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kike

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Tout ce qui a été posté par kike

  1. c'est une année de Coupe du Monde... donc c'est cuit pour lui
  2. affaire portée 2 fois en justice, aucune condamnation me semble-t-il ; et opportunément remise en lumière par le très récente OVSSP (fondé par du LFI). Contrefeu ? au fait, Mélenchon jugé et condamné, Chikh jugée et condamnée, Bouhaf jugé et condamné etc... ça veut encore voter LFI/NUPES ? https://jeromegodefroy.medium.com/le-fascisme-sournois-du-signalement-eebee3eb84f6
  3. https://www.radiofrance.fr/franceculture/podcasts/signes-des-temps/comment-etre-de-gauche-en-france-aujourd-hui-6284250
  4. kike

    Rugby 2021 - 2022

    Quel début de feu des irlandais !
  5. bonjour 😎 1 - kike : 1 an, 1 mois et 24 jours 2 - chronos: 1 an, 1 mois et 23 jours 3 - Bebs: 1 an, 1 mois et 18 jours 4 - Zitoun: 294 jours 5 - Ekelund: 10 jours 00h 57m 6 - tititolosa: 8 jours 13h 28m 7 - cd: 6 jours 1h 15 m 8 - Flolynyk: 4 jours 7h 59m 9 - Cad: 3 jours 1h 44m 10 - Floolf: 2 jours 11 - MilGeeking: 1 jour 18h 23m 12 - Sandwich2Ross: 1 jour 1h 27m 13 - Nista: 23h 48m 14 - HaGu: 49m 15 - elkjaer: 33m 16 - Piou: 2m et non, ça ne fait pas 1 an que j'attends.... j'y suis tombé dessus il y a une quinzaine de jours et j'ai fait le calcul
  6. Dommage, il aurait reçu un sacré accueil
  7. kike

    Rugby 2021 - 2022

    oh lala l'essai de Arundell !
  8. C'est un argument donné totalement par hasard, de plus je n'ai pas regardé les conditions d'inscription
  9. Je comprends la position des Indians et des groupes qui ne peuvent/veulent attribuer 85 places alors qu'ils pourraient facilement en faire entrer des centaines ; comment choisir (premier inscrit ? au plus offrant ?) infaisable Je comprends aussi Rodez, c'est un match de gala, de plus hyper important sportivement pour eux, et qu'ils veulent remplir leur stade avec leurs supporters c'est normal ; c'est exactement ce qu'on veut faire pour le match contre l'OM je comprends aussi la position du TFC, qui sachant que de toute façon il y aurait des toulousains qui se présenteraient au match, de vouloir encadrer et que ça se passe "proprement", en concertation avec le club recevant, et en responsabilité Mais il faut aussi comprendre ceux pour qui Rodez serait la seule possibilité de faire un dep ! on peut avoir plein de raisons valables pour ne pas faire des dép lointains, financières, professionnelles, familiales, organisationnelles.... un père de famille qui se dit qu'enfin, c'est les vacances, c'est pas loin, pour une fois c'est pas un week-end où il bosse, il peut amener ses enfants faire un déplacement en famille tranquillement, et en plus c'est organisé en bus par le club, c'est pas légitime de vouloir en profiter ? et à l'arrivée il se ferait insulter par des gars habillés en violet comme lui ? Immense bravo, et respect total, à tous ceux qui ambiancent le stadium, qui se fadent des centaines de km pour aller supporter partout en France, mais n'oublions pas qu'il y a plein de façons de supporter son club, et que toutes sont respectables.
  10. kike

