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RobespierreDorsini

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Tout ce qui a été posté par RobespierreDorsini

  1. Le salary cap va progressivement augmenter avec le budget du club. Actuellement, on est à 40m, si on passe à 55, la part des salaires augmentera mécaniquement Je suis comme Asha (et je dis pas ça parce que tu l'as traité de "mignon") : je pense sincèrement que Dallinga et Chaibi resteront ici. Avec le facteur Europe, il va être dur de trouver un tel temps de jeu assuré chez un club plus huppé que nous jouant la C2 ou la C3. Il y a deux ans, Adli et Koné nous quittaient en L2 pour des clubs plus huppés jouant l'Europe. Sauf que la saison prochaine, ces mêmes clubs ne la joueront peut-être pas, alors que nous, oui ! C'est dingue quand même, non ? Bref, confiance ! Pour une fois que notre direction nous y incite, autant en profiter.
  2. La différence qu'ont pris les règles sur les hors-jeu et celles sur les limites du terrain est assez étonnante. Un ballon doit avoir complètement franchi la ligne pour être signalé sorti, alors que pour le hors-jeu la moindre parcelle du corps hors bras vaut un coup de sifflet. Je crois que Wenger, depuis son poste de développement du football. proposait que l'on aligne le hors-jeu sur les sorties de but : Il faut que l'attaquant ait totalement passé l'adversaire pour être sifflé hors-jeu. Je ne sais pas si c'est une bonne idée, mais ça a le mérite de mettre au même niveau la notion de franchissement de ligne. Pour ma part, je pense que le pied est le meilleur maître-étalon, avec avantage à l'attaquant en cas de doute. C'est le plus facile à juger. Mais mon avis n'intéresse pas la Fifa je crois.
  3. Le révélateur n'est plus autant contesté qu'avant, mais ce n'est pas pour autant qu'il est devenu un outil fiable à 100%. Je nous trouve chanceux précisemment parce que la VAR est intervenue avec suffisamment d'insistance pour que l'arbitre siffle un hors-jeu que son assistant n'avait sans doute pas signalé. On ne peut pas dire que la VAR ait beaucoup eté avec nous cette saison. Que l'arbitre se trompe, c'est une chose. Que la Var décide ou non d'intervenir en est une autre. Je ne trouve pas que ce soit un cas d'erreur "manifeste"
  4. "N'importe quelle partie de la tête, du tronc ou des jambes", c'est pas ma définition de "spécifié" ou de "homogène" C'est la ré-écriture de la loi 11 de 2021 ça, non ? Juger d'une ligne à partir de parties du corps éloignées du sol, le tout avec un angle désaxé, ça m'a toujours paru cavalier. Quand je vois l'image arrêtée, la première chose qui me frappe, c'est que Marchetti a les deux pieds un demi-mètre derrière Nicolaisen.
  5. Oh waw, j'avais oublié que le topic arbitrage c'était uniquement pour dire que l'arbitrage nous désavantageait Non, c'est une impression, si j'étais devant un jury de thèse je ferais même une bibliographie, mais là on est sur un forum Son épaule est devant mais ses deux pieds sont derrière. J'ai toujours trouvé ridicule de juger un hors-jeu autrement qu'à l'endroit où se trouvent les pieds, et encore plus que le choix de la surface à juger soit aussi peu homogène. Mais bon, visiblement, je suis minoritaire 😅
  6. Pour le coup, c'est les plus informés. Il en a pour un bon moment.
  7. Plus je revois l'action du pénalty non sifflée pour cause de hors-jeu, plus je trouve le hors-jeu discutable. Les décisions d'arbitrage nous sont globalement favorables en ce moment.
