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connemara

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Tout ce qui a été posté par connemara

  1. Pareil! Tu comptes jouer tous ces matches!
  2. 21 FA Cup Bolton - Arsenal 3,80 2,90 1,55 22 VI Nat. Irlande - France[+7] 1,70 13,6 1,70 26 VI Nat. Angleterre - Italie[+29]1,70 13,6 1,70 34 Ligue 1 Nantes - Caen 1,60 2,80 3,50 36 Ligue 1 Sochaux - Bastia 1,40 3,05 4,85 38 Ligue 1 Bordeaux - AS St Etienne 1,85 2,70 2,95 40 Serie A Lazio Rome - Inter Milan 2,80 2,55 2,00 43 FA Cup Blackburn - Leicester City 1,40 3,15 4,60 47 Serie A Atal. Bergame - Parme 2,20 2,50 2,55 48 Serie A Cagliari - AS Rome 2,30 2,60 2,65 50 VI Nat. Ecosse+12-Galles 1,70 13,6 1,70 51 FA Cup Newcastle - Tottenham 1,65 2,90 3,35 57 Liga 1 Getafe - Real Madrid 4,00 3,00 1,50 58 Serie A Chievo Vérone - Juventus 4,70 3,10 1,40
  3. J'en prends note! C'est ce que j'avais pensé pour les 3 premiers matches ainsi que pour Lille-Toulouse! Par contre, j'hésite toujours pour Bordeaux-St Etienne et Auxerre-Monaco...
  4. Pour la liste 109, je vais jouer un 2/6 32 Marseille-Lens 33 Metz-Rennes 36 Sochaux-Bastia 38 Bordeaux- St Etienne 56 Lille-Toulouse 60 Auxerre-Monaco Mais j'hésite sur les résultats! On y réfléchit collectivement ?
  5. Le Dalai Lama dit accepter l'idée que le Tibet demeure chinois NEW DELHI - Le Dalai Lama, symbole pour le gouvernement chinois du séparatisme tibétain, a défendu une «voie moyenne» avec Pékin. Il a déclaré que ses partisans et lui-même étaient prêts à accepter que la région demeure dans le giron de la Chine. «Une fois de plus je veux rassurer les autorités chinoises quant au fait que tant que je serai responsable des affaires du Tibet nous serons totalement partisans de la «voie moyenne» consistant à ne pas exiger l'indépendance du Tibet et à accepter de demeurer au sein de la République populaire de Chine», a déclaré le chef spirituel des Tibétains. Le Dalai Lama s'est réfugié en Inde en 1959 après un soulèvement manqué contre la souveraineté chinoise. Il s'exprimait à l'occasion du 46e anniversaire de cette insurrection. © ATS
  6. Femmes: le président du parlement européen appelle les hommes à changer «radicalement» d'attitude STRASBOURG (AP) - A l'occasion de la Journée internationale de la Femme, le président du Parlement européen Josep Borrell a appelé mardi les hommes à changer «radicalement» d'attitude et souhaité que les 25 agissent pour assurer l'égalité des salaires. »L'égalité entre les sexes ne peut devenir réalité à moins que l'attitude des hommes ne change radicalement», a déclaré Josep Borrel Borrell. «L'inégalité des femmes n'est pas un problème de femmes, mais problème pour les femmes». Le président du parlement de Strasbourg a appelé les 25 pays membres de l'Union européenne à garantir les mêmes salaires pour les femmes et leur accorder «de réels avantages destinés à faciliter leurs vies». Il a également souhaité un durcissement des peines pour les crimes contre les femmes. Un rapport européen constatait récemment que si les inégalités se réduisent en terme d'emploi et d'éducation, les hommes gagnent en moyenne 15% de plus que les femmes au sein de l'UE. Le Parlement européen a consacré une partie de sa séance de mardi à la célébration du 10e anniversaire de la quatrième Conférence mondiale des Nations unies sur les Femmes à Pékin, lors de laquelle une plate-forme d'action «Pékin +10» pour assurer l'égalité entre les hommes et les femmes avait été adoptée par 189 pays. AP
