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  1. La Réunion, éventuel pôle d'alerte catastrophes naturelles de l'Océan Indien PARIS (AFP) - Un éventuel système d'alerte aux tsunamis dans l'océan Indien pourrait comporter un élément essentiel à La Réunion pour la surveillance de la région sud-ouest de cette zone, a réaffirmé mardi le gouvernement français alors que se tenait à l'Unesco une réunion d'experts sur ce thème. On peut "envisager un système dans lequel il y ait une sorte de pilotage (...) dans les pays très peuplés du nord-est de l'océan Indien (Inde, Thaïlande, Indonésie), et un sous-pôle régional qui serait celui de La Réunion" pour la zone sud-ouest, a précisé à l'AFP le ministre de la Coopération Xavier Darcos. "La partie sud-ouest de l'océan Indien est importante en surface et représente des populations assez importantes, sur le continent africain notamment", a rappelé M. Darcos en soulignant que l'île de La Réunion disposait d'un "bon pôle (scientifique) sur place, en particulier en matière sismique". Le président du Groupe international de coordination du système d'alerte au tsunami dans le Pacifique, François Schindelé, interrogé à l'Unesco, a estimé que la mise en place à La Réunion "d'un relais d'alerte pour cette région-là était cohérent pour l'Afrique". En effet, a-t-il souligné, la France dispose de "connaissances sur le phénomène", d'un "réseau de surveillance", et peut faciliter dans la région "la transmission des informations et l'éducation" des populations pour faire face à de telles catastrophes naturelles. D'ores et déjà, a insisté M. Darcos, "nous mobilisons les centres de recherche pour les coordonner et construire une offre française" pour un centre d'alerte à La Réunion. Parmi eux, figure le Commissariat à l'énergie atomique (CEA), qui participe à la surveillance à l'échelle mondiale d'explosions nucléaires dans le cadre du Traité d'interdiction complète des essais nucléaires (TICE). Ce réseau "va sans doute contribuer à la surveillance des gros séismes qui peuvent déclencher un tsunami", a confirmé dans un entretien Bernard Massinon, conseiller scientifique au CEA. Le TICE dispose de "170 stations sismiques réparties sur l'ensemble des continents et des îles", a-t-il précisé. Il y a d'abord 50 stations dites "primaires", chargées "de la détection de tout événement sismique dans le monde et d'une localisation rapide". Elles sont en train d'être complétées par 120 stations "auxiliaires", "installées dans des régions sismiques", et d'un ensemble de 11 stations pour les océans, dont 6 avec des hydrophones immergés. La France participe donc à ce réseau international et dispose d'une dizaine de stations sismiques comme à Tahiti, en Guyane, sur l'île de la Désirade au large des Antilles, dans les îles Crozet et à La Réunion, pour y surveiller le volcan de La Fournaise. Pour établir un centre d'alerte, "La Réunion est un point relativement central, qui a déjà une infrastructure, qui fonctionne bien", a souligné M. Massinon. Quant à la France, elle "dispose à Papeete d'une centre de surveillance des tsunamis, (...) elle a déjà ce savoir-faire" avec notamment "des équipes qui savent faire des modélisations, qui savent prévoir les effets d'un tsunami", a-t-il insisté.
