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Nens

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Messages posté(e)s par Nens

  1. il y a 39 minutes, mathematric a dit :

    Ça semble logique mais en même temps comolli fait exactement l'inverse depuis son arrivée, prendre des joueurs de championnats inconnus chez nous moins cher que le marché français, et ça marche très bien 

    Healey, Dejaegere, Spierings, van der boomen, Machado... C'était que des mecs inconnus au bataillon

    Oui je suis bien d'accord, mais j'ai quand même du mal à comprendre que certains s'extasient autant sur Irandust sans vraiment l'avoir vu jouer par rapport à Sakhi dont on connait le niveau 😅

    Mais après je fais de toute façon 100% confiance à la cellule de recrutement.

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  2. il y a 46 minutes, kéké99 a dit :

    Vu que « Redbird n’est pas là pour faire du trading », je pense qu’ils ont dû largement éponger les dettes liées au contexte ( sans compter la vente de Koné et la baisse de la masse salariale). 

    "Largement éponger" je n'en mettrai pas ma main à couper.

    Entre l'aide à la relégation qui a sauté (plus de 10M si je me souviens bien) et les pertes dues à la non montée qu'ils ont du combler, ça m'étonnerait fort qu'ils soient largement bénéficiaires (si tant est qu'ils le soient tout court).

    Il faudra attendre de voir les comptes pour en être sur.

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  3. Le résumé de la soirée OM-Nice par l'Equipe pour ceux que ça intéresse :

    Citation

    Nice-OM, récit d'une soirée interminable

    À la 75e minute, dimanche, le match entre Nice et l'OM a basculé dans l'irrationnel. Voici les principaux chapitres d'une rencontre qui ne s'est jamais vraiment terminée.

     

    Une ambiance déjà tendue avant l'incident

    L'atmosphère est souvent incandescente quand les deux clubs de la Méditerranée s'affrontent, et elle s'avère tendue, encore, dans la chaleur lourde de l'Allianz Riviera. La préfecture des Alpes-Maritimes a limité à 450 le nombre de supporters marseillais autorisés à faire le déplacement dimanche, tous venus dans des cars spécialement affrétés par l'OM, et ils sont installés dans le secteur visiteurs, en face du bouillant virage sud. L'ambiance monte très vite et les encouragements sont nourris dès l'échauffement de la part du public niçois, prompt aussi à siffler les joueurs adverses. L'électricité monte encore juste avant le coup d'envoi, et de nombreux projectiles tombent déjà dans la surface de Steve Mandanda quand il vient prendre sa place devant son but, au pied du virage sud.

    Calmement, le capitaine marseillais les balance derrière la ligne, pendant que le capo niçois, au mégaphone juste au-dessus, est dans la provocation plus que dans la violence verbale. Le choc sent le soufre, et la première faute du soir, dès la 30e seconde, de Mario Lemina sur Pape Gueye, est applaudie par l'ensemble du stade. Dans ce contexte tendu, Alvaro Gonzalez en rajoute et, dans sa surface, il adresse quelques doigts d'honneur vers la foule après avoir repéré un supporter jouant avec un laser et le pointant sur plusieurs de ses coéquipiers.

    Malgré le climat crispé, le match est agréable, rythmé, intéressant, mais les conditions de jeu n'invitent pas à la sérénité, puisque les projectiles atteignent régulièrement la surface de Mandanda. On joue seulement depuis dix-sept minutes quand, sur un corner niçois, le gardien marseillais manifeste à l'arbitre, M. Benoît Bastien, son exaspération en levant les bras, alors que des bouteilles tombent du virage, rapidement ramassées et écartées par Mattéo Guendouzi.

    La scène se répète à chaque corner, comme à la 42e minute, quand Mandanda voit encore les bouteilles d'eau tomber et que Dante et Jean-Clair Todibo demandent aux supporters d'arrêter ces débordements. À ce moment du match, l'arbitre signale le problème et le speaker du stade lance un avertissement aux tribunes, demandant au public de ne rien jeter sur la pelouse et concluant : « Je compte sur vous ». Il n'est pas vraiment entendu, parce que les briquets, porte-clés et bouteilles continuent de perturber la rencontre, ensuite, alors que la frontière entre le public et le terrain semble assez poreuse, déjà, sur le but de Kasper Dolberg (49e) : le Danois est tout de suite enlacé par une quinzaine de supporters passés par-dessus les panneaux publicitaires sans aucune résistance.

