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cebe

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Messages posté(e)s par cebe

  1. Je bosse principalement sur la caractérisation électro-optique de détecteurs CMOS ou CCD.

    La caractérisation, moi je suis trop mauvais en electronique pour en faire :)

    Déjà, faut sortir l'oscillo, et ces bêtes là, j'essaie de les éviter ou de sous traiter :ninja:

    Ca m'intéresse largement plus que de la µélec :lol2:

    J'ai réalisé deux cartes électroniques, je fais un peu de prog, un peu de matlab, un peu de méca etc... C'est très varié :lol2:

    Moi côté choses variées, j'suis servis :

    - je bosse en ce moment sur une valise qui simule tout l'environnement moteur, afin de tester des calculateurs d'injection. Donc en plus de me cogner la gestion de projet et l'informatique (Labwindows CVI), je me dois comprend la méca, les diverses cartes electroniques qui ont été concues : carte injecteur, qui simule l'injecteur de la voiture, la carte allumage, qui simule... l'allumage (sur les versions essence), les carte entrées logiques et analogiques que je pilote depuis le soft. Pour faire simple, ce sont tous les capteurs de température (huile, eau), la pédale d'accélerateur, la vitesse du moteur, etc, mais aussi les cartes signaux : c'est le plus chaud. Ca simule par exemple la roue dentée du moteur... faut donc je comprenne cette satanée roue dentée. Ah, pour corser le tout, j'ai choisit de communiquer entre le soft et la valise en USB...

    - et plein d'autres choses, mais moins interressantes à raconter :lol2: comme des baies de programmation de calculateurs...

  2. Astrium :unsure:

    Sinon moi je fais plus d'électronique que d'informatique.

    ah c'est une grosse boite...

    Bah moi je fais des deux :unsure: on appelle ca de l'electronique et de l'informatique industrielle.

    C'est à dire ? Niveau trop faible ?

    wé, je précise : ils étaient vraiment débutants en développement C, et je suis gentil. Pour des bac +3, ca fait peur...

    Mon sujet portait sur de la recherche en C, et donner ca à des pires débutants, ca donne à réfléchir.

    Chargement de DLLs avec un prototype de fonction dynamique pour ceux qui tatent... Au final, en 1 mois, celui que j'ai retenu avait trouvé la solution :unsure: ouf!

  3. Non, c'était juste par pure curiosité.

    Sinon, j'ai fini mon école depuis 1 an donc c'est fini, les stages, pour ma part.

    J'ai vu ton histoire (coup de blues bla bla bla), tu es dans quelle boite ? (MP si tu veux pas le dire ici)

    Sinon, chez nous, on ne prend plus de stagiaires directement dans notre domaine (et donc le tiens), c'est un peu bizarre, mais c'est comme ça.

    L'an dernier, j'ai pris un stagiaire en informatique, j'ai halluciné quand j'ai vu leur niveau lors des entretiens... Mais ca s'est bien terminé au final.

    Les 2 années avant, c'était du dév web (pour l'intranet)

  4. Tu proposes quoi, comme genre de sujets ?

    Cette année ca sera :

    - Evolutions (V2.2), migration et finalisation de l'intranet d'entreprise : CRAs, facturation et compagnie. L'existant est en java, mais n'a jamais été livré par manque de temps pour arriver à maturité (le site). Nous avons encore l'intranet V1 en PHP.

    et/ou

    - Rédaction de fiches qualité. Mise en oeuvre du plan qualité pour le passage au CMMi niveau 2.

    Pas très folichon :unsure:

    Et ce n'est pas ton domaine si mes souvenirs sont bons ?

  5. Moi je deviens un pro :

    - en trous dans le mur : placo, béton banché, platre, etc

    - raccord de tuyaux EPR

    - pose d'étagères presque de niveau :cry:

    - construction (oui oui) de douche en plaque de platre + pose du carrelage et des joints, puis pose de carreaux de cailloux au sol et joint -- enfin, pour tout ça j'ai surtout fait maneuvre -- -_-

    - inscription chez Free dans un appart tout neuf

    - évacuation en PVC, avec la pente qui va bien pour que l'eau parte, c'est pas évident à faire ça....

