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BXSport

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Tout ce qui a été posté par BXSport

  1. il aurait pas pris un peu de ventre l'ami ? S'il est allé en Turquie, c'est assez sûr qu'il a gouté quelques kebab
  2. Bon ça devrait plus trop tarder http://www.lemonde.fr/politique/article/2015/12/10/jacques-chirac-hospitalise-pour-un-bilan-de-sante_4828852_823448.html Je pense que le seul truc qui le maintien en vie est l'espoir de crever après Giscard
  3. http://forum.doctissimo.fr/nutrition/alimentation-sante/manger-soir-sport-sujet_160556_1.htm Je sais pas qui est cet ex-joueur mais ça ma fait rire : profil à la ribery peut être Grigore ? aujourd'hui il doit galérer pour récupérer son passeport
  4. On a qu'à prendre Pancho Abardonado comme ça on finira brutal et revanchard
  5. En mauvais termes avec Baup à cause de la rumeur Barthez, si je me souviens bien ! Et Stéphane Lièvre ?
  6. C'est pas gégé non plus Et si on faisait revenir Jacquo Santini ?
  7. Merci pour ce moment Mauro Maintenant nous allons pouvoir te prêter au club à qui nous t'avons acheté
  8. Merci pour ce moment, mais là, je crois qu'on en a trop vu
  9. Quoi il aurait été payé ? Quel scandale ...
  10. Ca ne daterait pas de l'époque de son transfert ? Il me semble qu'à l'époque le tef s'était engagé à payer les mois de retard en contrepartie d'une baisse du montant du transfert ... Mais ma mémoire chancèle
  11. Il est en progrès notable ... une blessure qui nécessite moins de 6 mois d'arrêt, c'est à saluer Bravo Mihai
  12. J'avais vu le 2ème tome L'hiver du monde mais pas le 3ème ? Je vais quand même attendre un peu avant de m'y remettre
  13. Pendant mes congés je me suis fait La Chute des géants de Ken Follet Même si je trouve le style romanesque parfois un peu trop omniprésent par rapport aux faits historiques (les multiples histoires de cul notamment), j'ai quand même dévoré la bête + de 1000 pages en moins de 2 semaines.
  14. Eh je précise que je déconnais pour ma part
  15. Y a 2 solutions C'est soit Rachedi qui a engagé la société de transport qui lui vendu du camion plateau au prix du camion frigo. Soit c'est Sadran qui a revendu la bonne pelouse pour en acheter une pourrie et pour s'en foutre plein les poches
  16. Passe décisive pour lui sur cpa ce soir
  17. http://www.lequipe.fr/Football/Actualites/Une-photo-d-une-joueuse-de-brondby-scandalise-le-danemark/568001
  18. j'y vais pas assez souvent mais comme le pain est bon et cher on peut estimer que la probabilité de trouver dans cette boulangerie de la milf bobo des campagnes est assez élevée.
  19. On peut même préciser que ce sont d'ailleurs les anciens locaux de la boucherie Gontier, dont pour la petite histoire l'épouse s'était fait piquer des camions à sandwichs. c'est effectivement une très bonne boulangerie.
  20. entre le rond point de la ramière à ambres et l'entrée de l'A68 tu veux dire (histoire d'être un peu plus précis quand même)
  21. N'avaient ils pas décidé de créer des bancs de touche à l'anglaise dans les premières rangées de tribune après sondage du TFC et du Stade ?
  22. En partance vers l'Angleterre selon l'équipe du jour, Everton serait une piste probable Belle progression si cela se confirme
  23. BXSport

    Jean-Luc Sassus

    Pauvre père ...
