ne sait pas qui est qui. Le gars qui tient l'étendard, je connais son visage, mais pas son identité. » Cet étendard « Mezza Lyon », une carte de France blanche sur fond noir, pose problème depuis des années à l'OL. Très régulièrement sorti en parcage visiteur, il n'est pas légalement interdit, ce qui explique le refus des forces de l'ordre d'intervenir pour l'enlever. Il a également été déployé lors de la soirée hommage à Jean-Michel Aulas, en mai dernier face à Reims, et on pouvait même voir certains membres descendre de la tribune pour serrer la main à l'ex-patron lors de son tour d'honneur. « Il faut totalement le dédouaner car, ce soir-là, avec les émotions, il ne voyait pas grand-chose », dit Pierrot. « JMA » avait d'ailleurs souvent réclamé, par le passé, de l'aide aux pouvoirs publics afin d'identifier les auteurs de saluts nazis et les faire condamner. Les groupes officiels s'impliquent La Ville rencontre les mêmes difficultés que l'OL, car il existe une porosité évidente entre les identitaires d'extrême droite et le hooliganisme à Lyon. Avec un combat « commun », la défense d'un territoire (certains quartiers comme Fourvière et le Vieux Lyon, le Stade), et la violence légitimée comme instrument pour y parvenir. « L'état d'esprit général en virages est plutôt nationaliste et patriote, c'est assumé, souffle un abonné de longue date en Sud inférieur. Le problème c'est que certains en profitent pour aller plus loin. » L'écosystème des virages lyonnais favorise donc ce type de comportement, ce qui n'arrange rien. Le groupe ultra Lyon1950, via un communiqué, a pourtant fermement condamné les actes racistes à Marseille, ce qui a été reçu comme une belle avancée par le club. Le Kop Virage Nord, celui des Bad Gones, le groupe le plus important, n'a rien publié depuis une semaine. Selon plusieurs sources, les leaders cherchent encore à savoir si un membre de leur groupe est impliqué dans les actes racistes, afin de l'exclure. publié le 4 novembre 2023 à 20h53
  3. Celui qui n'a rien prouvé, c'est celui qui a piqué sa place de titulaire à celui qui a tout prouvé. Logique.
  4. L'Équipe annonce une sorte de 4-4-2 losange Bon, cette saison, ils se sont souvent plantés
  5. Euh... Je ne parlais pas de toi...
  6. Bryan Bergougnoux, sa vie de coach, la maladie : « On avance tant qu'on peut avancer » Bryan Bergougnoux, l'entraîneur de Thonon-Évian Grand Genève, à qui un cancer de la parotide a récemment été diagnostiqué, raconte sa nouvelle vie sur un banc de touche, et son quotidien avec la maladie. Avant sa reconversion d'entraîneur à Thonon-Evian Grand Genève, Bryan Bergougnoux a joué à Lyon (2001-2005), à Toulouse (2005-2009), ou encore à Tours (2012-2018). (Alex Martin/LÉquipe) Bryan Bergougnoux, sa vie de coach, la maladie : « On avance tant qu'on peut avancer » Bryan Bergougnoux, l'entraîneur de Thonon-Évian Grand Genève, à qui un cancer de la parotide a récemment été diagnostiqué, raconte sa nouvelle vie sur un banc de touche, et son quotidien avec la maladie. Au bout du fil, vendredi midi, Bryan Bergougnoux s'excuse de n'avoir pu répondre à une précédente tentative d'appel. Le projet ? Évoquer sa nouvelle vie sur un banc, lui qui, à 40 ans, fait partie des dix membres de la promotion 2023-2024 du Brevet d'entraîneur professionnel de football. « Je me suis fait opérer », avance-t-il, désolé. Rien de trop grave ? « Un cancer de la parotide. » Stupeur. Mais l'ancien milieu de terrain dit ne « pas le cacher ». Dans une vidéo publiée le 1er novembre par Valentin