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bid

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Messages posté(e)s par bid

  1. Pour ma part, j'avais cru comprendre que le "club de coeur" (© Fiofio) d'André-Pierre Gignac c'est l'OM. Je ne l'ai de plus jamais vu embrasser l'écusson du TFC. Je l'ai juste entendu dire qu'il se sentait bien ici et qu'il y avait une bonne ambiance ce qu'il l'avait amené à prolongé "avec le coeur".

    Il l'a fait à Marseille lors de son doublé justement :rolleyes:

  2. Pour l'avoir vu jouer ou s'entraîner assez souvent, je n'ai qu'un conseil à lui donner :

    "Sors toi les doigts du cul!".

    Effectivement, il a l'air d'être trop réservé, trop coincé, il ne se lâche pas assez. Il se met la pression tout seul en fait. Soyons patient et je suis sûr qu'il montrera autre chose.

  3. J'ai jamais entendu Hamel gueuler non plus. Je sais pas ce que certains lui reprochent. (A moins qu'il soit vraiment mauvais avec la CFA2 :grin: )

    Non mais disons qu'Hamel est venu en tant que numéro 2 et que maintenant il est numéro 3. On peut donc trouver "un peu juste" le fait d'avoir blondel en 2 (alors qu'a la base il était prévu en 3).

  4. Je pense que si Carasso est déterminé à partir il y arrivera sans trop difficulté. Carasso c'est pas Mathieu et on verra comment Sadran arrivera à gérer la situation mais je pense que ça sera beaucoup plus dur pour Sadran et que ça sera une nouvelle expérience pour notre président. Il n'a jamais eu à gérer les velléités de départ d'un joueur tel que Carasso...

    Elmander ?

  5. Il est ambitieux et vise une place de titulaire en EDF et je trouve ça normal de viser très haut. J'espère que Casa ne regrettera pas de l'avoir autant encensé :P

    J'espère qu'il restera car ici il pourrait tout de même conserver sa place dans le groupe France. En tout cas, vue son ambition, si on veut le conserver, on va devoir lui donner des garanties sur la compétitivité de l'équipe la saison prochaine.

    Il y a tout pour que le TFC devienne un grand club et je prends un plaisir fou à vivre ici, avec des gens, une vie et une ville qui me ressemblent.
  6. "J'ai signé un contrat de quatre ans mais on ne sait jamais ce qui peut se passer. Les intersaisons sont souvent compliquées. Je ne suis pas un mercenaire du football. Je l'ai prouvé dans le passé à Rennes. Cela ne veut pas dire que je ne connaitrai pas d'autres clubs avant la fin de ma carrière. J'aime bien m'inscrire dans des projets sportifs mais si je sens que je ne peux plus progresser dans ce cadre-là, comme ce fut le cas à Rennes, j'irais voir ailleurs. Je ne suis pas buté. Je ferai ce qui est bon pour moi." (Source : Le Foot Toulouse)

    http://www.alleztfc.com/actu/mercato-Didot...rrasso,295.html

    Ça sent les négociations salariales Ah! ah!.

  7. Foot - L1 - Lyon - Juninho suspendu à Toulouse

    Auteur de son 99e but avec l'OL à Marseille (3-1), Juninho a fêté cela en enlevant son maillot. Sous la menace d'une suspension en cas de nouveau carton jaune, il n'avait pas été averti pour ce geste par l'arbitre de la rencontre. Finalement, le rapport de la LFP fait état d'un avertissement donné a posteriori. Le milieu brésilien de l'OL sera donc suspendu pour le dernier match de la saison à Toulouse. S'il décide de partir de Lyon, il jouera donc son tout dernier match avec l'OL la semaine prochaine face à Caen à Gerland.

    http://www.lequipe.fr/Football/breves2009/...a-toulouse.html

    Le carton trop fait exprès Ah! ah!. Il est très intelligent ce Juni, ce retrait de maillot est à coup sûr préméditié.

  8. Je ne suis pas convaincu de son apport la saison prochaine dans la mesure où m'bengue jouera latéral et que Mathieu n'est pas fait pour jouer ailier gauche (ne sait pas marquer ni dribbler).

    Pour moi il peut partir.

  9. Avec Braaten et Didot on avait quand même 2 joueurs qui arrivaient à garder le ballon. Impossible de dire qu'on aurait pas perdu mais on aurait mis plus de chances de notre côté.