    Encore plus remuant après l'ouverture du score, le virage sud continue de lancer toutes sortes d'objets vers la pelouse, Konrad de la Fuente reçoit une bouteille dans les pieds en jouant un ballon vers le poteau de corner (59e) où, trois minutes plus tard, Dimitri Payet est visé lui aussi. Le Réunionnais, déjà, se baisse pour ramasser et renvoyer les projectiles et Justin Kluivert, à côté de lui, fait signe aux supporters de se calmer. Un nouveau corner pour l'OM, à la 65e, est obtenu de l'autre côté, à la droite de l'attaque, tiré par Cengiz Ünder : deux stadiers protègent le joueur, dont l'un esquive une bouteille pour ne pas la prendre dans le visage. À ce moment-là, l'arbitre aurait déjà matière à interrompre le match pour faire retomber une tension devenue malsaine. Mais il choisit de laisser la rencontre se poursuivre. Et les Marseillais obtiennent encore un corner, côté gauche cette fois, donc frappé par Payet.

    Joueurs, membres des staffs, stadiers, supporters : de nombreux participants à la rixe

    Après 74 minutes et sept secondes de jeu, Dimitri Payet se relève après avoir reçu une bouteille d'eau dans le haut du dos et il l'expédie dans la tribune sud. Il en jette une seconde dans la foule, qui réplique par différents types de projectiles. Alors que Dante se rapproche du public pour le calmer, Guendouzi et Alvaro font de même pour l'invectiver. Puis un ultra niçois, habillé de noir, essaye de mettre un coup de pied à Payet, il est repoussé par Todibo, Gerson, Boubacar Kamara et un officiel niçois. Pendant une dizaine de secondes de répit, les stadiers, aidés des joueurs niçois, pensent reprendre le dessus, les supporters restent derrière une bannière publicitaire, au bas de la tribune, seuls quatre d'entre eux sont sur la pelouse, mais pas dans l'aire de jeu, et ils semblent plutôt sur le recul.

    Le préparateur physique de l'OM, Pablo Fernandez, arrive en trottinant et couche un des fans azuréens avec un coup de poing. Personnage caractériel, Fernandez avait failli se battre au printemps avec plusieurs joueurs de l'effectif olympien de la saison dernière, dont Valère Germain. En privé, il a expliqué son comportement à Nice par un drame personnel. Après ce K.-O., Fernandez s'éloigne, et plusieurs joueurs niçois veulent le rattraper, Gouiri, un bref instant, puis Todibo, plus véhément, qui va se heurter à Gerson, placé devant le préparateur physique.

    Pendant cette vive altercation entre joueurs, le chaos se déchaîne, une soixantaine d'ultras de la tribune sud entrent sur la pelouse, s'agglutinant principalement dans la surface de Walter Benitez, formant une vague qui va bousculer Alvaro, revenu au contact malgré les efforts de Dante pour le calmer, et Luan Peres, protégé par des stadiers. Mandanda essaie de calmer des joueurs et supporters niçois. Puis la vague reflue aussi vite, l'envahissement du terrain a duré une quarantaine de secondes.

    Sur cette séquence, les seuls coups échangés semblent l'avoir été entre membres du staff et joueurs des deux clubs. Alvaro et Todibo restent remontés comme des coucous. Après avoir déjà dégagé un ballon dans la tribune sud, un peu plus tôt, le premier file vers la tribune présidentielle, des supporters niçois lui balancent des bouteilles de coca, il en reprend une de volée, il refait des doigts d'honneur. Christophe Galtier tente de l'adoucir.

    Todibo, lui, veut toujours en découdre avec Fernandez. Il se rapproche de Jorge Sampaoli, qui a plutôt été en deuxième ligne lors de l'envahissement du terrain, des tensions éclatent brièvement. Puis M. Bastien demande aux acteurs de rentrer dans leurs vestiaires, ce qui va prendre un temps fou, plus de trois minutes. Quelques supporters reviennent brièvement, on reconnaît même des ados du Challenge Orange (à la pause) qui gambadent sur la pelouse et sèment des stadiers. Le long de la ligne de touche, de nouvelles empoignades entre membres des staffs, de la sécurité, et joueurs. Sampaoli est fou de rage, son adjoint Jacques Abardonado et le team manager Rani Berbachi doivent le ceinturer pour lui faire quitter la pelouse, que Dolberg a fui depuis longtemps. Sur cet épisode, la direction niçoise accuse Gallé Baldé, frère de l'ex-pro Dianbobo et chargé de protéger le groupe pro olympien, d'avoir tapé Justin Kluivert.