  24. comme l'équipe abonné est en portes ouvertes, voici l'article qui était paru le 2 mai sur Domi Toulouse a fait de lui un entraîneur, moins par vocation que par envie de sauver son club de coeur. En cinq journées, Dominique Arribagé a déjà imposé sa griffe sans faire de révolution. Le choix d'un homme plus que d'une méthode. Il se voulait sauveur, alors il s’est fait entraîneur. Drôle de démarche, folle démarche, peut-être, que celle de Dominique Arribagé, arrivé sur le banc de Toulouse il y a cinq semaines, plus par dévouement que par vocation. «Il est tellement attaché à son club, raconte un de ses meilleurs amis, l’entraîneur de Sochaux Olivier Echouafni. C’est de l’amour, vraiment. Il sait très bien qu’il peut y avoir de très gros soucis, que des gens peuvent se retrouver au chômage, alors il s’est dit : ‘’J’y vais’’.» Parce que ce métier, il ne voulait jusqu’alors pas en entendre parler. «Quand j’ai arrêté ma carrière de joueur, j’ai enchaîné les diplômes d’entraîneur jusqu’au deuxième degré. Vocation ou pas, je n’en sais rien, confie le principal intéressé. J’ai ensuite fait un point en me disant que jamais je ne ferais ce métier de dingue. Mais la situation d’urgence qu’on connaissait m’a poussé : il fallait que je le fasse. Parce que c’est mon club, que je l’aime, et qu’il fallait le sauver.» Un impératif kantien, en somme, avec lequel il compose plutôt bien (trois victoires et un nul lors de ses cinq premières sorties sur le banc). Pour l’instant. L’histoire d’Arribagé au TFC, qui se déplace dimanche à Monaco (17h00), c’est la preuve que l’occasion fait bien le larron, même dans le milieu du ballon : «A l’époque, je n’avais pas forcément envie de m’engager là-dedans de par ma situation familiale : mes enfants, ma femme (1er adjointe du maire de Toulouse), notre équilibre à Toulouse… Ce métier demande d’aller deux ans à Strasbourg, deux ans à Guingamp… Bouger, je n’y aspirais pas forcément dans un premier temps. Après, la situation a fait que j’ai dû y aller. Mais bon, je me régale hein ! » (Rires.) Cet aspect-là de sa prise de fonction dit beaucoup, en filigrane, de ce qu’il a apporté au club depuis sa mise au banc. Dos au mur vu la situation comptable au classement, le président Olivier Sadran n’a en effet pas choisi un technicien aguerri pour relever les Violets. Il a pris un homme du club, qui y a joué 10 saisons durant, et y a rebondi comme recruteur : l’urgence nécessitait une adaptation rapide. «On le voyait déjà au quotidien, on avait de bons rapports avec lui,explique le défenseur des Violets Marcel Tisserand. Comme il était recruteur, il était amené à venir nous voir sur d’autres stades. Il était assez souvent présent aux entraînements, il venait toujours nous dire bonjour dans le vestiaire. Tout s’est enchaîné naturellement et il a rapidement pu mettre son système en place.» Une proximité qui fait partie intégrante du nouveau projet toulousain. Question méthode, Dominique Arribagé admet que la sienne n’a «rien de révolutionnaire. Souvent, quand on change d’entraîneur, on veut bouleverser les habitudes, même si les précédentes sont bonnes. Il faut remettre les joueurs dans un état psychologique différent, où tout le monde repart à zéro mais il n’y a pas de nouvelle méthode.» Les joueurs confirment, d’ailleurs. Bien sûr, cela n’exclut pas une part d’inédit : une séance de boxe collective pendant la trêve internationale - «enrichissante car vraiment ascétique : pendant une heure et demie, les gars ont transpiré, mais cela leur a également amené une dimension de guerriers» -, des entraînements avancés d’une heure - «L’idée était de les faire bénéficier de plus de temps pour travailler de façon individuelle (la musculation, les soins) et qu’ils restent plus longtemps dans l’enceinte du club» - et ouverts au public - «Je n’ai pas grand-chose à cacher. Je m’occupe surtout de nous, dans ma philosophie de jeu, plutôt que de l’adversaire. On fait tout de même une séance à huis-clos la veille du match, et on essaie de la faire dans le Stadium pour y trouver de la concentration, des repères, et une atmosphère de match particulière.» BIENVENUE AU 4-4-2 EN LOSANGE Non, c’est plutôt dans le jeu qu’il y a eu bouleversement, même si le principal intéressé se défend de tout dogmatisme en la matière. «Le plus urgent dans cette situation-là était de mettre en place un système, et tous les principes de jeu inhérents, explique Dominique Arribagé. Il y avait très peu de jours pour y arriver donc on a multiplié les moyens : du terrain, de la vidéo, des entretiens individuels et collectifs par lignes. Il fallait que ce que je leur demande soit intégré le plus vite possible. Les joueurs ont été très réceptifs, demandeurs, travailleurs et dynamiques.» Bienvenue donc au 4-4-2 en losange, en rupture avec les 3-5-2, 4-1-4-1 ou 4-2-3-1 de son prédécesseur. «Le 