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Flolynyk

Tortues ninaj
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Tout ce qui a été posté par Flolynyk

  1. Je sais pas, avant de faire une comparaison débile regarde les matchs non ? Tu penses vraiment qu'un Brésil-Argentina au Maracana, avec l'Amérique entière qui regarde, et avec la pression d'offrir enfin ce titre à Messi, c'est comparable à un match entre potes ?
  2. C'est quoi le rapport entre son niveau et le fait que ça se joue sous restrictions pour covid ? Et le rapport entre son niveau et le fait que Planino n'en ait rien à foutre ? En Amérique du Sud, la compet est quasiment aussi importante que la CDM, comme l'Euro ici, et il a été énorme toute la compet, comme pour la CDM les mecs étaient en mission pour la gagner. Que tu ne sois pas d'accord sans en avoir rien, vu, bon.
  3. Il avait fait pareil (voire mieux) un an avant, donc compétition de sa vie, non. Par contre, les Argentins sont en général bien au-dessus de leur niveau habituel lorsqu'ils sont en sélection ces dernières années, ça c'est clair.
  4. Le 2 poids 2 mesures est incroyable Rasmus fait une boulette : faut le sortir de l'équipe, Rouault en fait lors de 4 matchs consécutifs : à part ça il est très fort et quel mental !
  5. Bien sûr que si et c'est déjà arrivé
  6. Si le karma te fait marquer un CSC dans un match random de championnat après avoir gagné la coupe du monde, c'est qu'il est pas bien violent
  7. Non je ne pense pas.
  8. https://www.sofoot.com/articles/tactique-toulouse-la-vie-en-rose
  9. Depuis votre arrivée à Toulouse, le club n’a perdu qu’une seule fois (face à Paris 2-1), vous ne pouviez pas rêver mieux pour faciliter votre intégration ? Oui, évidemment. J’ai été très heureux de pouvoir rejoindre cette grande équipe. Ils m’ont accueilli de façon incroyable, que ce soit le staff technique, les supporters et bien sûr mes coéquipiers qui ont été très importants. Je pense que je me suis très bien intégré au groupe et cela s’est vu lors des matchs que j’ai joués. Et c’est vrai que gagner, ça aide beaucoup (rires). Lien interne vers l'article n°10979381 Les supporters au Stadium apprécient la grinta que vous apportez à cette équipe, est-ce que vous l’avez ressenti ? Naturellement que je l’ai ressenti. Je viens de l’équipe la plus grande et la plus populaire du Chili (Colo-Colo, ndlr), et, là-bas, les gens et les fans aiment cette dévotion. C’est la même chose à Toulouse. Les fans essaient de nous soutenir à chaque instant du match, c’est très important pour nous, c’est un plus lors de chaque match, une chance. Je suis très reconnaissant du soutien qu’ils m’ont apporté dès le début et j’espère que cela continuera de la même façon. L’ambiance que vous avez découverte ici au Stadium est différente de celle autour des matchs de Colo-Colo ? C’est un peu différent tout d’abord parce que ce sont des cultures distinctes. Une façon de vivre le foot qui n’est pas la même, mais ce qui est similaire, ce sont les encouragements sans discontinuer pendant toute la rencontre, que l’on gagne ou que l’on perde. Franchement je pense que c’est la même chose que ce que j’ai vécu à Colo-Colo. Il y a une certaine allégresse, et je sens que les joueurs ont un lien avec ces supporters. Lien interne vers l'article n°10929928 Que pensez-vous du niveau de vos coéquipiers et du niveau de la Ligue 1 ? Y a-t-il une grande différence par rapport à la première division du Chili ? C’est au niveau des cinq meilleurs championnats européens, je ne suis pas surpris et c’est ce que je recherchais en venant à Toulouse. C’est très compétitif, cela ressemble au niveau de la Copa Libertadores, de la Copa America ou aux matchs internationaux lorsque je joue avec la sélection nationale. Il y a des joueurs qui sont très bons physiquement, très rapides, très puissants, bref très bons. Au Chili, il y avait aussi de très bons joueurs, mais pas dans toutes les équipes. Le niveau technique est élevé au Chili donc pour moi la principale différence entre le championnat de mon pays et la Ligue1 c’est sur le plan physique dans le sens où les matchs sont beaucoup plus intenses et agressifs. C’est la première fois que vous quittez le Chili, comment vous sentiez-vous au moment de rejoindre Toulouse ? Pour moi c’était un rêve de pouvoir jouer en Europe. Au Chili j’ai toujours joué avec le même groupe à Colo-Colo, j’y ai passé huit ans et j’ai réalisé mes rêves d’enfant : jouer avec Colo-Colo, être champion avec Colo-Colo et y être capitaine. Donc j’avais envie de réaliser un nouveau rêve qui était de pouvoir jouer dans une des équipes des cinq grands championnats européens. Maintenant j’y suis, avec beaucoup de plaisir et de fierté et une reconnaissance énorme d’avoir eu cette opportunité. Je voulais rapidement jouer et montrer que j’avais le niveau pour évoluer au niveau européen. Lien interne vers l'article n°10999008 Cela fait maintenant un mois que vous êtes arrivé à Toulouse, comment se passe votre nouvelle vie ? J’aime beaucoup cette ville, du moins le peu que j’en ai vu. J’adore me balader avec mon épouse et mes deux chiens qui sont venus du Chili avec nous. Nous sommes allés dans le centre-ville et nous apprécions la façon de vivre des gens ici, et nous voulons nous fondre dans la masse, être comme tout le monde. Cela ne fait qu’un mois mais, en vérité, j’ai l’impression que cela fait des mois ou des années tellement nous avons été bien accueillis et tellement je me sens bien dans ce vestiaire. Ma femme m’a d’ailleurs dit qu’elle était ravie d’être ici et l’ambiance qui règne nous permet d’être encore mieux d’un jour à l’autre. Rafael Ratao a été votre guide touristique au moment de votre arrivée ? (sourire) Oui Rafa a été très présent pour moi. C’est un des premiers joueurs que j’ai rencontré et il m’a beaucoup aidé même s’il ne parle pas un espagnol parfait. Mais honnêtement, le portugais et l’espagnol se rapprochent beaucoup donc on se comprend très bien. Au début, le changement entre l’Amérique du Sud et l’Europe peut être difficile, notamment avec la barrière de la langue, mais grâce à lui cela s’est fait en douceur. Il m’a aussi conseillé des restaurants et j’y suis allé avec mon beau-père et ma femme, nous nous sommes régalés. Lien interne vers l'article n°11001335 La présence de l’Espagnol Carles Martinez (adjoint de Philippe Montanier) vous aide au quotidien pour traduire les consignes techniques ? Oui énormément. Même si Philippe parle espagnol et, plusieurs fois, il fait l’effort de m’expliquer les choses dans ma langue mais c’est vrai qu’avoir Carles dans le staff, pour moi, ça me facilite les choses. Je parle un peu anglais et je comprends cette langue mais pour les consignes techniques ou tactiques, c’est vrai que c’est beaucoup plus facile pour moi que Carles me les traduise en espagnol. Dimanche vous allez affronter Alexis Sanchez, votre coéquipier en sélection nationale chilienne… Êtes-vous excité ? L’OM a une très bonne équipe, ça va être très difficile car il y a beaucoup de joueurs internationaux comme Alexis et je suis très excité de jouer contre lui. Mais on a très bien travaillé pour les affronter et avec notre public derrière nous, je pense qu’on aura une motivation supplémentaire. Est-ce la première fois que vous allez jouer contre votre coéquipier ? Oui, la première. On a toujours été coéquipier en sélection, il est monstrueux, il est très difficile à prendre mais on va travailler pour le contrôler lui et le reste de l’équipe. Lien interne vers l'article n°11004017 Vous allez donner des conseils à vos coéquipiers en défense ? (il se marre) Oui à Antho (Rouault) et Rasmus (Nicolaisen) parce qu’ils vont avoir à faire avec Alexis. C’est un attaquant qui bouge beaucoup et qui dézone énormément. Ce n’est pas un 9 ordinaire donc bien sûr que je vais leur donner des conseils.
  10. Pas étonnant vu sa réussite. J'espère qu'on a chopé une indemnité de transfert
  11. Flolynyk