    - démontage/remontage d'armoire ikéa :grin:

    - électricité, et pour être précis, cablage dans du placo. Mais j'en suis encore à l'auto formation

    - réparation de tables en bois (pin) de chez ikéa :ninja:

    - montage/démontage de radiateurs electriques

    - et en auto-formation aussi pour reboucher les trous dans les vieux appartements :blush:

  6. Bonjour,

    je suis surpris de ne pas trouver l'info quelque part ici...

    Alors voilà :

    Christophe Revault de retour au HAC !

    Christophe Revault, lex-gardien du HAC, a signé ce dimanche un contrat de deux saisons en faveur de son club formateur. Après un parcours qui la vu passer par le PSG, Rennes, Toulouse puis Rennes de nouveau, Christophe vient terminer sa carrière au HAC et apporter avec lui toute son expérience à un groupe rajeuni.

    Lex-portier Rennais fait partie des joueurs cadres dexpérience tout comme Nicolas Gillet et Damien Tixier sur lesquels Jean-Marc Nobilo et son staff compte sappuyer pour encadrer les jeunes. Présent ce dimanche à Saint-Laurent pour la reprise, Christophe Revault a effectué son premier entraînement avec le HAC aux côtés des autres gardiens du HAC : Steve Mandanda, Olivier Blondel et Johny Placide.

    Emmanuel Lelaidier

    source : Site officiel du HAC

  7. source : www.lemonde.fr

    Les fichiers sans DRM d'Apple contiendraient des données personnelles

    LEMONDE.FR | 04.06.07 | 18h38 Mis à jour le 04.06.07 | 18h40

    Depuis la semaine dernière, Apple propose des morceaux musicaux sans dispositif anticopie. Baptisé iTunes Plus, ce nouveau service offre des chansons éditées par la maison de disques EMI. Chaque morceau coûte 1,29 dollar, soit 30 centimes américains de plus qu'un titre normal, mais "il est littéralement impossible de le différencier de l'enregistrement original" et n'est protégé par aucun logiciel de gestion des droits d'auteur numériques (DRM en anglais, pour digital rights management) restreignant sa copie.

    Pourtant, l'absence de verrou informatique ne semble pas pour autant signifier l'absence de contrôle. L'information a émergé sur plusieurs sites comme Ars technica ou Tuaw : en comparant différentes versions des fichiers, des informaticiens se sont aperçus que les morceaux vendus par Apple sans DRM contenaient diverses informations sur l'acheteur, dont son nom et son adresse e-mail. D'autres analyses sont en cours pour déterminer si ces fichiers contiennent une forme de "watermark", c'est-à-dire une signature numérique invisible qui permet d'identifier la provenance d'un fichier.

    Cette découverte a provoqué une polémique, lancée par des défenseurs des libertés individuelles comme l'Electronic frontier foundation. Un avocat de l'organisation estimait vendredi que ce système pouvait poser problème, les informations nominatives étant aisément accessibles.

    SILENCE D'APPLE

    Encouragés par le silence d'Apple, qui n'a pas souhaité commenter cette découverte, plusieurs analystes ont vu dans ce système un moyen de décourager le piratage des fichiers MP3 non protégés : si le morceau est mis à disposition sur un réseau de téléchargement "peer to peer", un simple clic permet de savoir qui a acheté l'original, et donc selon toute probabilité qui l'a initialement proposé au téléchargement.

    Plusieurs spécialistes des nouvelles technologies, comme Marc Honan, font toutefois remarquer qu'une manipulation simple dans iTunes permet de faire disparaître ces informations codées dans le fichier. Et Portlanded rappelle que ce type d'information a toujours été inclus dans les métadonnées des fichiers MP3 achetés sur la plupart des plates-formes.

