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Nico12

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Tout ce qui a été posté par Nico12

  1. Brian on n’a toujours pas accepter ton destin aux jo bordel ! Tu étais l’élu le petit roi du patinage artistique. J’en pleure encore…
  2. C’est juste surréaliste. C’est le principe des subprimes en cas pratique. Prêter à quelqu’un qui n’a pas d’argent ! On sait où cela a mener l’économie mondiale !
  3. Je te sors ça Ancien président de Lille, Gérard Lopez a fait une offre pour le rachat de Bordeaux. (P. Lahalle/L'Équipe) Foot L1, Bordeaux avant-première abonnés Gérard Lopez prend la main dans le dossier du rachat des Girondins de Bordeaux L'ancien propriétaire du LOSC Lille Gérard Lopez est bien parti pour racheter les Girondins de Bordeaux. Il a trouvé un accord de principe avec King Street et Fortress mais il a besoin d'un délai. Emery Taisnemis à jour le 21 juin 2021 à 21h45 Le processus de vente des Girondins a connu suffisamment de rebondissements pour ne pas exclure totalement qu'il puisse y en avoir un nouveau mais une nette tendance s'est dégagée au cours de la journée de lundi. Gérard Lopez a fait une offre le matin, il est bien parti pour racheter le club et éloigner du même coup, au moins temporairement, la menace d'un redressement judiciaire. L'ancien propriétaire du LOSC Lille a trouvé hier un accord de principe avec King Street (KS) mais, surtout, avec son principal bailleur, Fortress, qui voulait à tout prix éviter la case tribunal de commerce pour ne pas renoncer à la dette qui lui est due (38 M€ plus les intérêts annuels, estimés à 3,705 M€). Non seulement le fonds d'investissement a accepté d'échelonner ce montant mais il pourrait aussi être intégré au capital du club. lire aussi L'Élysée suit le dossier des Girondins de Bordeaux La dernière incertitude dans ce dossier concerne le financement et le délai imparti pour finaliser (ou non) l'opération : au-delà des taux d'intérêt (supérieurs à 10 %), l'un des fonds prêteurs qui soutient l'ancien patron de Lotus n'a pas encore fourni les garanties nécessaires. Un délai de quatre à cinq jours a été demandé, alors que l'entourage de Lopez nous a fait savoir qu'il fallait à tout prix éviter un redressement judiciaire pour ne pas complexifier encore davantage le dossier : s'il estime que l'évidence des fonds n'est pas apportée, le PDG des Girondins et mandataire social, Frédéric Longuépée, doit, en théorie, déclarer la cessation de paiement auprès du greffe du tribunal de commerce mardi au plus tard pour ne pas risquer que le club perde son statut professionnel. Si les discussions avec Lopez n'aboutissaient pas, le club pourrait repartir en National 3 Lundi, une rumeur insistante selon laquelle King Street pourrait lui retirer son pouvoir exécutif a circulé : pour l'empêcher de déclencher la procédure ? L'intéressé, lui, a affirmé ne pas être au courant. Dans l'éventualité où la fenêtre de tir serait manquée et que les discussions avec Lopez n'aboutiraient pas, le club pourrait repartir en National 3. Un risque que semblent prêts à assumer King Street et les supporters, qui ne voulaient pas entendre parler d'un redressement judiciaire. lire aussi La justice s'intéresse au Lille de Gérard Lopez Alors que l'autre candidat en lice, Didier Quillot, partait de trop loin après avoir exigé de King Street qu'il respecte ses engagements pris devant la direction nationale du contrôle de gestion (DNCG) au mois de juillet 2020 - à savoir remettre les capitaux du club à 0 -, Lopez affichait lundi en privé son optimisme. Il n'a pas chômé durant le week-end : ce n'était pas gagné qu'il soit en aussi bonne posture, en fin de semaine dernière, lorsqu'il a constaté que les délais étaient trop courts pour que son partenaire initial Oak Hill Capital Partners réunisse les fonds à temps. Les tractations ont fait une victime : faute d'avoir apporté les fonds qu'il avait promis, l'entrepreneur Pascal Rigo n'est plus dans la partie, contrairement à Stéphane Martin, qui pourrait occuper un poste de directeur général. En attendant de savoir ce qu'en pensera la DNCG si Lopez va bien au bout, la fin du premier feuilleton a peut-être enfin sonné.