    En corbeille, des scènes tout aussi lunaires. Sous les yeux de José Cobos, ex-joueur niçois, le président Jean-Pierre Rivère s'écharpe avec Pablo Longoria et Jacques Cardoze, le directeur de la communication de l'OM, l'Espagnol aurait manqué de respect à sa femme. Le président marseillais réfute cette version. Du côté du parcage visiteurs, une partie des supporters de l'OM a couru de tous les côtés pendant les scènes sur le terrain. Mais elle a été contenue par les forces de l'ordre, qui ont utilisé des gaz lacrymogènes, et les stadiers.

    Le préfet pour une reprise, la volte-face de l'arbitre

    Pendant que les joueurs rentrent au vestiaire, Rivère file déjà vers le bas du virage sud pour échanger avec les supporters et tenter d'apaiser le climat. Tout le monde est retourné à sa place en tribune, il n'y a plus d'intrus sur la pelouse. Puis le président niçois revient rapidement vers le couloir des vestiaires, où résonnent encore les éclats de voix de Jorge Sampaoli, qui ne décolère pas. « Vous êtes fous, vous êtes fous ! », crie l'entraîneur marseillais en direction du corps arbitral, pendant que Galtier, silencieux, observe la scène avec un regard dépité. L'arbitre convoque les deux capitaines, les deux entraîneurs, les présidents, le délégué de la LFP, et la réunion dure un peu, le temps que chacun expose sa position. Elle est très claire : Nice veut finir le match, alors qu'il reste un quart d'heure à jouer, plus le temps additionnel ; l'OM ne veut pas revenir sur le terrain. Et l'arbitre ? « L'arbitre m'a dit en face qu'il voulait arrêter définitivement le match, et il l'a noté sur le rapport », raconte Longoria.

    Selon des sources à la Ligue, M. Bastien, décideur final, indique effectivement qu'il ne souhaite pas que le match se poursuive parce que, s'il reprend, il y aurait un problème d'équité sportive : il aurait été obligé de sanctionner Dimitri Payet et Alvaro Gonzalez pour leur attitude juste avant les débordements et donc, très probablement, de les expulser. Pourquoi décide-t-il d'une reprise de la rencontre, alors ? Parce qu'il suit la volonté du préfet, Bernard Gonzalez, favorable à une reprise pour des questions de sécurité et d'ordre public : il juge risqué d'évacuer les 32 000 personnes présentes, alors que l'excitation est à son comble, et il le fait clairement savoir, par téléphone. M. Bastien note donc dans son rapport qu'il a souscrit à la recommandation du préfet, en précisant qu'elle est soutenue par la commission des compétitions de la LFP. Du côté de la Ligue, on colle en effet à la position de la préfecture, en précisant que c'est bien à l'État de retrouver les fauteurs de troubles.

    Cinquante-cinq minutes après l'interruption du match, Rivère retourne au pied du virage sud et intime aux supporters de bien se tenir : « Je leur ai dit qu'il était hors de question qu'il y ait le moindre événement pendant les quinze minutes qu'il reste, explique-t-il. Les recommandations que l'on a eues, c'était : "reprenez le match, c'est beaucoup moins dangereux que de l'arrêter". C'est pour ça que j'ai dit à mon confrère marseillais (Longoria) : "Écoutons les spécialistes, reprenons et on verra ce qui se passera". » Sauf que, à ce moment-là, les Marseillais ne sont plus du tout dans cet état d'esprit : ils ne remettront plus les pieds sur la pelouse, laissant les joueurs niçois et les arbitres acter la fin de la rencontre dans un simulacre de coup d'envoi à onze contre zéro.

