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Tout ce qui a été posté par marco
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Ils l'ont déjà fait.
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J'ai pris depuis 10min, ils ont l'air confiant..après plus les communiqués tardent à venir, plus c'est bon pour eux.. Faut voir le passage à la DNCG en suivant. Ca va trop durer cette histoire
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Magloire ?
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Quel homme cet Adri.
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Après me fais pas dire ce que j'ai pas dit Suis pas fan d Healy aussi...
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78% d'abstention dans le centre est. Propre
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C'est quand même le critère premier d'un attaquant
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Lupin, définitivement une bouse. Incompréhensible, cette hype...
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Chez moi c'est bien la poste
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Pour une trentaine de buts à eux 2.
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Il y a les phases finales du top14, peuvent pas être partout.
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Honnêtement, ça fait de la peine pour les employés pris en otage... Mais les langues commencent à se délier..
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"J’aurais aimé terminer ma carrière au TFC" regrette Sébastien Dewaest, non conservé par le club Sébastien Dewaest tire sa révérence à Toulouse. DDM - XAVIER DE FENOYL / Le défenseur belge, 30 ans, se serait bien vu prolonger l'aventure sur les bords de la Garonne. Arrivé en janvier dernier dans la Ville rose, en provenance de la première division belge, les dirigeants toulousains n'ont pas levé l'option d'achat. Le joueur reconnaît qu'il n'a pas été irréprochable. L’information a été confirmée par le président Damien Comolli lors d’une réunion avec les groupes de supporters des Violets : Sébastien Dewaest ne sera pas un joueur du TFC la saison prochaine. En cause, un prix trop important pour s’attacher définitivement les services du défenseur central belge, qui était seulement prêté à Toulouse pour six mois par le KRC Genk. Le joueur de 30 ans formé au Losc, puis passé par Roeselare (3e division belge), Charleroi puis Genk (1re division belge), va donc, dans un premier temps, retrouver son club avant de, peut-être trouver un nouveau point de chute et un nouveau challenge. S’il n’a pour l’heure que peu d’idées sur sa prochaine destination, Sébastien Dewaest nous a assuré une chose : "J’aurais vraiment aimé prolonger l’aventure ici, à Toulouse. C’était ma première expérience à l’étranger en tant que professionnel, et je me suis senti très bien dès mon arrivée au TFC." "Je ne suis pas quelqu’un qui aime changer souvent de club" Au point, même, d’envisager encore plus : "À vrai dire, je me serais bien vu terminer ma carrière ici… Pouvoir apporter mon expérience aux plus jeunes joueurs, c’est quelque chose qui m’aurait plu à Toulouse." D’autant que le défenseur belge, qui a pris part à 16 matchs cette saison avec le Tef, nous assure "ne pas être quelqu’un qui aime changer souvent de club." À Toulouse, Sébastien Dewaest laissera à coup sûr l’image d’un joueur toujours proche des supporters, même en ces temps de pandémie. Quelques semaines après son arrivée, le Néo-Toulousain nous avait accordé une interview à ce sujet, expliquant avoir toujours eu cette envie de partager avec les fans : "C’est important. Ce sont des gens qui payent pour venir voir les matchs, qui prennent de leur temps pour nous encourager, et nous, ça ne nous coûte rien de discuter un peu, de prendre des photos. Je n’ai aucun problème à discuter avec des inconnus et leur envoyer des maillots." Mais si au cours de ses six mois passés sur les bords de Garonne, Sébastien Dewaest a été le chouchou de beaucoup, il a également fait grincer des dents certains aigris, qui ont parfois reproché cette accessibilité envers les supporters pour remettre en cause ses performances sur le terrain. Drôle d’argument. "Sur certains matchs, je suis passé au travers" Mais le Belge est le premier à le reconnaître : tout n’aura pas toujours été rose sur le terrain pour lui cette saison :"Je ne cherche pas à me mentir. Sur certains matchs, je suis passé au travers…" Assez pour garder une interrogation dans un coin de la tête : "Peut-être que si j’avais enchaîné les tops matchs, le dénouement aurait été différent, peut-être que le club aurait pu faire un autre choix, malgré l’obstacle financier." Mais il ne faut pas compter sur Sébastien Dewaest pour trop gamberger : "Cela peut être difficile de se dire à soi-même que l’on n’a pas été bon, mais c’est aussi comme ça qu’on apprend, qu’on avance. Je n’ai jamais eu de regrets dans ma carrière, et je retire toujours du positif de mes expériences" avance ce grand fan de Philippe Mexès. Le voilà désormais sur un autre chemin, prêt à rebondir. https://www.ladepeche.fr/2021/06/18/ligue-2-jaurais-aime-terminer-ma-carriere-au-tfc-regrette-sebastien-dewaest-pas-conserve-par-le-club-9615638.php
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Boom.