Liénard, joueur de son effectif à Thonon-Evian Grand Genève (National 2), il l'annonce à son groupe. L'ancien Lyonnais a donc accepté, au cours d'un entretien sur sa nouvelle vie, d'évoquer cette épreuve, pour que « ceux qui le vivent se sentent moins seuls ». Avec le franc-parler qu'on lui connaissait du temps où il était joueur, beaucoup d'humour et « d'humain », un terme revenu très souvent au cours de la discussion. « Bryan, on vient de vous opérer d'une tumeur. Ils m'ont fait une parotidectomie (ablation d'une glande salivaire), le nerf a été retiré aussi. Je suis un petit peu paralysé du visage. Mais je suis revenu très rapidement pour essayer de montrer que dans la vie, il faut avancer, quelles que soient les difficultés. Si ça peut aider des gens qui sont dans ce genre de situation, à se dire qu'ils ne sont pas seuls, déjà, et que ce n'est pas une fatalité, que tant qu'on est en vie, il faut avancer. Comment allez-vous ? J'attends d'autres résultats pour savoir s'il faut enchaîner avec de la radiothérapie, de la chimio ou autre chose, et on verra après. J'ai la chance de ne pas souffrir physiquement, je me sens plutôt bien. Le fait de ne pas avoir de douleur physique, ça me fait dire que je ne dois pas me plaindre. Être paralysé du visage, ce n'est pas plaisant, on n'est pas très beau mais bon, on ne l'était déjà pas et on n'est pas là pour l'être (rires). Je pense aux gens qui souffrent réellement, qui ont des douleurs, c'est bien plus dur à vivre. Craignez-vous des conséquences pour votre carrière d'entraîneur ? On ne sait pas, peut-être que si c'est plus grave, il n'y aura pas le choix, mais ce sont des choses qu'on prend au jour le jour, on avance tant qu'on peut avancer. Et si on ne peut plus avancer, c'est pas grave, on laissera des consignes et les autres avanceront à notre place (sourire). Quand avez-vous décidé de vous tourner vers le coaching ? C'était à l'époque de Tours (2012-2018). Déjà pendant ma carrière, je savais que c'était ce que je ferais après. Je voulais rester dans le foot et dans les solutions qu'il y avait, je ne me voyais pas faire agent, c'est quelque chose que je n'aime pas du tout. Et avec mon vécu, je n'ai pas eu une carrière linéaire, il y a eu beaucoup de hauts, de bas, j'avais des choses à transmettre. J'ai connu beaucoup de situations, je savais que ça me faciliterait la tâche pour comprendre les joueurs. Très rapidement, j'ai su que je voulais faire ça. « C'est ce que je retiens le plus de ma carrière : j'ai gagné des trophées, des Ligue 1, mais rien ne vaudra les moments d'échanges que je pouvais avoir avec des coéquipiers » Depuis, vous enchaînez les formations. Ça m'a donné encore plus le goût, c'est là où j'ai compris que c'était complètement différent. Ça peut sembler facile quand on est joueur, on se dit qu'après, on pourra entraîner, mais quand on arrive, qu'il faut mettre une séance en place, savoir pourquoi on le fait, comment on l'organise, la charge de travail... C'est un autre métier. Joueur, vous l'êtes deux heures par jour, et peut-être une heure avant, une heure après ; coach, vous l'êtes 24h/24 C'est un changement de vie si radical ? Pour être clair, je pense que je travaille cinq fois plus et que je gagne cinq fois moins. Mais on sait que le football professionnel s'arrête un jour, qu'il faut trouver sa reconversion. Certaines sont bien plus lucratives, même il y a aussi des perspectives derrière. Mais l'objectif n'est pas là. L'objectif, c'est surtout de prendre du plaisir, de transmettre, de partager. C'est sûr