    Des joueurs au président, la délégation marseillaise contre un retour sur le terrain

    À leur retour dans le couloir des vestiaires, juste après la rixe, les joueurs marseillais sont dans un état de nerfs évident. Très remonté, Alvaro hurle en espagnol et dénonce : « Eso no puede pasar ! » (« Cela ne peut pas arriver »). Furieux lui aussi, Jacques Abardonado s'en prend à l'arbitre, alors que Guendouzi s'énerve : « On n'a jamais vu ça ! » À côté de lui, Luan Peres passe devant l'arbitre puis devant le délégué et tente de leur montrer les marques rouges sur son cou. « On avait l'impression qu'il s'était battu avec un lion, c'était impressionnant », raconte un membre de la délégation olympienne.

    Dès les premiers instants, les Marseillais ne sont plus dans l'idée de reprendre le match, Guendouzi a la lèvre et le cou rougis, lui aussi, et Payet porte la marque de la bouteille qu'il a reçue dans le haut du dos, sous un tatouage dédié à sa femme Ludivine. Calme dans la tempête, Mandanda, le capitaine, ne veut pas retourner sur le terrain et le fait vite savoir dans son vestiaire. Son président est sur la même longueur d'onde : « On ne se sentait pas en sécurité donc il n'y a pas eu de débat entre nous, témoigne Pablo Longoria. J'ai vu des matches de football dans le monde entier, et je n'avais jamais vu ça. Ce n'est pas normal que, quand tu tires un corner, tu prennes vingt bouteilles d'eau. Notre sécurité n'était pas assurée. Si on avait égalisé, comment serait-on sortis du stade ? »

    Pendant que Sampaoli peine à se calmer, Longoria indique clairement la position de son club, alors que le match est interrompu depuis une vingtaine de minutes : « On ne joue pas ». Des membres du staff de l'OM viennent récupérer les affaires restées sur le banc de touche, les joueurs filent sous la douche puis montent dans le car. Avant de partir, Mandanda répond au média du club : « Les supporters qui rentrent sur la pelouse, c'est inadmissible, dit-il. On s'est retrouvés en danger. On ne peut pas retourner sur le terrain parce qu'on ne se sent pas du tout en sécurité. »

     

    La décision de reprendre le match est tombée, mais les Marseillais ne la suivront pas. « Ce n'est pas une question de gagner ou de perdre, c'est une question morale, estime Longoria. Nous ne pouvons pas accepter certaines choses. En Coupe d'Europe, si des événements pareils se produisent dans un stade, le club est suspendu pour plusieurs saisons. Ce match aurait dû être arrêté parce que ce qui s'est passé est inacceptable et si nous reprenons, nous créons un précédent pour le foot français. »

     

    La partie sur la décision de l'arbitre de ne pas reprendre et la pression de la préfecture et de la Ligue est hallucinante...

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  4. J’aime pas l’OM mais là c’est juste pas possible ce qu’il s’est passé.

    Si Nice s’en sort avec le match gagné sur tapis vert c’est honteux…

    En tout cas on ne peut que féliciter Longoria d’avoir pris cette décision et de son discours ensuite. Et honte sur Rivere, il ne vaut pas mieux que ses supporters. Je me demande s’il serait revenu en tribune après s’être fait étranglé lui.

    J’espère que Nice va prendre bien cher…

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  5. Pour rebondir sur son intelligence de jeu, il a y moment où il laisse volontairement passer la balle pour un de ses coéquipiers sur une contre attaque, ce qui déstabilise immédiatement la défense adverse. Ça m’a marqué parce que c’était exactement ce qu’il fallait faire à ce moment là.

    J’aime beaucoup son profil et j’ai hâte de le voir un peu plus longtemps sur le terrain !

  6. il y a 50 minutes, Labinocle81 a dit :

    Autant sur les notes je partage votre incompréhension, je ne sais pas si c'est le fait d'un homme (ce que je crois) plus que la moyenne d'une rédaction mais certaines semblent incohérentes.

    Rouault/ Gabrielsen ça vaut a minima la même note, Bangré est sur noté,etc..

    A mon époque c'était bien les notes d'une seule personne et ça râlait déjà en interne sur les désaccords (Sylla se faisait quasiment toujours tailler et ça avait le don de m'insupporter).

    Une moyenne de la rédaction serait largement mieux mais je ne pense pas que ça soit le cas malheureusement.