    Damien Leloup

  8. au fait on en est où, on entend plus rien la dessus? il y a toujours repression? :echarpe:

    http://www.20minutes.fr/

    Téléchargement: amende avec sursis pour le symbole des "petits pirates"

    La justice s'est montrée clémente en condamnant jeudi à Rennes à une amende avec sursis Anne-Sophie Lainnemé, devenue en 2004 le symbole médiatique des "petits internautes" poursuivis par l'industrie du disque en guerre contre le piratage.

    La jeune femme, aujourd'hui âgée de 29 ans, était poursuivie pour avoir copié sur internet de manière illicite 1.647 titres de musique en 2004, alors que le téléchargement explosait en France.

    Absente au tribunal jeudi, la jeune institutrice a accueilli ce jugement "avec beaucoup d'émotion", a indiqué son avocat Me Bernard Lamon après l'avoir jointe au téléphone.

    Anne-Sophie Lainnemé s'était fait un nom en témoignant à visage découvert, notamment à la Une de l'hebdomadaire Télérama, alors qu'une cinquantaine de personnes étaient à l'époque visées par des plaintes pour avoir échangé illégalement des fichiers musicaux via le peer-to-peer.

    Le tribunal correctionnel de Rennes l'a condamnée à une amende de 1.200 euros avec sursis et à la confiscation de son disque dur pour "contrefaçon de droit d'auteur", un délit passible de trois ans d'emprisonnement et de 300.000 euros d'amende.

    La justice a "fait une application très modérée de la loi pénale et a tenu compte de l'état d'esprit de l'époque", a commenté Me Lamon qui avait plaidé la relaxe.

    Dans son jugement, le tribunal relève que "l'intéressée agissait dans un objectif de découverte, sans but lucratif et sans volonté délibérée de nuire aux professionnels concourant à la création artistique".

    "Je téléchargeais les fichiers pour découvrir de nouveaux artistes et acheter leurs albums ou aller les voir en concert. Je n'avais pas l'intention de léser qui que ce soit", avait déclaré Anne-Sophie Lainnemé à l'audience le 19 octobre.

    Ces propos ont semble-t-il convaincu le tribunal, qui précise que Me Lamon a "produit diverses études contestant le lien de causalité entre le téléchargement et la baisse des ventes" et qu'il "est établi par la perquisition que le téléchargement n'a pas empêché Mme Lainnemé d'acquérir des oeuvres à titre onéreux".

    Au titre des dommages et intérêts et des frais d'avocat, Anne-Marie Lainnemé devra néanmoins verser 2.225 euros à la Société des producteurs de phonogrammes en France (SPPF) et à la Société civile des producteurs phonographiques (SCPP), les deux organismes qui la poursuivaient.

    Une représentante de la SCPP, Corinne Demidoff, s'est estimée "satisfaite" du jugement "car la culpabilité avait été retenue".

    Dans un communiqué diffusé après la décision du tribunal de Rennes, l'Adami (Société civile pour l'Administration des Droits des Artistes et Musiciens Interprètes) a réclamé jeudi "une solution réaliste" au problème du téléchargement.

    LAdami, "qui représente les artistes interprètes français, et notamment les chanteurs et les musiciens", réaffirme "que la répression des internautes na pas eu les résultats escomptés".

    Les artistes interprètes réclament donc "une solution réaliste qui permette de compenser le préjudice quils subissent du fait de lévolution des technologies et qui leur permettrait dêtre rémunérés pour le nombre grandissant de copies faites de leur travail", ajoute l'Adami dans un communiqué.

    L'Adami fait partie de l'Alliance Public-Artistes, qui milite pour un système de licence globale qui permettrait les échanges de fichiers via les réseaux P2P contre le versement d'une redevance.

    © 2006 AFP

  9. Il y a un truc qui m'interpelle, sur l'article concernant les perquisitions dans les véhicules des gens comment peut on se justifier quand on achète la musique (légalement) sur internet via les sites payants puisqu'on ne dispose d'aucun original ???

    <{POST_SNAPBACK}>

    N'ayant jamais acheté de mp3 sur internet, je ne sais comment cela se passe dans les faits.

