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gnafron

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Tout ce qui a été posté par gnafron

  1. ...je sais que je n'ai aucune chance donc je ne me risque même pas à cette périlleuse entreprise.
  2. Que c'est triste, tu me déchires le coeur. Je n'avais plus autant pleuré depuis ma dernière écoute de la formidable chanson d'Hervé Vilard "Capri c'est fini".
  3. Source: Courrier international qui reprend des artiles du Daily mirror et de The Observer le 19 mars 2004.
  4. Je floode trop en ce moment. Je pars.
  5. :modeDeschamps On: Au contraire je dirai que c'est un topic qui recèle de véritables qualités techniques ainsi que tactiques. :mode Deschamps OFF:
  6. Mais moi aussi je t'apprécie (parfois)même si souvent tu m'exaspères (=énerve). Par exemple, ta blague sur lille de beauté était d'une subtilité qui m'a agréablement surpris.
  7. Sur l'échelle de l'évolution de l'espèce humaine, même le ma2t est supérieur au boulet charognard qui plus est analphabète et smsophone. PS:C'est un compliment
  8. Tu vois en ces temps troublés, j'en viendrai presque à apprécier ta présence sur le forum.
  9. Courage fuyons vers le bistrot où ils n'oseront pas nous envahir!
  10. Je suis allé à l'entrainement ce soir et il fait vraiment froid.
  11. Concernant mon cas particulier, je t'invite à reconsidérer avec la plus grance célérité la notion de "potes" ou tu risques d'affronter de graves désillusions.
  12. Je souligne la pertinence de la remarque dont on admirera au passage le côté sublime.
  13. Tu as édité ton message petit coquin. Le "niveau orthographe" ne figurait pas dans la première version de ton post.
  14. Au Chili même les tsunamis disparaissent!
  15. Vivement qu'une délégation menée par notre ami Julia vienne tirer tout ça au clair (de la lune).
  16. Pour moi les partiels commencent aussi lundi avec espagnol de 18H à 20H. Bip Bip
  17. Pourquoi les éléphants d'Asie n'ont-ils pas été victimes du tsunami? Car ils étaient en vacances en Suède. Lu dans Charlie Hebdo
  18. Non il y a la variante: Excusez moi je vais peut être passer pour une inculte mais étant de la gent féminine et n'ayant que peu de connaissances dans le domaine informatique je vous saurai gré de me signifier le sens exact de ces lettres dont vous semblez m'affubler. Ca se mange un DC?
  19. La saison des partiels approchant à grand pas, j'éprouve un fort sentiment de culpabilité à chaque fois que je trainasse sur le forum.
  20. Il ne s'agit pas d'un enlèvement mais d'une interception physique indépendante de la volonté de la journaliste ayant pour résultat non pas une disparition mais un retour à son hôtel différé dans le temps. Un vocabulaire adapté et une réactivité rapide sont les deux atouts maitres de la diplomatie française.
  21. D'abord il ne s'agit pas du Point mais de Libé. Si tu préfères avoir une information sur l'Irak aux seules mains des services de presse de l'armée américaine qui ont largement prouvé par le passé leur impartialité et leur déontologie je te laisse assumer ton choix. Présentation par Courrier International d'un journal en Irak créé avec des fonds américains: Tout va bien, la situation est under control, bossez et fermez vos gueules Le métier de journaliste dans une zone de guerre ( car l'irak connait bien une situation de guerre quoiqu'en disent les américains ) est un métier dangereux mais les reporters sont des professionnels conscients des risques. Alors bien sur, on pourra toujours répondre que peut être la prise de risque n'en vaut pas la peine, mais ce n'est pas un avis que je partage.
