Je vais vous raconter, avant de vous quitter l'histoire, d'un p'tit village près de Napoli. Nous étions quatre amis, au bal tous les samedis à jouer, à chanter toute la nuit. Giorgio à la guitare, Sandro à la mandoline, moi je dansais en frappant du tambourin. Mais tous ceux qui venaient, c'était pour écouter, celui qui faisait battre tous les curs. Et quand il arrivait, la foule s'écriait : "Arriva, Gigi l'Amoroso, croqueur d'amour, l'il de velours comme une caresse, Gigi l'Amoroso toujours vainqueur, parfois sans cur, mais jamais sans tendresse". Partout, c'était la fête quand il chantait "zaza, luna caprese, o sole mio".
Dalida.
EDIT : En fait je suis revenu viteuf, j'ai fait un peu de muscu en écoutant Dalida.