    Mais en théorie, il y a une gestion des "DRM" (Droits d'auteurs en gros), donc il faut que les forces de l'ordre soient capables de les lires ?

    Mais je sais notamment que ces DRM sont perdus si tu graves le CD au format classique (WAV), et que tu en retires des mp3 classiques...

    Autre chose, je me suis fait voler une dizaines de CDs dans ma voiture (ca m'apprendra à na pas avoir fait de copies "privées" pour mettre dans la voiture). Dans ce cas, suis je dans mon droit ou pas d'avoir des copies ?

    Tout ça est bien compliqué.

    ...

    Tiens, une autre question ? Si tu as une poste K7 dans ta voiture, avec des K7 enregistrées à la radio ? Est ce légal ou est-on verbalisable ? Normalement c'est légal... pourtant, on n'a pas les originaux. PAr contre, si on enregistre la radio et qu'à partir de cet enregistrement, on fait des mp3 ? Est ce légal ?? => Et là on reparle du nouveau logiciel "StationRipper".

    :ninja:

  10. merci cebe... j'aime bien ton coté anti-Pascal Négre...  :) il doit trop kiffer ce jugement ce batard...

    ;)

    <{POST_SNAPBACK}>

    C'est pas que j'aime pas Pascal Negre, il défent son beefsteack....

    Mais par contre je n'aime pas que la culture soit un produit comme un autre, j'aime encore moins les méthodes choisies pour défendre les majors, surtout quand l'état est complice !

    Et j'aime pas non plus cet immobilisme de ces majors qui refusent de s'adapter !

    Et enfin, je suis convaincu que nous ne sommes pas des voleurs de droits d'auteurs quand on télécharge, car sinon il faut DE SUITE stopper la vente de magnétophones à cassettes qui enregistre la radio, les magnétoscopes, etc...

    Je crois qu'un nouveau modèle économique est à trouver, un peu comme les radios (et donc les pubs, il faut le rappeller) qui paient la sacem pour la musique qu'elles diffusent....

    voilà, c'est tout ce que j'avais à dire sur ce sujet. :ninja:

  11. JUSTICE. MES GLOCK-FOSSAT ET ZAPATA VIENNENT D'OBTENIR LA RELAXE D'UN ÉTUDIANT QUI AVAIT TÉLÉCHARGÉ 488 FILMS SUR INTERNET.

    « Sur internet, les pirates n'existent plus ! »

    Relaxé devant le tribunal correctionnel de Rodez. Relaxé encore devant la cour d'appel de Montpellier. L'étudiant Tarn-et-Garonnais qui avait téléchargé sur internet 488 films n'a pas été reconnu coupable aux yeux de la justice française de « contrefaçon d'uvre de l'esprit ». Ses avocats toulousains, Mes Joëlle Glock-Fossat et Eric Zapata savourent ce jugement et expliquent son intérêt.

    Pourquoi cette décision judiciaire est-elle importante ?

    Une cinquantaine de dossiers sont en cours devant les juridictions pénales françaises. Les grandes sociétés de production de films ou de musique attaquent de manière systématique les amateurs qui téléchargent films ou disques. Les producteurs font campagne sur un message simple : le téléchargement est interdit !

    Est-ce faux ?

    Bien sûr ! La cour de Montpellier, par sa décision, s'appuie sur le code pénal pour souligner que ce n'est pas le téléchargement qui compte mais sa destination. En clair, la cour d'appel vient de dire que, sur internet, les pirates n'existent plus !

    Mais on ne peut quand même pas vendre ces copies

    Heureusement. Un amateur qui va sur internet télécharger un film et le regarde dans son cercle familial n'est pas en infraction. Vendre un enregistrement, même à un prix dérisoire, reste en revanche un délit.

    Qu'est-ce qui est autorisé ?

    Télécharger des films ou des disques sur internet pour, ensuite, en profiter dans un usage privé, limité au cercle familial.

    Comment se définit le cercle familial ?

