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Nico12

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Tout ce qui a été posté par Nico12

  1. Attendons avant de lui chier dessus franchement. Pour rappel Lens monte l'année ou il est viré (son remplaçant n'a fait que deux matchs...)
  2. En même temps adjoint c'est son vrai poste.
  3. Les deux insiders franco-italien ont pris la saucée également 😂😂
  4. C'est dingue comme chaque information légèrement négative entraine une vague de pessimisme ambiant sur les supportes du Tef. La situation est compliqué on le sait mais il faut arrêter de voir le pire à chaque fois...
  5. Présenter un BP à la DNCG avec les salaires de Koulouris et Said car le club n'est pas certain de les vendre ce n'est pas la même que les céder avant le début du nouvel exercice comptable. Il faut comprendre ici, que le club préfère subir la perte sur l'exercice comptable en cours qui est déguelasse plutôt que se taper une moins value sur l'exercice à venir. Koulou (acheté 3.5 M€ il lui reste 2 ans de contrat --> impact dans les comptes 2021 - 1,75 M€) SaÏd (acheté 8 M€ il lui reste2 ans de contrat --> impact dans les comptes 2021 - 4 M€). La perte de l'exercice est couverte par une lettre de confort de l'actionnaire qui va remettre au pot cette année. L'objectif de notre direction est simple avoir un budget L2 et non plus un budget L1 dans un club qui perçoit des droits TV de L2.
  6. TFC : pressé par la DNCG, le club se sépare de Koulouris et Saïd Arthur Tiratà 20:18 l'essentiel Les Violets ont libéré Koulouris et Saïd qui se sont engagés ailleurs, dans le même temps, les comptes du club n'ont pas été validés par la DNCG qui a demandé des "éléments complémentaires" au TFC. En ce début de semaine, les supporters toulousains s’attendaient à ce que ça bouge dans les bureaux du Stadium. Ça n’a pas manqué. À défaut d’annoncer le nom du nouvel entraîneur du club (la reprise a lieu demain), le TFC s’est séparé de deux de ses plus gros salaires. Efthymios Koulouris et Wesley Saïd ont été libérés par le club violet, hier. Tous deux sortaient d’une saison complètement manquée et ne faisaient plus partie des plans du club. Le buteur grec arrivé en 2019 contre 3,5M (39 matchs, 4 buts) était sous contrat avec Toulouse jusqu’en 2023. Après l’annonce du TFC, Koulouris s’est engagé avec le club d’Atromitos (D1 grecque) pour deux saisons. Wesley Saïd a lui aussi trouvé un nouveau défi : l’attaquant évoluera au RC Lens, en Ligue 1. Acheté 8,5 millions d’euros – le transfert le plus important de l’histoire du club – l’ancien Dijonnais restera comme l’un des plus gros flops de l’histoire des Violets. En deux ans, il aura passé beaucoup de temps à l’infirmerie et n’aura disputé que 25 matchs (pour deux petits buts). "Difficile de conserver tout le monde" Interrogé par La Dépêche du Midi à la fin de la saison, le président du TFC, Damien Comolli, n’avait d’ailleurs pas fermé la porte à un départ de Saïd : « On connaît son talent et on attend qu’il se remette comme il faut. De toute façon, il y a plein de variables qui font que même si on voulait conserver l’équipe qu’on a aujourd’hui, ce serait difficile. Mais j’ai espoir qu’on puisse en conserver pas mal quand même. » Les deux joueurs ont été libérés quelques heures après que le club a passé la traditionnelle audition devant la DNCG (le gendarme financier du football français). Or, le dossier toulousain n’a pas convaincu l’instance. Cette dernière a en effet demandé au TFC des garanties supplémentaires, alors que le club a accusé de lourdes pertes financières. Baisse de 40 % des droits TV après l’affaire Mediapro, pas d’aide à la relégation, « nous parlons de plusieurs dizaines de millions d’euros », expliquait Comolli à l’issue de la saison. Mais le président se voulait rassurant, expliquant que Redbird allait pouvoir combler une bonne partie de ce déficit. Il semblerait que cela ne soit pas suffisant en l’état, la DNCG réclamant des "éléments complémentaires" au club toulousain. Aucun délai n’a pour l’heure été précisé. Contacté par La Dépêche du Midi, le club n’a pas souhaité réagir. La libération — que le TFC avait sans doute anticipée – des deux gros salaires que représentaient Koulouris et Saïd n’est sans doute pas étrangère à cette situation. Selon nos estimations, la masse salariale cumulée des deux joueurs approcherait les 2,5 millions d’euros par an si l’on y inclut les charges. Ce qui est énorme à l’échelle d’un club de Ligue 2. Pressé par le verdict de la DNCG et le spectre d’une éventuelle sanction, le TFC a donc renoncé à obtenir des indemnités de transfert pour ces deux joueurs. Décidément, cette intersaison sur les bords de Garonne n’a rien d’un long fleuve tranquille.
