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è_é

Tortues ninaj
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Tout ce qui a été posté par è_é

  1. tu m'as mise en ignorée ? je connais mal le bonhomme mais c'est pas le seul truc de droitard qu'il a ça ? parce que pour le reste, il m'a tout l'air d'être un affreux woke indigéniste
  2. c'est pour que tu votes lrem aux législatives nan sérieux, ça peut être que pour ça non ? et c'est vraiment vous prendre pour des cons on doit être dans un prank géant où le type teste jusqu'où il peut aller
  3. malheureusement remarque je sais pas trop dans quel sens tu dis ça, difficile d'interpréter un post aussi court ! n'empêche que c'est bien pour ça, qu'à mon sens, se baser uniquement sur des condamnations c'est vraiment du foutage de gueule si tout le monde sait et dit que le mec est un gros forceur (je sais même pas comment c'est possible d'imaginer une seule seconde que la macronie n'ait pas été au courant), pas besoin d'attendre que la justice passe pour capter qu'il y a un problème et éviter de lui filer des responsabilités (qui ne sont pas un dû) ! surtout quand tu prétends faire des gonzesses la grande cause (again) de ton nouveau quinquennat, là vraiment ça ressemble à du troll (surtout en gardant darmanin) moi je penche pour ça d'ailleurs, macron c'est un troll, sinon il aurait pas viré blanquer pour y foutre son opposé idéologique, parce que ça n'a aucun foutu sens ça non plus !
  4. y'a un certain nombre de flics condamnés pour violences dont la condamnation n'est pas inscrite au casier pour qu'ils puissent garder leur travail
  5. ah non c'est pas une question de défiance (même si pour être honnête j'ai autant confiance en la justice qu'en la police ), mais par exemple prends mélenchon, qui a déjà été condamné pour outrage quand il a gueulé sur le flic pendant la perqui de lfi, est-ce que ça te semble une condamnation suffisante pour empêcher le mec de se présenter ? sachant que l'outrage c'est un truc assez facile à obtenir, surtout si tu fais dans le militantisme de gauche quid d'un délit routier ? ce que je veux te dire c'est que toutes les condamnations ne se valent pas pour empêcher quelqu'un de faire de la politique et c'est ce que tu sembles dire dans ta dernière phrase parce que moi dans l'absolu jsuis plutot d'accord hein, si on pouvait déjà dégager ceux qui font dans le détournement de pognon et ce genre de magouilles, je prends !
  6. c'est à la fois une éthique morale et politique non ? dans le cas de darmanin ou abad, que ce soit ou non condamnable par la justice ça change pas grand chose au fait que les deux ont des comportements problématiques avec les femmes (ça a été largement documenté avec preuves à l'appui pour le coup), qu'ils soient au gouvernement ça pose quand même question, politiquement, moralement et stratégiquement le problème avec ça c'est qu'il serait très facile d'empêcher n'importe qui de se présenter, ou alors t'as intérêt à sérieusement cadrer le truc !
  7. pourrissage et diffamation, encore tu comptes continuer jusqu'à quand ? c'est quoi ton but ? mon suicide ?