    Ce n'est pas papa, maman et les frères ou surs. La Cour met fin à une hypocrisie puisque notre client avait reconnu avoir montré un film à une amie. La Cour souligne malgré cela qu'il n'est pas démontré d'usage collectif. Elle établit donc un distinguo plus fin entre le cercle privé et l'usage collectif. Un ou deux amis, ça passe aux yeux des juges. Vingt rassemblés pour une soirée cinéma, non.

    Accepter le téléchargement gratuit, n'est-ce pas dangereux pour les droits d'auteur ?

    Non puisqu'ils sont respectés. Il ne faut pas oublier que dans tous les achats d'un CD vierge, d'une cassette audio, même d'un appareil enregistreur ou d'un téléphone, l'acheteur paye une redevance justement pour soutenir les auteurs. Une taxe fiscale qui est la contrepartie de la copie privée. Sans oublier que dans les textes sur les droits d'auteur, l'exception sur la copie privée est clairement signifiée.

    L'internaute que vous défendiez doit être soulagé ?

    17 parties civiles lui réclamaient de sommes considérables. Sans grand espoir de les recouvrir mais pour faire peur. Mais sur les 488 films retrouvés chez lui, aucun n'était en double. Une preuve de plus de leur usage privé. Des longs-métrages qui avaient pour la plupart été diffusés plus d'une fois à la télévision.

    Recueilli par Jean Cohadon

    --------------------------------------------------------------------------------

    La Cour de Cassation saisie

    Columbia, Warner et autre Gaumont, parties civiles au procès de Montpellier n'ont pas encore baissé les armes. Leur avocat a immédiatement annoncé un pourvoi en cassation. Pas une surprise pour les avocats de l'internaute. « C'est logique. Cette décision va faire jurisprudence. Il faut donc trancher au plus haut niveau même si en droit, cela va être difficile de réformer. Maintenant, est-ce aux magistrats de trancher ce litige ? Si le problème est économique comme l'affirment les producteurs, les politiques doivent le régler. À eux de choisir entre les intérêts des entreprises et des citoyens », estiment Joëlle Glock-Fossat et Eric Zapata.

  12. et encore mieux !!

    La nouvelle révolution du peer to peer ?! StationRipper

    Mon veux de recherche d'un nouveau modèle économique permettant à la fois la mise à disposition (facile d'acces) de mp3 en ligne et la rétribution des auteurs/compositeurs/interpretes est il exhaussé ?

    www.ratiatum.com/

  13. source www.divxovore.com

    <{POST_SNAPBACK}>

    :blush:

    Universal qualifie cette assignation d'absurde et dénonce la position dominante de la S.A.C.E.M. ainsi que son intransigeance

    Excellent. Il nous prend vraiment pour des vaches à lait. Et quand "lui" doit payer à la création musicale, c'est niet ??!!

    pfff!

  14. quand on veux....

    source : www.comparatel.fr

    Free signe un accord avec les ayants droits pour la TV sur la Freebox 

    Auteur : ComparaTEL

    08 Mars 2005

    Le fournisseur daccès à Internet Free vient de signer un accord majeur, l'autorisation de la diffusion de programmes audiovisuels sur la Freebox, avec les sociétés de gestion de droits que sont la SACEM, Société des Auteurs, Compositeurs et Editeurs de Musique, la SACD, Société des Auteurs et Compositeurs Dramatiques, la SCAM, Société Civile des Auteurs Multimédia et lADAGP, société des Auteurs dans les Arts Graphiques et Plastiques.

    Loffre Freebox permet aux abonnés situés dans des zones dégroupées et sous réserve déligibilité de leur ligne, de bénéficier pour 29,99 euros par mois dun accès à plus de cent cinquante chaînes de télévision sur ADSL en qualité numérique, à une offre de téléphonie gratuite et illimitée en France Métropolitaine et un accès Internet jusquà 20 Mbit/s.

    Au travers de l'accord ainsi conclu avec les sociétés d'auteurs, Free obtient, dans le cadre de son offre de télévision numérique sur ADSL (Freebox TV), l'autorisation de diffuser l'ensemble des uvres protégées appartenant au répertoire de ces sociétés en contrepartie d'un pourcentage sur les recettes d'abonnement.

