RobespierreDorsini

Qui que tu sois, je n'ai pas de mal à croire que tu puisses prêter aux autres des propos qu'ils n'ont pas tenu, à propos de situations qui n'ont rien à voir. C'est l'apanage des plus grands !

Le mercato arrive, les mouches du coche reviennent

Après 4 mois sans jouer cet hiver (il a été opéré d'une pubalgie durant la trêve Coupe du monde), vous enchaînez enfin cette fin de saison. Comment vous sentez-vous physiquement et mentalement? Vraiment bien. Ça a été compliqué physiquement en début de saison, j’avais des douleurs permanentes. Je pense que la décision de me faire opérer était la bonne. Je suis revenu et j’ai beaucoup travaillé physiquement. Mentalement aussi, c’est quelque chose de nouveau que j’ai appliqué. Je sens que je progresse bien. A lire aussi : Coupe du monde 2022 au Qatar : le joueur du TFC Denis Genreau ne disputera pas le Mondial avec l'Australie et ne défiera pas les Bleus Sur le plan mental, comment avez-vous digéré votre blessure et votre absence de la Coupe du monde avec l'Australie ? Ça a été difficile, parce que j’avais bien fini la saison précédente et je voulais attaquer à fond la Ligue 1. La Coupe du monde, c’était un rêve de gamin. Quand j’ai eu le coup de fil du sélectionneur, c’était dur mentalement. Parce que j’ai fait partie de l’aventure depuis le début il y a quatre ans, on a fait beaucoup de camps, de voyages, on a traversé le Covid… Je voyais la Coupe du monde comme une belle récompense. Mais ce qui est bien dans le foot, c’est que tout change vite. J’ai eu du soutien, et je suis passé à autre chose. J’ai soutenu mes coéquipiers devant ma télévision, même si ce n’est pas facile de regarder la compétition sur son canapé en étant blessé… Le TFC a été très secoué par les affaires extra-sportives cette semaine. Comment le groupe l'a-t-il vécu? Bien. En tant que joueurs, on soutient tout le monde, on a un groupe uni. Ça n’a rien changé dans le vestiaire, et ça n’enlève rien à la belle saison que l’on vit. A lire aussi : TFC : "Certaines affaires sont une tempête dans un verre d'eau !" Philippe Montanier réagit aux troubles qui ont secoué Toulouse Vous êtes déjà maintenus en Ligue 1 : quel est l’objectif sur ces trois derniers matchs avec moins d’enjeux ? Certes nous sommes déjà maintenus, mais le coach nous donne des objectifs, comme rester invaincus jusqu'à la fin de saison. On veut aussi faire plaisir à nos supporters, gagner pour eux, leur donner du plaisir. Et puis il y a aussi des motivations individuelles... Par exemple? Il y a des joueurs qui cherchent d’autres clubs et veulent se montrer, d’autres qui veulent prouver pour la saison prochaine. Moi, je rentre dans cette deuxième catégorie. À chaque match je me donne à fond, mais là, j’ai envie de montrer que le club et le coach peuvent compter sur moi la saison prochaine. Je suis motivé à 100 %. Il risque d’avoir des départs cet été au milieu de terrain, où trois cadres sont en fin de contrat (van den Boomen, Spierings et Dejaegere). Comment vous projetez-vous ? Je veux être titulaire. La saison dernière, j’ai eu du mal parce que je suis parti en sélection pendant les vacances d'été, je suis revenu avec du retard, c’était difficile de le rattraper. J’espère que cet été, je vais pouvoir bien couper, bien me préparer et revenir en pleine forme pour le début de saison. Après, ce sera à moi de gagner ma place au milieu. A lire aussi : Nice-TFC : à quelle heure et sur quelle chaîne suivre le déplacement de Toulouse chez les Aiglons en Ligue 1 Peu importe les joueurs qui jouent au milieu de terrain, on ressent une grande force collective. Comment le travaillez-vous ? C’est juste de la pratique... On s’entraîne tous les jours pour suivre les idées du coach sur le jeu combiné. Et on a tous la même idée du foot : faire des passes, se déplacer… Quand on regarde le match de Nantes (dimanche 14 mai, 0-0 NDLR), avec beaucoup de joueurs différents, on a quand même gardé nos principes de jeu. Que je joue avec Vincent (Sierro), Branco (van den Boomen), ce sont tous des super joueurs. C’est assez facile de se trouver entre les lignes. Vous prenez du plaisir ? Énormément. C’est mieux que rester derrière et jouer les contre-attaques, ça, ce n’est pas mon jeu. Jouer comme ça, j'adore. Le match de Nantes, même si on n'a pas marqué, je me suis régalé au milieu. On a eu beaucoup de possession, on a créé des occasions, on a dominé. C’est comme ça que j’ai envie de jouer au football. Pour un milieu de terrain, c’est parfait.