    Allez c'est pas grave va, c'est peut-être la première fois que son coaching nous fait perdre des points !

  10. Le truc c'est que Grenoble est vraiment une équipe à chier. Et arriver à perdre contre eux sans se procurer de grosse occase et les mettre en difficultés bein ça le fout mal je trouve.

    Alors Casa a joué un coup en laissant congre Braaten et Didot sur le banc (pour préparer la venue de guingamp) mais il faut bien constater qu'il s'est planté. Perso je lui en veut pas, il mérite mon plus grand respect pour ce qu'il fait depuis le début de saison (excellent management).

    Ceux qui croyaient au titre doivent être déçus :unsure: mais notre objectif, par rapport à nos moyens est le mini championnat entre Rennes, Paris, Lille et nous pour les 4eme et 5eme (bdx va gagner le CDL) places qualificatives pour l'UEFA, compétition qui nous suffit pour le moment.

    Regardons la lutte à 3 (LMB) pour le titre depuis le bas du podium, et espérons faire un déplacement historique à Saint-Denis.

  11. Et pas que la saison dernière...

    Je crois qu'on avait démontré que c'était faux. C'est juste une impression mais si on regarde bien on s'aperçoit qu'on en parle beaucoup avant un match mais que ça arrive peu.

  12. le jeune Ouasfane semble être bien parti pour tenir ce rôle :ninja:

    quannt au poste de milieu off' gauche, c'est à mon sens effectivement le seul poste à pourvoir qualitativement dans notre effectif actuel (si départ de mathieu bien entendu)

    Il a plus le gabarit pour jouer dans l'axe tout de même ...

  13. Foot - L1 - TFC - Carrasso : «Un mois charnière»

    Après dix jours passés en Bleu, Cédric Carrasso s'apprête à vivre une fin de saison passionnante avec le TFC. «Elle ne le sera que si on arrive à passer correctement le mois d'avril», nuance le numéro trois dans la hiérarchie des gardiens de l'équipe de France. Toujours en lice en Coupe de France où une demi-finale l'attend contre Guigamp, le TFC est également à la lutte pour le titre, à seulement quatre points de l'Olympique Lyonnais. L'ancien Marseillais ne se dit «pas surpris». Il vante les qualités d'un groupe «jeune et mature», avant d'adresser quelques pensées au Rennais Jimmy Briand, gravement blessé dans un contact avec lui lors du rassemblement à Clairefontaine. «C'est une histoire qui m'a réveillé plus d'une nuit». Entretien.

    «Cédric Carrasso, Toulouse ne compte que quatre points de retard sur Lyon à neuf journées de la fin. Vous prenez-vous à rêver ?

    Non, pas à rêver. On attend d'abord de voir ce qui va se passer en avril. C'est un mois charnière qui va conditionner notre fin de Championnat. Pour beaucoup, le calendrier qui arrive nous est plutôt favorable, mais je ne suis pas d'accord avec ce terme. On va jouer contre des mal classés qui luttent pour leur survie. Ça ne sera pas évident. Il va falloir confirmer.

    Depuis le début de la saison, personne à Toulouse n'a jamais annoncé un objectif clair et défini. Ça sera comme ça jusqu'au bout ?

    A chacun son truc. Nous, on n'a jamais aimé trop se projeter. On prend match par match, tout en ayant conscience qu'on peut vivre une fin de saison extraordinaire. Ce qui est important d'ici là, c'est de ne pas commettre les mêmes erreurs qu'on a pu commettre par le passé. Quand je dis ça, je parle des points perdus en route comme à Monaco (2-3), par exemple. Si on veut jouer quelque chose jusqu'au bout, il faudra en lâcher un minimum.

    Si en début de saison, on vous avait dit que Toulouse disputerait une demi-finale de Coupe de France contre Guingamp et serait toujours à la lutte pour le titre au mois d'avril, auriez-vous rigolé ?

    Déjà, quand on voit les commentaires qui nous accompagnaient en début de saison, ça nous fait rire. Personne ne nous attendait là, mais si on y est, c'est qu'on ne l'a pas volé. En tout cas, nous, on savait qu'on en était capable. A l'intersaison, le groupe était jeune et en totale reconstruction. On s'attendait à des débuts difficiles, mais on savait que derrière, une fois qu'on serait lancé, on trouverait cette régularité. C'est elle qui fait qu'aujourd'hui, on est toujours dans le coup. A un moment donné, il faut arrêter d'être surpris. Le seul mot d'ordre, c'est de continuer ainsi, de garder le même état d'esprit.