  4. Attention j’ai re écouter depuis le début en fait il ne sait pas. Il reprend des infos sorties et il rajoute que longuepee ne serait plus mandataire social mais cette info n’est pas vérifiée. Il explique aussi que ça peut capoter à tout moment ! Wait and see!
  5. Dans un an et demi ils y seront en RJ. Quelle belle connerie de vendre à Lopez 😂😂. Le mec paye même pas ses salariés !
  6. C'est dingue la haine des bordelais sur Twitter...
  7. Petit cours messieurs : Ci-joint le bilan des Girondins fin 06/2020. Premier point, le capital social a augmenté entre 19 et 20 de 27.5 M€ (cash envoyé par KS) pour combler le déficit 2019 de 32 M€. Second point, la société FCGB a réalisé fin 06/2020 un résultat de - 26 M€ (ce sont ces 26 M€ que KS ne veut pas combler). Problème sur l'exerice le déficit est sensiblement le même voir pire. Il faut donc combler 60 M€ de déficits. On rajoute ensuite une dette obligataire de 38 M€ avec ses petits intérêts de 3 M€ par an. Cette dette elle existe bel et bien ! En gros, il faut envoyer 100 M€ directement et ce n'est pas le père Lopez qui peut se le permettre. L'intervention de l'Elysee c'est pour éviter que le club devienne amateur et que les salariés finissent au chômage et surtout pour éviter une reprise par de nouvelles levées de dettes. MAINTENANT attention, je ne sais pas comment Redbird a financé l'acquisition du TFC. On est peut être également sur le même système. Impossible à dire à l'heure actuelle, les comptes ne sont pas sortis.
  8. C’est beau si le club est racheté par Lopez ! Reculer pour mieux sauter comme on dit ! Des prêts à taux d’intérêts de 10%… c’est juste irréel actuellement.
  9. Le Matmut Atlantique lors d'un Bordeaux-OM en 2020 (0-0). (J. Prévost/L'Équipe) Foot L1, Bordeaux issu du journal L'Elysée suit le dossier de reprise des Girondins de Bordeaux La reprise des Girondins est suivie de près au sommet de l'Etat. Un organisme de Berçy s'en est saisi et s'est entretenu avec Frédéric Abitbol le mandataire ad hoc en charge du dossier. Arnaud Hermantmis à jour le 21 juin 2021 à 00h07 Il y a quelques jours, la reprise des Girondins de Bordeaux a pris une nouvelle tournure. Selon nos informations, l'Elysée a demandé au Comité interministériel de restructuration industriel (CIRI) dépendant de Berçy, le ministère de l'Économie et des Finances, de se saisir du dossier bordelais. Cet organisme public a pour mission d'aider les entreprises en difficulté à élaborer et mettre en oeuvre des solutions permettant d'assurer leur pérennité et leur développement. lire aussi Les Girondins de Bordeaux sous la menace d'un redressement judiciaire Par ailleurs, Frédéric Abitbol, le mandataire ad hoc en charge de la cession du club bordelais, a été contacté par le CIRI et plusieurs messages lui ont été passés. Le premier est que King Street doit honorer les engagements pris, à savoir remettre les comptes à zéro au 30 juin, soit 27 M€, comme il s'était engagé à le faire devant la Direction nationale de contrôle et de gestion (DNCG) de la Ligue de football professionnel. Une aide de l'État de 10 M€ pour le repreneur Hier soir, King Street semblait ne pas bouger sur ce point, comme si l'actionnaire des Girondins préférait assumer la responsabilité du redressement judiciaire qui se profile. Et ce malgré la pression que commencent à lui mettre les pouvoirs publics. « Certes on ne peut pas obliger King Street à tenir ses engagements mais on a de la mémoire, rappelle-t-on au sommet de l'Etat. Qu'un fonds connaisse des difficultés et veuille récupérer son argent, ça s'entend, ce sont les affaires mais on respecte sa parole. Il en va de son image comme pour Mediapro. » lire aussi Reprise des Girondins de Bordeaux : le club envisage une procédure de redressement judiciaire L'autre message adressé à Frédéric Abitbol est que le vendeur se devait d'être vigilant au choix du repreneur, à la crédibilité de son projet et que King Street devait se préoccuper du devenir du club. Une seconde mise en garde qui vise Gérard Lopez sans le nommer, dont le modèle économique est jugé « périlleux ». « Acheter avec de la dette tout le monde sait le faire », précise-t-on au sommet de l'Etat. Où on est d'autant plus attentif à l'avenir des Girondins que les repreneurs potentiels ont tous inclus dans leur business plan l'aide d'État pour les coûts fixes de 10 millions d'euros. Au plus fort de la crise sanitaire, le président Emmanuel Macron avait confié son souhait de ne voir aucun club tomber en liquidation judiciaire.