La Dépêche résume juste les éléments de la semaine. J'ai peut-être raté un évènement, mais il me semble que ce journal a été assez peu impliqué dans les différentes polémiques : ce sont LesViolets et RMC qui ont joué les artificiers. Pendant ce temps, La Dépêche a sorti une interview de Genreau, une de Julien Lacour et un article sur Suazo. On peut reprocher à La Dépêche une qualité d'écriture assez médiocre, mais cette semaine, ils ont fait un travail honnête en présentant tous les points de vue (2 articles intéressants avec Dossevi et Belgacem, plus des articles assez neutres sur les prises de parole de Aboukhlal, et jamais de formule "Le mercato va être chaud"). Lâcher des "journalistes de m.rd." à tout va, c'est comme traiter de c.nn.rds sur Twitter tous les bouchers de France parce que tu n'aimes pas celui de ton bled : pas malin (et puni par la loi). D'ailleurs, je me permets de poster cet article-ci, qui a donné la parole à un supporteur malmené par la Police suite à l'affaire des fumis violets dans le parcage : NFO LA DEPECHE. Arrêté avant TFC-Nantes : "Si je reviens au Stadium, c'est sans télécommande !" Jean Cohadon 4–5 minutes l'essentiel Ce sportif n'avait jamais mis les pieds au Stadium. Sa première, dimanche, s'est transformée en gag quand cet étudiant de 22 ans s'est retrouvé 5 heures en garde à vue, soupçonné d'être celui qui devait déclencher les fumigènes découverts dans le stade avant TFC - Nantes. Il raconte. "Je suis arrivé au Stadium au milieu des spectateurs. On savait qu'il y avait un problème. Les gens de la sécurité avaient prévenu de la découverte d'un engin explosif. Mais l'ambiance restait bon enfant. Je suis arrivé à la fouille, normal. Et là, dans mon sac à dos, le stadier a découvert une télécommande. Il a tout de suite prévenu le superviseur. J'ai expliqué que c'était pour ouvrir mon parking mais..." Dans l'ambiance particulière de cet avant Tfc-Nantes, où ce qui ressemblait à un engin explosif avec des fumigènes venait d'être découvert, les choses vont rapidement se compliquer. "Ils ont alerté la police. On a dû attendre une quinzaine de minutes. Quand ils sont arrivés, les policiers m'ont fouillé, pris ma carte d'identité. J'ai prévenu que j'avais un deuxième bip, celui du parking de ma copine..." Et les deux parkings s'ouvrent... Sous le regard des nombreux spectateurs qui passent le contrôle, cet étudiant de 22 ans pas spécialement fan des "Violets" commence à trouver le temps long et les soupçons tenaces. "Je venais pour la première fois au Stadium. Ma copine nous a acheté les deux places. C'était un cadeau. En fait, elle m'a offert une garde à vue", sourit celui qui est devenu suspect. Parce qu'après avoir pensé être relâché, ce futur éducateur sportif poursuit son dimanche dans une voiture de police, direction le commissariat central. "Je me suis retrouvé en garde à vue. Ils voulaient vérifier. Quelque part, c'est normal mais..." Il répète ses histoires de bips nécessaires pour ouvrir deux parkings différents. "Ils ont décidé de réaliser une perquisition, chez moi. Ils ont quand même pris les télécommandes pour vérifier. Et comme je l'avais annoncé, le parking s'est ouvert". 5 heures de garde à vue et des excuses La perquisition de son appartement est rapide. "Les policiers ont été sympas. Ils ont compris. Nous sommes quand même passés vérifier que la deuxième télécommande ouvrait bien l'entrée chez ma copine. De retour au commissariat, ils m'ont relâché, avec des excuses." Cinq heures de garde à vue et, à 20 heures, une famille à rassurer. "Mes parents habitent à Paris. J'imagine que quand ils ont appris que leur fils se trouvait en garde à vue, ils ont imaginé beaucoup de choses. J'ai aussi dû rassurer mes grands-parents qui vivent ici." 48 heures plus tard, le suspect préfère sourire de ce dimanche particulier. "La police fait son travail. Je pense que la sécurité a fait du zèle. J'attends toujours leurs excuses. Aussi celle du Tfc. On a perdu 40 € puisque ma copine, du coup, n'a pas assisté à la rencontre. Ils peuvent peut-être nous rembourser ?" Sans rancune, l'étudiant. "Est-ce que je reviendrai au Stadium ? Oui, sans doute. J'ai envie de découvrir l'ambiance. Mais si je reviens, c'est sans télécommande !"