    Après avoir signé avec les sociétés représentant les droits des producteurs audiovisuels (Accord Free - Angoa / Angicoa, article du 11 octobre 2004 ), Free se réjouit de cet accord qui sinscrit pleinement dans sa volonté de coopérer avec les industries culturelles pour promouvoir notamment grâce à son offre de télévision sur ADSL des accès légaux aux contenus et continuer à développer à lavenir des relations fortes avec les professionnels de la création.

    Bernard Miyet, président du directoire de la SACEM, précise : "L'utilisation de la ligne téléphonique comme vecteur de diffusion de programmes T.V est une des composantes de l'avenir du paysage audiovisuel. Cette signature symbolise notre engagement à promouvoir la diffusion des uvres sur de nouveaux réseaux de distribution dans un cadre respectueux des droits d'auteur."

    Pascal Rogard, directeur général de la SACD se réjouit de cet accord qui permet à un opérateur de télécommunications d'assurer la diffusion d'offres télévisuelles dans le respect des droits des auteurs. Cet accord est un signe encourageant de la coopération qui doit permettre aux opérateurs de télécommunications de se développer dans un environnement respectueux des règles de la propriété littéraire et artistique.

    Laurent Duvillier, délégué général de la SCAM : "Cet accord prouve, une nouvelle fois, que notre législation sur le droit dauteur est adaptée aux défis posés par les évolutions technologiques. Elle permet, en effet, aux sociétés de perception et de répartition de droits dapporter des réponses aux nouveaux diffuseurs, sans rien céder pour autant sur la protection des droits des auteurs et de la création".

    Jean-Marc Gutton, directeur général de l'ADAGP : "La Freebox avec lADAGP, dispose dune autorisation générale de diffusion des uvres de quelque 50.000 auteurs, peintres, photographes, illustrateurs du monde entier. Nous nous félicitons donc vivement de cet accord exemplaire qui donne un accès légal à la création dans les Arts Visuels".

    Pour dinformations au sujet des offres de Free sur www.free.fr .

  15. Téléchargement sur le Net : attention, vous êtes pistés

    Le vieux continent n'est plus un paradis pour les adeptes de réseaux comme Kazaa : les procès qui ont eu lieu aux Etats-Unis contre le piratage ont aussi débarqué dans les pays européens.

    En avril dernier, un retraité de l'ouest de la France a fait l'amère expérience du changement de la législation en Europe sur les téléchargements en ligne. Le tribunal de Vanves l'a condamné à trois mois de prison avec sursis et 4 000 euros d'amende pour avoir téléchargé des centaines de films sur des réseaux peer to peer (P2P). Il fait partie des premiers internautes condamnés en Europe pour l'échange illicite de contenus audiovisuels. Mais comment l'industrie du disque traque-t-elle les internautes qui fréquentent les réseaux P2P ? Qu'est-ce qui a changé dans la législation des différents pays ? Explications.

    Sur les traces des téléchargeurs

    Les professionnels du disque ne lésinent pas sur les moyens pour lutter contre le piratage : les associations regroupant les maisons de disque la RIAA aux Etats-Unis, l'IFPI (Fédération internationale de l'industrie phonographique) en Europe ont créé des département spécifiques pour pister les internautes peu soucieux des droits d'auteur. Ces départements surveillent l'activité des utilisateurs de réseaux d'échange de fichiers (comme Kazaa, eMule, DirectConnect) et se penchent particulièrement sur le cas des "gros téléchargeurs". Ce n'est pas pour autant que des téléchargeurs occasionnels sont à l'abri. Mais la priorité de l'industrie du disque étant la dissuasion par l'exemple, la poursuite des internautes qui téléchargent quelques morceaux représenterait pour elle peu d'intérêt.

    Une fois les téléchargeurs repérés, les équipes chargées de la surveillance récupèrent leurs adresses IP. Ensuite, selon la législation des différents pays, soit elles mènent leur propre enquête pour trouver l'identité des internautes en question (en recoupant les informations trouvées en ligne sur ceux-ci, par exemple) soit elles transmettent les adresses IP à la justice. C'est ensuite aux juges d'ordonner aux fournisseurs d'accès Internet (FAI) de divulguer l'identité de leur abonné.