  7. Exactement, il faut arrêter de stresser.
  8. Normal il est séquestré par Comolli dans les caves du Stadium !
  9. -4M€ pour les comptes du TEF 2021 sur le cas Said.
  10. Libre WTF.
  11. Pas faux très beau contre exemple !
  12. Réglons nos problèmes avant de penser à ceux de Bordeaux ... "Concernant Toulouse en revanche, 3e de la dernière Ligue 2, l’entité a décidé d’un sursis à statuer, dans l’attente d’éléments complémentaires demandés au club par la DNCG."
  13. Choix de carrière très bizarre.
  14. Reprise jeudi avec de la natation dans la Garonne. Toujours pas de coach.
  15. Qu’on lance notre saison bordel. Ça en devient long et un peu usant.
  16. Brian on n’a toujours pas accepter ton destin aux jo bordel ! Tu étais l’élu le petit roi du patinage artistique. J’en pleure encore…
  17. C’est juste surréaliste. C’est le principe des subprimes en cas pratique. Prêter à quelqu’un qui n’a pas d’argent ! On sait où cela a mener l’économie mondiale !
  18. Je te sors ça Ancien président de Lille, Gérard Lopez a fait une offre pour le rachat de Bordeaux. (P. Lahalle/L'Équipe) Foot L1, Bordeaux avant-première abonnés Gérard Lopez prend la main dans le dossier du rachat des Girondins de Bordeaux L'ancien propriétaire du LOSC Lille Gérard Lopez est bien parti pour racheter les Girondins de Bordeaux. Il a trouvé un accord de principe avec King Street et Fortress mais il a besoin d'un délai. Emery Taisnemis à jour le 21 juin 2021 à 21h45 Le processus de vente des Girondins a connu suffisamment de rebondissements pour ne pas exclure totalement qu'il puisse y en avoir un nouveau mais une nette tendance s'est dégagée au cours de la journée de lundi. Gérard Lopez a fait une offre le matin, il est bien parti pour racheter le club et éloigner du même coup, au moins temporairement, la menace d'un redressement judiciaire. L'ancien propriétaire du LOSC Lille a trouvé hier un accord de principe avec King Street (KS) mais, surtout, avec son principal bailleur, Fortress, qui voulait à tout prix éviter la case tribunal de commerce pour ne pas renoncer à la dette qui lui est due (38 M€ plus les intérêts annuels, estimés à 3,705 M€). Non seulement le fonds d'investissement a accepté d'échelonner ce montant mais il pourrait aussi être intégré au capital du club. lire aussi L'Élysée suit le dossier des Girondins de Bordeaux La dernière incertitude dans ce dossier concerne le financement et le délai imparti pour finaliser (ou non) l'opération : au-delà des taux d'intérêt (supérieurs à 10 %), l'un des fonds prêteurs qui soutient l'ancien patron de Lotus n'a pas encore fourni les garanties nécessaires. Un délai de quatre à cinq jours a été demandé, alors que l'entourage de Lopez nous a fait savoir qu'il fallait à tout prix éviter un redressement judiciaire pour ne pas complexifier encore davantage le dossier : s'il estime que l'évidence des fonds n'est pas apportée, le PDG des Girondins et mandataire social, Frédéric Longuépée, doit, en théorie, déclarer la cessation de paiement auprès du greffe du tribunal de commerce mardi au plus tard pour ne pas risquer que le club perde son statut professionnel. Si les discussions avec Lopez n'aboutissaient pas, le club pourrait repartir en National 3 Lundi, une rumeur insistante selon laquelle King Street pourrait lui retirer son pouvoir exécutif a circulé : pour l'empêcher de déclencher la procédure ? L'intéressé, lui, a affirmé ne pas être au courant. Dans l'éventualité où la fenêtre de tir serait manquée et que les discussions avec Lopez n'aboutiraient pas, le club pourrait repartir en National 3. Un risque que semblent prêts à assumer King Street et les supporters, qui ne voulaient pas entendre parler d'un redressement judiciaire. lire aussi La justice s'intéresse au Lille de Gérard Lopez Alors que l'autre candidat en lice, Didier Quillot, partait de trop loin après avoir exigé de King Street qu'il respecte ses engagements pris devant la direction nationale du contrôle de gestion (DNCG) au mois de juillet 2020 - à savoir remettre les capitaux du club à 0 -, Lopez affichait lundi en privé son optimisme. Il n'a pas chômé durant le week-end : ce n'était pas gagné qu'il soit en aussi bonne posture, en fin de semaine dernière, lorsqu'il a constaté que les délais étaient trop courts pour que son partenaire initial Oak Hill Capital Partners réunisse les fonds à temps. Les tractations ont fait une victime : faute d'avoir apporté les fonds qu'il avait promis, l'entrepreneur Pascal Rigo n'est plus dans la partie, contrairement à Stéphane Martin, qui pourrait occuper un poste de directeur général. En attendant de savoir ce qu'en pensera la DNCG si Lopez va bien au bout, la fin du premier feuilleton a peut-être enfin sonné.