  22. MAI LAI (Thaïlande), 3 jan (AFP) Les victimes thaïlandaises se sentent délaissées au profit des touristes Les victimes thaïlandaises des raz-de-marée dans des zones isolées se plaignent de voir les secours se concentrer sur les zones touristiques du Sud et atteindre en priorité les étrangers. Des villageois habitant le long de la côte de la mer des Adamans ont déclaré à l'AFP que tandis que leur région avait été balayée par les raz-de-marée meurtriers du 26 décembre, ils ne recevaient que très peu d'aide par rapport à leurs besoins. Une armée de secouristes, soldats et volontaires, par exemple, passe au peigne fin les ruines des zones touristiques à Khao Lak, dans la province de in Phang Nga, où des milliers de touristes ont été tués. Mais dans le village musulman de Mai Lai, moins de 30 km au sud, les efforts des secouristes ont été nettement moins visibles. "Nous avons désespérément besoin de plus d'argent", a déclaré Wantana Phongsangwan, l'un des coordinateurs de l'aide locale à l'AFP. "Ce que nous avons aujourd'hui nous a été envoyé par des gens généreux du coin, mais ça ne fait guère que environ 500 baht (10 euros) pour chaque foyer", dit la jeune femme. "Nous avons eu beaucoup de chance. Sur à peu près 175 maisons, 170 ont été détruites mais le village a enregistré peu de pertes en vies humaines", explique-t-elle en rassemblant des sacs de riz, de l'huile de table et du savon. "Mais cela veut dire que maintenant nous avons beaucoup de gens sans abri ni rien et qui ont un besoin urgent d'assistance". Mme Wantana explique que, le lendemain du tsunami, des responsables du gouvernement sont venus inspecter le village, qui vit essentiellement de l'industrie de la pêche et du latex, mais que l'aide a été bien mince. Le dernier bilan provisoire en Thaïlande de cette catastrophe régionale vient de dépasser les 5.000 morts, la moitié environ de touristes, dont beaucoup de Nord-européens. Sur ce total, 4.004 personnes --dont 2.209 occidentaux-- sont morts dans la province de Phang Nga, dont beaucoup à Khao Lak, une baie surtout réservée à un tourisme haut de gamme pour les étrangers. Au nord de Khao Lak, le village de pêcheurs de Baan Nam Khem aussi a beaucoup souffert et la police avait indiqué dimanche à l'AFP que plus de la moitié des 5.000 habitants étaient présumés morts, une semaine après les vagues géantes. Des bateaux de pêche ont été retrouvés jusque sur les toits des habitations. Des familles ont été décimées et, pour l'instant, les survivants n'ont reçu que peu d'assistance. "Un habitant d'ici a appelé une chaîne de télévision mercredi pour leur dire que tout était détruit mais personne n'est venu", se désole un pêcheur de Baan Nam Khem qui qui se présente sous le seul nom de Nopporn. De l'assistance est venue dimanche, mais sous la forme d'une pelleteuse pour déblayer un endroit afin d'y installer un refuge d'urgence, explique-t-il. A Phuket --perle touristique de la Thaïlande avec ces centaines d'établissements hôteliers-- le ministre de l'Intérieur Bhokin Bhalakula a rejeté les accusations selon lesquelles les secouristes se préoccupaient en premier lieu des touristes. "Ce n'est pas vrai", a assuré M. Bhokin à l'AFP alors qu'il allait à la rencontre de touristes dans une artère de la ville, "je me suis rendu à Baan Nam Khem trois jours de suite et nous nous mobilisons en ce moment pour faire plus" pour cette zone. "Mais ce que nous devons faire avec les touristes c'est restaurer leur confiance, parce que quand ces endroits se seront remis, chaque endroit se remettra aussi", dit-il en référence à l'extrême dépendance de tout le Sud vis-à-vis du tourisme. Lundi, une photo publiée en une du Bangkok Post montrait le Premier ministre Thaksin Shinawatra parlant à des touristes en maillot de bain sur une plage de Phuket, où il est allé rassuré les étrangers sur une reconstruction "en deux mois" de la région dévastée.
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