  7. Début de l'installation du plus grand accélérateur de particules du monde GENEVE (AP) - L'installation du plus grand accélérateur de particules du monde, le LHC (Large Hadron Collider), a commencé lundi à la frontière franco-suisse avec l'introduction d'un gigantesque électro-aimant supraconducteur dans le tunnel circulaire accueillant cette nouvelle machine qui devra aider à comprendre la formation de l'univers, a annoncé le Laboratoire européen pour la physique des particules (CERN). Cet aimant géant de 35 tonnes et de 15 mètres de long est le premier à trouver sa place dans ce tunnel de 27 kilomètres de circonférence enfoui à 100 mètres sous terre à la frontière franco-suisse, à l'ouest de Genève. Au total, 1.232 aimants de même taille seront mis en place pour accélérer les protons à une vitesse proche de celle de la lumière (300.000 km/seconde), a précisé Renilde Vanden Broeck, porte-parole du CERN. Le LHC produira ainsi des collisions de protons à une énergie de 14 TeV (14.000 milliards d'électron volts), soit une puissance supérieure à celle du LEP (Large Electron-Positron Collider), accélérateur de particules démantelé en 2000 par le CERN, qu'il est aujourd'hui appelé à remplacer. AP
  8. L'Italie a offert des obsèques nationales à Nicola Calipari ROME - L'Italie a offert des funérailles nationales à Nicola Calipari, tombé sous les balles américaines en Irak alors qu'il rapatriait l'ex-otage Giuliana Sgrena. La péninsule s'interroge sur cette bavure en attendant les excuses de Washington. Les obsèques ont eu lieu en la basilique Sainte Marie des Anges, au coeur de Rome, en présence d'une foule immense. L'épouse et les deux enfants de l'agent des services secrets étaient installés au premier rang ainsi que le président du Conseil Silvio Berlusconi et le président de la République Carlo Azeglio Ciampi. Policier de haut rang auprès des services de renseignements militaires (SISMI), M. Calipari était chargé de l'évacuation de la journaliste du quotidien «Il Manifesto», enlevée le 4 février à Bagdad. Libérée vendredi par ses ravisseurs, Mme Sgrena se trouvait à bord d'un véhicule avec Nicola Calipari près de l'aéroport de Bagdad lorsque des tirs américains ont tué le responsable italien. Cette mort sous le «feu ami» a jeté un froid entre Washington et Rome, qui réclame des explications à l'administration américaine. Le président du parlement européen Josep Borrell a demandé aux Etats-Unis de «faire la lumière» sur la mort de l'agent secret. M. Berlusconi a toutefois tenu a rappeler dans plusieurs journaux que «l'alliance avec les Etats-Unis ne prête pas plus à discussion que notre engagement militaire en Irak». La journaliste italienne a elle-même affirmé dans un entretien à «l'Humanité» que ses ravisseurs lui disaient «qu'ils avaient un accord (avec l'Italie) mais que les Américains ne le voulaient pas». La journaliste a laissé entendre que les Américains ont tiré délibérément sur elle en raison de leur opposition au versement de rançons aux preneurs d'otage en Irak. La Maison blanche a qualifié cette hypothèse d'»absurde». En espérant tout de même que les américains se tiennent éloignés de Florence Aubenas!
