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Tout ce qui a été posté par bibi31
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Salut, quelqu'un a vu le dernier Tim Burton? Je compte y aller demain.
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Le truc dont tout le monde se branle...
bibi31 a répondu à un ClarkGaybeul de bibi31 dans Le Bistrot
non, ma boite n'est pas assuree bris de glace. ouais c'est bizare. -
Le truc dont tout le monde se branle...
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120 euros chez carglass pour injecter une resine dans mon pare brise... je pensais que j'en aurais pour maxi 20euros... -
Salut depuis le temps. Je suis en congés
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Pour rebondir sur ce que tu dis, il me semble que quand on obtient le statut d'auto-entrepreneur, on est taxé sur le chiffre d'affaire et non sur les bénéfices. Quelqu'un peut confirmer?
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non, je me vois mal poncer et reprendre une peinture sur une voiture.
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Je vais peut être acheter une nouvelle voiture tout compte fait :ninja:
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qui s'y connait en peinture de voiture?
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Tiens, j'ai réparé la pompe du lave glace de ma voiture (J'ai changé un fusible) -
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de rien -
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mp -
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Je viens de créer mon compte facebook ! -
c'est vrai
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Zoé Felix Uploaded with ImageShack.us
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Bah non, mais j'annonce un but de Moreira sur un contre rondement mené par Emana. -
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Bon, ok, je suis démasqué En fait, c'est Gignac qui a marqué -
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Je suis le plus serieux du monde. Je reviendrai poster pour le doublé de Braaten -
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Le tef a marqué un but -
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Je viens de faire une sieste de 2h30 -
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La cassonade (en poudre?), tu t'en sers pour faire des gateaux? -
Perso, mes jeux cultes qui on bercés ma jeunesse: Sam and max (hit the road) : excellentissime (jeu sur 2 disquette de PC il me semble...) Under a killing moon Beneath a steel sky Worms, lemmings
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Le truc dont tout le monde se branle...
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A ce rythme là, on devrait avoir 27 buts durant ce PSG/Auxerre -
Le truc dont tout le monde se branle...
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Je viens de faire des muffins -
Des nouvelles de Prunier sur Football365.fr foot365 William Prunier, que faites-vous actuellement ? Je suis entraîneur dans un club de la banlieue toulousaine qui s'appelle Cugnaux et qui joue en Division d'Honneur. J'ai commencé depuis trois mois. On m'a fait la proposition de revenir entraîner en banlieue toulousaine, même si j'avais d'autres choix. Ça me permet de revenir dans la région. Parce que j'étais reparti sur Auxerre après voir entraîné Cannes avec Stéphane Paille. J'étais retourné sur Auxerre pour voir comment se déroulait la formation. J'ai aussi un pied-à-terre là-bas où je passe pas mal de temps. Devenir entraîneur, est-ce une reconversion à laquelle vous pensiez lorsque vous étiez joueur ? Non pas du tout. J'ai arrêté ma carrière en 2004. J'ai eu des opportunités, même à 37 ans, de jouer encore en National. Mais je me suis dit qu'il était temps d'arrêter. Après une carrière de vingt années pleines et à peu près 400 matchs en L1, j'ai dit stop. Comme j'étais un ancien joueur international, la Fédération m'a contacté par le biais du DTN et j'ai dit banco. J'ai commencé ma formation à Clairefontaine où j'ai eu mon premier puis mon deuxième degré du diplôme d'entraîneur. Ça m'a pris trois années. C'est une occupation qui m'a permis de rester dans le milieu du football et de voir pas mal de matchs. Souhaitiez-vous restez dans le milieu du football ? On dit toujours qu'il faut prévoir l'après-carrière