  8. absolument pas pour la partie entre parenthèses, j'ai utilisé le pluriel parce que ça ne concerne pas que toi, comme l'a dit flo, c'est le genre de remarque qui ressort souvent, c'est ça que je critique, pas ta personne pas du tout, j'avais prévenu que ce serait déplaisant donc je m'attendais totalement à une réaction, surtout que c'était généralisant et un peu rentre dedans, désolée, on est tous triggered par certaines façons de dire les choses t'as complètement le droit d'être dramatique même après une journée à s'expliquer là dessus, je vais pas te jeter la pierre
  9. j'espère vraiment que tu comprendras les nuances dans mon propos quand tu seras redescendu de tes grands chevaux
  10. il y a une incompréhension là, parce que même après tes explications je n'ai pas changé d'avis et je continue de penser que ta remarque participe à une atmosphère sociale toxique (si tu veux que j'évite de parler de culture du viol) comme te l'a dit flo, ta seule remarque porte sur le timing, reléguant au second plan les accusations en elles-mêmes et donc les victimes présumées, pour mettre en avant le coup politique de mediapart ou des républicains, et ça, pour moi et apparemment pour flo et sienko aussi, c'est assez révélateur du problème donc je te le dis, c'est tout ! pour ce qui est de ton sentiment d'agression, j'avais prévenu que ça ferait pas plaisir donc j'imagine que c'est normal et j'espère que tu pourras réfléchir à mon point de vue plus tard, donc déso pas déso
  11. je ne t'accuse de rien, je comprends bien que j'ai blessé ton ego parce que ce que je t'ai dit est désagréable à entendre mais je ne t'accuse pas, je pointe juste que ce que tu as dit et la façon dont tu l'as dit n'est pas vraiment appropriée, imagine juste qu'il a possiblement des victimes de violences sexuelles qui peuvent te lire et être très mal à l'aise devant cette façon d'instrumentaliser leur parole donc soit t'es désolé, soit tu l'es pas, mais faut choisir et pas me rejeter la faute dessus s'il te plait ^^
  12. bah oui, "que ce soit ton intention ou pas", ça signifie bien que ça peut être involontaire hein mais ok, tu postes un truc que certains peuvent prendre comme une remise en cause de la parole des victimes (quelle idée ? c'est vrai que ça n'arrive JAMAIS) mais tu as la gentillesse de rester poli face à mon attitude puante de juste te faire remarquer que c'est quand même pas terrible, surtout quand on se renseigne sur l'affaire, du coup j'imagine que je dois t'en remercier
  13. oui je parle de ton post précédent et bien sur que si ça remet en cause la parole des victimes, que ce soit ton intention ou pas d'ailleurs maintenant je doute que tu aies eu le temps de lire ce que je viens de c/c (sauf si tu es abo mediapart et que tu l'as lu avant) sinon c'est pas ce que tu m'aurais répondu
  14. l'article de médiapart sur abad qui évitera peut-être à certains de participer allègrement à la culture du viol (oui je sais ça fait pas plaisir d'entendre ça) en remettant en cause les raisons pour lesquelles certaines victimes parlent à certains moments plutôt qu'à d'autres
  15. voilà, c'est exactement ça : pourrir et diffamer tu n'as "pas suivi" mais t'imagines quand même qu'on est forcément coupables, comme tu n'avais pas suivi l'histoire avec celui que tu nous accuses d'avoir harcelé (et tenté de le pousser au suicide si je me souviens bien) alors que c'était lui le harceleur 🤷‍♀️ alors effectivement je te le dis : à quoi bon être respectueux quand on a de fait raison et qu'on peut se soulager en passant
  16. possible d'avoir une 🔥 dans les réactions ?
  17. merci d'avoir clarifié ta position qui, pardon d'insister, était franchement ambigüe en l'état quant à moi, j'avais parlé plus tôt de ne pas respecter la mesure d'éloignement et ça c'est pas lui, c'est un autre https://www.lemonde.fr/politique/article/2021/01/21/benoit-simian-un-depute-ses-demons-et-son-immunite_6067026_823448.html (avec en bonus ses ptits copains de l'assemblée qui ne voulaient pas lever son immunité ) edit : ah au fait bluejark, quand on a le cul crado comme le tien, on évite de venir en rajouter une couche sur ceux que t'as bien contribué à pourrir et à diffamer