    Musique

    euh... c'est fait exprès ?
  11. kike

    Topic séries

    Merci de m'y avoir fait penser ; j'ai commencé c'est vraiment bien
  12. Ben oui, j'assume complètement : LFI c'est populisme et extrémisme, le FN de gauche
  13. Melenchon y était en tête au 1er tour, Le Pen en tête au second, logique : populisme et extrémisme se rejoignent
  14. REPORTAGE. TFC : "Vivez, aimez, riez !" On est parti sur les traces de Branco van den Boomen à Eindhoven Avant de triompher à Toulouse, Branco van den Boomen s’est battu avec son destin aux Pays-Bas.Pour tenter de le comprendre, La Dépêche du Midi s’est rendue dans sa ville natale, à Eindhoven. Famille, amis, anciens entraîneurs... Ils racontent l’itinéraire du nouveau roi du TFC. La passion, ça ne se négocie pas. Celle qui électrise Harry van den Boomen depuis toujours est rood-witten, rouge et blanche comme les couleurs du PSV. L’homme de 55 ans a donné rendez-vous au "Eetcafé de Verlenging", bar-restaurant lové dans les entrailles du Philips Stadion, le stade du club mythique d’Eindhoven, parce qu’il est ici chez lui. Entre deux tapes dans le dos du patron, il navigue parmi les vitrines qui ornent la salle, où dorment maillots, photos et paires de crampons, témoins de la gloire du PSV et de ses légendes. Son œil s’allume comme celui d’un gosse : ces objets, c’est aussi sa vie qu’ils racontent. Quelque part, ils lui appartiennent. C’est vrai pour tous les supporters, mais pour lui peut-être un peu plus. Formé au PSV, par Guus Hiddink notamment, joueur de l’équipe nationale hollandaise en U18, Harry van den Boomen est fauché avant 20 ans par une rupture des ligaments croisés et doit ranger au placard ses rêves et son maillot rayé. Accoudé à la rambarde de la petite terrasse qui surplombe la pelouse où Willy van der Kuijlen, Phillip Cocu, Ruud van Nistelrooy et Ronaldo ont jeté des éclairs d’éternité, il se demande : "qu’aurait été ma vie sans cette blessure ?" Aujourd’hui restent des souvenirs, immortalisés par des photos et articles de presse jaunis, comme ce tournoi à Croix où il termine meilleur buteur devant les attaquants du Real Madrid, de Milan, de Saint-Etienne. Il y a aussi, surtout, un héritage : "Ma blessure m’a empêché de réaliser mon rêve. Maintenant, je vois mon fils l’atteindre, et ça, c’est magnifique." À 26 ans et à 1 000 bornes d’Eindhoven, Branco van den Boomen vit la plus belle saison de sa carrière. Meilleur passeur de Ligue 2, élu deux fois d’affilée joueur du mois, en février et en mars, le milieu de terrain a trouvé une couronne au bout de l’exil et une justification à son destin. Branco van den Boomen n’avait que le foot dans la tête. À 16 ans, il le répétera sous la forme d’une promesse adressée à son grand-père Frans Leemans lors de ses funérailles : "Je te le jure, je deviendrai un joueur pro." Alors qu’il attaque son club sandwich très hollandais – bacon, poulet, concombre, tomates, œuf – Harry van den Boomen rembobine : "Branco est presque né avec un ballon dans les pieds. Dans son parc pour bébé, alors qu’il ne savait pas marcher, il se tenait aux rambardes et tirait dans un ballon de l’autre côté. Il faisait le tour en s’agrippant, tirait dans l’autre sens, et ainsi de suite pendant des heures. Au bout d’un moment, il tombait de fatigue, dormait un peu, et il remettait ça. Je ne l’ai jamais vu jouer aux voitures ou à quoi que ce soit d’autre." L’enfance à Veldhoven, ville de 45 000 âmes du Brabant-Septentrional, voisine d’Eindhoven et de Nuenen où vécut Van Gogh, ressemble à celle que vivent des milliers d’autres gamins partout en Europe. "Nous étions heureux, et les meilleurs amis", se souvient Vinnie van den Boomen, petit frère né deux ans après. Chez les frangins, le foot prend toute la place, ou presque. Le temps qu’il reste, quand les jambes sont trop fatiguées, ils le tuent sur la Playstation, à FIFA et GTA, ou serrés sur le canapé du salon lors des soirées Ligue des champions. Harry dit que son deuxième fils avait autant voire plus de talent que l’aîné. Ça le fait marrer : "Branco, depuis que j’ai deux ans, a toujours dit qu’il serait footballeur professionnel. Il n’avait que ça dans la tête." À 16 ans, il le répétera sous la forme d’une promesse adressée à son grand-père Frans Leemans lors