4-4-2 en losange n’est pas une idée immuable. Par rapport à la qualité individuelle, il est le système qui leur convient le mieux pour s’exprimer. Déjà, comme il fallait qu’on gagne des matches, il me fallait deux attaquants. Ensuite, on n’a plus trop de milieux excentrés au club, de par le fait qu’on jouait beaucoup en 3-5-2. Du coup, le 4-4-2 à plat ou le 4-2-3-1 était des systèmes qui ne collaient pas à la qualité des joueurs. Ils me forçaient à mettre en position de milieux excentrés des joueurs par défaut.» Certains joueurs retrouvent ainsi leurs marques sur le terrain : «Jean-Daniel Akpa Akpro est revenu à son poste de prédilection de milieu relayeur et il montre enfin toutes ses qualités. Il tire l’équipe vers le haut, se félicite Marcel Tisserand. Steve Yago revient dans le groupe, un joueur formé ici, qui connaît le club par coeur … On peut repartir sur de bonnes bases.» Parfois relégué sur le flanc gauche par Alain Casanova, Martin Braithwaite repique dans l’axe pour le plus grand bonheur de ses stats (impliqué dans deux buts lors de ses deux derniers matches en Ligue 1). Là encore, le changement de système dit beaucoup de la personnalité de celui qui l’opère. Créer du lien, ou plutôt le re-créer : «J’ai essayé de remettre de la solidarité dans le groupe. Quand un club est dans la difficulté, les joueurs commettent souvent l’erreur de se réfugier dans leur coin, et de jouer la carte individuelle pour sauver leur peau. Il fallait leur redonner le goût de l’effort collectif : défendre ensemble, attaquer ensemble, communiquer … » L’écoute, l’échange permanent, avec les différentes composantes de son staff, notamment ses adjoints Mickaël Debève et Teddy Richert. En privé, les petites remarques de sa femme, diplômée en communication, qui le reprend parfois sur le contenu de ses conférences de presse ou ses déclarations en interview :«J’élargis le champ de compétences : je vais en chercher partout.» Partout, jusque dans son effectif : Dominique Arribagé écoute en effet beaucoup ses joueurs, leurs desideratas et leurs suggestions. «Alain Casanova exprimait toujours ses idées avec les joueurs en individuel. Dominique, lui, nous laisse plus prendre nos décisions, on se sent plus autonome avec lui, explique Marcel Tisserand. Il nous laisse prendre nos responsabilités, mais il sait recadrer quand il faut. C’est plus léger dans la gestion de groupe.» Plus jeune, plus accessible, plus looké, le nouveau coach du TFC se veut proche de son effectif : «Il n’y a pas de froid quand il arrive dans le vestiaire, poursuit Marcel Tisserand.On ne se dit pas ‘’Ah, attention, y’a le coach qui arrive’’… Bien sûr on le respecte, mais on est assez proche de lui. Avec lui, tout le monde est important, personne n’est rejeté.» Le vestige, sans doute de ses années de capitanat, en Haute-Garonne comme en Bretagne. De quoi accréditer la thèse que les ex-porteurs de brassard n’échappent pas à un destin d’entraîneur ? «Il est très carré, très méticuleux, il a le souci du détail et de l’exigence, note Olivier Echouafni. C’est un meneur, il fédère. Il sait parler à un groupe. Il trouvait le mot, la phrase pour motiver, quand il était joueur. Il l’a en lui.» De ses années de joueur, Dominique Arribagé dit garder les souvenirs de Rolland Courbis, pour son sens tactique et sa gestion de groupe, mais aussi de Paul Le Guen, «qui se servait beaucoup de son expérience de joueur pour entraîner.» Des «pros du métier», dont Dominique Arribagé ne se voit pas forcément suivre la voie, même s’il s’est fait à l’idée de devoir bientôt trouver un peu de temps pour aller passer l’inévitable BEPF : «Vous savez, quand j’ai accepté le poste, je me suis dit : ‘’Et si tu le prends, et que tu ne gagnes pas un match, tu as l’air malin !’’ Il ne fallait pas que je sois fanny, alors j’étais très content de gagner mon premier match. On se lance dans une aventure sans aucune certitude. Je sais que l’effet psychologique compte au début, et qu’il faut s’en servir, car cela offre une remise à égalité pour tout le monde. Après, la part de travail, c’est surtout à ça que je crois. Ça fait vite pschitt sinon.» Et si tel est le cas, alors Dominique Arribagé se laisse le temps de venir voir les choses. «Il a pris ce challenge sans trop se poser de question, analyse son ami Echouafni. Il aime sa ville, il aime son club, il a besoin de son équilibre familial. Pour l’instant, il ne faut pas aller voir trop loin. Sur le court terme, il n’a que sauver le club en tête.» Venu au métier pour sauver son club, il pourrait en repartir quand sa ville n’aura plus besoin de lui, comprend-on à demi-mot. «Dans votre vie, vous ne pourriez entraîner qu’à Toulouse ?» On demande pour vérifier, pas vraiment sûre. Le «oui» reçu en retour n’a souffert, lui, aucune hésitation.
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