  18. @Forrest https://www.mediapart.fr/journal/france/140522/violences-conjugales-le-jugement-qui-condamne-le-candidat-lrem-jerome-peyrat Investi par la majorité présidentielle malgré sa condamnation pour violences conjugales, l’ancien conseiller d’Emmanuel Macron continue de minimiser les faits. Mais le jugement rendu en septembre 2020 par le tribunal correctionnel d’Angoulême note que Jérôme Peyrat a « adapté sa version » aux stigmates, physiques et psychologiques, constatés sur son ex-compagne, ayant occasionné 14 jours d’ITT. Ellen Salvi 14 mai 2022 à 21h33 C’est une condamnation qu’Emmanuel Macron et la majorité présidentielle n’ont pas jugée assez grave pour empêcher Jérôme Peyrat, ancien conseiller à l’Élysée, d’être candidat aux élections législatives. Le maire de La Roque-Gageac, condamné le 18 septembre 2020 pour des faits de violences conjugales, a été investi dans la 4e circonscription de Dordogne, où il avait été battu en 2017 par la députée La République en marche (LREM) Jacqueline Dubois. Cette candidature a suscité de vives réactions, y compris parmi les soutiens du chef de l’État, qui avait promis, pendant sa campagne, de faire de « l’égalité femmes-hommes la grande cause de [son] nouveau quinquennat » et envisagé de créer « un nouveau fichier administratif pour les auteurs de violences conjugales ». « L’essentiel, c’est que vous ne restiez pas seules », avait-il dit en novembre 2020 en s’adressant aux femmes victimes, avant d’ajouter : « Nous ne lâcherons rien, je vous le promets. » Quelques semaines plus tard, Jérôme Peyrat était nommé conseiller politique à la délégation générale de LREM, puis propulsé tête de liste pour les élections régionales de juin 2021 en Dordogne. Depuis l’officialisation de sa candidature aux législatives, l’ancien élu Les Républicains (LR), qui a longtemps travaillé aux côtés de Nicolas Sarkozy, s’est plusieurs fois défendu dans la presse, en évoquant « un amalgame qui est fait essentiellement par l’extrême gauche ». « Ce n’est pas dans Le Figaro, ce n’est pas dans Le Parisien, ce n’est pas dans Libé [finalement si – ndlr], a-t-il relativisé dans Sud Ouest. Cela n’a été qu’une affaire de tweets, un coup de presse et une affaire de gens qui veulent tenter d’en faire une utilisation politique. » Le candidat a aussi livré sa version des faits, évoquant une « dispute » et insistant sur le sursis dont il a bénéficié. Cette affaire « ne peut en aucun cas être amalgamée aux drames familiaux que l’on voit dans les médias », a-t-il indiqué. « Je conduisais, elle a arraché mes lunettes, j’ai essayé de la maîtriser, elle a reçu un coup au menton, je n’ai pas cherché à la frapper », résume-t-il. Mais le jugement rendu par le tribunal correctionnel d’Angoulême, que Mediapart a pu consulter, minimise beaucoup moins la violence des faits survenus le 30 décembre 2019, à La Roque-Gageac. Il évoque notamment « les photos de Madame X* prises par les gendarmes le jour du dépôt de sa plainte faisant montre de ses hématomes ». La version « adaptée » de Jérôme Peyrat Le document souligne surtout que « la description des faits de Monsieur Peyrat […] relève de l’ajustement de cause ». Lors de son audition devant les gendarmes, l’élu avait « dans un premier temps évoqué un geste de la main et avoir saisi le poignet de sa compagne ». Ce n’est que dans un second temps, « une fois que les photos de la victime prises par les enquêteurs lui avaient été présentées », qu’il a « adapté sa version aux autres hématomes et lésions relevés », poursuit le juge. Les stigmates, tant physiques que psychologiques de la victime, ont été détaillés dans le certificat médical des urgences le 30 décembre 2019, relevant une incapacité totale de travail (ITT) de 14 jours : une douleur au niveau de la mâchoire « avec limitation de l’ouverture de bouche », « un hématome de la face vestibulaire de la lèvre inférieure droite », ainsi qu’« un syndrome de stress et d’anxiété post-traumatique à surveiller pendant une période minimale de trois mois ». Le jugement du tribunal correctionnel d’Angoulême évoque également un second examen médical du 31 décembre 2019, qui « confirme l’état de stress post-traumatique et relève que les faits décrits sont tout à fait concordants avec les lésions constatées, à savoir un hématome au niveau de la face interne de la lèvre ainsi qu’un hématome au niveau des deux pommettes, ce qui peut correspondre à une claque pouvant avoir été donnée sur le visage comme décrit par la plaignante ». L’ecchymose et les hématomes constatés sur le bras, l’épaule et le poignet de la victime sont « compatibles » avec la scène qu’elle a décrite. « De même, le médecin considère que la pression sur la partie antérieure du cou que Madame X aurait subie alors qu’elle portait une écharpe peut tout à fait correspondre à l’ecchymose retrouvée au niveau de la partie antérieure de la base du cou. » Idem pour l’ecchymose et les hématomes constatés sur le bras, l’épaule et le poignet de la compagne de Jérôme Peyrat. Ils sont, toujours selon ce deuxième examen médical, « compatibles » avec la scène décrite par la plaignante. Le document rappelle que l’accusé n’a pas contesté les lésions et les hématomes constatés. Il « a maintenu ne pas avoir frappé Madame X mais seulement avoir dû répliquer, pour des raisons de sécurité, à des actes incongrus de sa compagne, écrit le juge, évoquant notamment « le fait d’avoir tenté de l’empêcher de jeter ses