RobespierreDorsini

En meme temps, pour sa réputation auprès des supporteurs, il aurait été catastrophique que la première victoire du TFC en championnat depuis 10 matchs soit le premier match qu'il manque. Il n'avait pas le choix.

Lahmadi est un 6. Et sa jeunesse n'aurait pas été de trop face au délitement mental des titulaires. Le plus gros reproche que l'on pouvait faire à Montanier était sa gestion de la hierarchie. Novell est progressivement en train de se créer le même problème. C'est tout à fait possible, et tout à fait regrettable amha.

Son absence de coaching alors que le milieu dans son ensemble n'a plus tenu le ballon au cours de la seconde mi-temps m'a choqué.

J'ai du mal à comprendre la hiérarchie des tireurs de CPA 🤔

Pareil. Gélabert utile, il récupère des ballons, il est juste sur la plupart des ballons. Kamanzi c'est pas Cafu mais il est là. Suazo est meilleur avec le ballon mais il a laissé plus laissé de trous d'air à droite

Rasmuss si indispensable en défence. Il parle, il place, il intervient.

Dønnum gratte de bonnes fautes. Par contre le ballon ne lui arrive pas assez

Le but les a réveillé 😕

Collectivement on est présents. Maintenant, il faut tenir jusqu'au bout. Pas de point perdu après avoir ouvert le score aujourd'hui.

La circulation de balle est très fluide depuis 5 minutes

Mauvais moment pour dire ça

PÉNALTY !

Équipe habituelle, entre le 4-3-3 et le 4-4-2. Gélabert à gauche, Sierro en 8/10. On confisque le ballon pour le moment. Metz va jouer le contre à domicile. Zéro pressing en face

Dommage le contrôle trop long de Gélabert. Je le trouve mieux à gauche qu'il y a quelques mois. Il se place mieux et se déplace plus.

Le tifo BFS/Horda

1 but tous les 13 tirs selon les commentateurs Amazon. Espérons que l'on résolve ces problèmes de finition sur cette deuxième partie de saison

Suis pas fan, après devant et au milieu c'est quasi la compo de la victoire 3-0 contre eux (en échangeant Schmidt et Sierro) Pour les nostalgiques : https://www.lequipe.fr/Football/match-direct/ligue-1/2023-2024/toulouse-metz-live/594802

La seule chose qui me fait peur, c'est la déter de Metz. Je ne crois pas trop à cette équipe de manière globale, mais ils auront sans doute à cœur de se venger du 3-0. Espérons que le groupe commando parachuté en toute discrétion par-dessus la Moselle permette de concerner les joueurs à 110%.

Plutôt content de voir des pitchouns pour ma part !

Il est dans L'Équipe. Soit réel, soit présumé.

Je me suis rasé la moustache depuis. Vous me ressembliez trop ! Ça et les quelques petits coups de cutter sur le visage que je dois à Elmander2046, on est pas prêt de me confondre à nouveau avec vous

C'est pas comme si les syndicats prévenaient depuis des années Plus sérieusement, ces chiffres, c'est abusé de les sortir comme ça. Le non-remplacement ne touche pas du tout toutes les zones de la même manière. Et je doute que le lycée publique le plus proche d'Oudea-Castera soit le plus touché 😬

Je ne connaissais pas son histoire, liée au fichage ethnique du PSG. Sale. Ligue 1 : le retour en France de Yann Gboho, la nouvelle recrue de Toulouse Heureux qui, comme Yann Gboho (22 ans), sait se souvenir des belles choses. Il y a plus de quatre ans, c'est devant Toulouse qu'il avait inscrit son premier but en pro, pour sa deuxième apparition. Une minute après avoir remplacé Romain Del Castillo (90e + 1), il avait offert la victoire à Rennes (3-2, le 27 octobre 2019). Alors, quand le TFC l'a approché, il a sauté sur l'occasion de revenir en France pour lui rappeler son nom. La première fois où il est publiquement apparu, ce fut bien malgré lui, lors de l'affaire des fichiers ethniques mis en place par la cellule de recrutement du centre de formation du Paris-SG, dédiés aux territoires hors Île-de-France (entre 2013 et 2018). Soucieux d'un « équilibre sur la mixité », selon le contenu des Football Leaks révélés par Mediapart, le PSG aurait renoncé à le débaucher du FC Rouen après avoir coché Gboho dans la case « Antillais », alors qu'il est né à Man, en Côte d'Ivoire. Après avoir décliné son entrée à l'INF Clairefontaine pour rester proche de sa famille, il a filé retrouver son oncle Ambroise Gboho (aujourd'hui attaquant de Concarneau, L2) au centre de formation de Rennes, en 2016. Où ses cousins Désiré et Guela Doué l'ont ensuite rejoint. Ce ne sera pas le cas de ses deux frères cadets (16 et 13 ans). Meurtri par cette histoire de fichage ethnique, leur père Bertrand, grossiste en produits pharmaceutiques dans les DOM-TOM depuis Rouen, a évité qu'un autre de ses trois fils ne tente sa chance dans le football professionnel. D'autant plus qu'après un début idyllique - doublé en finale du Championnat de France des moins de 17 ans face à Toulouse (2-0) en 2018, puis buteur lors de celle des moins de 19 ans l'année d'après (4-0 devant Montpellier) -, la carrière de son aîné a pris un tour compliqué. Alors qu'il avait été intégré dans le groupe pro par Sabri Lamouchi, lancé en L1 puis en Ligue des champions par Julien Stéphan, Bruno Genesio l'a ensuite, selon les mots de son père, « mis dans une boîte, sans jamais lui parler. Comme Yann était à l'époque sanguin et à fleur de peau, cela ne s'est pas du tout bien passé. Il s'est fâché avec monsieur Genesio ». Passé par les Pays-Bas et la Belgique, où il a étoffé son jeu Ses dirigeants lui ont dès lors indiqué le chemin du prêt et de l'exil aux Pays-Bas. Au Vitesse Arnhem, il a découvert la solitude, confronté à une autre culture. À une opération aussi. Après avoir déjà souffert d'une fracture de fatigue au dos et des adducteurs en Bretagne, il a été opéré d'une pubalgie à Mérignac, en 2022. Libéré de sa dernière année de contrat par le Stade Rennais, il est ensuite parti en Belgique. Le Cercle Bruges s'imposant comme l'un des clubs en Europe où les joueurs courent le plus, Gboho a ajouté une dimension athlétique et physique à son style, perfectionné son jeu sans ballon et son repli défensif. À défaut de gonfler ses statistiques. Pas de quoi, toutefois, le faire passer en dessous des radars de la data si chère aux dirigeants actuels du TFC. « Il rentre chez lui, en France, en paix, réconcilié avec l'injustice et animé d'une grosse envie de réussir » Bertrand Gboho, père de Yann Gboho Parce que, s'il manque d'efficacité devant le but (9 réalisations et 14 passes décisives en 114 matches professionnels), Gboho le dribbleur excelle dans les déséquilibres balle au pied et l'avant-dernière passe. C'est pour cela que le TFC a misé 2,5 M€ sur ce droitier pouvant aussi bien jouer dans l'axe que sur le côté gauche. En plus d'avoir étoffé son jeu, donc, ce père d'une petite fille de huit mois a également mûri. « Mon petit garçon est devenu un petit homme, résume son père. Il rentre chez lui, en France, en paix, réconcilié avec l'injustice et animé d'une grosse envie de réussir. » Heureux qui, comme les supporters du TFC, vont se souvenir des belles choses réussies par Yann Gboho.

Cœur sur toi ❤️ Plus sérieusement, autant me passer en ignoré si je t'agace

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