    Stadium Municipal

    Je sais
  12. Flolynyk

    Stadium Municipal

    Oh que oui, et des très proches
  13. Dix matchs entre octobre 1984 et février 1994 ; 5 victoires, 3 nuls et 2 défaites. Le bilan de Di Meco avec l’OM contre le TFC – au Stadium comme au Vélodrome – est largement positif et ses anecdotes sont légion. Pour La Dépêche, l'arrière d’attaque champion d’Europe en 1993 ouvre la boîte à souvenirs. Sous le maillot olympien, quels souvenirs gardez-vous de vos confrontations avec le TFC ? Il y a en deux, très marquants. Mon premier but en Ligue 1, d’abord. C’était saison 1984-1985 (19/10, ndlr), je score au stade Vélodrome. À l’époque, je jouais avant-centre avec comme ailier droit Tchen La Ling et côté gauche Laurie Cunningham. La Ling était un dribbleur hollandais d’origine chinoise – comme quoi il n’y a pas qu’à Toulouse où le vestiaire peut parler néerlandais (sourire). Cunningham lui, pour l’histoire dans l’histoire, a été l’un des premiers joueurs de couleur à avoir été international anglais. Il était notamment passé, auparavant, par le Real. Voilà et j’inscris donc ma première réalisation en élite d’une demi-volée du gauche, de près, sous la barre je crois de Philippe Bergeroo ; le but vainqueur, du 2-1. Quant au stoppeur toulousain, c’était le grand Didier Christophe ; je m’étais pas mal frotté à lui, je me rappelle… Sinon, notre coach c’était Pierre Cahuzac. Il m’adorait. Lorsqu’il est arrivé, du TFC d’ailleurs, il m’avait mis titulaire. D’entrée. Devant, en pointe. Et le second, alors ? Une branlée si j’ose. Une semaine après notre victoire en Ligue des champions (26 mai 1993), on se déplace au Stadium pour la dernière journée de championnat. On avait fait la fête depuis la finale de Munich et le succès sur le PSG trois jours plus tard. On s’est fait corriger 3-1. J’ai encore en tête l’image de Rudi Völler qui avait les nerfs. On était nuls, on se faisait bouger ; et, en bon Allemand, Rudi n’arrêtait pas de nous insulter. Lui ne supportait pas de se faire trimbaler par le TFC, quoi. Bon, on était restés dans la Ville rose pour faire une autre grosse fiesta. "Le retour de Toulouse en Ligue 1 est spectaculaire" Personnellement, vous n’avez jamais gagné dans le "Petit-Wembley" (3D et 2N). Étonnant ! Oh, il y a eu de belles générations violettes dans ces années-là, Les Tarantini, Marcico, Passi, Debève, etc. C’était plutôt solide et talentueux. On vous avait également récupéré Fabien (Barthez) en 1992. Trente ans plus tard, le Tef refait parler de lui. C’est une des belles surprises de la saison. Mais, finalement, le TFC est sur sa lancée de la Ligue 2 : l’équipe a bien commencé, ce qui lui permet derrière de travailler dans la sérénité. Un recrutement judicieux fait de coups à l’étranger avec des joueurs dans des championnats pas trop concurrentiels : j’appelle ça la réussite signée Damien Comolli. Maintenant, le piège pour les promus, c’est la deuxième année où il faudra encore renforcer l’ossature. En attendant, le retour de Toulouse est spectaculaire. Sa victoire contre Rennes, dimanche (3-1), a marqué les esprits. Je n’ai pas pu regarder le match mais j’ai suivi sur mon portable. Et quand je vois 3-0 à la pause, je me pince : le Téfécé met une raclée au Stade Rennais. Waouh, il a accroché un gros. Lien interne vers l'article n°10996676 En clôture de la journée, Toulouse peut aussi embêter Marseille ? C’est un déplacement dangereux pour l’OM qui devra faire attention. Parce que le Téfécé est libéré mentalement par sa dynamique, son classement. Il a tout le loisir de lâcher les chevaux. Alors que Marseille, gagnant certes à Clermont (2-0), n’y a pas sorti son meilleur match de la saison. Bref, je crois que le TFC a un vrai coup à jouer. Surtout que le jeu phocéen est clairement identifié, dorénavant. Et le Tef, devant, a peut-être les moyens de faire mal à l’OM dans les couloirs où les latéraux marseillais sont haut. Toulouse a les armes pour embrouiller Marseille. Et… Oui… Faire un résultat contre l’OM, ce serait une super-pub pour le TFC. Un club – dans une ville de rugby – qui est train de reconquérir son public. De toute façon, il n’y a pas de secret : quand tu tournes, il y a du monde au stade. Aussi, je vois