qu'au niveau de la vie de famille, ce n'est pas simple, parce que quand vous êtes entraîneur, vous rentrez à la maison, vous avez tout le temps la tête à ça. J'essaie de m'améliorer là-dessus, et je remercie tous les jours ma compagne. Les enfants, c'est pareil. C'est pour ça qu'il faut essayer de remettre les choses en face des bonnes cases, de ne plus être entraîneur quand vous passez la porte de la maison, mais c'est difficile. Bryan Bergougnoux à l'entraînement, le 5 juillet 2022 au domaine de Blonay (Suisse). (Alex Martin/L'Équipe) Quel genre d'entraîneur pensez-vous être ? J'essaye d'être le plus humain possible. De ne jamais trahir mes valeurs pour une victoire. Bien évidemment, j'ai envie de gagner, de monter. Mais je suis plus dans l'accompagnement des joueurs que dans une recherche absolue de victoire, même si je ne devrais pas le dire parce que je ne veux pas que mes joueurs entendent ça. J'essaye de m'appuyer sur les staffs que j'ai pu avoir, je pense le faire de mieux en mieux. Ce que j'aime, c'est le rapport humain, mon plaisir est là. La notion de transmission, donc ? Moi, c'est que je retiens le plus de ma carrière : j'ai gagné des trophées, des Ligue 1, mais rien ne vaudra les moments d'échanges que je pouvais avoir avec des coéquipiers. Ça, ça reste après le foot. Des coéquipiers, des moments, et ça, ça n'a pas de prix. Je veux que mes groupes le vivent entre eux. Mais pour vivre des bons moments, il faut aussi passer par des victoires, c'est toujours plus agréable. « Moi, mon rêve, c'est de coacher l'Olympique Lyonnais » Nombre de vos anciens coéquipiers de Lyon sont eux aussi devenus entraîneurs. Je ne sais pas si c'est Robert Valette, Armand Garrido, Gérard Drevet ou José Broissart qui nous ont transmis ça, mais c'est vrai. Je pense qu'ils nous ont donné ce goût-là. Il y a cette culture foot, à Lyon, cette culture tactique qui perdure. L'OL est votre club de coeur, vous le revendiquez : vous verriez-vous sur son banc un jour ? Je crois que si je disais non, on verrait mon nez s'allonger. Pour l'instant, ce n'est pas du tout l'objectif à court terme. Il faut faire ses preuves, être prêt quand on y va. Mais oui, c'est un de mes objectifs, c'est aussi pour ça que je l'ai fait. Pour être honnête, c'est un peu le rêve ultime. Il y en a qui veulent coacher le Real, le Barça : je ne dirais pas "non" non plus (rires), mais moi, mon rêve, c'est de coacher l'Olympique Lyonnais. Peut-être que je ne le réaliserai jamais, mais je l'ai dans un coin de la tête. Autant, en tant que joueur, j'ai voulu brûler les étapes, aller très vite, autant en tant que coach, je veux m'inscrire en bâtisseur. Partir de Régional 2 et aller jusqu'au monde professionnel avec Thonon-Évian, ce serait une immense fierté. On sent que vous avez trouvé votre voie. Peut-être, je ne sais pas. Enfin si, je sais : c'est clairement une vocation. Clairement ce qui me connecte le plus au monde. Parce que le football, c'est le reflet de la société, c'est beaucoup de valeurs. J'essaye de véhiculer ça, partager ça avec les joueurs, l'entourage, les supporters. D'aider aussi. À travers ce sport que j'aime et que j'ai un petit peu compris, j'essaye de véhiculer des choses. Le plaisir, aussi. Là, j'en prends énormément : on va essayer de continuer sur cette voie. » publié le 4 novembre 2023 à 17h33 mis à jour le 4 novembre 2023 à 23h12
  7. Le stéréotype du forumeur qui pense que des gens qu'il n'aime pas et qu'il insulte sont protégés par la modération, ça a toujours existé ou c'est un truc récent ?
