en_congés

Le club représentatif, de 2002 à 2008, était le Paris Saint-Germain. Il faut en effet se rappeler qu’à cette période, le PSG, malgré son statut de troisième club le plus riche du pays, ne cessait de décevoir avec des performances plus que catastrophiques. Lors de la saison 2007-2008, le club s’est même sauvé de la relégation à la toute dernière journée, suite à une victoire contre Sochaux, après un but marqué à la 79e minute par l’attaquant Amara Diané. Nous sommes très loin des succès d’aujourd’hui. Particularisme hexagonal Mais alors que s’est-il passé ? Élisé Wendlassida Miningou et Valérie Vierstraete, dans le même article, précisent que le football français, dans les années 2000, était très particulier, contrairement aux autres championnats du « Big Five ». Incapable de garantir une efficience entre l’économique et le sportif, il présentait une intensité et un équilibre compétitif plus important que la moyenne européenne. À cette époque, des grosses écuries, comme Paris ou Marseille, avaient du mal à confirmer, alors que des petites équipes, comme Nancy, Auxerre, Lens ou Toulouse arrivaient à truster les premières places. Pour Wendlassida Miningou et Vierstraete, « l’inefficience semble plus attribuable à des problèmes managériaux qu’à des problèmes liés à la taille des clubs ». Aurions-nous des problèmes ou des retards de coaching en France qui font que, malgré l’argent, nous serions incapables de performer sportivement ? D’après Alexandre Marles, préparateur physique et statisticien de formation, « en France, on n’a pas de Mourinho, Guardiola ou Ancelotti : la plupart des coachs entraînent encore comme dans les années 80. […] Si au bout de dix journées, tu vois que les trois premiers, dont Nice, ont des entraîneurs et des joueurs passés par l’étranger, ce n’est pas un hasard ». À l’étranger, cette efficience est bel et bien présente. En Angleterre, par exemple, il n’y a eu que 5 champions différents sur 20 ans, en Espagne, 90 % des titres ont été remportés par les trois équipes les plus riches entre 1990 et 2010. En Italie, la donnée tombe à 84 %, 75 % en Allemagne et seulement 60 % en France. La France dans le moule Mais les choses sont-elles en train de changer ? En 1999, les économistes Kuypers et Szymanski avaient mesuré la corrélation entre la masse salariale cumulée des équipes de Premier League, le championnat d’Angleterre, et leurs performances sportives globales entre 1978 et 1996. Le lien dépassait les 90 %. L’économiste français Bastien Drut a alors appliqué la même méthodologie que Kuypers et Szymanski au Championnat de France, entre les saisons 2006-2007 et 2013-2014, soit sur une autre périodicité que l’étude de Wendlassida Miningou et Vierstraete. Que trouve-t-il ? Que la corrélation, alors qu’elle était caractéristique d’une très faible efficience, entre 2004 et 2008, est montée à 85 %, soit quasiment autant que le championnat d’Angleterre. La France serait donc rentrée dans le moule et aurait réussi à outrepasser ses problèmes de management pour assurer une parfaite efficience économique et sportive. Drut le souligne ainsi : Efficience et absence de suspense C’est l’affirmation même de la théorie du salaire d’efficience appliquée au football. Développée par les économistes américain Joseph Stiglitz et Carl Shapiro, cette théorie suppose une causalité directe entre rémunération et productivité individuelle. « Payez mieux vos salariés, ils augmenteront leurs compétences et leurs efforts à la tâche », affirment-ils dans leur article de 1984. Dans le foot, finalement, c’est pareil : les meilleurs clubs payent cher les meilleurs joueurs qui permettent, en retour, d’avoir les meilleurs résultats et de rester meilleurs. Paris et Monaco l’ont très bien compris. Seulement, le risque, avec la réalisation de l’efficience, est de voir disparaître l’intensité et l’équilibre compétitif des ligues, le suspense et le hasard. L’économiste Nicolas Scelles, auteur d’une thèse en 2009 sur l’incertitude du résultat des ligues sportives professionnelles, reconnaît un lien évident entre la demande du public et l’équilibre compétitif. Si un match est gagné d’avance, si un classement est déjà connu, seulement à partir de la hiérarchie économique, quel serait l’intérêt d’aller au stade, de regarder les matchs et de s’intéresser au football ? La France, jusque-là, était épargnée par ce principe, mais avec l’affirmation des géants parisien et monégasque, l’attractivité diminue et l’affluence faiblit. D’après les derniers chiffres de la Ligue de football professionnelle, la baisse est de 11 % entre cette saison et la saison dernière, malgré un Euro joué en France et la construction de nouveaux stades. On ne peut que s’inquiéter de ce phénomène et même aller jusqu’à dire, comme le magazine So Foot du mois de décembre, « Sommes-nous en train de tuer le foot ? » https://www.sportune.fr/sport-business/football/classement-final-de-ligue-1-compare-aux-budgets-des-clubs-285031/2 mouais...

Infaillible Ah! ah!

Le genre de joueur que tout le monde veut, et qui par la force des choses sont très cher, non ?

Il mesurait combien ?

Y a eu des vocations créées par le topic baise ?

Trop de taf de tirer le thème astral du stig. Il a pas pu anticipay la vanne.