    «UN GROUPE JEUNE ET MATURE À LA FOIS»

    Les débuts ont effectivement été difficiles avec une large défaite contre Lyon (0-3) lors de la 1re journée...

    Oui, mais c'est une claque qui nous a fait du bien. On sortait d'une bonne préparation où on avait livré des matches amicaux solides. Avec cette correction, on s'est rendu compte qu'on n'était peut-être pas si prêt que ça mentalement. Ça nous a servi pour la suite. C'est ce que je trouve extraordinaire avec ce groupe. Il est toujours à l'écoute de l'entraîneur, de ce qui se passe. Tous les jours, on se régale à travailler ensemble. Quoi qu'il arrive, on restera à notre image, on ne changera pas. On sent beaucoup de sérénité et de maturité.

    Pourtant, vous disiez précédemment que ce groupe était «jeune». N'est-ce pas un peu paradoxal ?

    C'est ça qui est bizarre, mais en même temps, ça s'explique. A Toulouse, chaque joueur a connu sa propre histoire. L'an dernier, les jeunes ont vu ce que c'était de galérer. Ceux qui sont arrivés cette saison ont également connu des difficultés dans leur club et ils sont revanchards. Tout ça est régulé avec brio par le staff. Toulouse, c'est avant tout un état d'esprit. On a également un style de jeu. On sait comment être bon.

    Comme face à Bordeaux (3-0) et Paris (4-1), par exemple...

    Gagner de cette manière, ça prouve qu'on a du potentiel, mais on n'a pas non plus le temps de s'asseoir et de savourer. On doit tout de suite se replonger dans le prochain match. Le plus important, c'est d'être capable de reproduire ce type de prestation.

    «JIMMY, ÇA M'A RÉVEILLÉ PLUS D'UNE NUIT»

    Avec André-Pierre Gignac, vous revenez de dix jours de rassemblement avec l'équipe de France. Cela peut-il rejaillir sur la dynamique du TFC ?

    Moi je pense que oui. L'équipe de France, c'est dynamisant pour ceux qui y sont et pour ceux qui n'y sont pas. S'il y a des internationaux A, Espoirs et étrangers à Toulouse, ça prouve qu'on est observé. Tout le monde se dit que ce sera peut-être lui la prochaine fois. D'ailleurs, quand je suis parti avec «Dédé», tout le monde était vraiment content pour nous.

    André-Pierre Gignac a crevé l'écran contre la Lituanie.

    Oui, mais ce qu'on a vu au Stade de France, c'est lui. Il a été naturel. Il a fait beaucoup d'efforts, il s'est montré très présent devant le but. Moi, ça ne m'a pas étonné.

    Et vous, ce poste de troisième gardien, comment le vivez-vous ?

    Très bien. Je suis dans un groupe qui prépare une Coupe du monde. Que tu sois 1er, 2e ou 3e gardien, c'est la même chose pour tout le monde. En tout cas, moi, je le vois comme ça. Je me prépare toujours comme si j'allais jouer. Quand tu as les vingt-trois meilleurs joueurs français rassemblés autour de toi, de toute façon, tu n'as pas le choix. Chaque entraînement est comme un match... J'ai vraiment passé dix jours où je me suis régalé. Et puis, quand Steve (Mandanda) est performant comme ça a été le cas, on le prend aussi pour nous.

    Un mot sur Jimmy Briand qui s'est malencontreusement blessé sur un contact avec vous.

    Oui, ça m'a beaucoup affecté. Je l'ai encore eu tout à l'heure au téléphone. Je l'appelle régulièrement pour savoir comment il va. Honnêtement, c'est une histoire qui m'a réveillé plus d'une nuit à Clairefontaine. Blesser un copain, c'est vraiment difficile, surtout quand c'est aussi grave. Je le sais car je suis aussi passé par là... Quand tu te blesses et que tu entames ta rééducation, tu traverses quelques moments de doute. Je veux être là pour l'aider. Je regrette ce qui s'est passé, mais ce qui est fait est fait. C'est ce qu'il m'a fait comprendre. Moi, je ne serai soulagé que lorsque je l'aurai vu avec le sourire, sur un terrain de L1 en train de marquer des buts...»

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