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Girondins de Bordeaux, le feuilleton du rachat continue Malgré la fusion des projets Gérard Lopez-Pascal Rigo, l'avenir des Girondins continue de s'écrire en pointillé : aucune offre n'a pour l'instant été à la hauteur. Gérard Lopez a fusionné son projet de rachat avec celui de Pascal Rigo. (P. Lahalle/L'Équipe) Ce n'est pas encore la garantie que Bordeaux est tiré d'affaires. Il suffit de se référer au communiqué publié jeudi par les Girondins pour constater à quel point la situation du club reste précaire : alors que l'ancien propriétaire du LOSC Gérard Lopez et l'entrepreneur Pascal Rigo avaient officialisé quelques heures plus tôt dans un communiqué commun leur décision d'unir leurs forces, le club a tenu à préciser qu'aucun des trois candidats à avoir formulé une offre lundi n'avait profité du laps de temps que leur avait octroyé la banque Rothschild pour affiner leur proposition. Le délai expirait jeudi à 14h00, et ni Rigo, ni Lopez ni l'ancien directeur exécutif de la Ligue Didier Quillot n'ont jugé bon d'en tenir compte. Le plus inquiétant a été de constater que les trois repreneurs potentiels n'avaient jusque-là pas présenté de garanties suffisantes « sur leurs capacités de financement, critère indispensable pour assumer les besoins opérationnels du club et satisfaire aux exigences posées par la DNCG ». Dans le cas de Quillot, c'est une demi-surprise : comme indiqué dans nos colonnes (L'Équipe de jeudi), l'ancien patron d'Orange a exigé de King Street qu'il respecte ses engagements pris devant la DNCG au mois de juillet 2020, à savoir remettre les capitaux à zéro d'ici le 30 juin. Non seulement le fonds d'investissement n'en a pas l'intention mais il n'a pas non plus apprécié qu'on lui mette la pression. Lopez-Rigo, une question de temps ? Concernant le duo Lopez-Rigo, il faut espérer, dans l'intérêt du club, que cela ne soit qu'une question de temps. Comme révélé dans L'Équipe, l'ancien patron de Lotus juge le timing serré pour boucler la vente. Il a fait appel mercredi à la boîte d'audit KPMG pour effectuer une contre-expertise par rapport aux chiffres fournis dans la data room - la chambre de données informatiques où sont stockés les documents relatifs aux comptes du club. Si l'on se fie au communiqué, il est désormais permis de s'interroger sur sa capacité à trouver les financements bancaires à temps. Il en est de même pour Rigo. lire aussi Le duo Gérard Lopez-Pascal Rigo optimiste malgré un timing serré Le temps dira si les doutes étaient fondés mais il ne joue pas nécessairement en faveur des potentiels repreneurs. Ils ne sont visiblement pas prêts, et ce n'est pas innocent si les Ultramarines ont alerté sur le risque d'un possible redressement judiciaire. Ce n'est pas forcément la tendance : selon nos informations, King Street mais aussi... Fortress ont récemment remis au pot pour continuer à assurer le train de vie du club et éviter à tout prix que son avenir se joue devant le Tribunal de Commerce. Lyon et Toulouse suivent l'affaire de près Si c'était le cas, le principal bailleur du club tirerait un trait sur la dette qui lui est due (38M€ plus les intérêts annuels estimés à 3,705M€). Sportivement, les conséquences ne seraient pas neutres non plus : si la Ligue a voté en Assemblée générale un amendement qui permettrait aux Girondins de ne pas être automatiquement rétrogradés en cas de procédure de sauvegarde ou de redressement judiciaire, la DNCG a le pouvoir de casser cette décision au nom de l'équité sportive. Lyon mais surtout Toulouse - qui serait le principal bénéficiaire d'une descente de Bordeaux - sont attentifs à l'évolution du dossier : après avoir contracté des emprunts pour couvrir son déficit lié à la pandémie de Covid-19, l'OL ne comprendrait pas que Bordeaux puisse effacer sa dette tout en assurant son maintien. Le cas bordelais devra quoi qu'il arrive être tranché avant le 23 juillet et la reprise de la Ligue 2. Alors que Quillot ne devrait pas retoucher à son offre, le tandem Lopez-Rigo a tout intérêt à aller vite désormais pour donner des garanties concernant la solidité de l'attelage : « Nous sommes convaincus que notre association permettra, dans un premier temps, de sortir le club des difficultés dans lesquelles il se trouve actuellement et, à moyen terme, de permettre à cette institution de retrouver un niveau de performance conforme à son histoire », ont-ils écrit jeudi. Derrière les bonnes paroles, les Girondins attendent désormais des actes.
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Ils auraient un nouveau délai... Bien sur mais on y prend un malin plaisir à les voir trembler 🤤
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Cet orage de dingue
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C'était hier ça. Depuis la fusion avec Lopez, ils sont plus optimistes..j'ai mis la vidéo pour Quillot, qui a toujours des connivences avec quelques dirigeants à la ligue et à la DNCG..
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La DNCG, ça marche bien au copinage..écoutez ce passage sur quillot et la DNCG 🤤