l’aspect comptable ; néanmoins, n’oublions pas l’aspect prestige de ce genre d’affiche. Lien interne vers l'article n°10999008 L’Olympique de Marseille à présent. Igor Tudor a beaucoup été critiqué à son arrivée, aujourd’hui c’est un entraîneur vénéré, non ? Il a été moyennement accueilli, c’est un euphémisme. Siffler un coach lors de sa Première car il a perdu deux matchs amicaux, je ne l’avais jamais encore vu à Marseille celle-là… Au début, les gens n’ont pas forcément compris ce qu’il souhaitait mettre en place : pressing, envie, jeu direct, déséquilibre vers l’avant. Cependant qu’il y a eu lors de la phase aller de très belles mi-temps. Moi je me suis rarement embêté au Vélodrome contrairement à l’an passé. J’aime ce que fait l’OM – je n’arrête pas de le répéter à la radio – même si c’est risqué. Sans calcul. Le spectateur s’éclate toujours, en somme. Les rencontres sont ouvertes, l’OM laisse des espaces et des situations à l’adversaire, c’est intéressant, c’est plaisant ! "Le Tef peut aller titiller le Top 8" Philippe Montanier, c’est en quelque sorte le Tudor toulousain… Il a su se renouveler, à mon sens. Philippe n’avait pas forcément convaincu sur ses expériences précédentes. L’année dernière, il nous a fait découvrir des joueurs et une formation portée vers l’avant. Il perpétue. On a l’impression qu’il a trouvé un club et une philosophie qui lui conviennent. Philippe Montanier redevient un entraîneur qui compte. Il s’agissait pour Toulouse d’une saison importante, le retour au sein de la L1 ; lui aussi était attendu par rapport à ses derniers échecs tels Rennes ou Lens. Remonter n’est jamais aisé et maintenir le curseur de cette qualité de jeu encore moins. Jusqu’où peut aller le TFC selon vous ? Peut-être aller titiller Lorient (8e, 36pts vs 11e, 32pts). Terminer dans la première partie de tableau. Si on avait prédit cela aux Toulousains à l’ouverture du bal, je pense qu’ils auraient signé des deux mains. L’OM, lui, disputera le titre au PSG ? La réception des Parisiens dans quinze jours (26/02) sera le grand test révélateur. Si Marseille est à nouveau capable de battre Paris, là je dis oui. Lien interne vers l'article n°10994637 Quel est votre joueur préféré dans chacune des deux équipes ? J’étais déjà fan d’Alexis Sanchez quand il évoluait à Arsenal. Il confirme que c’est un grand. Et du côté toulousain, Thijs Dallinga. Par sa mobilité et son sens du but, il peut contrarier l’OM. Allez, vous vous jetez à l’eau : un petit pronostic pour finir ? Pfff… je vois quand même l’OM l’emporter au Stadium. Mais avec des buts de chaque côté : le TFC va marquer. Le score ? Serré : 2 à 1 pour l’OM. À la basse, en concert au Rex de Toulouse, le 25 mars Il ne sera pas au Stadium dimanche soir, mais à Toulouse dans un mois…sur scène avec son groupe de pop. "Ce sera la première fois qu’on va jouer à Toulouse, s’enthousiasme Éric Di Meco musicien à ses heures perdues. Notre groupe ne tourne pas depuis longtemps, non plus, cela fait deux ans seulement puisqu’on s’est montés au début du premier confinement. Et, par conséquent, on est restés une bonne période sur le carreau… La Ville rose me tentait bien pour Osiris Cover Band. Avec le Moscato Show, on a beaucoup d’auditeurs du côté de chez vous ; ça faisait un moment que les rugbymen me branchaient sur Instagram pour que je vienne… Le Rex a la gentillesse de nous accueillir, reprend le bassiste, et c’est un gros challenge pour nous ; il s’agit d’une grande salle (400 spectateurs). La billetterie marche déjà bien, on a bon espoir de faire le plein. L’année dernière, on a eu la chance de participer à The Voice (sur TF1, émission de télécrochet) et du coup ça nous a boostés. En décembre on a fait Paris et on a rempli ; on a pas mal de festivals programmés cet été. On essaie de jouer une fois par mois dans de jolies villes et de belles salles. On est cinq sur scène, on est un tribute band (sosie) d’Oasis dont on reprend tous les tubes des frères Gallagher de Manchester. On a 1h20, 1h30 de show. Après, conclut Di Meco, il faut aimer la pop anglaise, naturellement…" Quartier Arnaud-Bernard, 15 avenue Honoré-Serres ; samedi 25/03, à 20 heures ; 16€ en prévente (lerextoulouse.com, 05.61.38.57.71).
  14. Flolynyk