  19. Attention j’ai re écouter depuis le début en fait il ne sait pas. Il reprend des infos sorties et il rajoute que longuepee ne serait plus mandataire social mais cette info n’est pas vérifiée. Il explique aussi que ça peut capoter à tout moment ! Wait and see!
  20. Dans un an et demi ils y seront en RJ. Quelle belle connerie de vendre à Lopez 😂😂. Le mec paye même pas ses salariés !
  21. C'est dingue la haine des bordelais sur Twitter...
  22. Petit cours messieurs : Ci-joint le bilan des Girondins fin 06/2020. Premier point, le capital social a augmenté entre 19 et 20 de 27.5 M€ (cash envoyé par KS) pour combler le déficit 2019 de 32 M€. Second point, la société FCGB a réalisé fin 06/2020 un résultat de - 26 M€ (ce sont ces 26 M€ que KS ne veut pas combler). Problème sur l'exerice le déficit est sensiblement le même voir pire. Il faut donc combler 60 M€ de déficits. On rajoute ensuite une dette obligataire de 38 M€ avec ses petits intérêts de 3 M€ par an. Cette dette elle existe bel et bien ! En gros, il faut envoyer 100 M€ directement et ce n'est pas le père Lopez qui peut se le permettre. L'intervention de l'Elysee c'est pour éviter que le club devienne amateur et que les salariés finissent au chômage et surtout pour éviter une reprise par de nouvelles levées de dettes. MAINTENANT attention, je ne sais pas comment Redbird a financé l'acquisition du TFC. On est peut être également sur le même système. Impossible à dire à l'heure actuelle, les comptes ne sont pas sortis.
  23. C’est beau si le club est racheté par Lopez ! Reculer pour mieux sauter comme on dit ! Des prêts à taux d’intérêts de 10%… c’est juste irréel actuellement.
  24. Le Matmut Atlantique lors d'un Bordeaux-OM en 2020 (0-0). (J. Prévost/L'Équipe) Foot L1, Bordeaux issu du journal L'Elysée suit le dossier de reprise des Girondins de Bordeaux La reprise des Girondins est suivie de près au sommet de l'Etat. Un organisme de Berçy s'en est saisi et s'est entretenu avec Frédéric Abitbol le mandataire ad hoc en charge du dossier. Arnaud Hermantmis à jour le 21 juin 2021 à 00h07 Il y a quelques jours, la reprise des Girondins de Bordeaux a pris une nouvelle tournure. Selon nos informations, l'Elysée a demandé au Comité interministériel de restructuration industriel (CIRI) dépendant de Berçy, le ministère de l'Économie et des Finances, de se saisir du dossier bordelais. Cet organisme public a pour mission d'aider les entreprises en difficulté à élaborer et mettre en oeuvre des solutions permettant d'assurer leur pérennité et leur développement. lire aussi Les Girondins de Bordeaux sous la menace d'un redressement judiciaire Par ailleurs, Frédéric Abitbol, le mandataire ad hoc en charge de la cession du club bordelais, a été contacté par le CIRI et plusieurs messages lui ont été passés. Le premier est que King Street doit honorer les engagements pris, à savoir remettre les comptes à zéro au 30 juin, soit 27 M€, comme il s'était engagé à le faire devant la Direction nationale de contrôle et de gestion (DNCG) de la Ligue de football professionnel. Une aide de l'État de 10 M€ pour le repreneur Hier soir, King Street semblait ne pas bouger sur ce point, comme si l'actionnaire des Girondins préférait assumer la responsabilité du redressement judiciaire qui se profile. Et ce malgré la pression que commencent à lui mettre les pouvoirs publics. « Certes on ne peut pas obliger King Street à tenir ses engagements mais on a de la mémoire, rappelle-t-on au sommet de l'Etat. Qu'un fonds connaisse des difficultés et veuille récupérer son argent, ça s'entend, ce sont les affaires mais on respecte sa parole. Il en va de son image comme pour Mediapro. » lire aussi Reprise des Girondins de Bordeaux : le club envisage une procédure de redressement judiciaire L'autre message adressé à Frédéric Abitbol est que le vendeur se devait d'être vigilant au choix du repreneur, à la crédibilité de son projet et que King Street devait se préoccuper du devenir du club. Une seconde mise en garde qui vise Gérard Lopez sans le nommer, dont le modèle économique est jugé « périlleux ». « Acheter avec de la dette tout le monde sait le faire », précise-t-on au sommet de l'Etat. Où on est d'autant plus attentif à l'avenir des Girondins que les repreneurs potentiels ont tous inclus dans leur business plan l'aide d'État pour les coûts fixes de 10 millions d'euros. Au plus fort de la crise sanitaire, le président Emmanuel Macron avait confié son souhait de ne voir aucun club tomber en liquidation judiciaire.
  25. Ce gros fail 😂😂😂
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