de ses funérailles : "Je te le jure, je deviendrai un joueur pro." Le père concède : "Vinnie, peut-être qu’il n’avait pas le caractère de Branco. Il était attiré par d’autres choses, comme la musique." Celui qui partage désormais son temps entre le foot, qu’il pratique en amateur au RKVVO, le club de Veldhoven, la pop musique qu’il compose et son boulot de nuit en boulangerie, réfléchit un peu lorsqu’on lui demande à quel moment il a su que les choses devenaient sérieuses pour son frère. "Probablement lorsque l’Ajax est venu le chercher", finit-il par répondre. Le manager de l’Ajax, Jan Olde Riekerink, m’appelle : il me dit qu’il veut me parler de Branco Je raccroche, trois fois de suite ! Je pensais que c’était une blague, et moi, je suis pour le PSV !" Nous sommes en 2011. Branco van den Boomen répète ses gammes depuis sept ans à Willem II, le club de Tilbourg, quand le téléphone de son père sonne. "C’était le manager de l’Ajax, Jan Olde Riekerink, qui me dit qu’il veut me parler de Branco. Je raccroche, trois fois de suite ! Je pensais que c’était une blague, et moi, je suis pour le PSV !" Le quatrième appel sera le bon. Au fond, Harry van den Boomen le sait : quand l’Ajax Amsterdam sonne à votre porte, vous n’avez pas d’autre choix que de l’ouvrir en grand. Branco prépare ses valises pour la capitale et le plus grand club du pays, où il fera ses débuts avec l’équipe réserve en 2013, après avoir raflé un titre de champion d’Europe des moins de 17 avec les Oranje. Mais il ne portera jamais le maillot de l’équipe première. "La marche était peut-être trop haute", analyse Robin Pronk dix ans plus tard. Coach des U17 de l’Ajax à l’époque, il est l’un des hommes derrière l’arrivée de Branco à Amsterdam : "Il avait déjà cette magnifique qualité de passe, de frappe, il était excellent sur coup franc. Mais je pense que certaines faiblesses défensives et sa vitesse l’ont empêché de franchir ce palier vers le très haut niveau." "Branco, à Eindhoven, tout le monde l’aime" Ce vendredi soir, le Jan Louwers Stadion, 4 600 places, n’a pas fait le plein. L’enjeu est pourtant de taille pour le FC Eindhoven, en bonne position pour décrocher son accession en Eredivisie à l’heure de recevoir Almere City. Mais au sud d’une ville où l’attention est vampirisée par le PSV, on s’est résignés à vivre à l’ombre d’un géant. Le club fondé en 1909, quatre ans avant que Philips ne crée le PSV pour ses ouvriers, a tout de même son histoire et ses légendes. Pascal Maas, 44 ans en bleu et blanc en tant que joueur puis entraîneur, en est assurément une, du haut de ses 88 buts. "Et en tant que milieu de terrain !" se marre-t-il. On dirait que ce grand gaillard noueux a toujours été là. Il l’était lorsque Branco van den Bommen a signé, en 2014, après son échec à l’Ajax. "Je n’ai jamais senti qu’il était déçu", rejoue-t-il. « Branco n’est pas quelqu’un qui regarde en arrière. Il se dit, ‘‘qu’est-ce que je peux faire aujourd’hui ?’’" Ce qu’il a fait en 2014-2015, c’est participer à l’une des meilleures saisons du FC Eindhoven, qui échoue aux portes de la montée, deuxième avec 80 points derrière un ahurissant NEC Nimègue et ses 101 points. rop fort pour l’Eerste Divisie, van den Boomen ira quand même découvrir la première division hollandaise, à Heerenveen, où il débarque en 2015 pour remplacer Marten de Roon, parti à l’Atalanta Bergame. Mais deux ans et 31 matchs plus tard, il reviendra encore, attiré comme un aimant par sa ville natale, après un nouvel échec et une nouvelle "marche peut-être un peu haute" selon Pascal Maas. C’est lors de sa deuxième période à Eindhoven, entre 2017 et 2019, que van den Boomen deviendra "le Branco que vous voyez aujourd’hui à Toulouse. On ne peut le comparer à aucun autre joueur que l’on a eu ici", admire son ancien entraîneur. Quand il est revenu, il a ajouté les buts et la gestion du tempo à sa palette. C’était devenu un excellent joueur, notre maître à jouer. Il avait des statistiques, et il était surtout resté un très bon être humain. C’est quelqu’un avec qui j’ai énormément apprécié travailler, jamais en colère, toujours enthousiaste, avec cette envie de gagner, même à l’entraînement. C’est un mec normal. Branco, à Eindhoven, tout le monde l’aime. Ça a matché entre lui et le club. Il