  2. Nauru, île en perdition par Jean-Michel Demetz, Jsi Hier richissime grâce à l'extraction des phosphates qui a dévasté son territoire, ce micro-Etat océanien, en proie à des intérêts criminels, est en faillite. Sa survie est en jeu source L'EXPRESS C'est une des îles les plus isolées au monde. Une des plus impénétrables aussi. Sommet d'une montagne surgie des abysses, à la faveur d'une éruption sous-marine, il y a quelques millions d'années, située juste sous l'équateur, en plein océan Pacifique, à mi-chemin entre l'Australie et l'archipel d'Hawaii, Nauru est interdite aux journalistes. Six mois durant, L'Express a tenté d'obtenir un visa d'entrée qui n'a jamais été accordé. Etat souverain de 13 000 habitants, Nauru entend garder le secret sur ses mystères. Accusée, il y a quatorze mois, par l'OCDE et les Etats-Unis de servir de plaque tournante à des opérations internationales de blanchiment d'argent et de financement du terrorisme, cette petite île de 21 kilomètres carrés apparaissait toujours, avec la Birmanie et le Nigeria, sur la liste noire des «territoires et Etats non coopératifs» rendue publique le 18 février dernier par le Groupe d'action financière sur le blanchiment de capitaux (Gafi), basé à Paris et chargé de débusquer l'argent sale. Pour la seule année 1998, selon la Banque centrale de Russie, pas moins de 70 milliards de dollars en provenance de Russie auraient été ainsi blanchis à Nauru, grâce à une industrie bancaire offshore locale montée de toutes pièces. En 2002, les Etats-Unis, dans le Patriot Act, la loi antiterrorisme, interdisent aux banques américaines tout contact avec Nauru. Washington, au même moment, s'inquiète de la vente à prix d'or (jusqu'à 35 000 dollars américains) d'un millier de passeports par les autorités de l'île. A juste titre. En février 2003, deux Turkmènes soupçonnés d'être liés à Al-Qaeda et porteurs de papiers nauruans sont arrêtés en Malaisie. Micro-Etat voyou, Nauru présente le triste visage d'un désastre environnemental et humain doublé d'une faillite politique et économique. Epuisement des ressources naturelles, explosion démographique, Etat en décomposition manipulé par des intérêts criminels: le destin de ce qui fut naguère le deuxième pays le plus riche au monde par tête d'habitant résume toutes les angoisses actuelles de la planète. Au commencement, il n'y avait donc rien. Un bout de roche émergée au milieu de nulle part, colonisé, au fil des millénaires, par des coraux sur lesquels s'accumulent les fientes des oiseaux. Ce guano, allié à des dépôts marins, décomposés en phosphates, va faire la fortune de l'île. Exploité par le colonisateur allemand, avant la Première Guerre mondiale, puis, conjointement, par les Britanniques, les Australiens et les Néo-Zélandais, l'engrais est raflé en vue de bonifier le sol des plantations australiennes. En 1968, Nauru, qui compte alors un peu plus de 5 000 habitants, gagne son indépendance et prend le contrôle de ses ressources. C'est le bon moment. Entre 1972 et 1975, le cours du phosphate s'envole: le prix de la tonne est multiplié par six. De 1968 à 2002, alors que la population double, Nauru exporte 43 millions de tonnes de phosphates pour une valeur de 3,5 milliards de dollars australiens (en dollars 2000, soit 2,1 milliards d'euros). Les Nauruans obtiennent même, en 1989, à la suite d'un arbitrage international, des compensations financières (107 millions de dollars australiens) de la part de l'Australie. «Si on déduit les coûts de production et les dépenses publiques normales, l'épargne restante, placée à 7%, devrait aujourd'hui s'élever à 8 milliards de dollars, soit 4 millions de dollars (2,4 millions d'euros) par famille», calcule Helen Hughes, du Center for Independent Studies de Sydney. L'universitaire connaît bien la question: elle a aidé les Nauruans à renégocier les royalties et à établir leur indépendance dans les années 1960. «Tout le monde touchait son chèque et ça flambait» Hélas, les caisses sont vides. L'Etat est en banqueroute. Et l'exploitation des phosphates touche à sa fin par épuisement des ressources. Le Liechtenstein du Pacifique est devenu un Etat