  8. Salut et bienvenu.e ! Voici l'article : Entraîneur sous-estimé, tapi dans l'ombre, portrait de Philippe Montanier, l'entraîneur de Toulouse Régis Testelin 7–9 minutes On aurait aimé demander au vainqueur de la Coupe de France ce que ce triomphe inattendu et spectaculaire avait déclenché au plus profond de lui. Et s'il l'avait accueilli comme l'indispensable mise au point sur ses talents, parfois discutés, après ses expériences sur les bancs de touche du Stade Rennais (2013-janvier 2016) et du RC Lens (2018-février 2020), deux clubs dont il a été viré dans des circonstances singulières. La question restera sans réponse, du moins la sienne. Philippe Montanier (58 ans) n'est pas fâché avec L'Équipe ni avec la chose médiatique. C'est juste qu'il n'aime pas parler de lui, nous a-t-il répondu, et pas davantage qu'on parle de lui. « Si vous pouviez ne pas faire ce papier ça ne me dérangerait pas », a-t-il avancé, avant de citer Robert Nouzaret parmi les personnes qui le connaissent le mieux. Nouzaret est l'homme qui l'avait lancé dans le but de Caen, en 1989, il est aussi celui qui l'avait pris comme son entraîneur adjoint, onze ans plus tard, à Toulouse, en lançant sa carrière de coach. « Tout le monde rêve de travailler avec un mec comme Philippe, explique l'ancien entraîneur de Montpellier, Lyon ou Saint-Étienne. L'homme est exceptionnel : pro, compétent, talentueux, sérieux et droit, il ne cherchera jamais à te mettre une peau de banane. C'est un "amoureux" Philippe, il aime trop les autres. Mais il a appris à faire attention avec l'affect, il est devenu vigilant. » « Il ne se met jamais en avant, sauf pour protéger les joueurs et prendre les coups à leur place devant les médias Michaël Debève, ancien adjoint de Montanier Avant de se faire virer, en décembre, Michaël Debève était l'adjoint de Montanier à Toulouse, comme il l'avait été à Lens et au Standard de Liège (2020). Cinq ans qu'ils ne se quittent plus. « Les gens qui l'ont connu vous diront que Philippe incarne la fidélité, l'humilité et le respect, assure Debève. Il ne se met jamais en avant, sauf pour protéger les joueurs et prendre les coups à leur place devant les médias, il assume tout et valorise toujours le collectif et le staff. C'est pour ça qu'il est apprécié partout. Et puis, il n'a jamais d'histoires avec personne, arbitres, joueurs, entraîneurs adverses. » L'ancien gardien de but de Caen, Nantes ou Toulouse (318 matches en pro entre 1989 et 2000) pourrait pourtant la ramener sur son parcours d'entraîneur. À ses débuts, il a fait grimper Boulogne-sur-Mer de trois échelons en cinq ans, du CFA à la Ligue 1, de 2004 à 2009. Tranquillement maintenu Valenciennes en L1, de 2009 à 2011, puis qualifié la Real Sociedad en barrages de la Ligue des champions, avec le jeune Antoine Griezmann, en 2013. Et avant de faire remonter Toulouse en Ligue 1, l'an passé, au bout d'une saison exceptionnelle (79 points, 82 buts) et de lui faire gagner la Coupe de France, il avait emmené Lens au dernier tour des barrages L1/L2, au printemps 2019, finalement battu par Dijon (1-1, 1-3). Pas mal, mais pas suffisant pour avoir la carte grand-entraîneur-grand-public. Parce qu'il n'a pas réussi à Rennes, où il a perdu la finale de la Coupe de France 2014 contre Guingamp (0-2) et pas assez utilisé Ousmane Dembélé, parti un peu trop vite au Borussia Dortmund, du coup. Et parce que l'homme de la remontée en L1 des Sang et Or, en 2020, ce n'est pas lui, mais Franck Haise. Montanier avait dirigé 26 fois l'équipe avant de se faire remplacer par l'actuel coach artésien, à qui deux matches ont suffi pour finir le travail, avec l'arrêt de la saison à cause du Covid. Philippe Montanier, alors entraîneur de Lens en février 2020. (E. Garnier/L'Équipe) À Rennes, Montanier avait été recruté en 2013 sous la présidence de François de Saint-Sernin, il s'est fait limoger deux ans et demi plus tard par son successeur, René Ruello. Ruello dit avoir « adoré l'homme », mais n'avoir « pas pu sauver l'entraîneur »,limogé en janvier 2016 et remplacé par Rolland Courbis, une semaine après que ce dernier avait débarqué à Rennes comme conseiller du président. Savoureuse coïncidence. « J'avais fait venir Courbis en pensant qu'il allait apporter le côté communicant