se sentait bien ici, il était dans une zone de confort, mais prêt à exploser." C’est ce qu’il fera, loin d’Eindhoven, mais avec les yeux de sa ville braqués sur lui. Amour, IPTV et semi-conducteurs 15 heures. Dans le salon de la petite maison en briques sombres typique de Veldhoven, les premières bouteilles de Bavaria s’ouvrent. Aux murs, un maillot violet floqué du numéro 8, encadré aux côtés d’autres photos de Branco et d’autocollants des Indians Tolosa, ramenés par Harry van den Boomen de son déplacement en parcage avec les ultras toulousains, cette saison à Valenciennes. Ce samedi, le TFC est à Guingamp, et comme lors de chaque match, la télé est branchée sur l’IPTV dans ce qu’il appelle "sa cave d’hommes." Maurice, Syef, Michel et Bart sont là. Les amitiés remontent à loin. Elles se sont pour la plupart liées à l’usine d’ASML, géant de l’industrie de semi-conducteurs qui emploie près de 30 000 personnes, indépendante de Philips depuis 1988. À Veldhoven, où est situé son siège social, elle fait partie de la vie et conditionne les solidarités. "Que je parle à Comolli, à un joueur, à un paysan, à un ultra, c’est la même chose pour moi", répète Harry van den Boomen, dont un autre de ses cadres permet d’apprécier la philosophie : "Live, Love, Laugh" (Vivez, Aimez, Riez) peut-on lire. "J’aime la vie, elle est trop courte pour ne pas faire ce que tu veux. Et ce n’est pas important de tomber, il faut se relever. C’est ce que j’ai voulu apprendre à Branco." À la télé, le fils prodige distribue deux nouvelles passes décisives sur la pelouse du Roudourou et porte le TFC encore un peu plus près de la Ligue 1. Guingamp a un genou à terre, les "on est les champions" fusent dans le salon et les cinq amis préparent déjà leur prochain voyage à Toulouse, demandant à ce qu’on leur traduise le chant des supporters "qui ne saute pas n’est pas toulousain." Puis les discussions reviennent à l’ordinaire. Au PSV Eindhoven. "C’est sûr qu’on aurait aimé voir Branco y jouer" souffle Maurice. L’histoire s’est jouée à peu. "Le PSV voulait récupérer Branco quand il avait 8 ans, mais souhaitait le laisser encore une saison au RKVVO. À l’époque, les gars de Willem II ont été malins : ils faisaient descendre des joueurs de l’équipe 1 pour s’entraîner avec les jeunes, et quand Branco a vu ça, il avait des étoiles dans les yeux. Il me disait : ‘‘Papa je ne veux pas attendre.’’" Harry van den Boomen se tourne alors vers la légende du PSV, Willy van der Kuijlen. "Il m’a dit : ‘‘Harry, ce n’est pas grave si le gosse veut aller à Willem, laisse le faire.’’" 18 ans plus tard, après quelques détours et faux départs, Branco van den Boomen n’a toujours pas porté le maillot rood-witten mais est enfin prophète, même loin de son pays. Adulé à Toulouse, "il n’a jamais été aussi fort" selon son frère Vinnie. "C’est aussi parce qu’il est en confiance. Il a une stabilité, sa copine, sa famille. Il ne se focalise plus uniquement sur le foot, et ça lui permet d’être plus serein, plus mature." Père d’une petite fille depuis l’année dernière, c’est désormais à lui de transmettre l’héritage. Assurément rouge et blanc, forcément un peu violet.
  15. Est-ce une règle que le champion de Ligue 2 reçoive le champion ligue1 pour la 1ère journée, comme Troyes-PSG cette saison ? Ou un hasard ? Faut-il s'attendre à un TFC-PSG pour le 7 août ?
  16. https://www.ladepeche.fr/2022/04/15/reportage-tfc-vivez-aimez-riez-on-est-parti-sur-les-traces-de-branco-van-den-boomen-a-eindhoven-10238895.php
  17. Ok, les pires atrocités dignes du tribunal pénal international.... on est quand même loin de Maduro (tu sais, celui qui est une source d'inspiration pour Mélenchon) qui fait tirer sur ses compatriotes, ou de Poutine qui massacre en Ukraine (car il se sentait humilié et agressé, le pauvre) ce que tu mentionnes, que ce soit blâmable et choquant, tu peux le penser, pas de pb quand aux manifs des gilets jaunes, ce sont eux qui ont démarré les violences et saccages ; il y a des dizaines de manifs en France qui se passent bien, sans débordements ni violences...
  18. donne-moi des exemples, pour m'éclairer s'il te plaît
  19. carrément ! ce doit être surement lui qui a bombardé Marioupol, pour le moins
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