mendiant dont les fins de mois sont assurées par le gouvernement australien. Lequel, en 2001, en échange de carburant pour les générateurs d'électricité de l'île et de bourses d'études, obtient même que soient envoyés sur l'île quelques centaines de demandeurs d'asile illégaux interceptés, en pleine mer, par sa flotte. Canberra dépêche aussi des comptables pour tenter de voir plus clair dans les comptes opaques du micro-Etat. Les fonctionnaires sont payés avec plusieurs mois de retard. Les services publics essentiels sont délégués, tant bien que mal, à des coopérants australiens ou même, comme récemment, à des médecins cubains, envoyés par Castro, qui, malheureusement, ne parlent qu'espagnol. En mars 2004, les communications téléphoniques par satellite sont interrompues: Nauru ne paie plus ses factures. Mais où est donc passée la manne des phosphates? La gestion publique a débouché sur un vaste gaspillage. Air Nauru a compté jusqu'à sept avions, dont cinq moyen-courriers desservant l'Australie, le Japon (souvent à vide), les îles du Pacifique. Pas mal pour un Etat dont la population avoisine celle de la commune de Montataire (Oise)! La flotte aérienne sert aux caprices des dirigeants nauruans. Il manque des chaises pour la séance de cinéma du soir? Le 737 décolle aussitôt pour les Kiribati voisines (à 800 kilomètres quand même). C'est le temps de la folie des grandeurs. Et de l'insouciance. «Tout le monde touchait son chèque et ça flambait, se souvient un diplomate australien en poste sur place dans les années 1970. On trouvait du caviar dans le supermarché local. Et les Boeing étaient pleins de supporters désireux d'assister aux matchs australiens de football à Melbourne, à 5 000 kilomètres au sud.» Les Australiens taisent leurs réserves, de crainte d'être taxés de «néocolonialisme». Pour préparer l'avenir, une partie du pactole est toutefois investie. Parfois, à bon escient: une tour de 52 étages, Nauru House, est bâtie dans le centre de Melbourne. Mais, le plus souvent, c'est la débâcle. Des intermédiaires véreux font ainsi acheter à prix d'or de l'immobilier, des hôtels, des galeries marchandes aux Etats-Unis, aux Philippines, en Australie, en Nouvelle-Zélande, à Fidji: ces placements voient leurs revenus s'évanouir en frais de gestion colossaux ou être détournés. A Londres, 3,9 millions de dollars sont dilapidés pour monter une comédie musicale sur Léonard de Vinci: c'est un four. Au bout d'un mois, le spectacle est retiré de l'affiche. Les rêves d'Etat rentier s'envolent. Afin de rembourser les dettes accumulées au fil des ans, Nauru doit aujourd'hui se séparer de son patrimoine. En novembre 2004, Nauru House est cédée pour 140 millions de dollars. Vendus, aussi, les hôtels de Melbourne et Sydney. Fascinés par l'argent facile, les Nauruans ont succombé aux appâts de la société de consommation. Conserves et surgelés ont supplanté le régime traditionnel de taros, noix de coco, papayes et poisson. Peuplée d'obèses, Nauru compte désormais le deuxième taux de diabète le plus élevé au monde. Pendant trois décennies, le mirage de l'argent facile a dissuadé deux générations de tout apprentissage. Comment, dans ces conditions, apprendre à cultiver son jardin et redécouvrir les techniques de pêche à la senne? Surtout avec un plateau central, vidé de son sol, creusé jusqu'à l'os pour extraire les phosphates, réduit à un paysage lunaire de pitons de corail mort, parfois hauts de plusieurs mètres. Et un récif fragilisé par la pollution. Seule une étroite bande côtière n'a pas été exploitée et a conservé son sol. Nauru a-t-elle encore un avenir? Faut-il placer l'île sous la responsabilité directe des Nations unies qui paieraient pour sa survie? Déménager la population vers l'Australie, comme on l'envisagea dans le passé? Rattacher Nauru à l'Australie? «Partout, dans le Pacifique, la marée de la décolonisation reflue, commente le géographe John Connell, à l'université de Sydney. Les territoires insulaires cherchent à renforcer leurs liens avec les puissances coloniales plutôt qu'à les couper.» Les émirs déchus du Pacifique sont-ils voués à devenir la première nation boat people?