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  7. il y a 1 minute, tfcweb a dit :

    Mbappé a bien fait comprendre qu’il souhaitait partir et le président du psg a été clair sur le fait que la prolongation a été refusé pour le moment.

    A une autre échelle, le psg ne peut également pas se permettre de s’assoir sur 100M minimum.

    Pour moi les situations sont quasi identiques avec deux présidents qui réagissent différemment.

    Je ne sais pas d’où tu sors cette information, il n’a jamais été dit officiellement que Mbappé souhaitait partir ni que la prolongation a été refusé, il est toujours en réflexion.

    Les torchons des transferts peuvent raconter ce qu’ils veulent, tant que ni le joueur ni le PSG ne se sont exprimés ce ne sont que des rumeurs.

  8. il y a 15 minutes, tfcweb a dit :

    Pour revenir au président, je suis pour ma part très déçu de son attitude globale; les commentateurs ont le droit d’aller voir Adli ! ça fait vraiment gestapo.

    Ça plus le fait de le mettre de côté. Mbappe dans une situation pas si différente était lui bien titulaire hier.

    Non ils n’ont pas le droit et c’est justement ce qui leur est reproché.

    M’bappé est dans une situation très différente, il n’a jamais dit qu’il souhaitait partir ni refusé de prolongation pour le moment. Et le PSG n’a pas besoin d’argent.

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  9. il y a 29 minutes, chubee a dit :

    C’est surtout que tu veux qu’il aille où ?? Il serait bon il partirait en L1!

    faut arrêter avec l’attachement. Il aurait le niveau pour au dessus y a lgtps qu’il y serait parti. 

     

    Tu as lu l’article de La Dépêche posté juste au-dessus ? :ninja:

     

    Citation

    « C’est mon club formateur, et le club que je supporte depuis tout petit, donc ça représente beaucoup, je suis très fier de porter ce maillot » posait-il encore cette semaine en conférence de presse. Courtisé par de nombreux clubs, à l’étranger mais aussi en Ligue 1, comme Montpellier, Saint-Etienne ou Nantes, le défenseur central voulait rester à Toulouse, en dépit de certaines considérations financières.

     

    La bonne nouvelle du jour pour moi en tout cas :)

  10. à l’instant, MimiTFC a dit :

    Oui parce qu’ici, le forum au global, en fait vous 10 vous parlez + du site que des autres infos. L’esprit communauté ;)

     

    tu as totalement le droit de t’exprimer surtout si c’est positif, je lis bien tout. mais du coup, comme tu n’iras plus, tu ne diras plus rien 💪 Ou alors tu iras, mais sans le dire. Comme tout le monde 

    J'ai rien compris à ta première phrase.

    Ayant écrit sur le site pendant plus de 2 ans, je pense que j'ai le droit de m'exprimer sur ce que je pense de leur évolution et d'en être encore plus déçu que ceux qui étaient "juste" lecteurs.

    Tu ne serais pas un rédacteur du site qui n'assume pas de le dire par hasard vu comme tu passes ton temps à les défendre ?

    • Top ! 3
  11. il y a 19 minutes, MimiTFC a dit :

    😂😂😂

    C’est bon, les 10 mêmes commentateurs ici y sont allés de leur critique. « Je n’y vais plus ». « C’est fini ». « C’est lamentable. » « Complotisme » 😂 Alors qu’au fond, vous y allez sur ce site H24 😉

    Les mêmes en boucle depuis X temps. L’édito fait plus de messages que l’info en elle même ici. 

    On peut passer à autre chose.

    On parle du site sur le sujet qui le concerne, si ça ne t'intéresse pas tu peux aller lire un autre sujet.

    Pour info, c'est la première fois que je dis que je n'y mettrai plus les pieds. Jusqu'à présent je me permettais de déplorer certaines choses tout en disant qu'il y avait encore des articles intéressants qu'ils devraient développer. C'était de la critique constructive. Mais pour savoir ça il aurait fallu que tu lises le sujet depuis plus que les 2 dernières pages.

  12. il y a 26 minutes, flibustier a dit :

    Il ne faut pas s'indigner de la position du site des violets. Le principe de l'édito c'est justement d'être subjectif. Ils n'avancent pas masqués et affichent clairement leur opposition à Comolli. Ça permet au lecteur de relativiser les articles, il faut arrêter de croire que les gens prennent toutes les infos de ce site pour argent comptant.