  9. Je ne m'aventure jamais sur la champion league! Et pour 22 Euros, je préfère rester spectateur!
  10. Giuliana Sgrena n'exclut pas d'avoir été prise pour cible par Maria Sanminiatelli ROME (AP) - L'épilogue sanglant de la détention de Giuliana Sgrena soulevait interrogations et polémiques en Italie dimanche, à l'heure où des milliers de personnes défilaient devant la dépouille mortelle de Nicola Calipari qui accompagnait l'ex-otage. Blessée par les tirs américains peu après sa libération, la journaliste, qui a publié un premier récit de son calvaire, n'excluait pas d'avoir été délibérement prise pour cible. »Le fait que les Américains sont contre les négociations pour libérer les otages est connu», a-t-elle noté, la voix rauque et hésitante, au cours d'un entretien accordé par téléphone à la chaîne de télévision Sky TG24. Disant ne pas savoir si une rançon avait été versée pour sa libération, elle a ajouté que les Américains étaient également opposés au principe des rançons pour sauver la vie des gens. »Alors, je ne vois pas pourquoi je devrais exclure d'avoir été prise pour cible», a lancé Giuliana Sgrena, qui a toujours été hostile à l'intervention américaine en Irak. »Je comprends l'émotion de ces heures, mais ceux qui ont subi tant de pression ces dernières semaines devraient se reprendre et éviter de raconter n'importe quoi», a mis en garde le ministre de la communication Maurizio Gasparri, après ces propos et ceux encore plus durs, la veille, du compagnon de l'ex-otage Pier Scolari. L'armée américaine a promis de faire toute la lumière sur la fusillade ayant coûté la vie à l'agent des services secrets Nicola Calipari sur la route de l'aéroport de Bagdad. Les Américains affirment que les soldats ont ouvert le feu car la voiture allait trop vite et n'a pas obéi aux sommations. Ce que vient contredire le récit de la journaliste, qui affirme que le véhicule roulait lentement, et n'avoir pas vu d'avertissements. Dans son premier témoignage, publié dans son journal, le quotidien communiste «Il Manifesto», elle explique que ce fatidique vendredi 4 mars aura été «la journée la plus dramatique de (sa) vie». Revenant sur les circonstances, toujours très floues, de sa libération, elle se souvient du moment où, sortant les yeux bandés de la voiture de ses ravisseurs, elle a entendu une voix, celle de Calipari: «Giuliana, Giuliana, c'est Nicola. Ne t'inquiète pas, j'ai parlé avec (le directeur d'»Il Manifesto») Gabriele Polo. Ne t'inquiète pas, tu es libre». Puis elle raconte la fusillade, et la mort de Calipari: «une pluie de feu et de balles s'est abattue sur nous, imposant pour toujours le silence aux voix joyeuses qui retentissaient quelques minutes plus tôt». Le chauffeur a crié qu'ils étaient italiens, dit-elle. Et «Nicola Calipari a plongé sur moi pour me protéger et immédiatement, je veux dire à l'instant même, j'ai senti son dernier souffle alors qu'il mourait sur moi». Quant à sa captivité, elle s'est écoulée «entre moments d'espoir et moments de grande dépression» depuis son enlèvement le 4 février à Bagdad. Giuliana Sgrena dit n'avoir pas «versé une seule larme» les premiers jours, «furieuse» d'avoir été enlevée alors qu'elle était contre la guerre. Si cet épisode dramatique renforce l'opposition des Italiens à la présence de 3.000 de leurs soldats en Irak, le gouvernement Berlusconi a réaffirmé dimanche que cette mission se poursuivrait. Troisième haut responsable américain à décrocher son téléphone depuis l'épilogue sanglant qui a tendu les relations entre les deux alliés, le secrétaire à la Défense Donald Rumsfeld a téléphoné à son homologue italien Antonio Martino pour transmettre ses condoléances. Choquée, l'Italie attend la vérité. Le gouvernement Berlusconi doit apporter des réponses sur ce qui s'est vraiment devant le parlement cette semaine. D'ici là, les spéculations vont bon train, notamment sur l'éventuelle rançon qui aurait été versée, d'un million de dollars selon un député