  8. Leader de L2
  9. Je n'ai pas le souvenir d'avoir posté d'information sur cet hôpital, pour m'offusquer ensuite de la manière dont les autres réagissait ou ne réagissait pas à cela
  10. Le problème, c'est que c'est toujours le même triptyque : 1/ Poster un truc ultra-polémique, sans se soucier de la véracité de l'info (celle-ci est ultra-fake) 2/ Être choqué par les réactions des autres à cet article, et les condamner pour leurs mauvaises réactions (même si les informations données sont par ailleurs fausses) 3/ Marteler un débat qui n'a pas de sens pour acculer l'opposition et mieux masquer ses propres contradictions (incapacité à appeler au cessez-le-feu, mutisme sur ce qu'il se passe à Gaza aujourd'hui comme ces 40 dernières années) C'était déjà la méthode pour le dernier débat sur Mélenchon, ou alors à l'époque de Charlie Hebdo avec les musulmans. Peut-être serait-il constructif de ne pas lancer les conversations de la sorte ? Surtout que ce genre d'articles jouant sur l'émotion ont vite tendance à crisper voire braquer chacun sur des positions, au lieu de permettre le débat autour de positions moins "passionnelles". Et par ailleurs fausses.
  11. Ils viennent d'acheter l'AC Milan pour 1,3 milliard. Même 30m€ de bénéfice sur une vente à 40m€ après un achat à 10, ça me paraît assez anodin par rapport aux sommes investies par ailleurs. Riollo, à qui l'assurance d'avoir toujours raison fait dire beaucoup d'idioties, dit que la réflexion sur la vente a commencée autour de la victoire en Coupe de France – ce qui, je pense, est vrai. Je pense vraiment qu'il s'agit d'une question de gouvernance. Pour RedBird, ne pas avoir ses principaux représentants dans le Conseil d'administration peut être dangereux. Qui dit que les hommes de paille ou de confiance placés suivront bien les prérogatives de la maison ?
  12. C'est d'autant plus aberrant que Rouault et Costa sont des joueurs auxquels on peut adresser les mêmes reproches, et louer les mêmes louanges...
  13. Je ne comprends pas trop le lien que font certains entre les salaires et la vente. Le club suit une ligne directrice, sur ce point il ne semble pas y avoir eu de changement entre 2022 et 2023. La volonté présupposée de céder le club n'a rien changé au modèle d'investissement. Au contraire, on a jamais autant acheté en valeur qu'au dernier mercato (13 millions), en suivant l'idée de croissance progressive et constante en fond propre qu'évoquent Comolli et Jaubert. Quant à la vente, si elle n'est pas qu'une rumeur pour mettre la pression sur le club, il est tout à fait possible qu'elle soit liée au règles européennes sur la propriété. Cardinale ne peut plus être au conseil d'administration, alors il cède la société. Possible que ce soit d'ailleurs les nouveaux membres du conseil d'administration, qu'on ne connaît même pas, qui reprennent le club.
  14. De l'intérêt de s'informer sur l'information...
  15. Exemplaire. Le mec aurait pu avoir une carrière de dingue. J'avais lu que l'OL le voulait à son départ de Nîmes, mais qu'ils ne l'avaient pas fait car ils redoutaient qu'il fane en dehors de sa région. Il se contente de jouer dans le club de sa ville, pour rester près de ses proches, et "ne pas vivre tout seul dans une grande villa" comme il dit dans l'interview. Évidemment, il ne dois pas non plus être à plaindre, mais quand même, je trouve ça beau.
  16. TFC 3 - HAC 0 : Magri, Dallinga, Schmidt
  17. Oh tient, des leaks sur le plan "Ambitions 2027" : https://lesviolets.com/actu/ambitions-2027-decouvrez-le-grand-projet-de-damien-comolli-pour-le-tfc,69337.html Marrant que toutes ces informations sortent en même temps, alors que le TFC veut négocier avec la Métropole pour l'exploitation du stadium.
