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mat31

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Messages posté(e)s par mat31

  1. D'ailleur les critique ne s'y trompe pas:

    Kill Bill : volume 2

    Film américain (2003). Action, Karaté. Durée : 2h 15mn. Interdit aux moins de 12 ans

    Date de sortie : 17 Mai 2004

    Avec Uma Thurman, David Carradine, Michael Madsen, Daryl Hannah, Gordon Liu Plus...

    Réalisé par Quentin Tarantino

    Presse

    L'avis de la presse--------------------------------------------------------------------------------

    Zurban - Véronique Le Bris

    Cette suite manie avec un talent inégalé les références au western spaghetti, aux arts martiaux chinois et les explications psychologiques. Le tout dégage une forte émotion. On en rêvait. Quentin l'a fait, il signe ici l'un, sinon le meilleur, de ses films.

    Télérama - François Gorin

    Les ellipses, les incises, les parenthèses reposent (...) sur un mécanisme d'horlogerie impeccable. C'est précis, minutieux, millimétré. Tarantino est bien l'héritier des Billy Wilder et Joseph L. Mankiewicz.

    L'Ecran Fantastique - Paul Fries

    Au finish, un Tarantino de grand cru -l'un des moments de cinéma pulp les plus délirants et enthousiasmants que l'on ait jamais vu sur grand écran!

    Figaroscope - Emmanuèle Frois

    Kill Bill volume II est tout à la fois une grande et tragique histoire d'amour avec, en toile de fond, un hommage aux arts martiaux chinois, aux westerns spaghetti, aux films noirs des années 40 et un clin d'oeil aux films d'horreur. Tarantinesque à mort !

    Les Inrockuptibles - Serge Kaganski

    (...)Tarantino manie moins le sabre et un peu plus les dialogues, tout aussi tranchants, pour dénouer le roman familial. (...) C'est ça Kill Bill : (...) une belle tranche de gâteau, comme disait Hitchcock, avec des colorants et des conservateurs, mais aussi la totale, glace, coulis et chantilly par-dessus, et dedans plein de morceaux qu'on aime et qu'on reconnait. (...) Allez-y, gavez-vous.

    Le Figaro - La rédaction

    Une grande et tragique histoire d'amour avec, en toile de fond, un hommage aux arts martiaux, au western spaghetti et aux films noirs des années 40. Brillantissime.

    Première - Nicolas Schaller

    Une oeuvre aussi majestueuse que personnelle (...) Kill Bill apparaît comme l'autobiographie fantasmée d'un romantique monomaniaque. Tarantino ne peut désormais plus fuir sa vraie nature (et sa raison de vivre) : celle de Superman des cinéastes.

    Studio - Patrick Fabre

    Tarantino nous assène le "coup de grâce" (comme il est dit deux fois dans ce second volet), en jouant merveilleusement sur l'émotion. Après le sang, les larmes. Qui l'eût cru? Encore une fois, Tarantino nous a eus. En beauté. Et déjà on compte les jours qui nous séparent de son prochain film.

    Chronic'art - Vincent Malausa

    Kill Bill (vol 2) n'est en rien le film d'une soumission à la toute-puissance du passé. En son arène immobile et silencieuse -gymnase et jardin multicolore dans le premier, living-home ou désert mythique ici-, plutôt la confirmation en forme de chef-d'oeuvre apaisé d'une redéfinition totale de l'espace du cinéma de genre moderne.

    Le Monde - Florence Colombani

    Sans suspense, sans étude de caractère, avec cet argument si mince, que reste-t-il ? Le meilleur, c'est-à-dire un jeu délectable, complice, entre le cinéaste et le spectateur.

    Fluctuat.net - Agathe Moroval

    Par rapport au Vol. 1, le Vol. 2 est donc plus bavard et moins musclé (les duels remplacent les grands massacres), plus long, plus narratif et moins novateur. Mais on retrouve avec délectation une marque de fabrique : cette b.o. hallucinante (chapeau à RZA), et ce sens de l'humour qui traverse toutes les séquences.

    Ciné Obs - Olivier Bonnard

    Les personnages titubent légérement sous le poids de l'armure mythologique que le cinéaste leur fait endosser, mais il s'en faut de peu que celui-ci nous livre le chef d'oeuvre qu'il entendait réaliser.

    Aden - La rédaction

    (...) Quand le premier volume jouait de la vitesse et de la fulgurance, le second mise sur l'attente, l'étirement et la tension qui grimpe dans un suspense plus silencieux. (...)Tarantino joue sur l'attente, l'observation, l'apprentissage. Qui, à chaque fois, dévoile la vraie nature des héros : avidité, orgueil, jalousie...