affaires par la fenêtre du véhicule qu’il était en train de conduire » ou de « s’opposer à ce qu’elle lui retire les clés du contact alors que sa voiture était toujours en mouvement ». Mais pour la justice, « cette explication de circonstance n’apporte aucun éclairage sur l’ecchymose au niveau du bras gauche constaté par les certificats médicaux, pas plus que sur le syndrome post-traumatique de la victime qu’une simple dispute conjugale – quand bien même serait-elle véhémente – ne saurait causer et ce nonobstant les fragilités intrinsèques de Madame X ». Et de conclure : « Par conséquent, au vu de ces éléments, il conviendra de déclarer Monsieur Peyrat coupable des faits qui lui sont reprochés. » 3 000 euros versés « en réparation du préjudice moral » Interrogé par Mediapart sur le décalage entre ses déclarations dans la presse et les termes du jugement (voir notre Boîte noire), Jérôme Peyrat souligne que « ces faits ont été jugés il y a bientôt deux ans » et que « l’audience avait naturellement été suivie par des journalistes qui ne manqueraient pas de l’écrire s[’il] déformai[t] aujourd’hui [ses] propos d’alors ». « Comme je l’ai dit à l’audience, je n’ai jamais cherché à adapter mon discours et je ne cherche évidemment pas à le faire lorsque vos confrères m’interrogent », ajoute-t-il, insistant sur le fait d’avoir été condamné à une amende avec sursis. En dépit de « la gravité des faits », le jugement relève en effet « les circonstances particulières dans lesquelles ces violences ont été commises, à savoir en pleine dispute conjugale survoltée instiguée par Madame X ». Il évoque notamment « les témoignages unanimes décrivant Monsieur Peyrat comme étant de nature calme et pondérée » et parle d’un « incident s’inscrivant manifestement plus dans un contexte de couple pathogène au bord de la rupture […] que dans la personnalité propre de Monsieur Peyrat, inconnu jusqu’à ce jour de l’autorité judiciaire ». « Dès lors, au vu de ces éléments, s’il n’est pas question d’absoudre Monsieur Peyrat pour ce qu’il a fait et dont il demeure responsable tant sur le plan pénal que civil », le tribunal correctionnel d’Angoulême a suivi les réquisitions du parquet en condamnant l’élu à 3 000 euros d’amende, mais en assortissant cette peine d’un sursis. Sur l’action civile, il a été condamné à verser la même somme (sans sursis) à son ex-compagne « en réparation du préjudice moral ». Cette décision n’a pas fait l’objet d’un appel. Dans sa réponse à Mediapart, Jérôme Peyrat rappelle en outre que son ex-compagne a « été condamnée à une amende ferme notamment pour des appels et des SMS malveillants envers [sa] famille assortie d’une interdiction d’entrer en contact avec [ses] enfants, [ses] parents et [lui-même] » et révèle qu’« elle a été fin 2021 mise en examen pour des malveillances graves, sur les réseaux sociaux cette fois, vis-à-vis de moi et mes enfants ». Quelques semaines après la condamnation de l’élu, la plaignante avait en effet été sanctionnée à son tour pour des « appels téléphoniques malveillants réitérés », par le biais d’une composition pénale. Cette procédure permet au procureur de la République de proposer une ou plusieurs sanctions à une personne qui a commis certaines infractions de faible gravité et qui reconnaît sa culpabilité. Ce qu’a fait l’ex-compagne de Jérôme Peyrat qui a ainsi dû verser 800 euros à ce dernier. L’ancien conseiller élyséen a plusieurs fois rappelé cette procédure pour renvoyer les deux affaires dos à dos et tenter ainsi d’atténuer les faits pour lesquels il a été définitivement condamné. « J’ai considéré que cette peine ne m’interdisait pas d’être un homme public, de continuer à faire de la politique », a-t-il indiqué dans Libération. « Je pense que vous constatez que le sujet ne peut être traité avec manichéisme, dit-il à Mediapart. Je le fais toujours, pour ce qui me concerne et en toute transparence vis-à-vis de mes concitoyens qui m’ont renouvelé leur confiance lors des élections municipales de 2020 et régionales de 2021. » Comme l’ensemble des candidat·es de la majorité, il doit désormais signer une charte comprenant douze engagements pour valider son investiture. Cette charte se base notamment sur « l’éthique et la poursuite de la moralisation de la vie publique ». Des valeurs que la députée LREM sortante de la 4e circonscription de Dordogne, Jacqueline Dubois, évincée au profit de l’homme qu’elle avait pourtant battu en 2017, aurait souhaité de nouveau porter. « Moralisation de la vie publique, place et respect des femmes… En apprenant la nouvelle [de son éviction – ndlr], vous comprendrez que ma déception a été à la hauteur de mon engagement », écrit-elle dans un communiqué. Soutenez Mediapart en vous abonnant. Le désabonnement est possible en 2 clics directement sur leur site et sans engagement.
