Je ne dis que je savais écrire. Je suis assez fier de quelques poèmes mais pour le reste c'était souvent comme une éruption de sentiments divers qu'il fallait absolument que j'évacue. Le rendu n'a jamais été terrible mais c'était une douce thérapie. Vu que je n'ai jamais été un grand bavard (contrairement à ce que pourrait laisser penser mon volume de posts), je gardais trop de non-dits en moi. Du coup, quand je me libérais c'était un brouillon de culture (Ah! ah!...).
Ouais, je suis vraiment pas mal pris. Un jour peut-être, lorsque je ferais comme l'ami Krishna et que j'enverrais tout valser.
L'approche des 40 me terrifie, c'est moins le chiffre que le franchissement d'un cap symbolique. Je ne sais pas pourquoi.
Allez, je vais me remettre un peu de Cabrel
Bonne nuit copain