irakien, Younadem Kana. Et le pays en deuil rend un dernier hommage à Nicola Calipari, mort sur le coup, frappé d'une unique balle dans la tête, selon les résultats de l'autopsie. Samedi soir, Silvio Berlusconi et le président Carlo Azeglio Ciampi étaient aux côtés de sa famille pour accueillir à l'aéroport la dépouille mortelle. Le cercueil recouvert du drapeau italien a ensuite été exposé dans une chapelle ardente au monument Vittoriano, le tombeau du soldat inconnu à Rome, où défilaient dimanche des milliers de personnes, le visage grave et portant des fleurs, avant les funérailles d'Etat prévues lundi. Quant à Giuliana Sgrena, elle a expliqué sur SkyTG24 qu'elle ne retournerait pas en Irak. «Ils ne veulent pas de témoins et nous sommes tous considérés comme des espions potentiels». AP
  11. Irak: Giuliana Sgrena raconte sa libération ROME - La journaliste Giuliana Sgrena, retenue en otage durant un mois en Irak, raconte sa libération dans l'édition dominicale de son journal, «Il Manifesto». Elle décrit cette libération vécue comme «le jour le plus dramatique de sa vie. Mme Sgrena explique que ses ravisseurs l'ont accompagnée dans une zone de Bagdad en la prévenant «de ne pas se faire remarquer avec eux sinon les Américains pourraient intervenir». Ils l'ont alors laissée seule, les yeux couverts, en lui disant: «Sois tranquille, maintenant ils viendront te chercher dans dix minutes». «Je suis restée dans ces conditions d'immobilité et de cécité. J'avais les yeux remplis de coton, couverts par les lunettes de soleil», poursuit-elle. «Une voix amie m'est alors parvenue aux oreilles», ajoute-t-elle. «Giuliana, je suis Nicola, ne t'inquiète pas, tu es libre», lui a dit cette voix qui était celle de Nicola Calipari, l'agent des services secrets italiens, venu la chercher et qui devait mourir un peu plus tard dans ses bras, frappé par des tirs américains. «J'ai éprouvé du soulagement, non pas pour ce qui se passait et que je ne comprenais pas, mais pour les paroles de ce 'Nicola'. J'ai éprouvé finalement une consolation quasi physique, chaleureuse, que j'avais oubliée depuis longtemps
  12. Bavure américaine lors de la libération de Giuliana Sgrena: RSF réclame l'ouverture d'une enquête de l'ONU PARIS (AP) - L'organisation de défense de la liberté de la presse Reporters sans frontières a demandé samedi à l'ONU d'ouvrir une enquête sur les tirs américains qui ont causé la mort d'un des membres des services secrets italiens et blessé la journaliste et un autre agent après la libération de Giuliana Sgrena en Irak. Le secrétaire général de RSF Robert Ménard demande que «la lumière soit faite sur les circonstances» de cette «bavure aux conséquences tragiques». Dans un communiqué publié sur le site Internet de RSF, il réclame l'implication de l'ONU dans cette enquête, estimant qu'elle «ne peut être menée uniquement par l'armée américaine, qui, par le passé, et notamment lors des tirs sur l'hôtel Palestine (en mars 2003) ayant coûté la vie à deux journalistes, s'était contentée d'un rapport visant uniquement à exonérer les militaires de toute responsabilité». Ce rapport concluait, rappelle-t-il, «qu'aucune faute ou négligence n'a été commise par les forces de la coalition». Pour ce qui est de la fusillade qui a coûté la vie à l'agent Nicola Calipari à un checkpoint sur la route de l'aéroport de Bagdad vendredi soir, «l'état-major américain a déclaré que la procédure avait été respectée et que les militaires avaient mis en garde le convoi avant d'engager le tir. Un responsable du Pentagone a par ailleurs déclaré qu'une enquête allait être ouverte sur cet incident», ajoute RSF. AP