  10. Ils expliquent que le tef et groningen déjà sur le jouer cet hiver revienne à la charge.
  11. Les repreneurs attendent la L2 c'est tout. Le billet pour entrée sera facilement diviser par 2.
  12. Nico12

    Stadium Municipal

    Enfin le club veut prendre l'exploitation du Stadium !
  13. C'est même plus grave que ça. Pense aux commissaires aux comptes qui ont certifié les comptes de Bordeaux. Ils ont du avoir une lettre de confort de King Street mais quand même. Au 30 Juin 2020 c'est - 30 Millions et des fonds propres dans le rouge. C'est juste dingue.
  14. Brunet des Ultramarines à pas tord ils peuvent quand même descendre en L2... Quel bordel ce timing.
  15. Ce que je ne comprend pas c'est que les clubs devaient déposés leurs comptes et leurs BP 22 à la DNCG avant lundi 14 juin. Actuellement qui à Bordeaux à pu poser un BP ? Y'a personne à la barre. La procédure DNCG est différente de la procédure Rotschild qui est elle également différente de la procédure de redressement judiciaire. Franchement c'est illisible le bordel.
  16. Redressement judiciaire = long processus pour la reprise du club avec des périodes à respecter... Et surtout en fonction de l'état du club mise en place d'un mandataire adhoc... ils seront sous tutelle.
  17. La vraie question concerne la dette des Girondins. Si aucun des candidats ne parait assez fiable Rotschild ne sélectionnera personne. C'est la seule option pour que le club descende. Dans cette optique la valeur du club devient quasiment nulle ce qui arrange tout le monde. Vous inquiétez pas qu'ils sont au sujet des montages financiers prévus par Quillot et Lopez pour reprendre le club (lever de la dette pour payer de la dette --> c'est repoussé pour mieux sauter). Ce qu'ils veulent c'est du cash direct et ce sera assez compliqué apparemment car les deux offres s'appuient sur des fonds prêteur.
  18. Article de l’équipe. Décision jeudi ou au plus tard vendredi. https://www.lequipe.fr/Football/Article/Le-verdict-de-la-vente-de-bordeaux-connu-jeudi/1262812 Seules 2 offres sur la table.
  19. Est-ce qu'Himeur peut taper à la porte des pros pendant la prépa ?
  20. Cet article ne nous apprend rien du tout. Ils n'ont aucune information ...
  21. https://www.google.fr/amp/s/www.sudouest.fr/sport/football/ligue1/girondins-trois-offres-fermes-de-reprise-transmises-a-rothschild-3752357.amp.html Trois offres de reprise : décision en milieu de semaine !
  22. C’est vrai ! Mais je pense que ce sera long pour avoir la décision de la dncg …
  23. Très clairement pour un investisseur ce serait nettement plus intéressent de reprendre le club en L2 ! King Street le lâchera pour rien ! Prendre Bordeaux en L1 c’est lâcher 120M d’entrée pour éponger les dettes quoi…
  24. La deadline prévue aujourd'hui concerne seulement le dépôt de l’atterrissage des comptes annuels 2021 et des prévi 2021/2022. A mon avis ce n'est pas pour ce soir !
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