  3. Impressionnante coulée de lave du Piton de la Fournaise à la Réunion SAINT-DENIS-DE-LA REUNION (AFP) - Une impressionnante coulée de lave, large de 400 à 500 m et haute de 5 m, issue de l'éruption du Piton de la Fournaise, a traversé la RN 2 à Sainte-Rose samedi en milieu d'après-midi pour se diriger vers la mer. Une première coulée avait déjà coupé cette route vendredi vers 19h30 locales après avoir dévalé les pentes de la montagne pour aller se jeter dans la mer. Cette coulée, toujours alimenté en magma, a atteint le littoral à proximité d'une ancienne coulée de 2004. La seconde coulée est issue d'une autre fissure apparue dans la nuit de vendredi à samedi sur les flancs du volcan. Depuis vendredi soir, la RN2 est fermée à la circulation entre Piton Sainte-Rose et Saint-Philippe, interdisant l'accès des curieux au site. Un système de navette par bus sera mis en place dimanche pour permettre au public d'accéder à un point de vue sur les coulées. L'approche des coulées par la mer a aussi été interdite par le préfet à moins de 300 m de côtes. Le Piton de la Fournaise s'est réveillé le 17 février, moins de six mois après la dernière éruption. Régulièrement, les coulées de lave traversent la RN2 coupant l'île en deux, sans toutefois représenter de danger pour la population, la zone étant inhabitée.
  4. Décès de Jean Prat, ancien capitaine de l'équipe de France et du FC Lourdes ven 25 fév, 17h09 LOURDES (Hautes-Pyrénées), 25 fév (AFP) - Jean Prat, ancien capitaine de l'équipe de France rugby et le plus illustre des joueurs du FC Lourdes, est décédé vendredi à Tarbes à l'âge de 81 ans, a-t-on appris auprès de la mairie de Lourdes. Jean Prat est décédé des suites d'une longue maladie, vendredi matin dans une clinique de Tarbes. Ses obsèques seront célébrées mardi après-midi (14h30) à l'église du Sacré-Coeur de Lourdes. Joueur mythique de la fin des années quarante et du début des années cinquante, Jean Prat, surnommé "Monsieur Rugby", totalisa 51 sélections de 1945 à 1955. Il fut ensuite l'homme de terrain du XV de France de 1964 à 1967 puis débarqué à l'arrivée d'Albert Ferrasse à la tête de la Fédération française de rugby (FFR). Doté d'un exceptionnel coup de botte, il avait hérité du surnom de "Monsieur Rugby" quand, pour la première fois de son histoire, le XV de France avait dicté sa loi à l'Angleterre (11-3) le 28 février 1951. Les Anglais le surnommèrent ainsi pour son sens du commandement et surtout ses qualités de meneur d'hommes. Jean Prat a remporté à deux reprises le Tournoi des cinq nations, en 1954 (première victoire de la France) et 1955. Il fut capitaine de la première équipe de France à battre (3-0) les All Blacks, le 27 février 1954 à Colombes (Hauts-de-Seine). Il remporta avec le FC Lourdes 6 titres de champion de France (1948, 1952, 1953, 1956, 1957, 1958) et 2 coupes de France. Il avait achevé sa carrière internationale en 1955, porté en triomphe sur les épaules des ses vainqueurs gallois. Promu officier de la Légion d'honneur en 1990, il avait été élevé au grade de chevalier de l'Ordre en 1959.