  13. La condition des femmes a empiré en dix ans, selon l'ONU par Edith Lederer NATIONS UNIES (AP) - La condition des femmes a empiré ces dix dernières années, malgré les promesses des gouvernements d'appliquer l'égalité entre les sexes, selon un rapport publié à l'occasion de la Conférence internationale sur les droits des femmes, qui se tient jusqu'au 11 mars au siège de l'ONU à New York. Cette conférence est organisée dix ans après celle de Pékin sur l'égalité des sexes et la promotion de la femme. Le programme d'action adopté à l'époque définissait plusieurs domaines prioritaires, comme les femmes et la pauvreté, l'éducation et la formation, la santé, y compris reproductive, la violence, les conflits armés, l'économie, les droits de l'homme ou l'environnement. Dix ans plus tard, le nom du rapport de 207 pages, publié jeudi, en dit long sur le bilan établi par les délégués de 130 pays: »Pékin trahi». «Les femmes ne veulent plus des mots de leurs gouvernements, elles veulent de l'action, elles veulent des moyens et elles veulent que les Etats protègent et fassent progresser les droits des femmes», poursuivent les auteurs du document. Lors d'une conférence de presse, la directrice de l'Organisation pour l'environnement et le développement des femmes, June Zeitlin, a souligné que «les réalités décrites par les femmes contrastent souvent avec les rapports officiels établis par leurs autorités». »Nous observons des tendances importantes: une pauvreté grandissante, des inégalités, une militarisation accrue et une opposition fondamentaliste aux droits des femmes, a-t-elle regretté. Mais malgré les efforts de certains pays pour «protéger et améliorer les droits des femmes au niveau national», les conditions de vie de nombreuses femmes ont empiré en dix ans dans certaines régions, estime le rapport. La violence touche ainsi environ deux tiers des femmes dans le monde. Au Kazakhstan par exemple, plus de 60% d'entre elles ont subi des violences physiques ou sexuelles au moins une fois dans leur vie. Aux Etats-Unis, 31% des femmes rapportent avoir été agressées sexuellement par leur mari ou compagnon. Et en 2000 en Colombie, 44% des femmes mariées ont été violentées par leurs époux, selon le rapport. De même, les gouvernements ne semblent guère se préoccuper du trafic d'êtres humains, notamment les mariages forcés ou la prostitution. Selon le texte, jusqu'à 175.000 femmes sont entraînées chaque année dans «l'industrie» du sexe dans les pays de l'Est et de l'ex-Union soviétique. Femmes et fillettes risquent par ailleurs d'être contaminées par le sida, principalement parce qu'elle restent confrontées à une «contrainte sexuelle». A Pékin, les Etats s'étaient également engagés à atteindre l'objectif de 30% de femmes dans les administrations. Dix ans plus tard, seuls 15 pays ont respecté leur promesse. Le rapport énumère également ce qu'il appelle «les douze salopards», c'est-à-dire des pays qui n'ont aucune élue au Parlement, au premier rang desquels quatre Etats du Moyen-Orient: l'Arabie saoudite, Bahreïn, les Emirats arabes unis et le Koweït; les huit autres pays montrés du doigt sont la Guinée-Bissau et des micro-Etats du Pacifique: Micronésie, Nauru, Palau, St-Kitts et Nevis, Iles Salomon, Tonga, Tuvalu. AP
  14. Le site web de la TV suédoise annonce par erreur la mort du pape STOCKHOLM - La télévision publique suédoise SVT a publié par erreur une nécrologie du pape Jean Paul II sur son site internet. Elle est restée cinq heures en ligne avant d'être retirée, a-t-on appris auprès de la société. Un employé de SVT qui travaillait sur la nécrologie préparée à l'avance du souverain pontife a appuyé par erreur sur un bouton qui a placé le texte et une photo sur le site internet, a indiqué Johanna Niemi, une porte-parole de SVT. «C'est une erreur très regrettable», a-t-elle commenté. La légende de la photo montrant Jean Paul II en compagnie du roi Carl XVI Gustaf et de la reine Silvia de Suède indiquait sobrement: «le pape Jean Paul est mort». «Le texte a été placé vers 16h00 jeudi et est resté en ligne pendant environ cinq heures», a précisé la porte-parole. La rédaction à l'avance des nécrologies de personnalités connues âgées est une pratique courante dans la presse écrite et audiovisuelle Comme quoi, il faut être toujours prudent quand on se promène sur le Net