  19. relis toi ptet 🤷‍♀️ parce que je sais pas si t'as manqué de pédagogie ou si je suis trop stupide pour comprendre ta pensée complexe mais je n'ai fait que me baser sur tes propres mots hein !
  20. merci pour ces arguments aussi percutants qu'une gifle ☺️ toi non plus change rien 😙
  21. donc tu te bases sur un jugement dont tu n'auras pas pris soin de prendre connaissance pour décider que vu la faible punition, ça vaaaaaaa c'est pas si terrible d'être condamné pour violences conjugales et d'être investi à une élection nationale ? investi par le parti au pouvoir qui avait soi disant fait de ce sujet une cause majeure du quinquennat (quelqu'un a des news de schiappa ?), mais bon ça vaaaaaaa les électeurs ils feront le tri eux mêmes ? il aurait fallu quoi pour que ce soit scandaleux pour toi ? parce que là bon, une gifle, ça vaaaaaaaa, à partir de combien de gifles ça va plus ? combien de mesures d'éloignement non respectées ? combien de sms d'insultes ? enfin c'est bien, le respect des gonzesses, c'est vraiment une valeur bien bien partagée par tout le monde dans ce pays, tout va bien
  22. je me sens un peu obligée de préciser vu la suite des posts donc je vais répondre globalement, mais j'espère m'arrêter là - on sait pas si elle ou gargamel ou janluk auraient eu ou non leurs parrainages avant la deadline mais au moment où bayrou lance le truc ça les concerne tous les trois même si bayrou a choisi de la parrainer elle - on peut discuter de l'intérêt des règles actuelles pour être candidat et y'a vraiment beaucoup à redire mais c'est pas pendant la partie que tu peux les changer, c'est un peu le jeu quoi mais effectivement si certains n'avaient pas passé le cap c'était toujours ça de pris - moi ce qui me dérange vraiment c'est pas que ces candidatures soient validées, avec l'aide bayrou ou sans, c'est l'hypocrisie qu'il y a à faire ça d'un coté pour ensuite sortir le grand cirque médiatique sur l'abomination qu'est le pen et l'absolue obligation de castoriser et en plus là où c'est drôle (et un peu triste), c'est que ça aurait été pareil avec zobito ou janluk en face ! - évidemment d'accord avec toi sur le fait que le vrai problème c'est avant tout les électeurs fafs
  23. bonjouuuur (flippez pas, je reste pas) juste pour rappeler en cette veille de barrage (les pêcheurs et les suceurs vous pouvez passer votre chemin, ça vous concerne pas, les nazis vous pouvez aussi aller mourir tant qu'à faire et ça vous concerne pas non plus) que fin février, quand les candidats fafoïdes et janluk n'avaient pas encore leurs 500 signatures, que bayrou himself a lancé une opé pour réparer cette erreur démocratique ( ) et qu'il a parrainé lui même la blonde à chats, jugeant ainsi son parti et sa candidature suffisamment républicains pour participer au grand cirque 🤡 la source pour les faignants et les poissons rouges : https://www.liberation.fr/politique/presidentielle-francois-bayrou-apporte-son-parrainage-a-marine-le-pen-20220227_CRTYLQ3A65AEXDZ6Q2UGQRQTJ4/ puis récemment, c'est macron lui même qui nous a expliqué que non, le front républicain n'existe pas, qu'il n'a d'ailleurs jamais existé (son discours post victoire en 2017 on a du l'halluciner sans doute) et que chaque vote pour son auguste personne est un vote d'adhésion ! c'est là : à partir de là, faites barrage si vous voulez, mais n'oubliez pas que vous êtes seuls dans votre délire de sauveur de la république et que celui pour qui vous allez voter vous pisse à la raie (après avoir tapé sa trace dedans) bisou et bon week-end 🙂
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