    Ce qu'on peut regretter par contre c'est de ne pas avoir laissé de tribune pour les adeptes de l'antithèse.

    Çe qui aurait été intéressant de faire (comme à une époque je crois) c'est de présenter, en duel, dans un même article, les positions contraires avec leurs arguments respectifs, en donnant éventuellement la possibilité aux lecteurs de voter pour l'une ou l'autre. Ça aurait au moins créer du débat, des échanges et des dialogues constructifs au sein même du contenu du site. Et d'un point de vue journalistique, ça aurait créé du clic et de l'appel à action. Ce n'est pas trop tard pour l'organiser...

    Mais bon, de toutes les façons  on a déjà nos certitudes sur la question.

    Le souci c'est que là l'édito est signé "Rédac" donc ça va être difficile de trouver une antithèse :ninja:

    Comme Asha31, j'ai un gros doute sur le fait que tous les lecteurs relativisent les infos. Pour certaines personnes ce site est la seule source d'information, dès lors il devient facile de prendre tout ce qui est écrit pour argent comptant.

    Mais je comprends très bien la logique derrière la position du site : la direction ne leur donne aucune info, les agents et proches de joueurs oui. Dès lors il devient très facile et tentant d'aller toujours dans le sens de ces personnes afin d'avoir plus d'infos. S'ils avaient le malheur de faire des articles plus nuancés, leur principale source d'info viendrait à se tarir et ça signifierait moins de visites. C'est tout aussi cynique que la situation entre Adli et le club...

    Par ailleurs la position de certains rédacteurs (notamment Arthur machin pour ne pas le nommer) me fait bien rire. D'où est-ce qu'il se permet de dire que Comolli ment sur les offres de transfert ? Jusqu'à preuve du contraire, seuls la direction du club et les clubs intéressés connaissent la vérité sur les offres et leur montant, le reste c'est de la littérature.

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    • Top ! 5
  13. Cet édito qui veut se faire croire impartial était la goutte d’eau de trop. Un article qui aurait repris le propos des messages d’Asha, en expliquant qu’il n’y a pas de méchant ou de gentil, aurait été tellement plus logique et valorisant pour le site.

    Il reste des articles intéressants mais vu l’ego et la partialité de certains membres de l’équipe rédactionnelle c’est plus possible. Un jour le retour de bâton risque de faire mal.

    C’est fini pour moi lesviolets.com et ça m’attriste :( Bon vent a eux quand même.

    • Top ! 4
  14. Il y a 2 heures, arno31 a dit :

    Ben alors pourquoi ils le prolonge pas ?

    Parce que le nouveau règlement de la Liga les en empêche en limitant la masse salariale.

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  15. il y a 31 minutes, Labinocle81 a dit :
    Le parallèle est intéressant.

    Pas vraiment d'accord avec ça, France Bleu ce sont des journalistes avec un traitement de l'info tout autre qu'un site de fan.

    Si les toutes infos étaient traitées plus sérieusement et impartialement par Les Violets (donc pas dans le sens qui les arrange), pour les mêmes infos il n'y aurait pas eu les polémiques qui ont suivi cette année.

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  16. On ne parle pas de rêve, c’est toi qui dit que les meilleurs joueurs de L2 ont quasiment tous eu une carrière minable, ce à quoi je te réponds, c’est tout.

    Pour en revenir au sujet principal, je souhaite le meilleur à Adli et je pense qu’il a le potentiel pour faire de grandes choses. Mais même s’il venait à ne pas aller plus haut que de bons clubs de L1, on pourrait déjà dire que sa carrière est amplement réussie.

    Il n’y a rien à lui reprocher dans son attitude ou sa gestion de carrière. Il a prévenu le club depuis un moment qu’il souhaitait partir et malgré ça il se donne toujours à fond. S’il souhaite jouer en L1 et préfère attendre une offre, on ne va pas le forcer à partir non plus.

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  17. il y a 49 minutes, Niko a dit :

    Mais il faut arrêter de prendre des exceptions, la majorité des joueurs de cette liste ont ou ont eu une carrière bidon. C’est juste un constat.

    Et encore une fois, c’est quoi une carrière bidon ?

    Plusieurs saisons de L1, tous les joueurs de L2 sans exceptions en rêvent !

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