    Dans de nombreux pays européens, les FAI sont depuis peu obligés de fournir les coordonnées des téléchargeurs suite à une demande de la justice. Mais la majorité des fournisseurs refusent de faire la police eux-mêmes : pas question donc de surveiller leurs clients ou de restreindre l'accès aux réseaux d'échange de fichiers, comme l'industrie du disque voudrait le leur imposer. Tous les fichiers échangés sur les réseaux peer to peer n'étant pas illicites (ces réseaux ne servent pas qu'à échanger de la musique) une telle démarche serait excessive. Pourtant en Belgique, la Sabam (association qui regroupe les auteurs, compositeurs et éditeurs de musique) a attaqué en juin dernier le fournisseur d'accès Tiscali pour ne pas avoir coupé l'accès aux plates-formes de téléchargement. L'issue du procès est très attendue à la fois par les internautes et par les fournisseurs d'accès.

    Pour traquer les internautes, l'industrie de disque utilise parfois des moyens dignes des films d'espionnage. En août 2003, un procès contre une utilisatrice américaine a révélé une de leurs méthodes : l'insertion de clés cachées dans les MP3 en ligne pour pouvoir ensuite prouver que les fichiers proviennent bien des réseaux de téléchargement. L'internaute accusée avait prétendu que tous ses MP3 avaient été copiés de ses propres CD, mais les clés cachées de la RIAA ont démontré le contraire. La diffusion de fichiers leurre (comme dans le cas du film Blueberry où les internautes croyaient télécharger le film en entier alors qu'il s'agissait d'une bande annonce expliquant qu'il valait mieux aller le voir au cinéma) est aussi un moyen de lutte utilisé par les professionnels.

    Une législation plus dure

    Plus de 200 poursuites lancés en Europe contre des particuliers depuis mars dernier : l'IFPI semble déterminée à faire des exemples en Europe à l'image des procès spectaculaires qui ont eu lieu aux Etats-Unis. Ce sont 17 internautes au Danemark, 1 en Allemagne et 30 en Italie qui ont été récemment condamnés à de lourdes amendes pour avoir téléchargé des fichiers musicaux. Des actions similaires sont aussi menées en France, en Suède et en Grande-Bretagne. C'est le résultat d'un durcissement de la législation en la matière des peines allant jusqu'à trois ans d'emprisonnement et une amende de 300 000 euros selon les pays, suite à l'application d'une directive européenne mais aussi de l'implication plus active des gouvernements à ce sujet. Désormais, certains FAI doivent aussi résilier le contrat des abonnés qui téléchargent de la musique de manière illégale. Le 29 juillet dernier, les FAI français ont signé une charte anti-piratage qui les oblige à le faire en cas de nécessité.

    source: symantec.com

    La diffusion de fichiers leurre ([...]les internautes croyaient télécharger le film en entier alors qu'il s'agissait d'une bande annonce expliquant qu'il valait mieux aller le voir au cinéma) est aussi un moyen de lutte utilisé par les professionnels.

    J'aime bien cette action.

    Ce permettrait de tansformer le téléchargement dis "illégal" en support de pub :birthday:

  16. Musique en ligne : l'UFC Que Choisir menace

    Publié le 24/09/2004 à 10:37 par Vincent

    L'UFC Que Choisir a étudié l'interopérabilité entre les baladeurs audio numérique et six services de téléchargement de musique payants, notamment ceux d'Apple, Microsoft et de Sony. L'UFC Que Choisir dénonce : "une incompatibilité est presque totale entre les baladeurs et la musique téléchargée". En effet, la musique téléchargée sur les services d'Apple et de Sony n'est exploitable que sur les baladeurs de ces mêmes marques.