  15. J'ai modifié mes pronos, en fonction des avis de Genoux de Miel et de Tristan!......
  16. Bon, j'ai fait mes comptes! Un 2/6 pour 15 Euros. 29: Lens-Auxerre 1,90 37: Bastia-Lille 2,60 39: PSG-Nantes 3,85 40: Rennes- Sochaux 2,70 43: Istres-Bordeaux 2,50 45: AS Roma- Juventus 2,50 Gain Maxi: 106,40 Euros Un simple à 4 pronos pour 5 Euros. 46: Penafiel- Porto 1,55 51:¨Parme- Cagliari 1,6O 59: Livourne-Palerme 2,30 60: St Etienne-Marseille 2,55 Gain maxi: 72,80 Euros J'le sens toujours bien en milieu de semaine, mais j'me sens toujours mal le Dimanche soir!
  17. Tu te risques à un simple à 6 matches ?
  18. Aubenas: Didier Julia se dit «à la disposition» des autorités françaises PARIS (AP) - Le député UMP Didier Julia se dit «disposé sans aucune réserve» à collaborer avec les autorités françaises pour obtenir la libération de Florence Aubenas, mais réclame pour cela la levée du contrôle judiciaire de ses deux collaborateurs, dans un communiqué publié jeudi. »Indéniablement, les ravisseurs veulent imposer (...) un mode opératoire. Ne pas en tenir compte risquerait de faire courir des risques à Florence Aubenas», souligne-t-il. Dans ce contexte, «je suis persuadé qu'il m'est impossible de me dérober». Alors que le Premier ministre Jean-Pierre Raffarin l'a sommé mercredi de collaborer avec les services français, il se dit »disposé sans aucune réserve» à le faire. »Je suis à la disposition des autorités françaises afin de faire tout ce qui sera en mon pouvoir pour obtenir la libération de Florence Aubenas», écrit-il. Mais Didier Julia juge «absolument nécessaire de le faire avec (s)es collaborateurs, Philippe Brett et Philippe Evanno». Ceux-ci »connaissent tous (s)es contacts en Irak et disposent en outre eux mêmes de nombreuses autres relations dans ce pays qui sont absolument indispensables à la médiation sollicitée», affirme-t-il. Dès lors, «je demande instamment à l'autorité judiciaire une levée du contrôle judiciaire qui les empêche de communiquer avec moi et leur interdit également d'entrer en relation avec certaines personnalités irakiennes incontournables dans cette affaire». »La libération de Florence Aubenas ne peut être la conséquence que d'une mobilisation de tous, sans dissensions ni polémiques stériles et dangereuses», conclut le député. AP Une véritable partie d'échec ou de poker menteur entre le gouvernement et le député Julia..... L'histoire commence à devenir pesante pour le citoyen de base...
  19. Raffarin a demandé à la DGSE de «prendre contact» avec Didier Julia PARIS (AP) - Le Premier ministre Jean-Pierre Raffarin a «demandé au Directeur général de la sécurité extérieure de prendre contact avec» le député UMP Didier Julia, a-t-il annoncé devant les députés, en présence de l'intéressé. Dans la vidéo rendue publique mardi, «Florence Aubenas a lancé un appel à un parlementaire français qui a déclaré connaître probablement les ravisseurs. J'ai demandé au Directeur général de la sécurité extérieure de prendre contact avec lui, de prendre contact avec vous, M. le député», a-t-il dit en s'adressant à M. Julia lors des questions au gouvernement à l'Assemblée nationale. Il s'agit de «recueillir toutes les informations qui pourraient être nécessaires pour que les services de notre République puissent agir, pour que nous puissions faire en sorte que la République agisse d'une seule direction, sous une seule autorité, sans accepter aucune diplomatie parallèle», a expliqué le Premier ministre. »Toute personne qui croirait détenir des informations sérieuses sur la situation de Florence Aubenas a le devoir de les porter immédiatement et sans conditions à la connaissance des autorités», a averti M. Raffarin. «C'est la sécurité de notre compatriote et de son accompagnateur qui prime sur toute autre considération», a-t-il dit, sous