    Stadium Municipal

    Les vrais bobobanlieusards ils savent l'écrire par contre
  15. Flolynyk

    Stadium Municipal

    On prend les paris ?
  16. Flolynyk

    Stadium Municipal

    C'est faux, y'a qu'à Toulouse qu'on voit des places à plus de 50€
  17. + le club le plus populaire contre la meilleure tribune du championnat.
  18. Je suis très sérieux
  19. Il est avec Elvis sur une île secrète
  20. Y'a eu pas mal de fois où on les voyait pas tant que l'OM ne menait pas, donc je pense que c'est lié
  21. C'est pas moi qui fais les règles du forum.
  22. Flolynyk

    Stadium Municipal

    Plusieurs choses à dire : - Les places pour les abonnés et leurs proches, ainsi que pour ceux ayant déjà acheté une place l'année passée n'étaient pas à ces prix là - Eviter les Marseillais dans 'nos tribunes', quitte à avoir des places vides, c'est le but - La dernière phrase me semble complètement fausse. J'ai regardé complètement au hasard les billetteries de Rennes et de Lyon, pour leurs prochains matchs (Clermont et Lorient respectivement), tous deux ont des places à + de 50€, et on peut pas vraiment parler de matchs particuliers, contrairement à un match contre l'OM justement.
  23. Le saviez-vous ? On peut dire con, mais au féminin c'est une insulte.
  24. Le niveau des supporters ça rentre pas vraiment dans l'équation pour déterminer qui est un gros du championnat
  25. Marrant qu'il n'y ait plus de message après le début de notre bonne série
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