Ce que j'aime dans les micros ouverts, c'est que d'une hyper focalisation sur l'arbitre, voire d'une cristallisation autour de son rôle, on passe à un dispositif démontrant la chaîne à l'œuvre (réactions des joueurs et des bancs, interactions avec les autres officiels) – souvent à l'avantage de l'arbitre. Alors que dans cette vidéo, je vois un arbitre qui retombe seul au centre de toutes les crispations.

Pas fan. Que les arbitres aient leur micro ouvert, oui, mais qu'ils aient à communiquer avec le public, bof.

Quel que soit le ton sur lequel il a dit ce qu'il a dit (ou pas dit), cette histoire ne serait pas sortie sans les précédentes sur les flocages arc-en-ciel et les présomptions de salafisme. « Une fois, c'est le hasard ; deux fois, une coïncidence ; trois fois, des représailles. » Il a de la chance que le club ait très bien joué sa partition.

La doublette Spierings - Genreau marche très bien. J'aimerais bien les voir avec Chaibi en pointe haute. Par contre il a la même temps que Birmancevic avec son bouc

Il est physique là où Rouault est technique, autrement je leur trouve une belle capacité commune à nous faire peur par des décisions osées 🥶

Moi j'ai bien aimé le "des saisons comme celle que je viens de faire" : c'est-à-dire commencer titulaire et se faire sortir du 11 par celui qui était 4ème de la hierarchie en août dernier ?

Prague, Bratislava et Molde serait parfait, pour passer les poules et faire du scouting en même temps 🕵🏻‍♂️

T'as systématiquement répondu à côté, pour aller vers une conversation où tu pouvais te donner raison. Le must étant que tu espères qu'une histoire qui était dans le passé reste dans le passé, tout en défendant que l'histoire soit sortie. Ne t'ennuies pas à me répondre, je ne prendrai pas la peine de lire tes prochains galimatias.

Les pro, tout du moins ceux habitués à jouer avec l'équipe première, donnent rarement tout avec la B.

Quasi fait pour Bordeaux après le nul de Metz

Toujours choisir le mieux disant au détriment d'offres sûres, c'est un choix. Et un mauvais (selon moi) 💸

OGCN 1 - TFC 2 : Dallinga, Aboukhlal

Je l'ai toujours trouvé un peu fade en interview, et en même temps ça lui permet de bien gérer les périodes stressantes et de ne pas trop s'enliser quand les journalistes posent des questions qui fâchent. Je ne m'en fais donc pas trop pour lui.

Après Mediapro, encore choix judicieux de partenaires par la LFP

Es-tu sérieusement en train de dire que l'article des Violets sur le sujet est mieux que celui de L'Équipe ? L'Équipe peut être un torchon, mais ça reste le NY Times en comparaison du site que tu défends bec et ongles ici. Cette histoire était déjà de l'histoire ancienne, seulement ravivée par la dégueulasserie d'une clique gagnant de l'argent (et beaucoup d'argent) sur le dos du TFC. Mais bon, je ne sais pas pourquoi je te dis ça, tu vas botter en touche en disant que "tu répondais à ceci sur cela

Aboukhlal est né à Rotterdam, a été formé à Eindhoven et s'est révélé à Alkmaar, dans la province de Hollande-Septentrionale. Commencer une phrase par "je ne fais pas d'amalgame,", c'est généralement l'assurance de faire un amalgame.

Putain, le stade vide, les scores tout le temps en notre défaveur... Ça pique de regarder des extraits de cette période-là Gelabert semble plus grand et plus récupérateur que Tréjo.

Je ne sais pas si ça a été posté dans les pages avant : une vidéo de Molina mise en ligne il y a trois jours sur les sites de paris sportif en Angleterre. Le cas des joueurs addict est largement traité : Et une autre, plus globale, il y a un an :

Sinon, t'as lu l'article jusqu'au bout ?

Je crois que tu mélanges les personnes à qui tu parles. Pratique de jouer les séniles pour éviter de répondre aux sujets qui te déplaisent. Headshot

Pas faux. Mais il peut exister d'autres moyens d'engager la responsabilité des sites internet dans les faillite des joueurs. Je ne suis pas spécialiste de la question de toute manière. Je ne démord pas dans l'idée que le seul intérêt de ce sujet, médiatiquement, réside dans la dénonciation des pratiques des sites de pari en ligne et dans l'incarnation par Nicolaisen faillites fréquentes chez les footballeurs. Mais quel site sportif irait écrire cela, sachant qu'ils vivent de l'argent du pari en ligne, LesViolets en tête ?