les applaudissements des députés. »Nous souhaitons obtenir cette libération par l'action de la France, par l'action de ses services», a souligné le chef du gouvernement. M. Raffarin a dit faire «confiance aux services de notre pays aujourd'hui pour être capables de rassembler les conditions qui nous permettront de pouvoir obtenir cette libération». Comme le lui avaient demandé le Premier secrétaire du PS François Hollande et le président de l'UDF François Bayrou, Jean-Pierre Raffarin a annoncé qu'il réunirait jeudi «les présidents de groupes et dirigeants de partis pour leur exposer nos analyses, nos conclusions, et leur faire part de toutes les informations dont dispose le gouvernement». Jean-Pierre Raffarin a en tout cas présenté comme «certain à ce jour» que «la disparition de Florence Aubenas et de Hussein Hanoun n'est en rien comparable à celle de Christian Chesnot et Georges Malbrunot». »Aucun groupe n'a à ce jour revendiqué un enlèvement, aucune revendication n'a été formulée, aucun dialogue n'a pu être stabilisé avec des ravisseurs authentifiés», a-t-il rappelé, précisant que la «cassette Julia» suscitait «pour moi aussi d'importantes interrogations». Jean-Pierre Raffarin s'est dit «meurtri par les images» de la jeune femme. «Ces images montrent d'évidence la souffrance endurée par Florence Aubenas, la cruauté de la captivité, le caractère inacceptable de sa détention»: «elles sont bouleversantes, mais surtout préoccupantes». »Ou ces images sont vraies et elles sont insupportables, ou ces images sont fabriquées et elles sont inacceptables», a-t-il lancé. Jean-Pierre Raffarin a eu une pensée pour le «choc subi par la famille de Florence mais aussi par ses proches», ainsi que pour «la famille de Hussein Hanoun, qui est absent de ces images». AP Suite du feuilleton..... Avec beaucoup de sous-entendus.....
  20. Quiconque détient des informations sur Florence Aubenas «a le devoir d'en informer les services de l'Etat», selon M. Copé PARIS (AP) - «Quiconque croit détenir la moindre information sur l'enlèvement» de Florence Aubenas «a naturellement le devoir d'en informer les services de l'Etat», a souligné mercredi le porte-parole du gouvernement Jean-François Copé alors qu'on l'interrogeait sur le rôle du député UMP Didier Julia. M. Julia a affirmé mardi soir sur TF1 que les ravisseurs de la journaliste de «Libération» sont «des gens qui me connaissent et que, probablement, je connais». »Le gouvernement met tout en oeuvre pour retrouver Florence Aubenas», a assuré M. Copé lors du compte-rendu du conseil des ministres. «Nous devons nous imposer à tous une exigence: celle de la discrétion et celle aussi de l'esprit de responsabilité». Les pouvoirs publics n'ont qu'un «seul objectif: celui de sa sécurité». »Toutes les informations contenues dans ces différents documents vidéo seront naturellement exploitées par nos services», a expliqué M. Copé au sujet des vidéos transmises à Paris, dans lesquelles Mme Aubenas appelle à l'aide. «Certes, elle était en vie», mais «chacun a évidemment ressenti beaucoup d'émotion lorsque nous avons vu Florence Aubenas à l'image», a-t-il dit. Ces cassettes «ne comportent aucune revendication», a-t-il rappelé. «Aucun contact n'a été établi avec les ravisseurs», mais »nous ne négligeons aucune piste», a affirmé le porte-parole du gouvernement. »Nous sommes totalement mobilisés. Nos services travaillent activement» et «le Premier ministre continuera à tenir informés les partis représentés au Parlement de l'évolution de la situation», a-t-il précisé. AP Cela n'a rien à voir, mais après Gaymard, Jean François Copé vient d'être lui aussi épinglé par le Canard Enchainé pour une affaire immobilière! Bonjour la transparence, M. le ministre! Et le sort de Florence Aubenas, là dedans..... mystère et boule de gomme!