Pour revenir sur le sujet Zanden avec @Coolbool, @ClarkGaybeulet @JR31, je n'ai pas dit qu'il ne fera rien au TFC. On est absolument d'accord sur le fait que les matchs amicaux ne sont pas représentatifs des saisons à venir, sinon Mihai Roman aurait fini au Real. Ensuite, je me doute qu'on a pas recruté un Aurier ou un Azpilicueta. Donc je reste mesuré sur mes attentes. Et je suis le 1er à aller remonter les avis très mesurés de notre oracle dès les 1ères minutes d'une recrue , puis ceux totalement à l'opposée sur le même joueur 6 mois plus tard venant de la même personne. Donc si dans 6 mois, il se montre un joueur impeccable, je serai le 1er content que l'on me quote, c'est qu'il aura rassuré. Mais quand je dis que je ne l'ai pas trouvé rassurant sur la 1ère mi temps, je ne dis rien d'autre. Qu'il ait besoin de temps pour les automatismes, c'est normal. Encore que sur le jeu court, il s'en sortait plutôt bien. Sur ses appels offensifs, il était également inspiré. Par contre : - sur les centres... On avait l'impression qu'il hésitait, peut être qu'il ne voyait pas de coéquipiers dans sa zone de réception habituelle. Au lieu de tenter le centre, au final, il temporisait, et attendait du soutien. Dommage quand il a réussi à faire la différence grâce à son appel de s’arrêter. Automatismes ou intelligence de jeu, ou volonté de ne pas perdre la balle, va savoir. Un peu agaçant, j'attends peut être quand même trop de hourra football... - son jeu aérien... C'est surtout ça qui m'a fait flipper chez lui. En 1ère mi temps, il se place pour intercepter des longs ballons adverses de la tête, il va tenter de sauter... et non en fait, il comprend que ça va passer plus haut. Trop tard, le petit 20 clermontois est déjà loin dans son dos. Bon, on va se dire que c'est parce qu'il avait le soleil dans les yeux à ce moment (de la place ne tribune où j'étais, c'était assez pénible ce soleil très bas bien dans l'axe du terrain...) - son vis à vis. Le petit 20 clermontois était un vrai bolide. En 4-2-4, il n'y avait personne pour couvrir Zanden en cas de jeu un peu haut des violets. Et c'est comme ça qu'on prend le 2ème but (même si on était passé en 433 à ce moment, avec (?) en milieu gauche). Je ne dis absolument pas que ce but lui est 100% imputable, parce que ce n'est pas lui qui rate la passe, ni qui est censé enfiler les gants. Mais sachant que son vis à vis est capable de le mettre à la rue, que dis je, à 3 ou 4 patés de maison le temps de cligner des yeux, et qu'il n'a pas un des milieux ou un DC capable de se décaler, il aurait peut être pu estimer monter un peu moins ou prendre moins de risques. Peut être que les consignes du coach allaient dans ce sens, ça fonctionnait pas trop mal en 1ère. L'adversaire s'est juste adapté (et le soleil s'était couché, donc lui, il était pas emmerdé), le physique et le mental des DC ou la disparition de Genreau, qui étaient ses circuits préférentiels... Donc voila, je ne dit pas qu'il est nul, on va laisser sa chance au produit, mais j'avais l'impression de voir plus un "volante" brésilien qu'un pur latéral droit. Mais bien entendu, j'espère qu'il saura se montrer au niveau L1, avec un temps d'adaptation plus ou moins long. Un déménagement, dans un pays étranger, un football d'un autre niveau, une autre langue, ça ne se digère pas en 1 semaine, et ça s'en ressent forcément sur les prestations, même inconsciemment.

Bon les stratèges de Ferrari par contre...

Le must de la condescendance, c'est l'arbitre du 2eme match d'hier, qui ramasse la chaussure du toulousain, et qui lui jette à 50cm de sa gueule alors que le mec se tord de douleur.

Ce dépassement par Leclerc

C'est bien de parler de Costa, qui pourrait peut être jouer en MD plutôt que DC. Le 4-2-4, faut oublier par contre. Les latéraux ne sont pas couverts en cas d'interception sur leurs montées (et le 20 clermontois galopais plutôt bien sur son aile droite, comme sur le 2nd but), et les ailiers adverses se retrouvaient totalement esseulés sur les dégagements de leur gardien (qui n'en a qu trop rarement profité). Genreau et Skytta ont été intéressants sur leur temps de jeu. Quand Genreau est sorti, le contrôle de la balle au milieu s'est quelque peu évanoui, Skytta (il a encore taffé la musculation ?) a amorcé quelques mouvements... mais pour l'un comme pour l'autre, difficile de se faire une place de tout en L1.

Je suis sur la.partie droite de la tribune, quasi à la perpendiculaire. Et personne n'a trouvé ça scandaleux.

Oui oui et bien. Ahh un joli tacke de Zanden

Youpi...

Oui j'ai relu. Je commence par "rassurez moi". Et j'ai écrit ensuite que je l'ai pas trouvé rassurant Bon bref, l'avenir nous le dira. Ou @Ibarra.

La blague pas peno...

Il est juste pas rassurant sur ce qu'il a fait en 1ere. C'est pas du bashing non plus.

Non mais on est bien d'accord. Ça reste un match de prepa. Mais comme on dit, on a rarement 2 fois la chance de faire une 1ere bonne impression. Et la, c'est pas des plus rassurant. On verra sur un vrai terrain.

Ok, pour les automatismes etc... mais le mec est censé être prêt physiquement, sauf qu'il est à la rue défensivement, et qu'il n'apporte pas grand chose offensivement. Le seul point positif, ce sont ses appels et placements à la limite.

Putain... mais le Zanden qui joue, c'est pas lui qu'on a recruté quand même ?

J'ai espère que les "titulaires" jouent le match de 20h, je suis allé à la balneo avec Mme, ça faisait partie du deal

Et la data estimait oeut être qu'il ne les valait pas

Y en a qui y vont du coup ?

il manque le 🍆 à côté

Ou la réponse D