qu'il manquait à Philippe, raconte Ruello sept ans après. Je vous jure que je n'avais aucune arrière-pensée de lui confier l'équipe. Au bout d'une semaine, Philippe m'a appelé pour me dire qu'il ne pouvait plus fonctionner dans cet attelage. Courbis, c'était une connerie et un mauvais choix, je n'aurais pas dû faire ça. C'est bizarre une carrière d'entraîneur mais j'ai toujours pensé que c'était un bon. » Le Barça de Guardiola et les Verts de Curkovic Élu meilleur entraîneur de L2 en 2009 et en 2022 et de Liga en 2013, Montanier est plein de références, de rêves et de diplômes, une licence de STAPS et une maîtrise de gestion. Il a adoré les Pays-Bas de 1974, l'AC Milan d'Arrigo Sacchi, le Barça de Messi, Iniesta et Xavi, parce qu'il a remis la technique au coeur du jeu, son grand combat. Il aurait rêvé de jouer au RC Lens ou avec les Verts d'Ivan Curkovic, et ses inspirations mènent à Jean-Claude Suadeau, son ancien entraîneur à Nantes (1990-1991), avec lequel il est resté en contact. Les principes de jeu de Montanier ? « Avoir la maîtrise et le ballon, donc aller le chercher le plus haut possible en empêchant l'adversaire de relancer, répond Debève. Terminer rapidement les actions devant en gardant de la sécurité derrière. » Ses préférences et sa force ? « Les systèmes de jeu en 3-4-3 ou en 4-3-3, enchaîne son ancien adjoint. Mais il en travaille d'autres pendant les trêves internationales. Et puis il aime lancer les jeunes et fait progresser tout type de joueurs. » Son savoir-faire ? « La gestion humaine et c'est bien plus dur que l'organisation de jeu, assure Nouzaret. ll y a tellement de facteurs à appréhender : la partialité, la mauvaise foi, la mauvaise humeur. Cette façon de gérer l'humain tu l'as ou tu l'as pas. » Comme Nouzaret, le milieu du foot fait confiance à Montanier, au-delà même de son pays puisque Nottingham Forest (2016-janvier 2017) ou le Standard (juin-décembre 2020) ont cru en lui. Mais la reconnaissance semble lui échapper. « Quand il est arrivé à Lens, l'équipe allait mal, deux ans plus tard elle est remontée en L1 grâce à lui, il avait participé au recrutement et l'équipe avait pris 88 % des points avec lui, (47 sur 53) même Haise (son successeur)l'avait reconnu, estime Debève. Pourtant, l'histoire n'a pas été racontée comme ça. Philippe a toujours rempli ses objectifs, il mériterait un autre regard. » En souffre-t-il, au moins ? Ce n'est même pas sûr, à en croire Nouzaret. « Philippe se "maintient" dans toutes les situations, bonnes et mauvaises, ça ne change rien à ses objectifs. Il est costaud, solide. » Et depuis la finale de la Coupe, se sont-ils parlé ? « Je lui ai dit de bien en profiter car ça va vite, mais je ne lui ai rien appris, sourit Nouzaret. Après je pense qu'il a tout pour continuer sur sa lancée. » La Ligue Europa en l'occurrence. publié le 6 mai 2023 à 19h58 mis à jour le 6 mai 2023 à 20h16
  9. C'est vrai qu'il avait le chic pour briller fort, puis se faire virer. J'imagine que de bosser avec Caiazzo, Sadran, Kita et Labrune ne l'a pas aidé. Triaud lui convenait mieux. Je reste quand même très attaché au bonhomme, et je n'oublie pas qu'il est le premier à nous avoir alerté sur Henri, Soucasse, Casanova, ... Merci de m'avoir rafraîchi la mémoire.
  10. Je n'ai jamais trop compris pourquoi tout le monde chargeait autant Baup pour la saison 2008-2009. Mon souvenir, c'est qu'entre les prolongations abusives qui ont gonflé les ego, le refus de recruter, la volonté de ne jamais augmenter le capital d'aucune manière et la volonté de gérer seul le staff du club avec uniquement ses fidèles, Sadran a passé l'année 2008-2009 à savonner la planche de son entraîneur. D'ailleurs, dix ans plus tard, on ne peut pas dire que les critiques formulées par Baup envers Sadran et sa clique se soient révélées inexactes. Je suis quand même curieux de ton avis. Comolli fera d'autres erreurs, mais c'est sûr qu'on ne pourra pas lui reprocher de s'être entouré uniquement de fidèles dans le but de ne jamais voir le club grandir.
  11. Il avait fallu 3 ans au capitaine de Liverpool. Parfois, il ne faut rien d'autre que du temps.
  12. Ça rappelle ce que les supporteurs de Liverpool ont dit d'Henderson pendant des années. Un vrai fan de Dallinga celui-là.