  21. L'affaire Aubenas est «à un tournant», selon M. Barnier PARIS (AP) - «Nous sommes à l'évidence à un tournant, mais nous n'en percevons pas encore tous les aspects», déclare le chef de la diplomatie française Michel Barnier, après la publication de la cassette de Florence Aubenas, dans les colonnes du «Monde» daté de jeudi. »Je veux espérer que ce nouveau développement (...) permettra d'avancer vers sa libération», ajoute-t-il. Car «les ravisseurs ont décidé de sortir du secret», note Michel Barnier, même si c'est sans pour autant indiquer «le nom ni la nature de leur groupe, ni précisé une revendication». Interrogé sur l'appel à l'aide lancé par la journaliste de »Libération» au député UMP Didier Julia, M. Barnier reconnaît qu'il »faut tirer tous les fils possibles et explorer toutes les pistes», »en pensant uniquement à la sécurité de Florence Aubenas et Hussein Hanoun». M. Julia «a indiqué (mardi) soir à la télévision qu'il connaissait probablement les ravisseurs et que ceux-ci le connaissaient aussi», souligne le ministre. AP
  22. Et si vous exposiez tous vos pronos AVANT LES MATCHES, ça pourrait donner des idées! En plus, ça n'a pas d'influence sur les gains de côte et match!
  23. Ce qui est surprenant dans ce témoignage, c'est l'appel fait au député Didier Julia....qui a été condammné pour sa tentative solitaire en faveur des 2 journalistes français pris en otage en Irak, il y a encore peu de temps...et ceci, contre l'avis de l'Etat. Pourquoi s'adresse-t-elle à lui en particulier ? En attendant, elle a l'air très éprouvée, Florence...
  24. L'appel de Florence Aubenas..... http://www.repubblica.it/2005/c/video/sezi...tafrancese.html
  25. Entrée en vigueur du traité mondial anti-tabac GENEVE (AP) - La convention anti-tabac de l'Organisation mondiale de la santé (OMS) est entrée en vigueur dimanche, alors que le tabac provoque la mort d'environ cinq millions de personnes chaque année. Des estimations montrent que le nombre des décès prématurés liés au tabac atteindra dix millions par an d'ici 2020, si la tendance actuelle se maintient, selon l'OMS. On estime à 1,3 milliard le nombre de fumeurs dans le monde. Des études montrent que le taux de fumeurs des adolescents de 13 à 15 ans est d'environ 20%. La convention comporte notamment des dispositions fixant des normes internationales sur les prix du tabac et l'augmentation des taxes sur le tabac, sur la publicité, l'étiquetage, le commerce illicite du tabac et le tabagisme passif. Des 168 pays qui ont signé cet accord, seuls 57, soit une population de 2,3 milliards de personnes, l'ont aujourd'hui ratifié. «J'encourage tous les Etats à devenir parties de la convention et à appliquer l'éventail des mesures qui rendront le tabagisme de moins en moins attrayant. On pourra ainsi sauver des millions de vies, résultat qui sera le vrai succès de la convention», souligne le directeur général de l'OMS, le Dr Lee Jong-Wook. Les pays ayant ratifié le texte doivent inscrire ses dispositions légales dans leurs législations et règlementations nationales. A compter de la date d'entrée en vigueur de la convention dans un pays, celui-ci a par exemple trois ans pour «prendre les mesures garantissant la présence de mises en garde sanitaires sur le conditionnement des produits du tabac ou cinq ans pour interdire complètement la publicité, la promotion du tabac et les activités de parrainage», précise l'OMS. L'ancien chef de la lutte anti-tabac au sein de l'organisation, le Dr Derek Yach, a regretté certaines lacunes dans la convention. «Le seul moyen d'avoir un impact rapide sur les victimes du tabac est d'accentuer les efforts pour arrêter et de les combiner avec des politiques d'interdiction de fumer», a-t-il expliqué à l'Associated Press. «Mais, les termes (de la convention) sont assez faibles sur ces questions».
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