  18. Ça n'est pas impossible, mais dans ton message précédant, cela ne se lisait pas. Je n'ai pas de pouvoir médiumnique, je ne peux comprendre que ce qui est verbalisé. Globalement, beaucoup de supporteurs parlent de la saison dernière avec une nostalgie sévèrement teintée d'amnésie. Je trouve ces discours un peu faciles. Je te dis ça à toi, mais j'aurais pu le dire à 90% de ce forum.
  19. Bof. Ça peut n'être qu'un coup de pression. Il faut toujours se demander pourquoi une information sort dans la presse, et accorder autant d'intérêt à cette question qu'aux informations données.
  20. Raison de plus de dire aurevoir à Moudenc dès 2026
  21. Ils ont peut-être juste envie d'estimer la valeur actuelle du club. Un humain qui fait estimer sa baraque, ça ne veut pas dire qu'il va forcément la vendre. Quant à la spéculation sur les droits, lue un peu plus, RedBird ont acheté le Milan AC alors que les droits italiens en étaient au même point que les droits français actuellement. Possible aussi qu'ils cherchent à réfléchir à leur prochains investissement possibles, et à mettre la pression sur la métropole. Parler d'un plan 2027, d'investissements possibles dans un stade et d'une vente en même temps, ça ressemble quand même pas mal à de la négociation indirecte.
  22. En occitan plutôt du coup.
  23. Alors ça, ça s'appelle la sélection mémorielle, parce que je me rappelle aussi de la réaction des supporteurs après des matchs comme Reims à l'exte et Nantes à l'exter, ou comme Monaco et Clermont à domicile, ou il n'était pas question de "but Playstation". Et encore, je suis gentil, je ne cite pas nos plus grosses roustes comme Marseille suite auxquels les supporteurs réclamaient la tête de Montanier. Là, vous êtes frustrés, mais si on sort des poules pour le barrage de C3 ou de C4, l'an prochain, c'est de ça dont vous vous souviendrez en premier. Voici par exemple deux message qui a eu un an jour pour jour avant-avant-hier : Ça ne vous rappelle pas ce que l'on dit aujourd'hui même à propos des matchs du TFC de Novell ? À cette période de l'année, l'an dernier, le supporteur toulousain était à peine moins frustré que ce qu'il ne l'est cette semaine. Pourtant, son club ne jouait pas en C3.
  24. Comolli voulait un 6 de Sheffield, Berge, sauf que Burnley a foutu 13m sur lui. Sierro n'a joué que pour palier, il n'a jamais été recruté pour être 6. Finalement, Casséres le box-to-box a glissé devant la défense, tout comme Koné le box-to-box l'a fait il y a 3 ans ; et il y est meilleur que Spierings dont la prolongation aurait été un boulot financier vu son niveau actuel. Monsieur BienInformé-ContreditToutlemonde se serait-il encore une fait attraper en train de raconter des balivernes, et à propager des avis qu'il ferait mieux d'actualiser car ils ne tiennent plus la route ? Pourquoi le critiquer, alors que le supporteur lambda peut tranquillement épancher sa rage sur la femme la plus haut placée de l'organigramme ? Pourtant, effectivement, il y a les mêmes "doutes" liés à l'invisibilité de la personne et de son rôle auprès du grand public. Plus un mercato qui déçoit la plupart des supporteurs (pas moi, je pense qu'il manque du temps plus que tu talent). Mais voilà, un homme, dans le foot, ça fait toujours moins tâche, puis à Toulouse les supporteurs aiment taper sur le président, bien aidé par une petite clique d'insider qui n'en ratent pas une pour dire pis que pendre de lui et de sa femme. Sans doute ont-ils trop regardé Dallas.
  25. Mercato tellement raté que, pour le moment, Spierings ne fait pas particulièrement d'ombre à Casséres en guise de 6. Vu ses performances cette saison, je me demande bien ce qu'il aurait apporté au club avec un salaire important. Comme quoi, tu as bien raison, les choses sont plus compliquées qu'il n'y paraît, et cela s'applique aussi à ce que tu dis, pas uniquement à ce que disent les autres 😁
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