  13. Je comprends ta position, je comprends qu'on soit reconnaissant envers Sadran – Comment ne pas l'être pour la période 2001 - 2008 ? –, mais je ne partage pas ton analyse sur le romantisme de Sadran. RedBird promeut Zelus à travers nous tout comme Sadran a promu Newrest grâce au TFC. Il a fini par recruter Casa, Sirieix et Soucasse parce qu'ils lui mangeaient dans la main, contrairement à Baup qui, de l'extérieur, a paru lui tenir tête. Ce n'était pas tant du romantisme qu'une gestion autocratique lui permettant de monter du côté de la Ligue en se plaçant dans l'ombre des clubs puissants qu'ont été l'OL puis le PSG. Peut-être qu'à l'inverse, sur le recrutement, RedBird ne se montrera rationnel à l'extrême quitte à échauder les supporteurs avec des non-prolongations voulues par eux ? On verra bien. Pour ma part, pour le moment, tant qu'on fait l'inverse de ce qu'a fait Sadran à partir de 2008 (l'année de nomination de Soucasse DG, de départ de Baup et de promotion de Pep Casa), je suis content. Quant à Brecht, on verra bien, mais il semble vouloir un dernier gros contrat et ce n'est visiblement pas le TFC qui le lui donnera.
  14. On disait sans doute la même chose de Sirieix quand il a été recruté. Recruter quelqu'un juste pour le recruter parce qu'il a fait quelque chose en tant que joueur pour le club, sans même penser au poste qu'il pourrait avoir, ça me paraît être la première étape vers le retour aux années Sadran. Redbird et Comolli ont amené une philosophie de recrutement intéressante, avec des profils bien identifiés et des postes bien définis. Vu nos résultats récents, ça semble porter ses fruits. J'aime bien l'idée de joueurs clefs de notre histoire qui restent au club, un peu comme Barthez lorsqu'il est intervenu auprès de Dupé, il faut juste être sûr que ce soit au prix d'une compétence existante que l'on aurait repérée chez eux. Pas juste d'un recasage.
  15. Ils ne représentent aucune part des ultras, car ce ne sont pas des ultras. Ce sont des hooligans. Ça n'a rien à voir. Et par rien à voir, je veux dire vraiment rien à voir.
  16. Dommage qu'on ne soit pas Reims, on aurait pu avoir les même joueurs moins cher
  17. Tu as raison, c'est sans espoir. On est fichus. On ne trouvera plus jamais de 6 performant à pas cher, c'est certain 😣
  18. Ajaccio 0 - Toulouse 2 (Van den Boomen, Dallinga).
  19. Diaw, Mvogo, Lopes, Lecomte, Donnaruma, Samba, Sels, Lafont, Diouf, Chevalier, Mandanda, Schmeischel, Lopez et Blanco, y'a quand même du beau monde en L1 malgré les 2 à 3 départs annuels vers la PL, la Buli et la Liga. Dupé est un gardien qui correspond à notre classement. D'où la surprise à l'idée de ne pas aller chercher un peu mieux. Ce n'est pas anodin si, ailleurs, il ne lui est lui proposé que des postes de N°2 (lu il y a un ou deux mois dans la Dépêche je crois).
  20. Toujours un peu surprenant de lire que le système de data qui a trouvé Spierings et qui l'a fait venir lorsqu'on était en L2 ne serait pas capable de trouver encore mieux avec un meilleur budget et une attractivité à la hausse grâce à notre participation à la Coupe d'Europe.
  21. Tu oublies la règle de base : si c'est un pitchoun, un autre joueur est à incriminer, si ce n'est pas un pitchoun, aucun autre joueur ne peut être incriminé.
  22. Ce n'est une question de niveau, mais aussi de style de jeu. Ici, VdB et Spierings sont dans un fauteuil, avec un projet de jeu centré sur leurs qualités – voire leur unicité, un staff entièrement acquis à leur cause et un football rôdé une année entière en division inférieure. Ils ne retrouveront jamais ça ailleurs. Dans la plupart des autre clubs, à leurs postes, ils devront courir plus, se projeter plus, disputer plus de duels. Comme n'importe quel autre footballeur.
  23. Dans mon souvenir (j'ai souvent mauvaise mémoire), c'était au cours de la victoire 2-3 à Sedan en 2001.
  24. Qu'ils partent ou qu'ils restent, j'ai hâte de ne plus entendre parler du mot "prolongation". Le style de jeu de l'équipe les a beaucoup aidé, lui comme VdB. J'ai du mal à imaginer les deux performer de la sorte ailleurs.
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