mais on ne sait pas comment ça va se dérouler. En fin de compte, j'ai eu l'opportunité de rester. J'ai sauté sur l'occasion. Quand j'étais joueur, je me disais qu'il faudrait que je fasse autre chose. Même si je me suis occupé des affaires personnelles, j'ai toujours eu les deux pieds dans le football. Vous reconnait-on sur les bords des terrains de DH ? J'ai la chance d'avoir un physique assez particulier (rires). Beaucoup de gens me reconnaissent, surtout dans les villes où j'ai joué. Cette reconversion vous a-t-elle permis de ne pas couper trop brutalement après vingt ans de carrière ? J'ai des amis que j'ai côtoyés durant ma carrière qui ont de grosses difficultés en ce moment. Ils ont du mal à se retrouver en dehors du milieu du football. Ils ne sont pas bien dans leur peau. Il y a un moment difficile quand tout s'arrête. On tombe dans la vie normale, dans la vie de tous les jours. C'est vrai qu'on est assisté. On nous aide pour qu'on soit le mieux possible. Dès qu'on arrête, on a plus cet entourage. C'est là qu'il faut être costaud, il faut avoir une force mentale extraordinaire. C'est très compliqué. Heureusement qu'il y a l'appui de la famille. J'ai ressenti le blues mais j'ai été plus fort que ça. On a la reconnaissance de la presse, on est toujours sollicité. Il faut être plus fort que ça et passer à autre chose. Votre passage à Toulouse restera-t-il comme le meilleur souvenir avec votre épopée de deux remontées ? Sans hésiter, c'est le meilleur souvenir. J'ai vécu des moments fabuleux avec des jeunes joueurs mais aussi avec des anciens de ma génération. C'est quelque chose que je n'avais pas ressenti dans les clubs dans lesquels j'ai joué auparavant. Ça a été une aventure humaine, c'est ça qui a fait la différence. J'ai eu de bonnes aventures dans les clubs mais cette aventure a été spéciale parce qu'il a fallu s'accrocher et se battre. J'ai vécu des moments fabuleux. Le président (ndlr : Olivier Sadran) m'a demandé de rester. J'ai fait des efforts énormes sur le plan financier mais aussi sportivement parce que j'étais un joueur de Ligue 1 et je me retrouve en National avec des jeunes joueurs. On a connu deux remontées, on ne peut pas oublier un moment comme ça de sa carrière. Êtes-vous toujours en contact avec le club ? Oui parce que j'y suis resté cinq ans. Mais je ne l'ai pas quitté en très bons termes parce que ce club avait perdu les valeurs que nous avions lors de cette épopée. Je suis revenu dans la banlieue toulousaine dans un club de Division d'Honneur alors que j'avais des propositions de club de Ligue 2 pour être adjoint. Je veux retrouver des valeurs proches du monde amateur. Je viens me ressourcer. Vous privilégiez l'aspect humain plus que celui professionnel Exactement. J'ai quand même l'ambition de retourner dans le monde professionnel. Je pense qu'il y a des passages obligés. Quand j'étais joueur, je suis allé jouer en Belgique ou au Danemark pour me ressourcer et repartir avec une grande force mentale. J'ai choisi un club de DH pour retrouver les valeurs perdues dans le football professionnel. Je viens rechercher ces valeurs pour les montrer au milieu professionnel. On parle toujours d'argent. Je ne suis pas venu en DH pour l'argent. J'aurais gagné beaucoup plus en L2. Que retenez-vous de votre carrière ? Tout ce que j'ai voulu, je l'ai touché. J'ai connu des grands clubs français, étrangers et j'ai été international. Même si ça été sur des courtes durées. J'ai été formé à Auxerre, j'ai joué à Marseille, Bordeaux, Montpellier et Toulouse. A l'étranger, j'ai joué au Danemark, en Italie à Naples, à Manchester United pendant deux mois. Je suis allé cinq fois en équipe de France. J'ai joué un match contre un club anglais qui ne compte pas en sélection et ma seule sélection inscrite sur mon CV, c'est contre le Brésil quand même. J'ai touché à tout ce que je voulais. Je n'ai pas touché la lune mais j'ai touché les toiles. Avez-vous des regrets ? Notamment en équipe de France avec une seule sélection ? Oui, j'ai des regrets là-dessus. C'est par rapport à mon tempérament et à mon caractère. Je n'ai pas eu le coup de pouce par la presse. C'est ça qui m'a manqué. Je n'ai pas eu ce coup de pouce pour y rester. Pour être sélectionné avant, il fallait avoir au moins 100 matchs en Ligue 1. Maintenant, il y en a qui ont trente matchs en Ligue 1 et qui sont sélectionnés.