    L'UFC Que Choisir regrette qu'aucun standard commun n'existe entre les sites légaux de téléchargement et les baladeurs numériques. Paradoxallement, les services et téléchargements "illegaux" proposent une compatibilité totale grâce au format MP3. Pour se faire entendre, l'association a annoncé qu'elle envisageait de poursuivre en justice les professionnels fautifs.

    source : http://www.clubic.com/actualite-16575-musi...sir-menace.html

    J'ai commencé à lire le forum concernant cette nouvelle, et bien il y en a qui ne comprennent vraiment rien à la vie... <_<

    Musique en ligne : répartition d'une vente

    Publié le 24/09/2004 à 09:48 par Vincent

    Le site anglais Enjoyment Independant a mené une étude intéressante sur les ventes de morceaux de musique en ligne à partir du service d'Apple : iTunes Music Store. D'après cette enquête, sur chaque vente de titre à 0.99 euros, Apple ne récolte que 4 cents et les éditeurs que 8 cents, 25 cents sont également attribués à des coûts divers et notamment de logistiques. Le reste, c'est à dire 62 cents, sont attribués aux maisons de disques qui se chargent de verser une partie non-majoritaire de cette somme à l'artiste, partie variable selon le contrat signé avec l'artiste en question.

    La baisse des prix sur les services de ventes en ligne doit donc forcément passer par une baisse de la part allouée aux maisons de disques, qui ne semblent malheureusement pas décidées à faire des concessions à ce niveau pour le moment, dommage elles se privent ainsi de nombreux autres clients potentiels. Espérons que leur politique de prix sera revue avec le temps et la multiplication des services.

    source : http://www.clubic.com/actualite-16572-musi...-une-vente.html

  17. L'un des pères du MP3 s'élève contre la disparité des formats

    Thu September 30, 2004 7:06 AM CEST

    par Bernhard Warner

    BERLIN (Reuters) - Des technologies concurrentes en matière de téléchargement musical pourraient faire plus de mal aux disquaires en ligne qu'une simple concurrence frontale dans un marché encore naissant, a déclaré l'un des concepteurs du format de compression numérique phare du secteur, le MP3.

    "Il est évident que cela pénalise le secteur du téléchargement, et de même pour les fabricants d'appareils", a dit mercredi le dr Karlheinz Brandenburg, directeur des technologies des médias électroniques à l'institut Fraunhofer d'Ilemenau, en Allemagne.

    Le consommateur peut aujourd'hui télécharger et stocker en quelques clic de souris de la vidéo ou des milliers de chansons sur un lecteur numérique.

    Mais, la palette des technologies de compression et de gestion des droits d'auteur (DRM pour digital right management) détermine sur quel appareil devra être écoutée quelle chanson.

    Ainsi Apple Computer, Real Networks et Sony ont développé chacun leur technologie de lecture et de DRM, bornant l'écoute des titres achetés sur leur site au lecteur de leur marque, iPod pour Apple, Ditto pour Sony.

    Brandenburg a dit avoir prévenu par deux fois les fabricants et les maisons de disques des risques de piéger les fans de musique, ce qui aurait pour effet de leur faire préférer les plate-formes d'échanges de fichiers.

    "Ils n'ont pas écouté. Peut-être ont-ils pensé qu'il était viable commercialement de ne pas choisir une norme. C'est très étrange", a-t-il dit à Reuters en marge du salon annuel de la musique à Berlin, le Popkomm.

    "Le MP3 générique devait être la seule norme. Elle est soutenue par tout le monde. C'est une bonne chose pour Fraunhofer et je le considère aussi comme un homme riche", a dit Brandenburg, détenteur depuis 1986 d'un brevet, tout comme l'est l'institut, pour avoir développé le MP3.

    Chaque vente de lecteur MP3, dont l'iPod, déclenche des royalties.

    source : www.reuters.fr

  18. Nous on a pas de soucis il faut pas s inquietter

    Peut-être.. mais je ne comprend pas pourquoi on n'est cités dans aucun compte rendu, même pas dans les clubs sans problêmes. Les ausitions des clubs pros sont pourtant terminées.

    Non, vraiment, je comprend pas.

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