  5. Dans un ultime craquement, le chêne de Marie-Antoinette est tombé VERSAILLES (AFP) - En moins de deux minutes, deux tracteurs forestiers ont eu raison du chêne de Marie-Antoinette, le doyen (324 ans) des arbres du parc du château de Versailles victime de la canicule de 2003, qui est lourdement tombé au sol mercredi dans un dernier craquement. Pendant de longues secondes, les employés du château présents ont regardé le long squelette débarrassé de ses branches gisant au sol, hésitant entre applaudissements et larmes, conscients "qu'une page d'histoire venait d'être tournée". Pour Christine Albanel, présidente de l'Etablissement public du château de Versailles, "c'est quelque chose d'extrêmement fort d'entendre le craquement de l'arbre, un des fleurons de Versailles, de le voir tomber et, brusquement, ce fracas, c'est très fort". Elle y voit "un arrachement et pas seulement un arrachement à la terre" mais "un peu un arrachement à notre mémoire". Peu à peu, chacun s'approche de la dépouille du chêne planté il y a 324 ans dont la circonférence du tronc dépasse les 5,5 mètres et dont les racines, à peine sorties de terre, se dressent à plusieurs mètres de hauteur. Très ému, Alain Baraton, jardinier en chef du parc de Versailles, reconnaît qu'il " y a beaucoup de tristesse, car quand on est jardinier notre rôle est de conduire les arbres et de veiller à leur santé. Voir un arbre de cette dimension à terre, c'est quand même très triste". A ce moment, il pense aux "générations entières de jardiniers qui ont veillé sur le chêne de Marie-Antoinette". "Moi, je suis celui qui l'aura accompagné en fin de vie, qui l'aura emmené de nouveau dans les pépinières où il a vu le jour", lâche-t-il, reconnaissant "une certaine fierté finalement". Haut de 35 mètres, le chêne planté en 1681 par Le Nôtre était l'un des rares arbres à avoir échappé à la régénération du parc ordonnée par Louis XVI en 1776, alors qu'il n'avait pas encore fêté ses 100 ans. Planté à proximité de l'allée de la Reine, entre le Grand canal et le Grand Trianon, il a ainsi été dénommé car la reine Marie-Antoinette (1755-1793) aimait, dit-on, profiter de son ombrage lorsqu'elle séjournait à Trianon. Et ce sont justement les rayons du soleil de l'été caniculaire 2003 qui lui ont été fatals. Le chêne ne quittera pas Versailles car une fois relevé il sera exposé près des pépinières de Trianon. Pour Alain Baraton, il est "normal que Versailles conserve les arbres qui ont fait sa réputation au même titre que le mobilier ou les tableaux. Versailles, c'est un musée, mais c'est aussi un parc". Un nouvel arbre sera replanté en mars, un Quercus Robur, espèce réputée pour sa résistance et sa vigueur, il sera placé non loin du lieu où le chêne de Marie-Antoinette sera exposé. Quand au bosquet où régnait depuis plus de trois siècles le chêne majestueux, la descendance est assurée puisque des glands, prélevés il y a plus de dix ans, ont été replantés et donnent déjà de beaux arbustes.
  6. je suis passé ce matin au Stadium voir l'entrainement : Dalmat trottinait autour des terrains Mais, ne m'en demandez pas plus, je ne suis pas resté longtemps....
  7. Actualités toulousaines des sorties ces jours-ci : - un superbe livre (je l'ai feuilleté mais je ne me souviens plus du titre ni des auteurs) de photos aériennes de Toulouse et périphérie - le nouvel album de RSF pour la Liberté de la Presse avec des photos de Jean DIeuzaide - un nouveau CD de Claude Nougaro avec des inédits
  8. En parlant de Victor Hugo.... 9 fois lors de sa nuit de noce d'après lui !
  9. je ne sais pas ce que c'est que le "skin du forum", mais je t'encourage de tout coeur !
  10. et voilà, comme je disais ça gagne rien (1.90/1), mais bon, au moins, ça fait lègèrement plaisir
  11. moi j'en ai fait 1 cet après-midi, mais alors vraiment "petit-bras" : France, Toulouse et Monaco gagnants.... Ca gagne rien, mais au moins, pour la reprise, c'est pas difficile
  12. et en plus, ça paye : 14 H 30 - La répartition des prix distribués par équipe avant l'étape 20 US Postal Service : 86684 T-Mobile : 62308 Team CSC : 58586 Quickstep-Davitamon : 56319 Cofidis : 54304 Fassa Bortolo : 46262 Lotto-Domo : 42910 AG2R Preyovance : 40844 Credit Agricole : 36577 Illes Balears : 27260 Rabobank : 23364 Phonak : 22360 Gerolsteiner : 22360 Euskaltel-Euskadi : 21027 Brioches la Boulangere : 20194 FDJeux.com : 20181 Domina Vacanze : 17877 Alessio-Bianchi : 10978 Saeco : 10226 Liberty Seguros : 7863 RAGT Semences : 4664
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