    M. Cinéma - Hugo de Saint Phalle

    Quentin Tarantino frappe encore un grand coup, aussi puissant et précis qu'une bonne raclée de la Mariée. Le cinéaste cinéphile en a gardé sous la pédale et boucle le tout de façon magistrale. Moins survolté que le premier opus, KILL BILL VOLUME 2 reste tout aussi culotté et réussi.

    Ciné Live - Marc Toullec

    Le changement dans la continuité, soit une suite à la fois portée sur le vague à l'âme de ses protagonistes et les courbettes cinéphiliques. Les tueurs ont désormais du coeur chez Tarantino.

    Le Figaro - Dominique Borde

    (...) on s'attend à retrouver la fulgurance et le déchaînement esthétique et on a droit à un récit fragmenté entrecoupé de trois séquences brèves et violentes (...) Alors déçu ? Un peu. On se console du bavardage et de la (relative) passivité du volume 2 en repensant au volume 1 que rien ne vous empêche de revoir avant ou après.

    Le Point - François-Guillaume Lorrain

    Après un KB1 mutique, Tarantino renoue donc avec ses parties de ping-pong verbal. Mais c'est un ping-pong décomposé, joué au ralenti, où le cinéaste pose au maître zen qui contrôle sa violence pour mieux nous donner sa leçon (de cinéma). Pédanterie ? Sans nul doute. Mais Tarantino est assez malin et cinéphile pour pratiquer tous azimuts la parodie et s'assurer ainsi la connivence admirative du spectateur

    Cahiers du cinéma - Antoine Thirion

    Si la découpe du film ne trahit pas tout à fait les intentions de Tarantino, elle permet de vendre sans vergogne le film deux fois. Est-ce grave? Oui car le film tend à disposer côte à côte, comme célibataires, ses épaisseurs. Pareille opération réduit le film au commerce clos des références, et Tarantino à la petite logique du genre. (...) Mieux on parvient à regarder le volume 2 en ayant le 1 en mémoire, mieux il apparaît combien Tarantino excelle à ce que le cinéma lui offre de plus pauvre: l'art patient de dialogues où l'attention s'éparpille et les centres se dipersent.

    Moi c'est sur je veux voir la fin :grin::kiss:

  2. Putain je re déprime mais grave apres hier le match , aujourd'hui mon epreuve du bts.

    Putain il y a des jours desfois  :wacko:  :cry:  :(  :kiss:  :cry:  :cry:  :cry:  :cry:

    @ Ouaich31 :C'est pas grave ouaich31 tu est dans une phase appellé hypotantuelle ;)

    Bref calme toi et tout ira mieux mais ne dit pas de vilain mot je te pris

    @ Badhoney : Désolé peut plus rien faire tu est irrecuperable puisque tu va boire un coup sur la lune, donc a ta santé et si tu rencontre tintin fait moi signe :P

  3. C'est clair qu'il apportais beaucoup et son absence prolongé ainsi que l'ncapacité du tef a marque va peut etre amené Eric Mombaerts a changer de schema tactique ou sinon Aubey reviendra a gauche et lievre dans l'axe mais lievre c'est pas la secu dans l'axe :D

  4. Ouais mais en fait je suis dans un cruel dilemme car j'ai passé mon BTS blanc sans rien bosser et j'ai reussi a l'avoir et la y'a probleme :

    - Soit je bosse et logiquement je doit l'avoir tranquille

    - Soit je bosse et je l'ai alors je regretterai de pas avoir bosser mais il peut se produire que je le chit et le je suis deg donc finalement je vais bosser du moins un peu :clapping:

  5. Super X :lol2:

    Moi non plus je comprend pas E.M a ce niveau là, je n'ai rien contre avezac mais hier il a été en dessous de tout et je pense que Didot aurait plus apporté que lui.

    Apres moi je nous vois en L2 l'année prochaine avec un match d'un pietre niveau mais le tef la dej montre il sont capable de mieux joué donc j'espere un regain de forme et surtout une agressivité retrouvé car hier elle a manqué cruellement.

    Vivement la fin du championnat comme ca j'arreterai de me prendre la tete pour cette equipe que j'adore :wacko:

  6. En parlant d'anim japonaise, quelqu'un a t'il vu le tombeau des lucioles???

    Ca c'est le chef d'oeuvre en puissance, magnifique, emmouvant, toute les qualité d'une excellente histoire, bref pour ceux qui l'ont pas vu, un conseil courer chez votre loueur de dvd car malgrés qu'il doit de 92 je crois vous en reviendre pas :diable:

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